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ANNONCE INTERVIEW GARANCE SOLVEG VENDREDI 2 JUILLET -dans la journée - SUR MON GROUPE FB

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

 

Bonjour les amis,

 

Hier VENDREDI 25 JUIN 2021 j'ai réalisé ma 213ème interview.

 

Je vous donne rendez-vous le VENDREDI 2 JUILLET 2021 (dans la journée) pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Garance SOLVEG. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Garance qui y répondra selon ses disponibilités.

 

 

A bientôt.

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui vendredi voici la chronique de mon petit fils RAPHAEL concernant :"LE LEZARD D'OR"

« LE LEZARD D'OR »

Suzanne MAX

Editions EX AEQUO

Collection saute-mouton

20 février 2020

102 pages

 

 

Présentation

 

Plusieurs siècles avant notre ère.


Quel est le traitre ambitieux et cupide qui menace la paix et la prospérité de l’île de Syllana ?



Le jeune Narouk aurait-il le pouvoir de déjouer le complot et de démasquer l’assassin du Prince Soèn ? Persuadé que tel est son destin, Narouk quitte l’humble hameau de pêcheurs où il vit et s’engage dans une mission audacieuse, aidé de sa sœur Thalia. Ensemble, ils feront tout pour enfin redonner sa place au lézard d’or, symbole de la lignée princière de Syllana.
 

 

L'auteure

 

Provençale d'origine, Suzanne Max vit aujourd'hui dans le sud ouest. Après avoir mené toute sa carrière en école primaire, elle choisit de partager avec de jeunes lecteurs le plaisir d'une histoire rythmée, riche en péripéties et en émotions avec les aventures de Liann, l'enfant faune. Ce petit héros pas comme les autres, mi-humain, mi-animal, est aussi l'occasion de transmettre un message de tolérance et de respect de l'environnement.
Suzanne Max pour les textes et Alain Benoist pour les illustrations publient ainsi une série de 4 aventures de Liann, de 2016 à 2019, toutes éditées chez Ex Aequo.
En 2018, Suzanne Max prend la direction de la toute nouvelle collection jeunesse des éditions Ex Aequo: Saute-Mouton.
En juin 2018, elle publie un roman, "Un puissant murmure", puis un conte de Noël: "Le Noël enchanté d'Ellya", illustré par JustineF.
En 2020 elle signe un roman jeunesse qui se déroule dans l'Antiquité, sur une île imaginaire: "Le lézard d'or".

 

 

Mon avis

 

Je remercie Suzanne MAX de m'avoir envoyé, en service de presse, son roman jeunesse « Le Lézard d'or ».

 

Mon petit fils Raphaël âgé de 12 ans vient d'en terminer la lecture et voici ses commentaires : « J'ai beaucoup aimé ce livre qui est intéressant et je me suis bien imaginé les nombreux personnages. Les deux enfants, Narouk et Thalia sont téméraires et aventuriers. Le récit m'a fait penser à un conte que j'ai lu en une soirée tant l'histoire et l'énigme étaient passionnantes.

 

Je suis certain que ce roman plaira aux enfants qui, comme moi, sont amateurs de mystères, d'intrigue policière et d'Antiquité ». RAPHAEL

 

 

 

Page FB : https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

 

 

 

 

 


 

 

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INTERVIEW REALISEE CE JOUR AVEC MICHELLE MAZOUE SUR MON GROUPE FB

GROUPE LECTEURS – AUTEURS :

LA PASSION DES MOTS

__________

 

 

INTERVIEW AUTEURE

Michelle MAZOUE

 

 

 

JM : - Bonjour à tous

 

Notre amie Michelle MAZOUE a récemment accepté   de répondre à mes questions.

 

Je partage donc avec vous cette interview à l'issue de laquelle vous pourrez, si vous le souhaitez, poser vos questions auxquelles Michelle répondra selon ses disponibilités.

 

 

 

JM : - Bonsoir Michelle

 

Comment vas-tu ?? Es-tu prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Michelle : Bonsoir Joëlle, avant toute chose je tiens à vous remercier, toi et le groupe pour l’accueil chaleureux et la bienveillance qui règne dans cette communauté de passionnés des mots. Même si je ne suis pas habituée à l’exercice, je me prête bien volontiers à ce petit interrogatoire.

 

 

 

 

 

JM : - Question habituelle mais incontournable : peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Michelle : Pour l’état civil je suis une vendéenne depuis plusieurs décennies ! Mariée, maman de deux grands fils et de deux petits enfants (qui ne sont plus si petits…) D’une génération, où trouver un emploi n’était pas le parcours du combattant, j’ai pu évoluer dans le milieu de la finance qui m’a offert une belle possibilité de formation en interne. Depuis que je sais lire (avant le CP !) j’ai dévoré tout ce que je pouvais. Ce qui a fait de moi une lectrice aux goûts très éclectiques. J’ai toujours pris la plume, pour le plaisir, sans chercher réellement à sortir mes « créations » de l’ombre. Le temps (enfin !) devenu libre, j’ai pensé que le moment était peut-être venu !

 

 

 

 

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes romans ?

 

Michelle : Mes romans, c’est un bien grand mot. Au début des années 2000 j’en ai écrit 2 : Une élite sur commande et Au-delà des siècles parus chez Édilivre, des romans policiers. Mon ambition à l’époque était de me prouver que j’étais capable d’écrire un livre qui soit publiable, pour en faire des cadeaux de Noël à ma famille et à mes proches, j’étais loin d’une publication nationale !

Depuis que j’ai du temps libre, je m’y suis mise plus sérieusement avec un vrai travail d’écriture qui a donné « Le Secret des Jeanne », roman sur lequel je me suis investie dans le but affirmé de le proposer à l’édition. C’est un roman sentimental, avec des personnages féminins forts en butte aux jalousies et malveillances… je n’en dis pas plus. City-Editions dans sa collection Terre d’Histoires m’a fait le grand plaisir de le retenir dans son catalogue. Il est sorti le 24 mars 2021. Ce qui fait de moi une jeune auteure (pied de nez à l’état civil !).

 

 

 

 

 

JM : - Où peut-on trouver tes livres ?

 

Michelle : Pour Le Secret des Jeanne dans toutes les librairies et les plateformes, pour les deux autres sur les plateformes. Ils sont en version brochée et ebook

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en dire quelques mots ?

 

 

Michelle : Les temps de l’édition entre l’envoi d’un manuscrit et sa sortie en librairie sont si longs (2 ans pour le Secret des Jeanne) que la réponse est oui. Deux ouvrages sont terminés. Le premier, met en scène une jeune femme qui subit des violences conjugales, je l’ai commencé fin 2019, année où les cas de féminicides ont explosés en France, mon but était de rendre hommage à ces femmes anonymes souvent ignorées. Covid s’est invité malgré moi dans l’histoire,  il est en attente de validation… Pour le second après avoir traité des violences faites aux femmes, je me suis interrogée sur la condition masculine, celle de la génération de ces hommes jeunes dont le destin a été brisé par la première guerre mondiale, et j’ai voulu aussi leur rendre hommage, ils n’avaient rien demandé… donc un roman historique. Le troisième est en fin de rédaction, historique également, mes héros vivent à la fin du règne de Louis XV. (C’est un peu mon chouchou…)

J’en profite, puis-je me permettre de faire une sollicitation dans le cadre de cet interview ? : Je n’ai pas de bêta-lecteur… mes « Jeanne » n’ont pas eu de relectures, ni de conseils extérieurs, elles s’en sont bien sorties, mais c’est un manque… Aussi… bêta-lecteurs, bêta-lectrices vous êtes les bienvenus…

 

 

JM : - Où trouves-tu l'inspiration pour créer les protagonistes de tes écrits ?

