Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Rebonjour voici ma seconde chronique du dimanche concernant : "LA LIBERTE DE NOUS AIMER"

« LA LIBERTE DE NOUS AIMER »

Ninon AMEY

Auto-Edition

4 mai 2019

232 pages

 

Présentation

 

Et si on vous proposait de correspondre avec un détenu ? Tenteriez-vous l’expérience ?

 
Abigaïl, une jeune femme passionnée par les mots, décide de rentrer dans ce programme expérimental mis en place par la prison locale. Si cette expérience est pour elle l’opportunité de s’adonner à son amour de la prose, pour son correspondant, David, elle représente surtout une bouffée d’oxygène dans son quotidien morose.

D’échanges timides en confidences intimes, un lien particulier va progressivement se tisser entre eux. L’une des règles du programme est pourtant claire : ils n’ont pas le droit de tomber amoureux.


Entre échange de lettres et d’e-mails, plongez au cœur d’un roman épistolaire moderne, dans lequel l’amitié, l’amour et la famille occupent une place centrale.

 

L'auteure

La trentaine, un mari, des enfants, plusieurs vies en une....

Ecrire l'a aidée à trouver son équilibre, elle ne pourrait plus s'en passer...

Après avoir obtenu le troisième prix du concours de romans sur les faits divers organisé par Librinova en 2017 avec L'empreinte du passé, paru en novembre de la même année, Ninon Amey se lance dans l'autoédition avec des romances contemporaines émouvantes et aborde, d'une plume douce et sensible, des thèmes qui lui tiennent à coeur comme le deuil, la résilience, ou encore les secrets de famille. L'amitié, la famille et l'amour ont toujours une place centrale dans ses histoires, qui savent captiver le lecteur dès les premières pages. 

Toi qui manques à ma vie, son recueil de deux nouvelles très courtes, autobiographiques, est un hommage à son frère jumeau, décédé in-utéro.

 

Mon avis

Je remercie Ninon AMEY de m'avoir permis de lire, en service de presse, son roman « La Liberté de nous aimer ». J'ai découvert la plume simple, fluide et sensible de cette auteure lors de la lecture de « Les Lettres à Juliette ».


 

Dans un genre différent de ses précédents livres, l'auteure nous présente un roman épistolaire et, bien que peu habituée à ce genre de lecture, je me suis laissée tenter et j'ai de suite été portée par les mots de Ninon.


 

C'est ainsi, qu'au travers d'échanges de lettres et de mel, nous découvrons la vie d'Abigaël et David. Abigaël, jeune femme âgée de 28 ans, célibataire, accepte d'expérimenter un programme mis en place par une maison d'arrêt et correspond avec David, la cinquantaine, détenu dans cette prison pour une peine légère.


 

Leurs échanges sont amicaux et au fil du temps, chacun attend avec impatience, comme le lecteur d'ailleurs, la réponse aux courriers..


 

Les personnages sont attachants et vrais. L’histoire est originale, intéressante, complètement addictive et nous amène à tourner les pages au plus vite afin d'en connaître le dénouement.


 

Ninon AMEY décrit avec précision et délicatesse le milieu carcéral et le quotidien de David, ses angoisses, ses espoirs, ses doutes et regrets.. Au fil des mots de l'auteure, beaucoup d'émotions sont palpables et rendent ce récit fort émouvant.


 

J'ai ADORE ce beau roman ayant pour thème la liberté, dans tous les sens du terme, empli d'amour, d'amitié et d'espoir et avec lequel j'ai passé un bon moment de lecture et refermé à regret.


 


 

 

Voir les commentaires

Bonjour aujourd'hui dimanche je vous propose ma chronique concernant : "L'ILE DE L'ERMITE" ISA

« L'ILE DE L'ERMITE  ISA»

Tome 2

Sergine DESJARDINS

CHARLESTON

LEDUC.S

(POCHE)

16 avril 2019

512 pages

 

 

Présentation

 

1847, Nouveau-Brunswick, Canada 

Pour protéger la population de la « maladie maudite », les malades sont envoyés en isolement dans une léproserie, sur l'île Sheldrake. La jeune Isabelle, soupçonnée à tort d'avoir développé les symptômes de la maladie, a ainsi été arrachée à sa famille.

Alors que les mois passent, elle commence à perdre espoir. Bien que la maladie ne semble avoir aucune emprise sur la jeune femme, l'isolement et un pénible quotidien l'affectent au plus profond d'elle-même. 

Pendant ce temps, les sœurs d'Isa tentent, elles aussi, de surmonter les épreuves que la vie dresse sur leur chemin. Fanny est toujours à la recherche du bébé qui lui a été enlevé et Juliette rêve d'étudier la médecine.
En cette époque d'interdits, de silence et de jugement divin, cette famille retrouvera-t-elle son bonheur passé ?


Dernier tome de la série Isa, L'Île de l'ermite nous entraîne dans la noirceur d'un autre âge, où injustice et adversité côtoient espoir et courage.

 

L'auteure

 

Originaire du Bas-du-Fleuve, passionnée d'histoire et de littérature, Sergine Desjardins a publié le roman Marie Major et la biographie de la première femme journaliste canadienne-française, Robertine Barry. Ces deux ouvrages lui ont valu respectivement le prix littéraire indépendant Marguerite Yourcenar et le prix Jovette-Bernier. Elle poursuit maintenant sur sa lancée avec Isa, une passionnante série historique dont l'action se déroule principalement au dix-neuvième siècle entre les villes de Tracadie, Miguasha, Québec, Montréal et Rimouski.

 

Mon avis

 

Je remercie Sergine DESJARDINS et CHARLESTON

LEDUC'S de m'avoir permis de lire, en service de presse, le tome 2 d'Isa, roman que j'avais beaucoup aimé et dont j'attendais la suite avec impatience. J'ai découvert la plume fluide et majestueuse de cette auteure lors de la lecture de Marie Major, roman que j'ai adoré.

 

J'ai donc retrouvé avec grand plaisir les protagonistes de « l'Ile des exclus » et en particulier Isa qui, trois ans après avoir été soupçonnée à tort d'avoir contracté la lèpre se trouve toujours à la léproserie de Tracadie où elle a été déportée.

Bien que ne présentant aucun signe avéré de la maladie, notre héroïne perd espoir mais sa famille est prête à tout pour la sauver...

 

Nous partageons le quotidien des lépreux, les épreuves qu'ils tentent de surmonter, leurs souffrances, leurs espoirs et leurs luttes face aux perversions de certains êtres « humains » qui les entourent, ce qui ne peut que provoquer révolte et dégoût au lecteur.

 

Ce second opus est aussi, si ce n'est plus, émouvant et poignant que le précédent. Sergine DESJARDINS nous fait ainsi découvrir un pan de l'Histoire du Canada en abordant le sujet réel, effrayant et difficile à imaginer qu'est la lèpre, maladie malheureusement encore répandue de nos jours.

 

J'ai ADORE ce roman historique extrêmement bien écrit et documenté sur les plans historique et médical et j'avoue avoir eu, à plusieurs reprises, les yeux embués de larmes à la lecture de certains passages difficiles mais reflétant la triste réalité.

 

Excellent moment de lecture.

