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ANNONCE BLOG EN PAUSE FORCEE

Bonjour,

Je vais devoir me déconnecter quelques jours afin de faire une pause et vous retrouverai avec plaisir dès que possible.

 

A bientôt.

 

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Bonsoir je partage l'interview que j'ai réalisée ce soir avec Emilie MALAQUIN sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEURE

Emilie MALAQUIN LAPAWA

 

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

  • Notre amie Emilie MALAQUIN a récemment accepté de répondre à mes questions.


Je partage donc avec vous l'entretien que nous avons réalisé, à l'issue duquel, vous pourrez, si vous le souhaitez, poser des questions à Emilie qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

 

 

 

JM : - Bonsoir Emilie

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Emilie : Bonsoir Joëlle. Je vais bien, merci, j’espère que toi aussi.

Toujours prête ! Ça me fait plaisir de participer à ton interview et je sens que tu n’auras pas besoin de déployer les grands moyens pour me faire parler !

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Emilie : Alors, j’ai du mal à parler de moi. Mais bon, je m’appelle Émilie Malaquin-Lapawa. Je suis née à Lille au XXe siècle. Je suis mariée et nous n’avons pas d’enfant, mais un chat, Metka, dont on parlera un peu plus loin. Sinon, j’ai fait des études de droit et dans une vie antérieure, j’étais chargée de contentieux judiciaire dans le secteur bancaire ! Waouh ! J’ai complètement changé de vie en 2016 après un licenciement pour inaptitude médicale et j’en suis ravie !

 

 

JM : - Je crois savoir que tu as créé un cabinet d'écrivain public (EML-Ecriture). Peux-tu nous dire quelques mots sur cette activité ?

 

 

Emilie : On est synchos dans les questions-réponses. Oui, suite à ce fameux licenciement, j’ai cherché à me reconvertir (car je ne pouvais plus travailler dans le droit, en réalité, je ne pouvais plus travailler tout court, car mes contraintes étaient assez strictes). J’ai réfléchi à ce que j’aimais, ce que j’avais envie de faire et comme au lycée, je m’étais intéressée au métier d’écrivain public, j’y ai réfléchi (pas longtemps en fait), et j’ai décidé de me lancer. Je me suis formée au métier et à la création d’entreprise et en avril 2016, j’ai ouvert EML-Écriture.

 

Écrivain public est un métier très ancien et très vaste. Comme je suis juriste de formation, j’étais persuadée que j’allais surtout accompagner les gens dans leurs démarches administratives et le hasard (mais surtout mes clients) en ont décidé autrement. Je réalise essentiellement des biographies de particuliers (j’en ai 6 à mon actif), des livres professionnels (j’en ai réalisé deux et je suis en train de travailler sur un troisième), des relecture, correction, révision et mise en page de manuscrits (surtout de romans et de travaux universitaires ou professionnels). Et depuis 2017, j’anime des ateliers d’écriture à la médiathèque de Erre… avec une de mes anciennes clientes. C’est ce que j’apprécie le plus dans mon métier : il est essentiellement fait de contacts humains (90% du travail) et après on noue de belles relations avec des personnes pour qui on a travaillé. D’ailleurs, quasiment tous mes clients gardent le contact à la fin du contrat.

 

 

https://www.facebook.com/ecrivainpublicnordpasdecalais/


 

https://www.eml-ecriture.com/

 

 

JM : - L'écriture est-ce une passion ou un métier pour toi ?

 

Emilie : Je dirais que c’est les deux à la fois. Pour certaines personnes, je ne travaille pas car je passe mes journées à écrire (que ce soit pour moi ou mes clients) et j’entends souvent dire que je suis « tranquille à la maison ». Alors certes, j’adore l’écriture et je le fais par plaisir, et non en traînant les pieds comme dans mon ancienne vie. Mais écrire (que ce soit en tant qu’auteur ou écrivain public) demande beaucoup de travail et de concentration. Au-delà de la partie création qui fait appel à l’imaginaire (et qui, à mon sens, est le plus facile), il faut faire de nombreuses recherches et l’écriture est un art assez technique. De plus, de nos jours, le travail de l’auteur (enfin ça c’est mon avis et ça n’engage que moi) ne se limite pas l’écriture du livre, il y a toute la partie promotionnelle (même si je n’aime pas ce terme) à réaliser. Il faut trouver des dates de séances de dédicace ou des places dans les salons et surtout y assister. Donc c’est un quand même un métier, même si on est vachement mal payés et qu’on souffre d’un manque de reconnaissance (hormis celle qui vient des lecteurs).