 

Michelle : C’est la bonne question… Si j’avais la réponse… Tout commence par l’envie de traiter un sujet, par exemple (pour les Jeanne) j’ai eu le désir (ou le besoin) de parler de la médisance bête et gratuite, de la jalousie et du rejet de ceux qui n’entrent pas dans le cadre des bien-pensants. Après il faut donner vie aux personnages, construire le décor, mettre en scène , je pratique le « laisser venir »… J’ai quand même un  « truc » à moi… Sans être une grande sportive, j’adore courir, mon lieu de vie entre plage, forêt et marais est le lieu idéal. Je cours seule, une heure ou deux selon le temps ou la forme, les écouteurs ne font pas partis de ma culture… et là ? et bien les idées viennent toutes seules. Ce n’est pas glorieux, mais c’est ainsi, inutile de chercher à comprendre, d’autres s’y retrouveront certainement.

 

 

JM : Ton dernier ouvrage est un roman “historique”. Pourquoi ce choix ?

 

 

Michelle : Pour celui-ci, ce n’était pas vraiment un choix. Je le situe entre roman historique et de terroir, j’en ai profité pour mettre en avant des lieux que je connais bien et j’ai pris du plaisir à faire des recherches pour faire revivre ces lieux, avec leurs coutumes et histoires oubliées. Je dois dire que la rédaction de ce style de roman me plaît bien, et en analysant mes lectures il est vrai que je suis souvent attirée par les romans plus ou moins historiques.

 

 

JM : - Peux-tu nous parler en quelques phrases de ton dernier livre ?

 

Michelle : En quelques mots : à sa naissance dans un milieu frustre de « producteurs de patates » ma première Jeanne n’est pas la bienvenue. Sa mère est décédée en la mettant au monde, un garçon était attendu… rejetée, maltraitée par ses grands-parents et son père, connus pour leurs tendances alcooliques, elle grandit et finit par faire sa place en dépit (ou grâce ?) aux violences qu’elle subit. Dans une famille en butte aux malveillances et commérages, Jeanne a le tort d’être belle et fière, elle se protège derrière une armure d’indifférence. Plus tard une rencontre fragilisera ses défenses et fera basculer sa vie et celle de sa descendance. Des interdits sont franchis, un scandale éclate avec ses secrets qui une génération plus tard feront exploser une famille….

 

 

 

 

JM : - L'écriture de romans historiques nécessite de nombreuses recherches. Comment as-tu procédé pour ce faire ?

 

Michelle : Tu as raison, les problématiques d’un roman historique sont, entre autres, les recherches et la crédibilité. Pour les Jeanne, l’histoire n’était pas très loin dans ma mémoire, j’ai complété avec des recherches sur le Net. Pour les suivants dont je parle ci-dessus, je me suis aussi aidée avec Internet et quelques ouvrages de référence. Notre époque nous donne la chance de pouvoir accéder à l’information, confortablement installés à la maison !!! Hommage à nos ainés avec leurs manuscrits bien nommés.

 

 

JM : Comment écris-tu ? (sur des carnets, cahiers, fiches, écriture directe sur l'ordinateur) ?

 

Michelle : Pour écrire j’ai plusieurs cahiers sur lesquels je prends des notes principalement pour mes recherches, et la biographie de mes personnages (parfois je m’y perds !) Sinon j’écris directement sur l’ordinateur (tellement pratique !) En fait je n’ai pas de méthode type, c’est au feeling, j’ai peur de museler mon imagination en me fixant des règles.

 

 

 

 

JM : - À quel moment de la journée écris-tu ? Le jour ? La nuit ? Et pendant combien de temps ?

 

Michelle : J’essaie de m’y mettre chaque jour, ce qui n’est pas trop difficile, n’ayant pas de contraintes de travail ni d’enfants. C’est selon la météo, souvent en fin de journée. Je n’ai pas forcément besoin de m’isoler, quand j’écris je suis totalement déconnectée de mon environnement. Souvent ce sont mes personnages qui me bousculent, ils réclament, ils ont des choses à dire et je leur obéi.

 

 

 

JM : Lorsque la situation sanitaire le permettra, envisages-tu de participer à des séances de dédicaces, de rencontrer tes lecteurs et lectrices ? et où ?

 

Michelle : Pour les dédicaces, depuis que les librairies font partie des commerces vendant des produits dits de première nécessité, dans mon département la majorité d’entre elles acceptent sans difficultés les dédicaces. J’en ai fait 2 en Avril, 2 autres sont programmées en Mai, d’autres en Juin et plusieurs sur la côte pour la saison estivale, soit en librairie ou dans l’espace culturel de grandes surfaces. Les séances se passent très bien, tant avec les libraires qu’avec leurs clients, les règles de distanciation sont respectées. C’est important de rencontrer des lecteurs, même s’ils ne sont pas en « mode achat », car un livre pèse aussi sur un budget, les échanges sont chaleureux et donnent confiance.

 

 

JM : Es-tu sensible à la critique littéraire et penses-tu que les blogs, les réseaux sociaux aident les écrivains à promouvoir leurs écrits ?

 

Michelle : Oh oui ! je suis sensible à la critique littéraire ! Elle est indispensable pour donner vie à un roman et le porter à la connaissance des lecteurs, et aussi pour aider l’auteur à améliorer ses écrits. Je découvre le monde des blogs et des réseaux sociaux et je suis fascinée par cette vaste communauté, la qualité des échanges et le respect de ses membres entre eux, amoureux des lettres. J’y navigue avec maladresse et sans doute lourdeur ! mais je suis convaincue qu’ils sont indispensables pour promouvoir les écrits.

 

 

 

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier tes ouvrages ?

 

Michelle : Parlons surtout du Secret des Jeanne, je l’ai adressé à une première maison (que je ne nommerai pas), qui me l’a retourné avec des critiques dont je ne saisissais pas le sens. N’ayant pas de bêta-lecteur, j’ai retravaillé mon texte pour le renvoyer à d’autres maisons. Les mois sont passés avec des refus polis et formatés, quand un message très courtois de City est tombé : «votre roman a des qualités, mais en l’état nous ne le publierons pas, si vous voulez retravailler tels et tels points, nous serions heureux de vous offrir une seconde lecture » Tu penses bien que j’étais déjà en mode YOUPI. J’ai retravaillé mon roman pour le retourner en

septembre ou octobre 2019. De longs mois s’écoulent… un deuxième éditeur se manifeste et City prévenu, réagit aussitôt pour aboutir à une offre de contrat dans les premiers jours du confinement de mars 2020. La suite tu la connais, mais la pandémie, comme pour beaucoup d’auteurs a ralenti le processus d’édition.

 

JM : - Quels sont les auteurs qui t'ont donné l'envie d'écrire ?