 

 

 

 

Voir les commentaires

Rebonjour voici une seconde chronique concernant : "LA HACHE"

« LA HACHE »

Alain GERBER

RAMSAY EDITIONS

23 avril 2019

250 pages

 

 

Présentation

 

Un sous-lieutenant français se trouve affecté avec trois autres soldats dans la zone occupée par l’armée d’un pays imaginaire qu’on imagine être situé en Europe de l’Est, sans doute de confession orthodoxe, peut-être la Serbie, car il y a un pope au village. Il est logé dans une ferme où habite un fermier, sa femme et sa fille adolescente. Un crime de guerre a eu lieu dans cette région, mais on ignore quels en sont les coupables. L’officier passe son séjour entre l’ennui de cet exil, dans un lieu peu hospitalier, avec les locaux dont il ne parle pas la langue, et les soldats placés sous ses ordres avec lesquels il n’a rien en commun. Un jeu de séduction s’instaure avec la jeune fille qui l’observe en cachette lorsqu’il prend son bain, bien vite interrompu par le père qui, pour couper son bois, manie une hache au fer étincelant. Peu à peu, se révèle la vérité sur ce qui s’est passé dans ce village, avec la découverte d’un charnier. Comme toujours chez Alain Gerber, l’intrigue a moins d’importance que la psychologie extrêmement subtile des personnages, la narration jouant sur les non-dits, les ellipses, les silences. Rien n’est clairement révélé, tout est suggéré, laissant au lecteur le soin de combler les vides du récit. Tout cela servi par une écriture belle et limpide, servie par un style inimitable.


 

L'auteur

Alain GERBER : Chroniqueur et critique de jazz à France Musique et France Culture,. Alain GERBER est également romancier et nouvelliste ; il a publié près de trente ouvrages qui lui ont valu de nombreux prix littéraires, notamment le prix du roman populiste en 1982, le pris Goncourt de la nouvelle en 1984, l’Interallié en 1989 pour Le Verger du diable et le Grand Prix du roman de la ville de Paris pour l'ensemble de son œuvre.


 

Mon avis


 

Je remercie RAMSAY Editions et en particulier Christophe de m'avoir permis de lire, en service de presse, « La Hache », roman d'Alain GERBER, auteur dont j'ai découvert la plume majestueuse lors de la lecture en 2018 de « Souvenirs d'une invisible ».


 


 

C'est dans un genre totalement différent de ses précédents ouvrages que l'auteur nous fait découvrir « La Hache ».


 

Nous nous trouvons ,  a priori, dans un pays imaginaire d'Europe situé à l'est et c'est sous forme de récit que Alain GERBER nous présente les protagonistes de son livre. Le personnage principal est un officier français qui avec trois soldats, se trouve affecté dans une zone occupée par l'armée, territoire ô demeurant fort inhospitalier. Il est hébergé par un couple de fermiers et leur fille qui sont plutôt bizarres et ne parlent pas sa langue. Que cachent-ils ? A quoi a bien pu servir cette « hache » ?


 

L'auteur dresse une fine analyse des traits psychologiques de ses personnages et provoque également une atmosphère sombre et énigmatique à son récit qui, comme les paysages enneigés de cette région, est froid et mystérieux...


 

J'ai lu avec plaisir ce roman très bien écrit mais j'ai toutefois préféré le style de « Souvenirs d'une invisible » qui correspond mieux à mes goûts littéraires. Toutefois ce roman séduira, j'en suis certaine, les férus du genre.


 

Bon moment de lecture.

 

Voir les commentaires

Bonjour aujourd'hui vendredi je vous invite à découvrir ma chronique concernant : "SHAENA"

« SHAENA »

Aurélie DEPRAZ

Auto-Edition

22 mai 2019

183 pages

 

 

Présentation

 

Extrême Nord de l'Ecosse – 1214

 

Quand Connor revient à CastleWhite après neuf ans d’absence, c’est pour constater que les desseins de son père, le seigneur de Caithness, n’ont pas changé à son égard : quoique grabataire et alcoolique, il n’a pas renoncé à le contraindre à épouser la fille de leur pire ennemi : le jarl des Orcades. Une Scandinave ! Quand tout le monde sait que c’est à ces chiens de Vikings qu’on doit la mort de Tormond !

Connor est catégorique. S’il doit se marier un jour, ce sera avec une Ecossaise. Jamais il n’épousera cette sauvageonne dont il a gardé le souvenir, une gamine d’à peine dix ans, maigre, plate et farouche.


Peu importe qu’elle ait grandi, peu importe sa beauté, ce que leurs pères peuvent comploter. Peu importe qu’il soit devenu homme, peu importe qu’elle soit devenue femme. Rien ni personne ne le fera changer d’avis.
Pas même elle.

 

Dans ce 4e roman historique, Aurélie Depraz renoue avec ses premières amours : la romance écossaise. Cap au nord ! Nous partons pour le Caithness, les Orcades et les Shetland, au temps où les archipels du nord de l’Ecosse – mais aussi les Hébrides – appartenaient encore à la Norvège… Un roman où culture des Highlands et culture viking se mêlent à coups de conflits, de haine… et de passion !



 

L'auteure

 

Férue tant d'Histoire et de littérature que de langues et de sciences humaines (anthropologie, psychologie, sociologie, philosophie...), Aurélie écrit depuis presque aussi longtemps qu'elle sait tenir un stylo : poèmes, correspondances, journaux intimes, carnets de voyage, contes, synthèses, ébauches de romans tout d'abord... puis, enfin, ses 3 premières romances historiques à l'âge de 30 ans. Elle en a écrit d'autres depuis et prépare de nombreux autres scénarios, mais... dans l'auto-édition, la publication prend aussi du temps !

Passionnée de voyages et de contrées reculées, elle aime ancrer ses intrigues dans les cadres idylliques de ses pays de cœur (l'Ecosse, l'Angleterre, l'Irlande, les pays scandinaves... sans oublier son propre pays, la France) et les époques qui l'ont toujours fascinée (le Moyen-âge, la Deuxième Guerre Mondiale, l'époque victorienne...). 

Son genre de prédilection est la romance historique à l’anglo-saxonne, mais elle a également de très nombreux autres projets en tête (une trentaine en tout, de la chick-lit au roman de littérature générale et des romans historiques aux ouvrages sur l'éco-citoyenneté ou l'Histoire du vin en bordelais).

Touche-à-tout et curieuse, elle conjugue, entre deux romans, différentes activités professionnelles afférentes à l’œnotourisme, à l’enseignement privé de matières littéraires et à la préparation d’élèves au baccalauréat. Aussi enthousiaste que prolifique, elle partage sur son blog des articles sur le genre de la romance, la place de l’amour et de l'érotisme dans la littérature, l'Histoire et les grands mouvements littéraires, les plus importants courants amoureux, l'évolution du genre romanesque et tout ce qui touche, de près ou de loin, à l'univers de ses romans, à son parcours dans l'édition et à ses projets d'écriture.

Pour suivre ses publications, ses articles et ses partages en tous genres, retrouvez-la sur:
- facebook : @aurelie.depraz.auteur
- instagram : @aurelie.depraz.auteur
- son blog : aureliedepraz.com
- twitter : https://twitter.com/AurelieDepraz
 


Mon avis

 

Je remercie Aurélie DEPRAZ de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son quatrième roman « Shaena ». J'ai découvert la plume fluide et majestueuse de cette auteure lors de la lecture de « Pour l'amour d'une Sassunach » et ensuite j'ai dévoré tous ses romans..