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes romans ?

 

Emilie : J’ai écrit deux recueils de nouvelles fantastiques Le sorcier vaudou (2017) et Sombres hivers (2019) dans lesquels le lecteur navigue entre surnaturel, rêve et folie et un polar, Métal parano (2018) qui raconte l’histoire d’un chanteur de métal (imaginaire) harcelé par un fan obsessionnel sur fond de meurtre et d’enquête policière. Tous mes livres sont édités chez Hyperion avenue, une jeune maison d’édition située à Aniche din ch’nord !

 

JM : - Si ma mémoire est bonne, tu as écrit un recueil de nouvelles fantastiques et un polar. Pourquoi ces choix et envisages-tu d'écrire dans un autre registre ?

 

Emilie : Mon premier amour littéraire a été pour le fantastique. Lorsqu’au collège et au lycée, j’ai découvert ce registre, ça m’a passionné. Très jeune (vers 11-12 ans), je lisais déjà des Stephen King, mais surtout, j’ai cassé les pieds à mes parents pour avoir le Horla de Maupassant. Pour la petite histoire, j’ai vendu des dessins pour m’acheter ce livre. À ce stade, j’aimais lire du fantastique et je ne pensais pas en écrire (même si depuis un petit moment, j’écrivais déjà sur des cahiers et j’étais très forte en rédaction). Puis, au lycée, j’ai découvert Hoffmann, Schiller et surtout Gogol avec les Nouvelles de Pétersbourg. Ça était le déclic ! Ma première idée avait été de mettre en scène des nouvelles comme Le manteau ou Le journal d’un fou. Puis, petit à petit, en allant à l’université et en découvrant le droit, j’ai mis de côté l’écriture littéraire, pour la rédaction juridique. J’y suis revenue à l’âge adulte, pendant un long arrêt maladie. Ainsi, entre 2009 et 2010, j’ai écrit ce qui allait devenir Le Sorcier vaudou.

 

En écrivant des nouvelles fantastiques, je me suis passionnée pour le thème de la folie qui est assez récurent dans ce genre. J’ai approfondi le sujet et c’est comme ça que je me suis tournée vers le polar. De plus, comme je suis juriste de formation, j’ai plaisir à me plonger dans des enquêtes policières et renouer avec la procédure pénale.

 

Je n’en dis pas plus, mais pour les romans à venir (sauf celui que je viens de boucler qui est un pur polar), je mixe le thriller et le fantastique. Et à la demande persistante de mes filleuls, je me suis lancée dans un roman jeunesse, lui aussi fantastique. Récemment, j’ai eu une idée de conte pour les plus petits (mettant en scène mon troisième filleul, Gabriel).

 

En y réfléchissant bien, je ne décolle pas beaucoup du fantastique.

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier tes romans ?

 

Emilie : Je me suis fait publier grâce à ma première cliente. Elle avait écrit un récit témoignage sur l’histoire de sa mère et la sienne et voulait l’offrir à sa famille pour Noël. Elle m’a donc demandé de lui proposer un imprimeur pour réaliser le livre. Sauf qu’elle était ma première cliente, et à l’époque, je ne connaissais absolument personne dans ce milieu. On en a discuté et elle m’a dit : « Je connais quelqu’un qui connaît un éditeur. » Ainsi j’ai rencontré mon futur éditeur. Nous avons travaillé ensemble pour l’édition du récit de vie de ma cliente, puis comme le courant passait bien entre nous et qu’on formait une bonne équipe, je lui ai proposé Le sorcier vaudou. Le manuscrit lui a plu et on travaille ensemble depuis 2016 que ce soit pour l’édition des biographies de mes clients ou celle de mes livres.

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

Emilie : J’ai plein de projets en tête. Il y en a un sur lequel je travaille depuis 2012 et qui me tient vraiment à cœur. C’est un thriller fantastique ayant pour décor la ville de Cracovie. Je suis en train de le travailler à fond avec pour objectif de le faire éditer d’ici 2021 (si c’est possible bien sûr). J’ai démarré plusieurs thrillers fantastiques et une suite à Métal parano, car certains lecteurs m’ont réclamé un retour du capitaine Gilmont. Je travaille aussi sur le roman jeunesse, je pense pouvoir le présenter à des éditeurs courant 2020 et si ça ne fonctionne pas, ce sera simplement un livre pour mes filleuls.

 

 

JM : - Où trouves-tu l'inspiration pour créer les protagonistes de tes livres ? En combien de temps écris-tu un roman ?