 

Michelle : Disons que l’envie d’écrire est inscrite en moi depuis la nuit des temps ! J’ai d’ailleurs une anecdote : lors de mes années de primaire et de collège, je faisais un rêve récurrent : je lisais un livre dont toutes les pages étaient blanches, elles s’animaient et se remplissaient au fur et à mesure que je les tournais ! ma première expérience d’écriture ? Je pourrais citer de nombreux auteurs classiques ou contemporains qui m’ont accompagnée, ou nommer quelques célébrités, je ne me suis jamais posée la question de savoir si l’un ou plusieurs m’ont donné l’envie d’écrire car cette envie a toujours été présente. Mon premier grand souvenir de lecture doit remonter à mes 9 ou 10 ans : je suis tombée amoureuse de Mowgli avec le Livre de la Jungle de Kipling !

 

.

 

 

 

 

 

 

JM : Lis-tu ? Quel genre ?

 

 

Michelle : Je lis énormément, plusieurs livres par mois. Tous les genres, c’est par période en fonction de mon état d’esprit, de mes joies de mes peines. Actuellement je suis dans la romance et l’historique, ça colle avec mes écrits, mais je fréquente aussi les thriller, je viens de terminer le dernier Bernard Minier « La Chasse ». Juste avant j’ai dévoré « La femme au manteau violet » de Clarisse Sabard et « Le village des secrets » de Sylvie Lassalle, sans oublier le dernier Schmitt « Paradis Perdus ». Je crois que ce soir je vais commencer « Les sept sœurs » de Lucinda Riley. J’ai des auteurs dont je lis tous les ouvrages, comme Ken Follet, José Rodrigues Dos Santos (un nouveau vient de sortir), Kate Mosse. Même si les styles sont variés, je suis toujours un peu dans l’historique, et avec le temps je me suis éloignée des classiques.

 

JM : En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Michelle : Avec la lecture elles sont assez simples. J’aime les longues ballades dans la nature, vivant en bord de mer c’est la plage, la forêt, aussi la rando en montagne et enfin le Jogging solitaire en forêt. Avec mon

époux nous voyageons aussi beaucoup (enfin c’était dans la vie d’avant !)

Amoureuse du Sahara, j’y ai passé de longs mois l’hiver où mes errances m’ont confrontée aux traces du passé préhistorique, riche dans cette région, mais c’est un peu mon jardin secret…. (dans le Secret des Jeanne, j’y fais un petit clin d’œil)

 

 

 

JM : - À quelle époque aurais-tu aimé vivre ?

 

Michelle : En référence à ce que je dis ci-dessus, je pourrais dire la préhistoire, mais il faudrait que je m’en explique plus longuement…c’est compliqué, ça peut sembler bizarre…

Cette question me rappelle un souvenir d’enfance. La maitresse nous avait donné une rédaction dont c’était exactement le sujet. Elle était très mécontente en rendant les copies : toutes les fillettes s’étaient imaginées princesse au mieux, ou dans des familles bourgeoises, aucune ne se voyait en Cosette ! A 9/10 ans, nous avions envie de rêver, la maîtresse ne l’avait pas compris. Mais je m’égare…

 

 

JM : - Quel est ton proverbe préféré ?

 

Michelle : Ce ne serait pas un proverbe mais une citation de l’empereur et philosophe romain Marc Aurèle :

« Que la force me soit donnée de supporter ce que ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l’être, mais aussi la sagesse de distinguer l’un de l’autre. »

 

 

JM : - Quel est ton film culte ?

 

Michelle : Culte ? je ne sais pas. Je vais être honnête, je n’aime pas trop ce mot, je le trouve réducteur. Il y a des films que j’aime voir et revoir, selon les acteurs ou les réalisateurs. J’aime les films réalisés par Clint Eastwood, les Tarentino, les dialogues d’Audiard, et toute une palette d’acteurs. Un souvenir émerge, celui d’un très vieux film que je ne rate pas quand le petit écran le programme, c’est un péplum (style un peu tombé dans les oubliettes) Le Ben Hur de 1959 ! Tu vois ça date un peu !

Hélas cette pandémie nous a éloignés des salles obscures et de l’actualité cinématographique.

 

 

JM : - Quel mot te définit le mieux ?

 

Michelle : Solitaire

 

 

JM : - Si tu étais : une fleur, une couleur, un animal, un dessert … tu serais ?

 

Michelle : Je serais une fleur au parfum de dune, je serais toutes les nuances de rouge, avec du noir et blanc, je serais une panthère noire. Je ne crois pas que je serais un dessert, sauf peut-être un fromage blanc, dégusté avec du pain sec ! (c’est du moins ce que diraient mes amies (is) qui ont partagé mes repas du midi pendant de nombreuses années !)

 

 

JM : - Es-tu thé ou café ? Vanille ou chocolat ? Mer, campagne ou montagne ?

 

Michelle : Je suis café. Je n’aime pas le chocolat, par défaut la vanille sans plus, en fait je ne suis pas très sucre. La Mer, la mer, la mer et encore la mer… je m’en éloigne rarement.

 

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Michelle : J’ai le sentiment d’avoir été très bavarde. L’exercice me faisait un peu peur car de nature je n’aime pas trop parler de moi, et bien c’est fait ! J’espère que je n’ai pas abusé. Merci Joëlle pour cette interview qui a été aussi une petite introspection et a fait remonter des souvenirs.

 

JM : - Merci Michelle pour ce très agréable moment passé en ta compagnie.

 

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Michelle qui vous répondra sous ce post.

 

 

 

Page FB : Michelle Mazoué Romancière

 

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ANNONCE INTERVIEW MICHELLE MAZOUE VENDREDI 25 JUIN - dans la journée- SUR MON GROUPE FB

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

 

Bonjour les amis,

 

Hier LUNDI 21 JUIN 2021 j'ai réalisé ma 212ème interview.

 

Je vous donne rendez-vous le VENDREDI 25 JUIN 2021 (dans la journée) pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Michelle MAZOUE. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Michelle qui y répondra selon ses disponibilités.

 

 

A bientôt.

 

 

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INTERVIEW REALISEE CE JOUR AVEC MELANIE RAFIN AUTEUR SUR MON GROUPE FB

GROUPE LECTEURS – AUTEURS :

LA PASSION DES MOTS

__________

 

 

INTERVIEW AUTEURE

Mélanie RAFIN Auteure

 

 

JM : — Bonjour à tous,

 

  • Notre amie Mélanie RAFIN a gentiment accepté de répondre récemment à mes questions.

 

  • Je partage donc avec vous cet entretien à l’issue duquel vous pourrez, si vous le souhaitez, poser vos questions à Mélanie qui vous répondra selon ses disponibilités.

 

 

 

 

JM : — Bonjour Mélanie

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prête à « subir » mon petit interrogatoire ?

 

Mélanie : Je suis en pleine forme ! J’espère ne pas trop subir. Cet exercice constitue une grande première pour moi et je m’en réjouis.

 

 

JM : — Question habituelle, mais incontournable, peux-tu, tout d’abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Mélanie : Je m’appelle Mélanie. J’ai 36 ans… cet âge où nous sentons la quarantaine se rapprocher dangereusement ! J’habite dans une bourgade perdue de la région la plus belle du monde… la Bretagne bien sûr ! Je suis maman des deux plus beaux garçons de l’univers… comme tout le monde évidemment ! Au départ, je suis enseignante, mais ça, c’était avant !