 

La très jolie couverture et le résumé fort alléchant ont de suite interpellée la férue de romances historiques que je suis.

 

Aurélie DEPRAZ nous emporte en Ecosse sur l'Archipel des Orcades au Moyen Age où nous faisons connaissance avec Connor, jeune seigneur Écossais qui, à la demande de son jeune frère, rentre à CastelWhite après plusieurs années d'absence, afin de sauver le château familial de l'abandon.

 

Cependant, le père de Connor a organisé le mariage de son fils avec Shaena, la fille de son pire ennemi, ce viking qui a tué son frère aîné..

 

Shaena est, depuis son adolescence, très amoureuse de Connor mais celui-ci ne partage pas ses sentiments. Une histoire d'amour, entre ces deux êtres que tout oppose, sera-t-elle possible ?

 

 

L'histoire est très belle et addictive car, comme dans tous ses romans, l'auteure a le don de captiver ses lecteurs en décrivant avec moult détails les traits tant physiques que psychologiques de ses personnages les rendant vrais et les faisant évoluer dans des paysages que nous imaginons aisément.

 

J'ai bien aimé Connor et Shaena qui sont très attachants, mais également Sean, le meilleur ami de Connor qui joue un rôle important dans cette histoire. Les dialogues entre les deux amis sont ponctués d'humour et très sympathiques.

 

Dans cet ouvrage, extrêmement bien documenté sur les plans historique, géopolitique, architectural, Aurélie DEPRAZ relate avec précision les us et coutumes de l'époque, les conflits entre les Scandinaves et les Ecossais tout en ajoutant à son récit une touche d'érotisme qui rend moins sombre ces périodes ô combien troublées de l'Histoire.

 

J'ai ADORE ce très bon roman d'aventures et d'amour que j'ai dégusté tout doucement tout en ayant hâte d'en connaître le dénouement et refermé à regret.

 

Excellent moment de lecture.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Voir les commentaires

Bonjour aujourd'hui mercredi je vous propose ma chronique concernant : "8 MINUTES DE SOLEIL EN PLUS"

« HUIT MINUTES DE SOLEIL EN PLUS »

Sébastien THEVENY

Auto-Edition

7 mai 2019

198 pages

 

 

 

Présentation

 

Quand la volonté est plus forte que la mort. Jules a treize ans et il est condamné. Atteint de mucoviscidose, il sait qu’un jour tout doit finir. Or Jules a un rêve : rencontrer son idole de toujours, Roger Federer. Pour cela, il est prêt à braver toutes les épreuves. Seul à seul avec son père, Jules va tenter de se rendre, à vélo, jusqu’à Wimbledon. Il sait que le Maestro du tennis mettra bientôt un terme à sa carrière.Dans son cœur, c’est cette année… ou jamais ! Ce road-trip sera aussi, pour le père et le fils, le moyen d’apprendre à se retrouver, à panser les blessures et les non-dits du passé…Un voyage initiatique et rédempteur, entre un père et son fils, face à l’inexorable.

 

 

L'auteur

 

Né en 1976 en Pays de Champagne,je pose mes valises en Franche-Comté en 2002 et ne quitte plus cette terre d'adoption. De formation littéraire , j'occupe mon temps libre à rédiger poèmes, nouvelles, contes pour enfants et romans tout en n'oubliant pas de m'adonner au tennis et au tennis de table : mens sana in corpore sano !

« Après la publication de mon premier roman "Trouble Je", j'ai publié mon premier recueil de poèmes, écrits sur une période 14 ans, intitulé "En Vers... et contre tout".
J'ai eu la folie également de créer un "roman en alexandrins" : Vers...tige, qui suit la vie d'un homme de sa naissance à sa mort, au travers du prisme du désir et de son rapport aux femmes.

Un Frère de Trop, mon premier thriller, a conquis plus de 35000 lecteurs en auto-édition, depuis sa parution en novembre 2017. Il est publié aux Editions Michel Lafon en février 2019.

Trente secondes avant de mourir, mon nouveau thriller paru en juin 2018, dont l'action se déroule à New York, a quant à lui déjà séduit plus de 15000 lecteurs. »

 

 

Mon avis

 

Je remercie Sébastien THEVENY de m'avoir permis de lire, en service de presse, son dernier roman « Huit minutes de soleil en plus ». J'ai découvert récemment la très belle plume de cet auteur en lisant « Un Frère de trop » que j'ai beaucoup aimé.

 

La très jolie couverture réalisée par M. BIASOTTO et le résumé fort alléchant m'ont de suite interpellée.

 

C'est dans un style très différent de ses précédents romans que Sébastien THEVENY nous emporte dans le Nord de la France puis en Angleterre où nous suivons Jules et son père, à l'aide d'un journal intime tenu alternativement par l'un ou l'autre. Jules est un petit garçon de 13 ans qui, comme tous les enfants, a une passion : le tennis et il rêve de rencontrer Roger Federer son idole en assistant à l'un de ses matches. Toutefois Jules a la mucoviscidose et ses jours sont comptés..

 

Sébastien THEVENY nous fait vivre l'incroyable voyage que père et fils vont effectuer pour essayer de se rendre à Wimbledon en vélo..

 

L'auteur décrit parfaitement les sentiments de cette famille éprouvée par la maladie de leur enfant. Beaucoup d'émotions sont palpables à la lecture de ce roman et l'on ne peut que s'attacher à ce jeune garçon très courageux ainsi qu'à ses proches et partager le combat qu'ils doivent mener face à cette terrible maladie.

 

J'ai ADORE ce court roman, très bien écrit, sur la relation père-fils, touchant, prenant, émouvant, triste mais empli d'amour et d'espoir. Je l'ai lu d'une traite tant j'éprouvais des difficultés à le refermer et à quitter ces personnages tellement attachants..



Excellent moment de lecture.

Bonjour aujourd'hui mercredi je vous propose ma chronique concernant : "8 MINUTES DE SOLEIL EN PLUS"

Voir les commentaires

Bonjour aujourd'hui lundi je vous propose ma chronique concernant :"L'ILE AUX MILLE SOURCES"

« L'ILE AUX MILLE SOURCES »

Sarah LARK

L'ARCHIPEL

5 juin 2019

464 pages

 

 

Présentation

 

La nouvelle saga de l'auteure de

la trilogie du Nuage Blanc

 

Londres, 1732. Nora, la fille d'un riche négociant, a perdu Simon, son premier amour avec qui elle rêvait d'horizons lointains. Pour satisfaire ses envies d'exotisme, la jeune femme accepte d'épouser un veuf bien plus âgé qui possède une plantation en Jamaïque.


Nora embarque alors pour les Caraïbes, à la découverte d'une île enchanteresse. Mais, bien vite, elle déchante : les conditions de vie des esclaves dans les champs de canne la révoltent.

 

Décidée à faire évoluer les mentalités, Nora pourra compter sur le soutien de Douglas, le fils d'Elias. Mais la révolte gronde, qui pourrait bouleverser à jamais la vie de Nora.

 

Avec cette nouvelle saga, Sarah LARK nous entraîne sur les pas d'une héroïne forte et attachante, à la découverte de contrées lointaines où tout reste à inventer, à commercer par sa propre destinée.