 

Emilie : Je trouve l’inspiration essentiellement dans ma tête, car c’est bourré de monde là-dedans ! J’ai déjà été inspirée par des rêves, d’ailleurs, je note souvent mes rêves, car il s’y passe beaucoup de choses également. Mes voyages aussi m’inspirent beaucoup, notamment, ceux à Cracovie et Édimbourg. Je suis de nature curieuse, alors je m’intéresse à tout. Ça va de l’histoire locale aux animaux, en passant par les humains et leurs interactions. J’observe tout le monde que ce soit des inconnus dans la rue ou au supermarché (j’adore regarder le contenu des caddies des gens), mon entourage proche ou les animaux. On doit d’ailleurs à mon chat, Metka, le personnage de Méphisto dans Un adorable chaton, une nouvelle de Sombres hivers.

 

Je suis très longue à écrire, car je ne suis jamais contente de ce que je fais. Il me faut quand même plusieurs années pour terminer l’écriture d’un livre. Si j’en ai publié trois en trois ans, ce n’est pas parce que je suis hyper productive, c’est juste que j’ai retravaillé des manuscrits écrits il y a plus de dix ans.

 

 

JM : - Comment écris-tu (cahiers, carnets, direct sur l'ordinateur) ?

 

 

Emilie : J’ai des carnets pour y noter mes idées et mes rêves. Lorsque je commence l’écriture d’un livre, je le fais toujours sur un cahier. Après, je le saisis en informatique. Mais j’ai besoin de réfléchir avec une feuille et un stylo, et c’est pareil lorsque j’écris pour mes clients.

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement ?

 

 

Emilie : Je fais une pause en janvier, car j’étais en salon et en dédicaces, quasiment non-stop du 12 octobre au 22 décembre et c’est hyper fatiguant ! Je reprends les 1er et 2 février avec le salon du livre de La Couture et au fur et à mesure, j’informe les lecteurs de mes séances de dédicaces et salons sur ma page auteur de Facebook.

 

 

JM : - A qui confies-tu tes manuscrits en première lecture (membre de ta famille, bêta-lecteur) ?

 

Emilie : Alors, je suis le cordonnier mal chaussé ! Je relis les manuscrits des autres mais très peu de personnes relise les miens. En première lecture, c’est ma mère et Cyril, mon mari. Cyril, c’est œil de lynx ! Et il est le genre de personne énervante qui devine les fins de film. Donc il est efficace pour les thrillers. De plus, il n’aime pas lire, alors quand il me dit qu’il a vraiment aimé mon manuscrit, c’est que c’est bon. Je me fie beaucoup à son sens critique.

Ma mère, elle, aime tout ce que je fais. Donc c’est bon pour la motivation. Quoique… Dans Le sorcier vaudou, elle m’a fait recommencer entièrement une nouvelle car elle n’avait pas accroché.

Sinon, depuis peu, une de mes collègues auteure relit mes manuscrits et je relis les siens. D’ailleurs, nous travaillons et faisons souvent des séances de dédicaces ensemble. J’ai confiance en ces trois personnes car je sais qu’elles sont bienveillantes.

 

 

JM : - Es-tu sensible à la critique littéraire et penses-tu que les blogs, les réseaux sociaux aident les écrivains à promouvoir leurs écrits ?

 

Emilie : J’apprécie la critique quand elle est constructive, quand elle permet de s’améliorer en tant qu’auteur. Après, juste dire « je n’aime pas » ou uniquement casser la personne, c’est pas trop mon truc. Je pense que les blogs et les réseaux sociaux sont très intéressants pour les auteurs et souvent source de visibilité. Et il y a des blogueurs super sympas avec qui on noue de très bons liens.

 

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Emilie : Je suis très curieuse, donc je m’intéresse à beaucoup de choses. J’ai la mauvaise habitude, lorsque l’on me demande mes centres d’intérêts, de mettre côte à côte la cuisine et les animaux. Ça ne le fait pas ! Mais c’est vrai, j’aime bien cuisiner et je suis « fofolle » quand je vois un animal. Surtout les chèvres ! Quand j’en vois une, j’ai quatre ans d’âge mental. Sinon, j’aime bien regarder les matchs de foot à la télé et écouter du hard-rock et du métal. Je m’intéresse beaucoup à l’histoire, au paranormal et à la médecine. Et j’adore voyager, surtout dans les pays d’Europe centrale et de l’Est. Ce sont mes origines polonaises qui remontent. Je suis passionnée par Cracovie, alors que ma famille n’est pas du tout originaire de cette ville. Je ne sais pas, je devais y vivre dans une vie antérieure. Sinon, j’aime bien l’art aussi.