 

 

 

JM : — Que représente pour toi l’écriture ?

 

Mélanie : L’écriture m’apporte une grosse dose d’évasion. Quand j’écris, j’ai le sentiment de voyager dans un monde à part. Je m’enferme dans ma bulle loin de tout. De plus, j’utilise ma plume pour transmettre mon ressenti profond sur la vie. C’est libérateur de pouvoir coucher sur le papier autant de sentiments. Je crois que l’on a tous eu envie un jour de hurler face aux situations de notre vie quotidienne. Je me sers de mon clavier pour m’exprimer.

 

JM : — Peux-tu nous parler de ton premier roman ?

 

Mélanie : Il s’agit d’une romance feel-good remplie d’humour. Le résumé : La monotonie de son existence entraîne Céline, 34 ans, à replonger dans ses souvenirs d’adolescence. Protégée par son écran, elle décide de contacter ses deux amis des airs, enfants de divorcés comme elle. Ils étaient trois à effectuer des vols bimensuels pour rendre visite à leur père respectif. Que sont devenus Antoine et Julien ? Quelle sera l’issue de cette démarche qui risque de compliquer sa vie bien organisée ?

 

Il m’est difficile de décrire davantage mon roman. Je vais laisser la parole à mes lectrices (oui, je crois que ce sont principalement des femmes !) en vous livrant deux avis :

Mireille : 5 étoiles amplement méritées.
Histoire captivante, de bout en bout très agréable à lire qui raconte le quotidien routinier et ennuyeux de la plupart des femmes qui ont décidé pour un certain temps de rester à la maison pour s’occuper de leur progéniture. Céline a un mari plus épris de sa liberté que de son épouse et de ses deux bambins, jusqu’au jour où tout bascule… Je n’en dis pas plus, lisez-le absolument
❤💜💚💙😍😘.

ClosDanne : Quel que soit notre âge, il me semble que l’on peut s’identifier à l’un ou l’autre des personnages de ce livre. Ils sont tous intéressants à découvrir, avec leurs qualités et leurs défauts. L’écriture nous emporte au fil des pages, nous fait passer de la colère au rire, en passant par beaucoup d’autres émotions.
Une chose est sûre : ce livre se dévore ! Bravo !
Je me réjouis déjà de découvrir un deuxième livre de cette auteure prometteuse !...

 

Je tiens d’ailleurs à remercier toutes mes lectrices tellement merveilleuses qui ont réussi à me faire verser ma petite larme à plusieurs reprises!

 

 

JM : — As-tu d’autres projets d’écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

Mélanie : Au moment où l’interview sera publiée, je pense que mon petit deuxième, « Pour que tu m’aimes un peu » sera sorti. Un petit morceau du résumé : Un chien étrange, un métier étonnant, un petit appartement sous les toits, et des amies aussi noctambules qu’elle, offrent à Estelle, 24 ans, une existence idyllique. Seule ombre à cette vie parfaite : Mathieu. Elle est folle de lui, mais il semble plus intéressé par sa vie étudiante que par sa chère et tendre.

Je suis resté dans un registre similaire au premier. Il s’agit d’une romance feel-good également. J’aime la bonne humeur !

Je travaille actuellement à l’écriture de mon troisième roman… encore une histoire d’amour… mais chut ! Je n’en dis pas plus.

 

JM : — Comment as-tu procédé pour créer les protagonistes de ton ouvrage et connaissais-tu, lorsque tu as commencé à écrire, la fin de l’histoire ou est-ce que tu as improvisé au fil des mots ?

 

Mélanie : La création de mes personnages s’inspire des gens que je côtoie ou que j’ai côtoyés. Je prends les traits de caractère de plusieurs personnes, je mixe le tout et j’obtiens des protagonistes qui correspondent à mon histoire.

Concernant l’histoire, lorsque j’écris j’ai une idée générale du chemin que je veux emprunter, mais je modifie au fil de la rédaction. Je me laisse porté par les personnages.

 

 

JM : — Sauf erreur de ma part, ce roman est une « romance feel-good ». Pourquoi ce choix ? Envisages-tu d’écrire dans un autre genre ?

 

Mélanie : Je suis d’un naturel hyper positif. Je ne me vois pas écrire un autre style pour le moment. Le monde est assez compliqué actuellement. J’aspire à le rendre plus doux le temps d’une lecture. De plus, je crois que je laisse mon côté fleur bleue s’exprimer dans mes écrits.

Dans la vie, je ris beaucoup et j’aime faire rire. J’ai voulu transmettre cela dans mes romans.

 

 

JM : — A qui as-tu confié ton manuscrit en première lecture (amie, membre de ta famille, bêta-lecteur) ?

 

Mélanie : Avec beaucoup d’appréhensions, je l’ai confié à mon mari et ma mère. Je savais qu’ils seraient tous les deux assez honnêtes et sans concessions pour me permettre de revoir mon manuscrit.

Je crois que c’est encore plus difficile de recevoir l’avis de personnes qui me connaissent. J’ai eu l’impression de me mettre mon âme à nue devant eux.

 

 

JM : — Comment as-tu procédé pour faire publier cet ouvrage ?

 

Mélanie : J’ai décidé de publier mes livres en auto-édition. Je voulais conserver mon autonomie. J’ai donc publié via Amazon Kdp.

 

JM : — Qu’as-tu ressenti lorsque tu as écrit le mot FIN ?

 

Mélanie : Oula ! Un mélange de sentiments : joie, soulagement, appréhension, fierté, excitation… Mais pour ce premier livre, l’appréhension était dominante. Je souffre du syndrome de l’imposteur commun à beaucoup d’auteurs. J’ai eu très peur que mon roman ne plaise pas. C’est sans doute pour cela que je suis extrêmement touchée à chaque commentaire positif !

 

 

JM : — Quels sont les bons et les mauvais côtés du métier d’auteure ?

 

 

Mélanie : Je vois principalement de bons côtés pour le moment. La liberté constitue l’avantage principal. Je n’ai pas de patron pour me dire quoi faire et quand le faire. Je gère mon emploi du temps à ma guise. Par ailleurs, je peux coucher sur le papier tellement de ressentis et d’états d’Âme que ce métier m’apporte bien plus que tous les autres.

Le mauvais côté réside peut-être dans la nécessité de communiquer. Je ne suis pas très vieille, pourtant je ne suis pas du tout intéressée par les réseaux sociaux. J’ai dû apprendre.

 

JM : — Lorsque la situation sanitaire le permettra, envisages-tu d’assister à des séances de dédicaces, de rencontrer tes lecteurs et tes lectrices ?

 

Mélanie : J’en serais ravie même si j’ai toujours peur de ne pas savoir quoi raconter. Je suis naturellement plus douée à l’écrit qu’à l’oral.

 

JM : — En dehors de l’écriture quelles sont tes passions ?

 

Mélanie : Je suis une grande cinéphile. Je dévore aussi énormément de séries. Je vais faire très nian nian mais je suis principalement passionnée par mon rôle de maman. Je ne trouve rien de plus valorisant et passionnant que de contribuer à faire grandir mes petits mecs.