 

« Amour, haine et trahisons : un livre qui vous transporte au temps des grandes plantations

de la Caraïbe. »

 

 

L'auteure

 

Sarah LARK vit près d'Alméria, en Andalousie, où elle a créé un refuge pour chevaux. Traduite dans 22 pays, sa trilogie du Nuage blanc a séduit plusieurs millions de lectrices dans le monde. Tous ses romans ont paru aux éditions de l'Archipel. Du même auteur paraît chez Archipoche simultanément « Les Larmes de la déesse Maorie ».

 

 

Mon avis

 

Je remercie Mylène et Florence des Editions l'ARCHIPEL de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, « L 'Île aux mille sources », roman de Sarah LARK, auteure dont j'ai lu tous les ouvrages tant j'aime sa plume légère et majestueuse.

 

La très jolie couverture et le résumé fort alléchant m'ont de suite interpellée.

 

Dans ce premier opus d'une nouvelle saga, Sarah LARK nous fait voyager au XVIIIème siècle, d'Angleterre en Jamaïque, pays exotique qui évoque pour le lecteur une destination de rêve : en sera-t-il de même pour Nora notre héroïne ?

 

 

Après le décès de Simon, son premier amour avec lequel elle avait fait des projets d'aventures sur une île paradisiaque, Nora quitte l'Angleterre et, selon le désir de son père, épouse Elias, un homme d'âge mur, propriétaire d'une plantation en Jamaïque.

 

Dès les premiers mots de l'auteure, je me suis sentie happée par cette magnifique histoire très émouvante, aux multiples rebondissements qui tiennent le lecteur en haleine, addictive et fort bien ficelée.

 

L'auteure met en avant la richesse des nantis Anglais face à la pauvreté des habitants de certains quartiers de Londres, puis les conditions de vie terrifiantes des esclaves dans les plantations où leurs « backras » leur font subir des sévices et mauvais traitements tant physiques que psychologiques. Certains passages sont très durs mais reflètent tellement la réalité..

 

Sarah LARK décrit à merveille les paysages et nous transporte sur les plages de sable que nous imaginons aisément ainsi que la faune et la flore. Elle nous dévoile le côté obscur des croyances et rites africains.

 

Beaucoup d'émotions sont palpables à la lecture de ce sublime ouvrage et l'on ne peut s'empêcher d'être révolté, de trembler et d’espérer pour Nora, Doug et Maanu qui sont des personnages fort attachants.

 

Aussi, lors du passage d'un ouragan, le lecteur ressent l'intensité de son souffle, la peur et la tristesse des protagonistes de ce roman.

 

J'ai ADORE cette saga historique romancée mêlant l'Histoire à celle d'une jeune femme forte, courageuse, déterminée et révoltée, à une époque où les femmes se devaient d'obéir à leurs pères puis à leurs époux..

 

Si comme moi vous aimez les belles histoires d'amour, les paysages exotiques, les secrets de famille, cet ouvrage ne pourra que vous séduire.

 

Pour ma part, j'attends avec impatience la sortie du second tome de cet excellent roman dur et tendre à la fois avec lequel j'ai passé un très bon moment de lecture.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Voir les commentaires

ANNONCE BLOG EN PAUSE FORCEE

Bonsoir les amis

J''espère que vous allez bien et que votre week-end se passe bien.

Ce petit message pour vous dire au revoir et que je ne vous oublie pas. Je pars à l'hôpital afin de subir une intervention chirurgicale demain matin mais je vous donnerai, dès que possible de mes nouvelles. Vous allez me manquer....

A bientôt - bise

 

 

Voir les commentaires

Bonsoir je partage l'interview réalisée ce soir avec Sonia DAGOTOR sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEUR

Sonia DAGOTOR
Vendredi 17 mai 2019 à 17 h

(en direct)

 

JM : - Bonsoir à tous

 

 Notre amie Sonia DAGOTOR a gentiment accepté, de se soumettre, ce soir, à mes questions.

 

 

JM : - Bonsoir Sonia

 

 Comment vas-tu ? Es-tu prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Sonia : Super bien ! J'adore les interrogatoires, c'est parti ! 

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Sonia : J'ai 40 ans (bientôt 41, le 25 mai), j’ai 2 enfants, une fille de 11 ans et un garçon de 8 ans. Ils étaient petits quand j’ai commencé à écrire en 2013. J’ai aussi un amoureux, le même depuis deux décennies, nous sommes mariés depuis bientôt 14 ans. 

 

 

JM : - Tu as une vie de famille et professionnelle bien remplies.. comment fais-tu pour concilier tout cela ?

 

Sonia : Ecrire, c’est comme un loisir. La journée, je suis au travail. Je récupère les enfants à 18h30, je m’occupe d’eux jusqu’au coucher et ensuite, j’écris. Certains font du sport, eh bien moi, parfois je fais du sport (aussi) et parfois, j’écris. Je n’écris pas le week-end, parce que c’est le moment réservé à la famille. Et puis, parce que je n’y arrive pas avec tout ce petit monde autour de moi.

 

 

 

 

JM : - Et si tu nous parlais de tes romans et en particulier de ton “petit dernier” : “A minuit tout est permis” ?

 

Sonia : En réalité, mon dernier roman est Sortez-moi de là. A minuit tout est permis ? est une nouvelle qui fait suite à une autre nouvelle intitulée C’est le pompon ! faisant suite à la trilogie épouse, mère et working girl. Vous me suivez ? ;-)

Tout a commencé en janvier 2013 lors d’une nuit d’insomnie. J’ai eu envie d’écrire, de raconter la vie d’une maman qui court tout le temps, qui se noie dans un verre d’eau parce qu’elle veut tout bien faire et qui s’épuise, un peu ce que je vivais à l’époque. Mon fils ne faisait toujours pas ses nuits. J’étais épuisée. Il me fallait un challenge : celui qui changerait ma vie. Pour ceux qui se posent la question, la trilogie « Epouse, mère et working girl » n’est pas une autobiographie. Cela pourrait ma vie, la tienne, celle d’une amie, d’une sœur, parce qu’au fond, on est un peu toutes pareilles.

Ensuite, il y a eu Un anniversaire au poil, parce qu’à ce moment-là, je voulais comprendre ce qui se passe dans la tête des hommes. Quelle femme n’a jamais rêvé de cela ? Eh bien, Julie l’expérimente pour nous.

Puis, le voyage existentiel d’Elisa qui fait un paquet de rencontres lors de son périple dans lequel Tout peut arriver (ou presque).

Et enfin le petit dernier, Sortez-moi de là ! dans lequel nous suivons Madeleine, qui a toujours vécu auprès de sa maman (qui meurt au début du roman) et qui va vivre plus de choses en 3 jours qu’en 36 ans.

 

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

 

Sonia : A l’heure où je vous parle, j’écris mon 8ème roman. Je ne vous dévoile pas de suite le titre. Si tout va bien, il sera prêt début juillet. Je vous réserve aussi quelques surprises sur sa réalisation. Chut !

On n’a pas parlé de bébé 7 mais ce n’est un secret pour personne alors je le redis ici, ce sera mon roman 2020 publié par une belle maison d’édition : le Cherche-Midi. Je suis aux anges.