 

 

JM : - Quel est ton plus grand rêve ?

 

Emilie : C’est hyper matérialiste, mais ce serait vivre de mes deux métiers. Pas être super riche, juste avoir un salaire décent, histoire d’avoir l’impression de ne pas travailler « dans le vide ». Sinon, j’en ai un autre, mais c’est trop personnel pour que je le dise.

 

 

 

JM : - Quels auteurs t'ont donné l'envie d'écrire ?

 

Emilie : Les grands auteurs fantastique du XIXe siècle, comme Maupassant, Théophile Gauthier, Hoffmann, Schiller, Gogol et plus récemment Stephen King.

 

 

JM : - Lis-tu ? Quel genre de lecture ?

 

Emilie : Je lis énormément. Tous les jours. Depuis que je participe à de salons du livre, je lis surtout les auteurs que je rencontre. C’est essentiellement des thrillers et des romans fantastiques, mais de temps en temps je succombe à d’autres genres. Récemment, j’ai lu Léon d’Isabelle Sérafini et ça m’a fait pleurer.

 

 

JM : - Es-tu thé ou café ? Vanille ou chocolat ? Mer ou montagne ?

 

Emilie : Thé ou café, les deux ! Le café le matin, le thé l’après-midi. Plutôt vanille, je n’aime pas le chocolat. Mer ou montagne, je n’en sais rien. Je vais être contrariante, je dirai campagne.

 

 

JM : - Quel est ton proverbe préféré ?

 

Emilie : Ce n’est pas un proverbe, mais une citation de l’athlète américain Jesse Owens « Il faut croire en ses rêves et se donner les moyens de les réaliser. » je l’ai mise sur le site internet d’EML-Écriture.

 

 

 

JM : - Peux-tu nous donner une des tes qualités ? Un de tes défauts ?

 

Emilie : Pour mes qualités, je ne sais pas, il faut demander aux autres. Pour mes défauts, je suis assez casse-pieds. Après, j’ai tendance à dire ce que je pense et ça ne plaît pas à tout le monde, tout comme l’humour noir que je pratique souvent. Je suis une tête de mule et des fois, je donne l’impression de m’en foutre (alors que ce n’est pas du tout le cas). Et je me fatigue super vite.

 

 

JM : - Je vais te poser une question mais je connais déjà la réponse car nous avons la même passion : as-tu des animaux ? Lol

 

Emilie : OOOUUUIII ! Depuis trois ans, Metka partage notre vie. J’ai toujours eu des animaux avec mes parents. On a eu un chien et des chats.

Avant Metka, il y a eu Trust, une femelle basset artésien que j’avais adoptée avant de m’installer avec Cyril. Elle a vécu avec nous pendant treize ans et demi. Quand elle nous a quittés en 2016, je ne voulais pas reprendre d’animaux, mais ça était plus fort que nous.

Et en décembre 2016, on s’est décidés à adopter un chat à la SPA. C’est une belle anecdote qui montre que Metka était faite pour vivre avec nous. Nous sommes allés à la SPA un dimanche pour voir les chats à adopter, mais ce jour-là, ils préparaient une manifestation et personne ne s’est occupé de nous. Nous sommes repartis sans avoir vu de chats. En rentrant, nous nous sommes dit : « Ce n’est rien, on reviendra la semaine prochaine ». Et le même jour, un collègue de Cyril a trouvé Metka dans un sous-bois en faisant son footing. Il l’a amenée chez lui mais ne pouvait pas la garder car elle ne s’entendait pas avec ses animaux (elle a son caractère mon assistante !). Le lendemain, Cyril m’a envoyé une photo de Metka en me demandant si je voulais l’adopter. Et j’ai craqué ! Mais le fait qu’elle ait été trouvée au même moment où on n’a pas pu adopter de chat à la SPA était un signe.

 

 

 

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Emilie : Je crois que j’ai pas mal parlé déjà. On va laisser les gens tranquilles, sauf s’ils ont des questions.

 

 

JM : - Merci Emilie pour cet agréable moment passé en ta compagnie. N'oublie pas de faire un gros câlin à ta « petite assistante » de ma part !

 

Merci à toi Joëlle. Et pas de problème, c’est transmis à Metka. D’ailleurs, elle est sur mes genoux.