 

JM : — Quelle est ta musique préférée et écris-tu en musique ?

 

Mélanie : J’écris toujours en musique. Je mets mes écouteurs sur mes oreilles. Cela me permet de rester dans ma bulle. J’ai des goûts très éclectiques et je crois que je suis très ringarde. Je suis une grande fan de la chanson française des années 80. Mais si je ne devais citer qu’un seul chanteur, je dirais Damien Rice.

 

 

JM : Quel est ton film ou ta série culte ?

 

Mélanie : Là encore, je suis encore très has-been. J’ai grandi dans les années 90. Je suis donc une inconditionnelle de la série « Friends ».

 

JM : — Quel livre aurais-tu aimé écrire ?

 

Mélanie : Sans hésiter : Harry Potter. Oui c’est très cliché. Mais je suis fasciné par la capacité de JK Rowlings à créer un univers si particulier. Puis, j’avoue que je ne serais pas contre l’idée de rencontrer, ne serait-ce que, le dixième de son succès.

 

 

JM : — Peux-tu nous donner une citation qui t’inspire ?

 

Mélanie : « Une femme qui n’a pas peur des hommes, leur fait peur » — Simone de Beauvoir.

C’est mon côté très féministe qui ressort. Puis, je crois que cette citation me définit très bien.

 

JM : — Quel mot te définit le mieux ?

 

Mélanie : Fascinante ! Non, je plaisante ! Exercice difficile de s’autodéfinir ! Je dirais Passionnée (voire un poil excessive).

 

 

JM : — Si tu étais : une fleur, une couleur, un animal, un dessert : tu serais ?

 

Mélanie : Une fleur : Un tournesol

Une couleur : le rose bien sûr !

Un animal : le carlin (j’en suis complètement dingue même si j’espère avoir un visage un tantinet plus attrayant)

Un dessert : Le mont Blanc (je suis accro à la crème de marrons. Mon postérieur ne me remercie pas !)

 

 

JM : Es-tu mer, montagne ou campagne ? Eté, printemps ou hiver ?

 

Mélanie : En vrai bretonne, je suis une inconditionnelle de la mer et de préférence en été. Même si le climat breton est quasiment identique en toute saison.

 

 

JM : — As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Mélanie : Un grand merci pour cette interview. Je suis touchée que vous ayez fait appel à moi. Aux lectrices et futures lectrices surtout n’hésitez pas à venir échanger avec moi. J’en serais ravie !

 

 

 

JM : — Merci Mélanie pour cet agréable moment passé en ta compagnie.

 

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d’autres questions à Mélanie qui se fera un plaisir de vous répondre sous ce post.

 

 

 

 

https://www.facebook.com/melanie.rafin.12

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui dimanche voici ma chronique concernant : "A L'OMBRE DU MONDE " tome 2

« A L'OMBRE DU MONDE »

Tome 2 – Le Réveil de l'oracle

Eric COSTA et Raquel URENA

Auto-edition

11 février 2021

558 pages

Présentation

 

Une île grecque, un peu avant minuit. Ariane, sa fille et son mari se retrouvent enfin seuls sur la plage féerique de Myrtos.

 

Lorsque la jeune historienne sort de l’eau, et qu’elle cherche les siens en vain, elle croit d’abord à une mauvaise plaisanterie. Mais quand toutes les preuves attestent qu’elle a voyagé seule et n’a jamais eu ni enfant ni mari, il ne reste que deux explications possibles.

 

Soit elle a rêvé sa vie, soit on la lui a effacée.

 

À moins de trois cents kilomètres de là, un homme accède à la plus haute fonction d’une Confrérie occulte. Il va enfin pouvoir se venger…

 

L'auteur

 

Armé de trois ans d'études en narratologie, Eric Costa glisse quelques exemplaires de son roman Aztèques dans sa valise et prend le train pour le salon du livre de Paris en mars 2017.
Il se demande ce qui va bien pouvoir en ressortir. Et pour cause : en tant qu’auteur indépendant, il ne s’est jamais rendu à un tel évènement et ne connaît personne. Que peut-il espérer ?

Malgré ses doutes, il tente sa chance au Speed-Dating Amazon, un concours qui propose de mettre en avant deux romans pour l’année 2017.
À sa grande surprise, les membres et les auteurs Amazon l'accueillent comme l'un des leurs. Encore mieux : son travail acharné et sa foi en l'écriture se voient récompensés par le prix du Jury Amazon KDP !
Aztèques gagne ainsi ses ailes.

Accrochez-vous à vos rêves. Là où il y a une volonté, il y a un chemin.
DÉJÀ PARUS :
The Prison Experiment (thriller sf - trilogie)
Aztèques, roman lauréat du Jury Amazon KDP salon Livres Paris 2017 (roman historique - trilogie)
À l'ombre du monde (thriller historico ésotérique - diptyque)
Réalités Invisibles : recueil de nouvelles fantastiques et étranges.

N'hésitez pas à regarder les vidéos pour en savoir plus !

Restons en contact :
Site de l’auteur : https://costaeric.fr/
Page auteur Facebook : https://www.facebook.com/CostaEric2/
Compte Twitter : https://twitter.com/CostaEric2
Compte Instagram : https://www.instagram.com/ericcosta33/

 

 

 

 

 

Mon avis

 

Je remercie Eric COSTA de m'avoir envoyé, en service de presse, le tome II de son roman « A L'Ombre du monde » . J'ai lu récemment le précédent opus que j'ai beaucoup aimé bien que peu habituée à lire des « Thriller ».

 

A la fin du premier tome, il faut dire que j'étais restée un peu sur ma faim, tant le suspense était grand et j'avais hâte d'en connaître la suite !

 

Ainsi j'ai retrouvé avec plaisir Ariane et Jean à Nice à la recherche de pistes leur permettant de retrouver Edrielle la fille d'Ariane. Parviendront-ils à la retrouver ?

Je ne vous en dirai pas plus et vous laisserai le découvrir par vous-mêmes mais toutefois, après lecture de ce roman, je me demande bien à qui l'on peut vraiment faire confiance...

 

Comme dans le tome 1 les auteurs nous embarquent sur des fausses pistes à un rythme incroyable et il est bien difficile d'arrêter la lecture de ce magnifique ouvrage, tant il est addictif.

 

J'ai beaucoup aimé ce thriller psychologique, ponctué d'ésotérisme, très bien écrit et documenté sur l'Antiquité Grecque, le sociétés secrètes.... que j'ai lu pratiquement d'une traite, qui m'a provoqué des angoisses mais m'a également passionnée.

 

Un grand BRAVO à Eric COSTA et Raquel URENA pour ce très bon moment de lecture qui séduira, j'en suis certaine, les amateurs du genre.

 

Page FB : https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

 


 

 

 

 

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ANNONCE INTERVIEW MELANIE RAFIN LUNDI 21 JUIN -dans la journée- SUR MON GROUPE FB

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

 

Bonjour les amis,

 

Hier VENDREDI 18 JUIN 2021 j'ai réalisé ma 211ème interview.

 

Je vous donne rendez-vous le LUNDI 21 JUIN 2021 (dans la journée) pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Mélanie RAFIN. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Mélanie qui y répondra selon ses disponibilités.

 

 

A bientôt.