Ensuite, j’écrirai sans doute une petite nouvelle (ou peut-être deux) dont le principe est justement de donner à mes lecteurs des nouvelles d’une héroïne ou d’un personnage secondaire d’un de mes livres déjà publiés. J’ai bien envie d’écrire la bio de Monsieur Chen, le taxi chouchou que l’on retrouve dans quasi tous mes livres.

 

 

 

JM : - Où trouves-tu l'inspiration pour créer les protagonistes de tes livres ? Improvises-tu ou connais-tu la fin de tes histoires avant d'en commencer l'écriture ?

 

Sonia : Toutes les situations du quotidien m’inspirent. Je peux les créer à l’issue d’un rêve, en poireautant au feu rouge, en lisant un article… Généralement, je connais le début et la fin de mon histoire, ou plutôt le message que je veux faire passer. Mais tout le corps de l’histoire m’est dicté par mes personnages, de vrais pros dans l’improvisation.

 

 

JM : - T'arrive-t-il de t'attacher à tes personnages et certains te ressemblent-ils ?

 

Sonia : Oui, il y a sûrement un peu de moi dans chacune de mes héroïnes. Et oui, je m’attache à eux quand j’écris. Je suis contente d’être à leurs côtés pendant l’écriture mais je suis aussi contente de les laisser vivre quand j’ai fini. Rien ne m’empêche de les retrouver plus tard, de les faire apparaître dans une autre histoire…

 

 

JM : Comment procédes-tu pour écrire tes romans (carnets, cahiers, fiches, écriture directe sur l'ordinateur) ?

 

Sonia : J’écris directement sur l’ordi. De temps à autres, je note une phrase sur un carnet, une idée sur un autre… Je ne fais aucun plan. Comme je le disais, j’ai mon idée de départ, le message que je cherche à véhiculer et une fin approximative. L’inspiration me vient dès que je suis devant l’écran.

 

 

 

 

JM : - Quand écris-tu (la nuit, le jour) pendant combien d'heures ? Est-ce que parfois tu passes des nuits blanches ? En combien de temps écris-tu un roman ?

 

 

Sonia : Je n’ai aucune rigueur. J’écris le soir la plupart du temps, pendant deux heures. Je me couche entre 23h et minuit, pour lire. J’écris le mercredi matin quand je ne travaille pas. Contrairement à ce que crois mes lecteurs, je n’écris pas la nuit. Certes, mes héros me provoquent parfois quelques insomnies mais je ne me lève pas pour autant. Je préfère lire les copains dans ces moments-là.

Je mets environ 4 mois pour écrire un roman. 3 à 4 semaines pour écrire une nouvelle de 100 pages, sachant que je n’écris pas tous les soirs. Tout est une question d’entrainement, plus on écrit, plus on écrit vite. Cela dit, mes histoires requièrent peu de recherches historiques ou autres, donc cela peut aller très vite.

 

 

 

JM : - Tous tes romans sont des “feel-good”. Pourquoi ce choix ?

 

Sonia : Parce que c’est ce que j’aime lire le plus, tout simplement. J’ai envie que les lecteurs passent un bon moment, tout en se posant des questions : « Et moi, qu’est-ce que je ferais à sa place ? »

Je m’amuse beaucoup quand j’écris et j’espère sincèrement que les lecteurs aiment me lire, qu’ils referment le livre avec le sourire. Mon histoire ne leur laissera sans doute pas un souvenir impérissable mais pendant un laps de temps, ils se seront divertis et peut-être qu’ils se seront fixés un nouvel objectif pour rendre leur vie meilleure.

 

 

JM :- Envisages-tu d'écrire dans un autre genre ?

 

Sonia : Peut-être… mais en suis-je réellement capable ? Je veux me faire plaisir avant tout. Si j’écris en me faisant plaisir alors je pense que le lecteur le ressentira en me lisant. Si j’écris un polar, il y a fort à parier que mon inspectrice sera une inspectrice gadget qui fera rire… Bref, l’humour et l’autodérision prennent une place importante dans mes écrits. On verra…

 

 

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement  et où ?

 

Sonia : Oui, demain au CULTURA de BELLE EPINE à Thiais, à partir de 10h jusqu’à 18h. D’ailleurs, venez tous, on va s’éclater avec mes lunettes cœur ! Tous mes bébés seront là ! (Enfin presque, tous sauf Un anniversaire au poil dont la version papier est en rupture de stock – la version poche sortira en août prochain).

Ensuite, je vous retrouverai le 21 septembre au salon du livre organisé par Auchan Boissénart (77), puis le 23 novembre à la médiathèque d’Issy-les-Moulineaux (92), puis au Festival du Livre romantique qui aura lieu à Dunkerque le 30 novembre et 1er décembre 2019.

 

 

JM : - A qui confies-tu tes manuscrits en première lecture (membre de ta famille, bêta lecteur) ? Qui réalise les couvertures de tes livres ?

 

Sonia : Elles sont quatre. Chaque soir, je leur envoie ce que j’ai écrit et le lendemain, en rallumant mon téléphone, je suis certaine de trouver le petit message d’encouragement. Il y a Corinne, une amie avec qui je partage mes footing dominicaux, Aurélie, une lectrice récente, Isabelle, une amie working girl et Elisa, ma meilleure amie depuis le lycée.

Je réalise moi-même mes couvertures sauf pour la trilogie. Les dessins avaient été faits par Yolande, une prof de dessins qui a croisé ma route et la version moderne par l’auteur Amélie Antoine. Eh oui… elle est bourrée de talents ! Sinon, toutes les autres ont été réalisées par mes soins (et l’outil CANVA pour ceux que cela intéresse).

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier tes ouvrages ?

 

Sonia : Grâce à l’autoédition via la plateforme KDP d’AMAZON. Un vœu pas comme les autres (devenu ensuite Un anniversaire au poil) a été repéré par CITY Editions alors qu’il était N°1 du TOP 100. Mon roman 7 sera publié par Le Cherche-Midi comme tous les suivants, j’espère. Une nouvelle aventure via l’édition traditionnelle.

 

 

JM : - Quels sont les auteurs qui t'ont donné l'envie d'écrire ?

 

Sonia : Gilles Legardinier ! L’unique !

 

 

 

 

JM : Lis-tu ? Quel genre ?

 

 

Sonia : Je lis beaucoup, tous les soirs, après ma phase d’écriture. C’est indispensable pour me permettre de m’endormir. En ce moment je lis « Il est grand temps de rallumer les étoiles » de Virginie Grimaldi. Son nouveau roman vient de sortir et j’avais un peu de retard. En général, je lis des feel-good mais comme je lis beaucoup d’auteurs autoédités, je fais de jolies découvertes dans d’autres styles. Dernièrement, j’ai lu Théo Lemattre, Loly PK, Lily B. Francis, Ninon Amay… Ma PAL est immense !

 

 

 

JM : En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Sonia : J’aime bouger, danser, rire, faire des puzzles, ça me détend. J’adore le volley ball mais j’ai les épaules en vrac. J’aime courir, uniquement parce que je le fait avec une amie et qu’on papote pendant nos séances. Je n’ai pas de passions à proprement parler, j’aime juste profiter de la vie…

 

 

JM : - Quel est ton proverbe préféré ?

 

Sonia : « Exister est un fait, vivre est un art. »

 

 

JM : - Quel est ton endroit favori (chez toi, une région, un pays) ?