 

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Emilie qui se fera un plaisir de vous répondre sous ce post.

 

 

 

https://www.facebook.com/emiliemalaquinlapawaauteure/


 

 

 

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Bonjour aujourd'hui mardi voici ma chronique concernant : "TERRES DE SANG ET DE LUMIERE" tome 1

« TERRES DE SANG ET DE LUMIERE »

L'Appel au départ – tome 1

Jocelyne GODARD

LES EDITIONS DU 38

15 mars 2019

184 pages

 

 

 

Présentation

 

En l’an 1096, la jeune franque Mahaut de Saint-Victor se prépare à quitter le château familial en Picardie pour accompagner ses oncles et son frère qui vont délivrer Jérusalem, à la demande du pape Urbain II, ainsi qu’il le prêche aux futurs croisés lors de l’immense rassemblement qu’il a convoqué devant l’abbaye de Clermont en Auvergne.

Cette première croisade, celle « Des Chevaliers », sera le plus exécrable des voyages jamais vécus à cette époque, d’autant plus que leurs familles, femmes et enfants participeront à l’expédition. Il faut préparer les convois, chariots, chevaux et bœufs, puis la nourriture, les bâches, les couvertures, les armes, les casques et les cottes de maille.

Tous ceux qui reviendront de Jérusalem délivrée de la main des impies seront pardonnés de tous leurs péchés. C’est ce que prêche le pape. L’ Église est ferme : il faut se libérer de la menace turque qui pèse en Palestine et tuer les hérétiques.

Dotée de sa foi chrétienne, Mahaut part avec sa famille pour rejoindre le gigantesque rassemblement à Clermont d’où partira la croisade, menée par Godefroy de Bouillon, en direction de l’Orient.

Une grande saga médiévale en 8 tomes, qui se poursuit avec le tome 2, Violent Danube.

 

L'auteure

 

Née dans la Sarthe, Jocelyne Godard a longtemps vécu à Paris. Depuis quelques années, elle vit dans le Val de Loire. Les sagas et biographies romancées qu’elle a publiées au fil du temps ont toujours donné la priorité à l’Histoire et aux femmes célèbres des siècles passés. Ces femmes qui ont marqué leur temps, souvent oubliées ou méconnues, et qui, par leurs écrits, leurs œuvres, leurs engagements, leurs talents, leurs amours, ont signé l’Histoire de leur présence qu’elle n’a cessé de remettre en lumière. L’Égypte ancienne et le Japon médiéval l’ont fortement influencée. Puis elle s’est tournée vers l’époque carolingienne, le Moyen-Âge et la Renaissance. Et, plus récemment, elle a mis en scène, avec l’éclairage qui leur revient, une longue saga sur l’investissement des femmes durant la Grande Guerre. Lorsque ses héroïnes sont fictives, elles ont toujours un lien étroit avec les femmes qui ont fait la Grande Histoire. Dans ses plus jeunes années, elle s’est laissé guider par la poésie et elle a publié quelques recueils. Puis elle s’est tournée vers le journalisme d’entreprise auquel elle a consacré sa carrière tout en écrivant ses romans. Depuis son jeune âge, l’écriture a toujours tenu une grande place dans son quotidien. Un choix qui se poursuit.

 

 

Mon avis

 

Je remercie les Editions du 38 et en particulier Anita de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, « Terres de sang et de lumière », roman de Jocelyne GODARD, auteure dont j'ai lu un grand nombre d'ouvrages tant j'aime sa plume alerte et élégante.

 

Jocelyne GODARD nous transporte à Clermont en 1096 où le Pape Urbain II invite le peuple à aller délivrer Jérusalem.

 

L'auteure a vraiment le don de captiver les lecteurs en leur offrant un voyage dans le temps et sur les routes aux côtés des croisés, de France en Palestine.

 

Nous découvrons les aventures ô combien mouvementées de Mahaut, jeune fille Franque, jolie et déterminée, sa rencontre avec son promis et les multiples péripéties que notre héroïne rencontrera lors de cette expédition en compagnie de son frère et de son cousin.

 

Les descriptions précises faites par Jocelyne GODARD nous permettent d'imaginer aisément les personnages, riches ou pauvres, les rendant ainsi plus proches de nous, attachants pour certains, détestables pour d'autres..

 

J'ai beaucoup aimé ce court roman historique romancé très bien écrit et documenté, qui se lit facilement et incite vivement à découvrir la suite des aventures de Mahaut.

Un très bon moment de lecture.