 

 

 

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INTERVIEW REALISEE CE JOUR AVEC MELANIE LEBAS SUR MON GROUPE FB

GROUPE LECTEURS – AUTEURS :

LA PASSION DES MOTS

__________

 

 

INTERVIEW AUTEURE

Mélanie LEBAS

 

 

 

JM : - Bonjour à tous

 

 

Notre amie Mélanie LEBAS a accepté, récemment,   de répondre à mes questions.

 

Je partage donc avec vous cette interview, à l'issue de laquelle vous pourrez, si vous le souhaitez, poser vos questions auxquelles Mélanie répondra selon ses disponibilités.

 

 

 

 

JM : - Bonjour Mélanie

 

Comment vas-tu ? Es-tu prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Mélanie :

Bonjour Joelle, oui je suis vraiment très heureuse de participer à cette interview, merci à toi de me l’avoir proposé.

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Mélanie : Alors je m’appelle Mélanie, j’ai 28 ans, je suis ingénieure dans le spatial à Toulouse.

 

 

JM : - Peux-tu nous parler en quelques phrases de ton premier roman ?

 

Mélanie : Dans le Paris de 1940, Clair de Lune raconte l’histoire de Juliette, une talentueuse pianiste. L’hôtel dont sa famille est propriétaire est réquisitionné par la Wehrmacht, et son frère Etienne s’engage dans la Résistance. Il lui demande alors d’espionner un des officiers de l’hôtel, le capitaine Wilhelm von Stein, violoniste émérite. Juliette accepte de partager la scène avec lui et découvre, derrière l’uniforme de l’ennemi, un homme sensible qui n’est pas dénué de charme. Déterminée à aider son frère elle se retrouve déchirée entre sa mission et ses sentiments naissants.

 

 

JM : - Si mes sources sont bonnes ce roman est lauréat du Prix de la Romance 2021 Nouvelles-Plumes/France Loisirs. Comment as-tu réagi lorsque tu as appris cette excellente nouvelle ?

 

Mélanie :D’abord, j’ai ressenti de la surprise, je n’osais pas y croire, ça me tombait dessus d’un coup, puis j’ai vite été submergée par la joie. Voir mon premier roman lauréat du prix de la Romance, je n’aurais jamais pu espérer une si belle récompense, je suis vraiment très heureuse.

 

JM : - Ce premier roman est une “romance historique”. Pourquoi ce choix et envisages-tu d'écrire dans un tout autre registre ?

 

Mélanie : Je suis vraiment passionnée par la période de la 2eme guerre mondiale. Un jour, j’ai eu l’idée de ce roman. Ca me paraissait évident que je voulais raconter cette romance et pas une autre. Ce sont vraiment les personnages qui me sont apparus d’abord, et ensuite j’ai construit l’histoire dans le contexte fascinant du Paris occupé.

J’envisage tout à fait d’écrire dans un autre registre, on verra ce qui me tente !

 

JM : - Comment as-tu procédé pour effectuer tes recherches sur le plan historique ?

 

Mélanie : J’avais de bonnes connaissances de base, et ensuite j’ai fait mes recherches au fil de l’eau. J’ai lu des témoignages, des récits historiques, j’ai regardé des documentaires, et même visité des musées !

 

JM : - A qui as-tu confié ton manuscrit en première lecture (amie, membre de ta famille, bêta-lecteur ) ?

 

Mélanie : D’abord à des amis, ensuite à de la famille et enfin à des bêta-lecteur volontaires

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et peux-tu nous en dire quelques mots ?

 

 

Mélanie : Oui, je suis actuellement sur l’écriture de mon second roman. Egalement une romance historique qui raconte l’histoire d’un fils d’ouvrier et d’une fille de riche patron qui ont des rêves plein la tête et qui tentent de trouver leur place dans la France des années 30.

 

 

 

JM : - Que représente pour toi l'écriture ?

 

Mélanie : Je dirais une parenthèse, une bulle créative. Quand j’écris, je me plonge dans mon histoire, je suis habitée par mes personnages et plus d’autre n’existe, c’est une sensation que j’adore, je m’évade en quelque sorte.

 

 

 

JM : Comment écris-tu (sur des carnets, cahiers, fiches, écriture directe sur l'ordinateur) ?

 

Mélanie : Directement sur l’ordinateur pour beaucoup. Et ça m’arrive de poser des idées à la main sur un carnet.

 

 

 

 

 

JM : -Lorsque la situation sanitaire le permettra, envisages-tu de participer à des séances de dédicaces, de rencontrer tes lecteurs et lectrices ?

 

Mélanie : Oh oui, j’aimerais beaucoup rencontrer des lecteurs. J’adore échanger avec les gens !

 

 

JM : Es-tu sensible à la critique littéraire et penses-tu que les blogs, les réseaux sociaux aident les écrivains à promouvoir leurs écrits ?

 

Mélanie : Je trouve que c’est génial, ça créé des échanges entre auteurs, lecteurs, blogeurs. Pour les auteurs, ça leur offre une visibilité vraiment bonne à prendre et c’est aussi un moyen de créer des communautés.

 

 

JM : - Que penses-tu de l'édition numérique ? (avantages – inconvénients)

 

Mélanie : Pour partir en vacances c’est vraiment le top, et je n’y suis pas opposée. Je pense qu’il y a peu de chance que ça tue le livre papier, parce que encore beaucoup de lecteurs y sont attachés et c’est tant mieux !

 

 

 

JM : - Quels sont tes auteurs préférés ? Et quel est ton dernier coup de coeur ?

 

Mélanie : C’est difficile comme question, je n’ai pas un auteur en particulier en fait. Mon dernier coup de cœur c’est La Horde du Contrevent de AlainDamasio, ce livre m’a vraiment mis une claque !

 

 

 

 

JM : Lis-tu ? Si oui quel genre ?

 

 

Mélanie : Oui, je lis. Je n’appartiens pas à la famille des dévoreurs de livres, mais je lis pas mal. Pour le coup, je lis de tout : romance, fantasy, SF, polars, je n’ai pas un genre fétiche.

 

 

JM : - Quel livre découvert dans ton enfance t'a donné l'envie d'écrire ?

 

Mélanie : Je ne lisais pas beaucoup enfant, c’est venu plus tard chez moi. Par contre, j’ai toujours adoré me raconter des histoires, je jouais à la poupée, aux playmobils pendant des heures ! Plus tard, je me suis mise à écrire des nouvelles, et l’envie d’écrire un roman est partie de là.

 

 

JM : - Quel livre aimerais-tu offrir à un de tes amis ?

 

Mélanie : Mmh, je dirais la Passe-mirroir de Christelle Dabos

 

JM : - A quelle époque aurais-tu aimé vivre ?

 

Mélanie : A une époque où l’homme n’avait encore que très peu d’impact sur la biodiversité de notre magnifique planète ! Et pour le savoir et l’architecture, je dirais du coup : l’Antiquité

 

 

JM : - Quel est ton film, ta série culte ?

 

Mélanie : Titanic, sans hésitation.

En série : Friends

 

 

JM : - Quel genre de musique écoutes-tu et écris-tu en musique ?

 

Mélanie : J’aime la musique acoustique triste. Une voix avec un piano ou une guitare. J’écoute ça pour écrire. Et pour Clair de Lune, j’ai écouté beaucoup de musique classique, car c’est dans l’ambiance du roman.