 

Sonia : J’adore l’Italie, le pays de mes origines. Rome, particulièrement. J’aime la montagne, elles m’apaisent, j’aime le silence avec le chant des oiseaux… Je suis facilement bien partout, pourvu qu’il y ait de la lumière naturelle…

 

 

JM : - Quel est ton péché mignon ?

 

Sonia : La gourmandise. J’adore manger !

 

 

JM : - Quel est ton film culte et quel genre de musique écoutes-tu ?

 

Sonia : J’aime les comédies romantiques en général, les films de filles du style GHOST, Pretty woman, Dirty Dancing, Coup de foudre à Notting Hill, Bridget Jones, Titanic… Un film plus dramatique a pourtant marqué mon adolescence : Le cercle des poètes disparus.

Concernant la musique, j’étais fan de Jean-Jacques Goldman étant jeune. Aujourd’hui, j’écoute de tout sauf du Hard rock et du RAP…

 

 

JM : - Si tu devais partir sur une île déserte quel objet, indispensable à tes yeux, emporterais-tu ?

 

Sonia : Bonne question ! Je ne sais pas… Un stylo ? mais sans feuille, je n’irai pas bien loin ! Une brosse à dent ? mais sans dentifrice… Bref c’est sans fin, pourvu que je n’ai jamais à faire ce choix !

 

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Sonia : Juste MERCI.

 

 

JM : - Merci Sonia DAGOTOR pour ce très agréable moment passé en ta compagnie, ta disponibilité et ta gentillesse.

 

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Sonia qui vous répondra avec plaisir, en direct ou plus tard, selon ses disponibilités.

 

 

Voir les commentaires

ANNONCE INTERVIEW AUTEUR SONIA DAGOTOR VENDREDI 17 MAI A 17 H SUR MON GROUPE FB : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

 

 

Ce Lundi 13 mai 2019 j'ai réalisé ma 54ème interview avec un auteur du groupe qui a accepté de se soumettre à mes questions.

 

Je vous donne donc rendez-vous le vendredi 17 mai à 17 H 00 pour suivre l'entretien que mon amie modératrice Nathalie BRUNAL réalisera en direct  avec Sonia DAGOTOR. A l'issue, Sonia répondra à vos questions. En effet, étant trop fatiguée, j'ai confié le déroulement de cette interview à mon amie modératrice Nathalie Brunal que je remercie d'avoir accepté de me remplacer.. Un grand MERCI ma Nathalie.

 

Cette interview sera la dernière du mois de mai et il n'y en aura pas en juin.

 

 

A bientôt.

 

 

Voir les commentaires

Bonsoir je partage l'interview réalisée ce soir sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEUR

Aurélie DEPRAZ

Lundi 13 mai 2019 à 18 h

différé

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

  • J'ai lu « Pour l'amour d'une Sasunnach » « Indomptable Aquitaine », et tout récemment « L'Amour, la mer, le fer et le sang » romans d'Aurélie DEPRAZ qui a gentiment accepté de répondre récemment à mes questions.

 

  • Je partage avec vous cet entretien à l'issue duquel Aurélie DEPRAZ vous répondra en direct.

 

 

 

JM : - Bonsoir Aurélie

 

  • Comment allez-vous ? Etes-vous prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Aurélie : Bonsoir Joëlle  Oui, avec plaisir !

 

 

JM : - Pouvez-vous, tout d'abord, vous présenter afin que nos amis puissent mieux vous connaître ?

 

Aurélie : Alors, j’ai 31 ans, j’habite Bordeaux depuis 12 ans, et je jongle entre de nombreuses activités touristiques, pédagogiques, littéraires et linguistiques en freelance depuis 10 ans maintenant. Et, depuis l’automne 2017, j’ai ajouté l’écriture romanesque à la longue liste de mes passions et activités (qui regroupaient ces dernières années surtout l’événementiel œnologique, l’aide à la rédaction-orthographe pour adultes et la préparation de lycéens aux épreuves du bac de français, philo, anglais et espagnol). Ma nouvelle activité d’« auteure » (recherches, écriture, autoédition et promotion comprises) prend maintenant bien 95% de mon temps… Une grande transition est en marche !^^^

 

 

 

 

JM : - Que représente pour vous l'écriture ?

 

Aurélie : Depuis toujours, un mode de fonctionnement. Depuis un an et demi, une passion, je dirais même une vocation (enfin découverte !). En effet, j’écris depuis toujours, au sens où j’ai toujours eu tendance à noircir cahiers, pages, classeurs et carnets en tous genres depuis le primaire (poèmes, journaux intimes, contes, ébauche de deux romans à l’adolescence, synthèses, prises de note, conceptions de cours, réflexions, pensées…) mais mon envie et l’idée d’écrire des romances historiques date, pour sa part, d’un brusque coup de foudre doublé d’un déclic à l’été 2017, en lisant, justement, mes premières romances historiques (écossaises !)

 

En fait, écrire est pour moi une seconde (ou première ?) nature : j’écris tout le temps. Je voyage ? J’ai un stylo à la main, je prends des notes. Je fais une visite guidée ? idem. J’assiste à une conférence ? Idem encore. Une idée me traverse l’esprit en pleine nuit ? J’ai un carnet sur ma table de chevet, dispo en direct. Mon appart, bourré de livres, de classeurs, de manuels, de synthèses, de dossiers, ressemble à un centre d’archives municipal. Je ne sais pas même apprendre sans écrire, retranscrire, synthétiser, analyser, compiler, remanier…

Mais l’écriture de romans, même si j’en avais commencé (puis abandonné) deux à l’adolescence… ÇA, c’est récent. 18 mois d’ancienneté seulement !

JM : - Pouvez-vous nous parler de vos romans ?

 

Aurélie : avec plaisir !

 

Alors, pour l’instant, les 3 romans que j’ai publiés sont des romances historiques :

 

  • « Pour l’amour d’une Sasunnach » (mon 1er titre, paru en juin 2018) est une belle histoire d’amour au cœur des Highlands du XIVe s., au lendemain des guerres d’indépendance ! (adeptes d' "Outlander" ou de "Braveheart", ceci est pour vous !^^)

  • « L'amour, la mer, le fer et le sang » (paru en octobre 2018) est l’histoire d’un amour improbable entre une Anglo-Saxonne et un envahisseur danois au temps des grandes épopées vikings (et notamment du Danelaw, royaume viking en Angleterre !)

  • « Indomptable Aquitaine », enfin, paru en mars 2019, met en scène, un peu à la manière du Jeu de l’Amour et du Hasard, de Marivaux, un jeu entre désir, honneur, passion, amour et rancœur, mais, cette fois, chez nous, en France, au temps des ducs d'Aquitaine et des comtes de Champagne...

3 romans médiévaux ancrés dans des contextes historiques réels et authentiques et mêlant avec plaisir fiction et réalité... Et pour les fans de précisions historiques, de cartes géographiques, de bonus, de coulisses et de distinctions fiction/réalité, sachez que, pour chacun de mes romans, vous pouvez retrouver 4 articles sur mon blog (dans les rubriques « Ms Univers et Personnages » et « L’Histoire - la grande ! » vous détaillant les dessous des cartes, les réalités historiques du contexte exploité, les choix des noms et prénoms des protagonistes etc ! :)

 

JM : - Avez-vous d'autres projets d'écriture et souhaitez-vous nous en parler ?