 

 

 

Page FB :https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

 

 

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ANNONCE INTERVIEW AUTEURE EMILIE MALAQUIN-LAPAWA MERCREDI 29 JANVIER 18 H SUR MON GROUPE FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

📖 📖

✍️MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS✍️

Bonjour les amis,💁‍♂️💁‍♀️📖

Aujourd'hui Lundi 27 janvier 2020 j'ai réalisé ma 88ème interview 💻 avec un auteur du groupe 💁‍♀️📖qui a accepté de se soumettre à mes questions.

Je vous donne donc rendez-vous le mercredi 29 janvier 2020 à 18 H 00 pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Emilie Malaquin-Lapawa. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Emilie qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.😍

A mercredi.

 

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Bonsoir je partage l'interview que j'ai réalisée ce soir avec Florence JOUNIAUX sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEUR

Florence JOUNIAUX

 

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

  • Notre amie Florence JOUNIAUX a récemment accepté de se soumettre à mes questions.

 

Je partage donc avec vous cette interview à l'issue de laquelle vous pourrez poser vos questions à Florence qui y répondra en direct ou plus tard en fonction de ses disponibilités.

 

 

 

JM : - Bonsoir Florence

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prête à « passer sur le gril » ?

 

Florence : Bonjour Joëlle et bonjour à tous ! C’est une fin d’année chargée ! Concert avec ma chorale, copies d’élèves, lectures nombreuses et finalisation de mes 2 prochains romans : le préquel des 7 Pierres de vie et un thriller ! Je suis prête, oui !

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Florence : Je suis passionnée et j’aime partager mes passions, ce qui explique mon métier, sans doute : j’enseigne au lycée les lettres classiques (français et latin). J’aime lire, bien sûr, et me suis lancée dans l’écriture depuis 11 ans maintenant, un beau soir… J’aime aussi chanter, danser, nager… Je suis quelqu’un d’optimiste. J’ai 3 grands enfants dont le premier s’est marié et m’a donné un petit-fils ! Si si ! Mon petit dernier est au lycée et quittera la maison dans un an et demi. Snif !

 

 

 

 

JM : - Que représente pour toi l'écriture ?

 

Florence : L’écriture est avant tout un moyen d’évasion pour moi. Elle est d’ailleurs venue à moi sans crier gare, si je puis dire (3 soirs de suite, le même début de chapitre m’a trotté dans la tête !) ! C’est aussi un moyen d’explorer notre belle langue et de jouer avec les mots.

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes ouvrages ?

 

Florence : J’ai écrit 12 romans à ce jour (10 sont publiés) et un recueil de poésie. J’ai commencé par de la Fantasy (c’est ma muse qui en a décidé ainsi, en fait), une trilogie, puis est venu un roman historique. Ensuite j’ai alterné une 2ème trilogie et un 2ème roman historique, avant d’écrire une dystopie (SF), de la poésie et un roman fantastique « Histoire de fou ? » sous forme de journal intime. Mon but est d’explorer tous les genres littéraires.

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

Florence : Le préquel des 7 Pierres de vie devrait paraître d’ici fin décembre et mon thriller en début d’année. Ensuite, je vais retourner au roman historique, certainement dans la période de l’antiquité romaine. J’ai quelques idées qui rattacheront ce roman à « La Stèle sacrée », mon premier roman historique. Et j’aimerais aussi écrire une pièce de théâtre !

 

JM : - Comment écris tu (carnets, cahiers, directement sur l'ordinateur) ?

 

Florence : J’écris sur l’ordinateur quasiment depuis le début, mais j’ai aussi des feuilles où je trace des plans pour visualiser les décors, les villes et les royaumes que j’invente.

 

JM : - Tu as une imagination débordante ! Comment procèdes-tu pour créer les protagonistes de tes ouvrages et connais-tu, lorsque tu commences à écrire, la fin de l'histoire ou est-ce que tu improvises au fil des mots ?

 

Florence : J’ai une idée d’ensemble mais je ne connais pas la fin (sauf pour mon thriller, là j’étais obligée !) et je me laisse porter par ma plume. C’est un expérience dont je ne me lasse pas !

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement  ?

 

 

Florence : Voilà un moment que je ne m’en suis pas occupée ! J’en ai fait pas mal il y a quelques années mais le temps me manque. Je vais tâcher de contacter Cultura et une librairie de Thonon en 2020.

 

JM : - A qui confies-tu tes manuscrits (membre de ta famille, bêta-lecteur) ?