 

 

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Mélanie : La plongée, le sport, la batterie, les voyages, passer du temps avec mes amis

 

 

 

 

JM : - Quelle est ta citation préférée ?

 

Mélanie : « Ne remets jamais à demain ce que tu peux faire dès aujourd’hui »

 

 

JM : - Si tu étais un fruit, une couleur, une fleur, un animal, un dessert ? Tu serais :

 

Mélanie :

Fruit : la framboise

Couleur : le rouge

Fleur : une tulipe

Animal : une otarie

Dessert : une tarte à la framboise

 

JM : - Si tu devais partir sur une île déserte quel objet incontournable à tes yeux emporterais-tu ?

 

Mélanie :une masque de plongée !

 

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Mélanie : Un grand merci à toi Joelle !

 

 

JM : - Merci Mélanie pour ce très agréable moment passé en ta compagnie.

 

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Mélanie qui y répondra sous ce post.

 

 

 

https://www.facebook.com/melanielebas.auteure

 

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ANNONCE INTERVIEW MELANIE LEBAS VENDREDI 18 JUIN -dans la journée- SUR MON GROUPE FB

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

 

Bonjour les amis,

 

Hier MERCREDI 16 JUIN 2021 j'ai réalisé ma 210ème interview.

 

Je vous donne rendez-vous le VENDREDI 18 JUIN 2021 (dans la journée) pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Mélanie LEBAS. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Mélanie qui y répondra selon ses disponibilités.

 

 

A bientôt.

 

 

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INTERVIEW REALISEE CE JOUR AVEC SOLENE BAKOWSKI SUR MON GROUPE FB

GROUPE FB

LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

 

__________________________________

 

 

INTERVIEW AUTEURE

Solène BAKOWSKI

 

 

 

 

JM : - Bonjour à tous

 

Notre amie Solène BAKOWSKI a récemment accepté de répondre à mes questions.

 

Je partage donc l'entretien que nous avons réalisé. Il n'y aura pas de questions-réponses mais cette interview vous permettra de mieux connaître Solène.

 

 

 

JM : - Bonjour Solène

 

⁃ Comment vas-tu ? Es-tu prête à répondre à mon petit interrogatoire  ?

 

Solène : Bonjour Joëlle, et merci pour cette invitation. Je suis prête à répondre à toutes tes questions.

 

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Solène :

  • J'ai 39 ans, j'habite à Paris avec mon mari et ma fille. J'ai publié à ce jour 6 romans dont le dernier, Rue du rendez-Vous, est paru en mai 2021 aux éditions Plon. Jusqu'à présent, on me cataloguait plutôt en littérature noire. J'opère une sorte de virage avec ce nouveau texte.

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes ouvrages ?

 

Solène : Ce sont des ouvrages qui ont pour point commun de mettre en balance l'ombre et la lumière. Le pire y côtoie le meilleur, le courage succède à la lâcheté. Comme dans la vie en somme. Je me méfie de ceux qu'on nous présente comme des héros, j'aime les fêlures, les gens cabossés. Nous le sommes d'ailleurs tous un peu, non ? Ce qui m'intéresse, c'est de gratter derrière le vernis des personnages.

 

 

JM : - Où peut-on trouver tes livres ? A combien d'exemplaires ont-ils été imprimés ?

 

Solène : Mes livres sont disponibles dans toutes les librairies. Il ne faut pas hésiter à passer commande s'ils ne sont pas en rayon.

Pour être honnête, j'ignore le nombre d'exemplaires imprimés. J'avoue que ces histoires de chiffre me dépassent un peu ;)

 

 

JM : - Ton dernier livre « Rue du rendez-vous » est sorti le 20 mai dernier. Peux-tu, pour nos amis, résumer en quelques phrases ce roman ?

 

Solène : Avec grand plaisir.

Ce soir-là, Alice Beausoleil quitte la boulangerie où elle travaille pour rentrer chez elle. Mais une grève inopinée des transports la pousse à s’engager, sous des trombes d’eau, dans la rue du Rendez-Vous. Dans ce quartier voué à la destruction et aux bulldozers, Marcel, un ancien bottier de quatre-vingt-sept ans, vit terré dans son vieil atelier. Il n’a ouvert sa porte à personne depuis vingt-cinq ans.

La jeune femme trempée toque à sa vitre. Est-ce parce que ses yeux disent le contraire du sourire qu’elle affiche, ou bien parce qu’il est seul depuis trop longtemps ? Toujours est-il que Marcel consent à lui offrir un abri.

À cet instant, tous deux ignorent que la vie leur a donné rendez-vous. De leur rencontre naîtra la certitude que la vie résiste toujours, même au milieu des ruines.

 

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en dire quelques mots ?

 

Solène : Je suis en train de commencer l'écriture d'un nouveau roman. Il me tient très à cœur, tellement à cœur que la peur de me tromper m'a empêchée d'écrire pendant de longs mois. Il m'a fallu du temps pour trouver le meilleur angle. Mais je crois que je le tiens enfin, je suis contente. Comme quoi, chaque nouveau texte est une aventure. Roman après roman, les doutes sont les mêmes : et si je n'étais plus capable d'écrire ? Et si je n'avais plus rien à dire ?

  •  

JM : - Que représente pour toi l'écriture ?

 

Solène : L'écriture représente une grande partie de ma vie. Je suis devant mon ordinateur plusieurs heures par jour et, quand je n'y suis pas, je ne cesse d'écrire dans ma tête et de penser à mes personnages, même la nuit. L'histoire que je suis en train de fabriquer ne me quitte pas jusqu'à ce qu'elle soit terminée.

  •  L'écriture m'apaise et me grise en même temps. Il y a des moments magiques où, au cours de l'écriture, l'imagination s'embrase et s'envole littéralement. Ma respiration s'accélère (d'après mon mari) et je suis littéralement projetée au cœur de l'action, un peu comme en transe. Durant ces quelques minutes, je peux pleurer, rire, je vibre, je suis un autre, je suis ailleurs. C'est assez rare mais lorsque ça se produit, c'est prodigieux. Je me demande si, au fond, je n'écris pas uniquement pour ressentir cette sensation.

 

JM : - Où trouves-tu l'inspiration pour créer les protagonistes de tes romans ?

 

Solène : Dans la vraie vie ! La réalité regorge de trésors, il n'y a souvent pas besoin de chercher loin pour trouver de merveilleux personnages.

 

JM : - Sauf erreur de ma part, tu as écrit des romans plutôt noirs, genre « Polar - thriller ». Envisages-tu d'écrire dans un autre registre ?

 

 

Solène : C'est justement ce que je te disais un peu plus haut. Si jusqu'alors mes romans étaient au rayon noir des librairies, j'amorce avec Rue du Rendez-Vous une sorte de virage. Je n'ai pas foncièrement changé de style mais j'ai l'impression qu'être rangée en littérature générale m'offre des perspectives plus grandes, un espace de liberté plus vaste.

  •  

 

JM : Comment écris-tu (carnets, cahiers, fiches, écriture directe sur l'ordinateur) ?