 

Aurélie : Oh, oui, j’en ai de très nombreux ! A vrai dire, j’ai au moins une vingtaine de scénarios qui me trottent dans la tête !

 

Car entre mes propres projets/idées et toutes les demandes récoltées depuis la sortie de Pour l’amour d’une Sasunnach à mon « Bureau des Réclamations », il y a de quoi faire !

To

ut d’abord, sachez que mon numéro 4 et mon numéro 5 sont écrits : nous repartons en Ecosse pour le 4e, mais dans les Orcades, les Shetland et le Caithness (extrême-nord de l’Ecosse) ; et nous migrerons en Norvège pour le numéro 5 ! Deux nouvelles romances historiques, donc, écossaise pour la première et viking (évidemment) pour la seconde. Publications prévues pour le printemps et l’automne 2019.

Mais, cela étant dit, voici tout ce que je rêve (et projette !) aussi d’écrire dans les années à venir… pas forcément dans l’ordre !

Tout d’abord, ce qui m’est « réclamé » par mes lectrices depuis la parution de mes deux premiers romans, Pour l’amour d’une Sasunnach et de L’amour, la mer, le fer et le sang. Me sont instamment réclamés, depuis le 6 juin 2018 (date de sortie du 1er) :

  • La suite de l’histoire d’Ian & Alannah (ce qu’à l’origine, je n’avais pas dans l’idée d’écrire… réclamation de mes lecteurs ^^)

  • Les deux autres volets d’une trilogie (que je n’avais pas non plus en tête, à l’origine, d’écrire) narrant les histoires et projets de mariages arrangés des deux autres seigneurs écossais mentionnés au début de Pour l’amour d’une Sasunnach et de leurs promises anglaises.

  • L’histoire de Leif, le frère de Sven, (héros de L’amour, la mer, le fer et le sang)

Je l’avoue, on m’a également demandé un préquel sur Ian et son frère jumeau Finn, ainsi que l’histoire d’Askulf, le neveu de Sven, de Siggy, sa mère, et d’Eirik, grand ami de Sven... Mais ces projets m’inspirent (pour l’instant) moins et j’ai déjà tellement à faire !

Car outre ces requêtes, qui, je dois le dire, me tentent beaucoup et commencent déjà à faire émerger des idées d’intrigues, voici les envies que je cultive depuis déjà des mois : sans donner trop de détails, sachez que j’ai des idées de scénarios pour :

  • 2 autres romances vikings (outre les idées de lecteurs susmentionnées et gravitant autour de l’univers de L’amour, la mer, le fer et le sang) : l’une mettant en scène un Suédois en pays slave (je compte l’écrire en avril), et l’autre… des Vikings du Groenland… et leurs premiers contacts avec… devinez qui ?  Ouep ! ça sent le Pocahontas avant l’heure !^^

  • La suite de mon roman numéro 4 (celui dans les Orcades/Shetland/nord de l’Ecosse), car l’un des personnages secondaires de ce fameux numéro 4 me plaît beaucoup… et que je compte bien lui consacrer un tome 2, pour lui tout seul !^^

  • Une autre romance française médiévale (qui se déroulerait en Aquitaine à la fin de la Guerre de Cent Ans)

  • 2 à 4 romances durant la 2e Guerre Mondiale (ah oui, on change d’air !) en France

  • 4 romances au moins qui se dérouleraient au XIXe (Angleterre, France & Australie)

  • 2 comédies romantiques (contemporaines) en France

  • 2 romances contemporaines (plutôt USA)

  • 1 autre projet (secret !) qui ne serait ni une romance, ni historique !^^

Ajoutons à cela le fait que l’écriture de chaque roman me donne l’idée et l’envie d’environ 2 ou 3 scénarios nouveaux… et vous comprendrez que, d’une part, je suis loin de m’ennuyer, et de 2, vous êtes loin d’être débarrassés de moi !

Je commence à avoir aussi des envies d’écrire des petits fascicules historiques sur certaines thématiques qui m’intéressent, par exemple l’esclavage & Bordeaux, l’Histoire du vin à Bordeaux… – vous l’aurez compris, j’habite Bordeaux !^^ Et des petits fascicules autres, sur l’éco-citoyenneté, un sujet qui me tient beaucoup à cœur…

Voilà, vous savez tout !

SEUL BÉMOL dans cette affaire : le TEMPS ! Qu’il me faut, non pas pour écrire, mais pour publier chaque roman ! (le travail éditorial et promotionnel me prenant bien plus de temps que le travail rédactionnel – à mon grand désespoir, croyez-moi !!!^^^)

JM : - Comment procédez-vous pour créer les protagonistes de vos ouvrages et connaissez-vous, lorsque vous commencez à écrire, la fin de l'histoire ou est-ce que vous improvisez au fil des mots ?

 

Aurélie : Un peu des deux ; je prépare un peu l’intrigue et les personnages, mais sans leur faire de fiche attitrée comme le font certains auteurs par exemple. Ce que je prépare énormément, en revanche, et pendant plusieurs semaines, c’est le contexte/cadre historique, géographique… Je me documente énormément sur les us & coutumes, l’économie, les vêtements, les aspects sociétaux, culturels etc. Beaucoup d’éléments de mes intrigues émergent d’ailleurs à l’occasion de ces recherches, je prends des notes, accumule les idées. Par contre, si je connais les grandes lignes de mes péripéties et la fin de mon roman, une grande part est laissée à l’improvisation et beaucoup d’idées, de dialogues, de rebondissements… peuvent émerger « au fil de la plume » 

 

JM : - Si ma mémoire est bonne, tous vos romans sont des « romances historiques ». Pourquoi ce choix ?

 

Aurélie : Parce que le déclic, je l’ai eu en lisant de la romance historique… et que c’est un genre qui me correspond à 100% : Histoire, cultures, civilisations, patrimoine, amour, romantisme, érotisme, aventure, Moyen-Age… tout ce que j’aime !

 

J’ai tant d’amour pour l’Histoire (depuis toujours) que j’ai encore une bonne vingtaine de scénarios de romances historiques sur le gril… Mais il se trouve que j’ai aussi en tête plusieurs autres envies, comme mentionné en partie ci-dessus :

  • Un roman de « littérature générale » sur une autre forme d’amour que la passion homme/femme (je n’en dis pas plus, petit projet secret à laisser mûrir !)

  • Une romance contemporaine au cœur de l’Amérique profonde d’aujourd’hui (voire 2)

  • Des comédies romantiques, de la chick lit

  • Et des fascicules plus pédagogiques sur des thématiques qui m’intéressent tout particulièrement (l’Histoire de la région, du vin, de l’esclavage, des ouvrages sur l’éco-citoyenneté, sur la consomm’action…)

  • Et d’ici la fin de la publication de ces quelque 25 volumes, je ne doute pas que de très nombreuses autres envies et idées auront émergé !

 

JM : -Avez-vous des séances de dédicaces prévues prochainement  ?