 

Florence : J’ai une amie à qui je fais lire et avant, j’avais maman (qui adorait bien sûr tout ce que j’écrivais !) et mon fils aîné (il est désormais trop occupé) . Donc je n’ai pas vraiment de bêta-lecteurs, sauf récemment, pour mon thriller, des amis de plume de Facebook.

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier tes ouvrages ?

 

Florence : J’ai envoyé le tout premier (de la Fantasy) à des maisons d’édition mais évidemment, des réponses négatives. Je me suis ensuite tournée vers Publibook, pas très efficace en terme de promotion, et enfin vers l’auto-édition, avec l’aide mon mari.

 

 

JM : - Que penses-tu de l'édition numérique ?

 

Florence : Je trouve que c’est super ! On peut lire beaucoup de romans à des prix abordables, découvrir de nouvelles plumes, et, moi qui étais réticente devant les liseuses, j’en possède 2 maintenant. Je crois que je n’ai jamais autant lu !

 

 

JM : - Je sais que tu es une dévoreuse de livres mais quel est ton ou tes genre (s) de lecture ?

 

Florence : la fantasy et le roman historique, sans conteste ! J’aime beaucoup le fantastique aussi.

 

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Florence : Le chant, la danse, le sport aussi.

 

 

JM : - Quelle est ta musique préférée et écris-tu en musique ?

 

Florence : Difficile de choisir ! J’aime la musique baroque, Goldman, Génésis, Pink Floyd, Santana, Scorpion, Van Halen, les musiques du monde… Je joue (je devrais dire jouais) du piano et j’ai parfois essayer de composer. Mais rien de concluant. En revanche, il m’est souvent arrivé d’écrire des paroles sur un air déjà composé.

 

JM : - Quel est ton plus grand rêve ?

 

Florence : Je pourrais dire « devenir un auteur connu » ! Mais je crois que je préfère encore que tous mes enfants et ceux que j’aime soient heureux.

 

 

JM : - Peux-tu nous donner ton principal défaut ? Une de tes qualités ?

 

Florence : Je suis possessive… Mais je suis aussi généreuse et à l’écoute.

 

 

JM : - Si tu étais : un fruit, une fleur, un animal : tu serais ?

 

Florence : un fruit : une fraise. Une fleur : une rose. Un animal : une colombe.

 

 

JM : Si tu devais partir sur une île déserte quel livre emporterais-tu ?

 

Florence : Le Seigneur des Anneaux.

 

 

JM : - Quelle est ta citation préférée ?

 

Florence : Qui ne tente rien n’a rien. Mais aussi « Carpe diem ».

 

 

JM : - As-tu autre chose à ajouter ?

 

Florence : Je voudrais d’abord te remercier, Joëlle, pour cette interview et tout ce que tu fais pour les auteurs. Je remercie aussi tous ceux qui prennent le temps d’essayer de connaître les auteurs et qui lisent leurs livres. Et enfin, j’envoie des bises à tous mes amis de Facebook, avec qui j’ai pu nouer une amitié et partager des idées et des émotions. Ces amis me sont devenus précieux.

 

 

JM : - Merci Florence pour cet agréable moment passé en ta compagnie , ta disponibilité et ta gentillesse.

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Florence qui se fera un plaisir de vous répondre sous ce post.

 

 

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Bonjour aujourd'hui lundi voici ma chronique concernant "L'HERITAGE DE CASSANDRA"

« L'HERITAGE DE CASSANDRA »

Anna JACOBS

EDITIONS DE L'ARCHIPEL

9 janvier 2020

352 pages

 

 

 

Présentation

 

1866. Dans l’arrière-pays australien où il n’a pas plu depuis des mois, Maia et Xanthe Blake, 27 ans, les deux sœurs cadettes de Cassandra, abordent un tournant de leur vie.

Maia, gouvernante dans une propriété, est amoureuse de son patron. Mais ce dernier est marié… Xanthe, de son côté, n’a qu’une idée : voyager et retrouver son Lancashire natal.

Les jumelles, qui ont toujours vécu ensemble, parviendront-elles à prendre la bonne décision ? Quitte à accepter d’être séparées ? À moins que l’arrivée d’un inconnu ne chamboule leurs projets…

Le destin, parfois, peut vous transporter bien au-delà vos rêves.

 

L'auteure

 

Anna Jacobs, née en 1941, a grandi dans le Lancashire avant de partir vivre en Australie. Auteure de très nombreux romans vendus à quelque 3 millions d'exemplaires dans le monde, elle a reçu le prix de l’Australian Romantic Book of the Year Award en 2006. Les éditions de l’Archipel ont publié Le Destin de Cassandra  et Cassandra et ses sœurs, les deux premiers volets de cette trilogie, réédités en Archipoche.