 

Solène : Je prends beaucoup de note à la main, sur un cahier d'écolier. Mais le gros de l'écriture se fait sur ordinateur. Je ne fais pas de fiches ni de plans détaillés. J'ai essayé, mais force est de constater que cette manière de procéder ne fonctionne pas pour moi. J'ai besoin de liberté, j'ai besoin d'être surprise par ce que propose mes personnages en cours de route. C'est ce qui rend à mes yeux l'exercice intéressant.

 

 

 JM : - Que ressens-tu lorsque tu écris le mot FIN ?

 

Solène : Je suis envahie par des sentiments ambivalents. Je suis à la fois triste de quitter mes personnages et soulagée d'être parvenue à les mener au bout du chemin.

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier tes livres ?

 

Solène : Je dois admettre que j'ai eu beaucoup de chance. J'ai publié en autoédition Un sac qui, par la magie du bouche à oreille, a rencontré un lectorat assez vaste. C'est grâce aux lecteurs, à leurs merveilleux retours de lecture, que mon roman a attiré l'oeil de la personne qui est devenue par la suite mon éditrice. Je suis très fière de dire que ce sont les lecteurs qui m'ont portée en librairie. C'est à eux que je dois cette merveilleuse aventure. Je leur en suis extrêmement reconnaissante.

 

JM : -Lorsque la situation sanitaire le permettra, envisages-tu de participer à des séances de dédicaces, de rencontrer tes lecteurs et lectrices ? Que ressens-tu à ces occasions ?

 

Solène : Ces rencontres sont toujours très riches et très réconfortantes. Les gens sont en général d'une incroyable bienveillance. J'ai eu la chance de participer à beaucoup de salons et de séances de dédicaces avant la pandémie et j'avoue que cela me manque beaucoup. On y reçoit beaucoup d'amour. Mais, hauts les cœurs, les événements reprennent peu à peu, il me tarde !

  •  

JM : - A qui confies-tu la première lecture de tes manuscrits (ami, membre de ta famille, bêta-lecteur) ?

 

Solène : Aujourd'hui, c'est mon agent, Lilas Seewald, qui lit mes textes en premier. On échange énormément en amont de l'écriture et au cours de celle-ci. Son regard m'est très précieux.

 

JM : Es-tu sensible à la critique littéraire et penses-tu que les blogs, les réseaux sociaux aident les écrivains à promouvoir leurs écrits ?

 

Solène : Bien sûr que je suis sensible à la critique littéraire. Chaque chronique est un cadeau.

Les blogs et les réseaux sociaux sont devenus indispensables, ils sont très prescripteurs.

 

 

 

 

JM : - A quel moment écris-tu (le jour, la nuit...) ? Et pendant combien d'heures ? En combien de temps écris-tu un ouvrage ?

 

Solène : J'écris le matin, entre trois et quatre heures.

Il me faut entre 6 et 9 mois pour écrire un roman mais il faut parfois des années pour qu'un texte émerge d'une idée.

 

 

 

JM : - Que penses-tu de l'édition numérique ? (avantages – inconvénients)

 

Solène : Je viens de l'édition numérique. J'en pense beaucoup de bien. Mais l'un des dangers, c'est qu'il n'y a pas de garde-fous. Je crois que cela ne peut fonctionner que si l'auteur accepte de s'entourer de gens de confiance, dont c'est le métier. Je parle tant de la forme (mise en page, corrections ortho-syntaxiques, couverture) que du fond.

 

 

 

JM : - Quels sont les auteurs qui t'ont donné l'envie d'écrire ?

 

Solène : J'ai pensé à écrire dès que j'ai su tenir un stylo. Je crois que c'est d'abord l'amour des mots qui m'a poussée à écrire. À six ans, j'écrivais de la poésie ; à sept, j'inventais des pièces de théâtre ; à neuf, je créais un petit journal dans mon école et y rédigeais des articles. En parallèle, au fil de ces années, j'ai découvert Le petit prince de St Exupéry, que j'ai appris presque par cœur. Et puis, avec le collège, j'ai lu Oscar Wilde, George Sand, Pagnol. Au lycée, là encore, j'ai découvert des trésors. Aujourd'hui, je dirais que l'auteur qui m'inspire le plus est Romain Gary. Je l'ai découvert tardivement et je dois admettre qu'il me subjugue.

 

 

JM : - Quel conseil souhaiterais-tu donner à un lecteur qui désire devenir écrivain ?

 

Solène : De lire, d'y croire, d'avoir envie et d'être tenace.

 

 

JM : - Si mes sources sont bonnes, « Parfois on tombe » a remporté le Prix de la Chapelle-Montreuil en 2015 , «Un Sac », le Prix Amazon auto-édition également en 2015 et « Une Bonne intention », le Prix Le Géant du Polar en 2018.

Qu'as-tu ressenti lors de ces remises de prix ?

 

Solène : J'ai ressenti beaucoup de fierté et de reconnaissance.

 

JM : Lis-tu ? Si oui quel genre ?

 

 

Solène : Je lis énormément et tous les genres.

 

JM : - Quel est ton dernier coup de cœur littéraire ?

 

Solène : L'embaumeur d'Isabelle Duquesnoy. Une merveille d'écriture, d'humour et d'histoire. Bref, une merveille tout court !

 

JM : - Que préfères-tu : écrire ou lire ?

 

Solène : C'est une question difficile. Je dirais que ça dépend des moments.

 

JM : - Quel genre de musique écoutes-tu ? Ecris-tu en musique ?

 

Solène : J'ai des goûts musicaux très éclectiques et j'adapte ce que j'écoute en fonction de ce que j'écris. Ce qui répond à ta question : j'écris en musique, cela offre un soutien à mon imagination. En revanche, je relis dans le silence complet et à voix haute. J'ai besoin d'entendre le rythme, la musicalité de la phrase.

 

JM : - Quel est ton film ou ta série culte ?

 

Solène : Je pourrais revoir Jean de Florette et Manon des Sources (version 1986 avec Gérard Depardieu et Daniel Auteuil) indéfiniment sans me lasser.

 

JM : - A quelle époque aurais-tu aimé vivre ?

 

Solène : Toutes, sans exception. J'aimerais pouvoir voyager dans le temps, je suis curieuse.

 

 

 

JM : - Si tu devais partir sur une île déserte quel objet incontournable à tes yeux emporterais-tu ?

 

 

Solène : Une baguette magique.

 

 

 

JM : En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Solène : Je confesse que l'écriture, chez moi, laisse peu de place au reste...

 

 

JM : - Quelle est ta citation préférée ?

 

Solène : « Il y souvent plus de choses naufragées au fond d'une âme qu'au fond de la mer » de Victor Hugo.

 

 JM : - Quel mot te définit le mieux ?

 

Solène : C'est une question difficile qu'il faudrait poser à ceux qui me connaissent ;)

 

 

 

JM : - Si tu étais un fruit, une couleur, une fleur, un animal, un dessert ? Tu serais :

 

Solène : Si j'étais un animal, je serais un écureuil.

Si j'étais une couleur, je me situerais quelque part entre le marron doré et l'orange. J'aime les couleurs chaudes ;)

 

 

JM : - Merci Solène pour ce très agréable moment passé en ta compagnie.

 

 

Vous pouvez me retrouver sous nom sur Facebook , Instagram, Twitter ou, encore, sur

http://solene-bakowski.com/

 

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