 

Aurélie : Non, je ne me suis pas encore lancée dans tout ce qui est dédicaces, démarchage de librairies et salons. Un must, pourtant ! Mais il est vrai que depuis un an, j’ai favorisé mon lancement sur Amazon et les réseaux sociaux. L’édition indépendante, c’est tellement de travail ! (eh oui, j’ai choisi de m'autoéditer : c’est extrêmement gratifiant, mais aussi très, très prenant !) Donc, la diversification de mes canaux de distribution... c'est au programme pour 2019-2020 ! Ceci dit, j’organise de temps en temps des apéros-rencontres-dédicaces chez moi, en mode convivialité/auberge espagnole, à chaque événement important : Noël, parution d’un nouveau titre, fête des mères… Et je me suis inscrite au festival des « Fabuleux grimoires », pendant livresque des Médiévales de Bourg (en Gironde)… une première ! Nous verrons ce que cela donne 

JM : - Quand écrivez-vous (la nuit, le jour) pendant combien d'heures ?

En combien de temps écrivez-vous un roman ?

 

Aurélie : Si l’on exclut les recherches (qui me prennent plusieurs semaines, de façon un peu étalée, en amont), pour l’instant, j’ai écrit chacun de mes premiers romans d’une traite, en 7 à 12 jours : quand je décide que c’est le moment, je me lance, tout le reste passe au second plan, et j’ai même envie de dire que, de la première majuscule au dernier point, plus rien d’autre n’existe ! J’écris non-stop (je dors un peu, je vous rassure !^^) pendant une grosse semaine ; une sorte de transe qui me porte, du réveil au coucher, pendant 12, 15h d’affilée, qui me réveille la nuit, qui me force à me lever et à reprendre frénétiquement la rédaction, des jours et des jours d’affilée… Et c’est un rythme qui me convient parfaitement ! Je laisse monter l’envie, le scénario, la pression, les idées pendant des semaines et, quand c’est vraiment un besoin impérieux, je m’y consacre à 100% et je délaisse tout le reste pour rester dans le « flow » le temps que l’histoire soit intégralement écrite. Je m’engouffre dans la brèche de l’inspiration et je fais tout pour ne pas avoir à en sortir avant le point final ! En fait, je fonctionne un peu comme une cocotte-minute !:)

 

 

JM : - A qui confiez-vous vos manuscrits (membre de votre famille, bêta-lecteur) ?

 

Aurélie : 3 bêta-lecteurs et 4 relecteurs-correcteurs. J’ai la très grande chance d’avoir dans mon entourage (famille et proches) des gens lettrés, voire qualifiés pour la correction professionnelle !:)

 

 

JM : - Comment avez-vous procédé pour faire publier vos ouvrages ?

 

Aurélie : Auto-édition  Beaucoup de boulot, mais quelle autonomie, quelle liberté, quel plaisir du point de vue créatif !

 

 

JM : - Que ressentez-vous lorsque vous écrivez le mot FIN ?

 

Aurélie: Immense soulagement. Immense satisfaction. Excitation. Bonheur absolu. Je suis comblée.

 

 

JM : - Quels sont les bons et les mauvais côtés du métier d'auteure ?

 

Aurélie : Je dirais, les bons et les mauvais côtés du métier d’auteur autoédité. Car, en ce qui concerne le seul métier d’auteur… je dirais… rien ! (tant qu’on n’a pas affaire à un éditeur !) Mais du côté de l’auteur indépendant, eh bien, tout le boulot qu’il faut abattre à côté ! Le prix à payer pour sa liberté de création et pouvoir se passer d’un éditeur : tout l’aspect administratif, fiscal, technique (édition, maquettes, mise en page…) et une partie du travail WEB (j’ai horreur de tout ce qui est informatique, technologique… un sacré handicap !)…

 

 

 

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont vos passions ?

 

Aurélie : La photographie, la psychologie, le développement personnel, le développement durable (l’écologie, l’éco-citoyenneté, la consomm’action, la tendance zéro déchet, la tendance minimaliste…), l’Histoire en général, l’anthropologie (peuples & civilisations…), la Préhistoire… Autrefois, aussi, les danses de couple, même si c’est une passion que j’ai mise de côté depuis quelques années. Ah, oui ! Et les langues. Ça ne prend plus autant de place dans ma vie aujourd’hui qu’autrefois, mais l’anglais, l’espagnol, l’italien, le russe… Ça m’a bien occupée, jadis ! J’adore m’exprimer (et communiquer) dans les langues étrangères. Bon, le russe, j’ai tout oublié, mais bon…

 

JM : - Quelle est votre musique préférée et écrivez-vous en musique ?

 

Aurélie : je suis très infidèle en matière de musique, mes goûts changent tout le temps ! Et j’en écoute très souvent… mais jamais quand j’écris ou lis ! Silence absolu 

 

 

JM : - Quel film avez-vous vu plusieurs fois ?

 

Aurélie : Il y en a énormément ! A l’adolescence, quand j’avais un coup de cœur, je regardais ledit film en boucle ! Parmi les titres en question, beaucoup de films historiques (guerre, amour…) : Stalingrad, Le Patriote, Pearl Harbour… On était aussi très « comédies », dans ma famille. Aujourd’hui, j’ai plus de mal à regarder plusieurs fois un film (ou alors, il faut vraiment espacer les visionnages de plusieurs années), mais éventuellement, une série que j’ai adorée comme Prison Break, ou une excellente comédie française (ou autre), c’est toujours avec plaisir !

 

JM : - Quel livre auriez-vous aimé écrire ?

 

Aurélie : les livres pour lesquels, depuis un an, j’ai vraiment eu un coup de cœur, et pour lesquels j’ai dit à mon conjoint, presque dépitée « Ah, purée, il me plaît et me correspond tellement, celui-là, j’aurais pu l’écrire » ! Des romances historiques, dans chaque cas (mais c’est aussi ce que je lis le plus, en ce moment !)

 

 

JM : - Si vous deviez partir sur une île déserte quel objet, indispensable à vos yeux, emporteriez-vous ?

 

Aurélie : Pas un objet, mais un homme ! Genre Robinson Crusoé ! 

 

 

JM : - Pouvez-vous nous donner une citation qui vous inspire ?

 

Aurélie : « Montez la première marche avec foi. Nul besoin de voir tout l’escalier, montez simplement la première marche. » Martin Luther King

 

 

 

 

JM : - Lisez-vous ? Quel genre ?

 

Aurélie : Beaucoup de romances historiques depuis bientôt deux ans, bien sûr, mais aussi des romances-polars, des romans policiers… Et je vais avoir besoin de me remettre aux grands classiques du XIXe bientôt…  Sinon, je lis énormément de livres de développement personnel, de psycho, sur l’éco-citoyenneté et le Moyen-Age.

 

 

JM : - Si vous étiez : une fleur, une couleur, un animal : vous seriez ?

 

Aurélie :

 

* un couleur J’aime beaucoup de couleurs… Surtout les couleurs vives et les tons pastel.

* une fleur : j’aime l’odeur de la rose, mais j’adore l’aspect des lys et des fleurs de palétuvier.

* un animal : une louve, probablement, à la fois sociable et solitaire, fidèle, farouche et protectrice ! 

 

JM : - Avez-vous quelque chose à ajouter ?

 

Aurélie : Non, je crois que votre questionnaire était déjà très complet !:)

 

 

JM : - Merci Aurélie pour cet agréable moment passé en votre compagnie.

 

 

Aurélie : Merci à vous : 

 

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Aurélie qui se fera un plaisir de vous répondre en direct ou plus tard si vous n'êtes pas présents ce soir.

 

 

 

www.aureliedepraz.com

https://www.facebook.com/aurelie.depraz.auteur/

 

 

 

Voir les commentaires