 

 

Mon avis

 

Je remercie les Editions de l'ARCHIPEL et en particulier Mylène de m'avoir donné l'opportunité de lire, en avant-première et en service de presse, « L'Héritage de Cassandra », troisième opus de la saga de Cassandra dont j'ai adoré les premiers volets.

 

La très jolie couverture et la hâte de retrouver les protagonistes de cette magnifique saga m'ont incitée à commencer au plus vite la lecture de ce dernier tome.

 

Cet ouvrage nous invite à suivre les jumelles Blake, Maïa et Xanthe, jeunes femmes au caractère différent certes mais tout aussi fortes et déterminées l'une que l'autre.

Nous partageons leurs joies, leurs peines, leurs déceptions, leurs amours et voyageons, par les mots de Anna JACOBS, en Australie.

 

Les personnages sont toujours aussi vrais et hauts en couleur et de nouveaux viennent rejoindre les sœurs Blake tels que Kathleen et Ronan, bousculant quelque peu le cours de l'histoire que l'auteure ne manque pas de recadrer en rappelant certains épisodes qui se sont déroulés lors des deux précédents opus, ce qui permet aux lecteurs de se les remémorer.

 

J'ai ADORE et quitté à regret ce très bon roman aux multiples rebondissements, qui offre un réel dépaysement, d'évasion et aborde avec beaucoup de précisions les thèmes comme l'amour, l'amitié, la place des femmes au XIXème siècle, les différences de classes sociales, la jalousie, la folie. Elle met à l'honneur des femmes fortes très attachantes.

 

Je lirai assurément d'autres ouvrages de cette auteure dont la très jolie plume m'a vraiment séduite.

 

Un excellent moment de lecture.

 

Page FB : https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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ANNONCE INTERVIEW AUTEUR FLORENCE JOUNIAUX LUNDI 27 JANVIER 18 H SUR MON GROUPE FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

Hier samedi 25 janvier 2020 j'ai réalisé ma 87ème interview 💻💁‍♀️📖 avec un auteur de mon groupe qui a accepté de se soumettre à mes questions.

Je vous donne donc rendez-vous le lundi 27 janvier 2020 à 18 H 00 pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Florence Jouniaux 💁‍♀️📖. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Florence qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

A lundi.😍

 

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Bonjour je partage l'interview que j'ai réalisée ce jour avec PERRINE MARCHE sur mon groupe fb : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEURE

Perrine MARCHE

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

  • Perrine MARCHE a gentiment accepté de se soumettre, récemment, à mes questions.

  • Je partage avec vous cet entretien et vous pourrez, si vous le souhaitez, poser vos questions à Perrine sous ce post : celle-ci y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

 

 

JM : - Bonjour Perrine

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Perrine : Oui, avec grand plaisir.

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Perrine : Une personne passionnée qui ne connaît pas le juste milieu. Je suis quelqu’un d’assez têtue et de déterminée qui ne renonce jamais. J’ai besoin de défis, de buts pour me permettre d’avancer dans la vie, malgré l’adversité. En effet, je souffre d’un lourd handicap de naissance et il y a 12 ans, en une fraction de seconde, mon existence a basculé une seconde fois.

 

 

 

 

JM : - Que représente pour toi l'écriture ?

 

Perrine : Un exutoire, un besoin vital. Une manière de m’inventer d’autres vies et de continuer de vibrer, de me sentir vivante. Le début de l’aventure a commencé lorsque j’ai dû renoncer à ce qui était plus qu’une passion, c’était une raison de vivre. Je veux parler de sport et de la compétition. Je me retournais sans cesse sur ce que j’avais perdu… Je pleurais souvent, puis un jour des amis m’ont dit : « Ne pleure pas, écrit ! ». Je n’ai pas réfléchi longtemps, j’ai foncé tête baissée.

 

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes ouvrages ?

 

 

Perrine : « Et soudain la vie bascule ! » Mon héroïne, Maeva, est une adolescente qui ne vit que pour le sport et qui souhaite devenir professionnelle. Elle est douée, talentueuse, têtue, rebelle et travaille d’arrache-pied pour parvenir à atteindre ses objectifs. Elle n’a qu’une idée en tête GAGNER coûte que coûte. Dans ce milieu, les jeunes athlètes sont conditionnés, il n’y a pas de place pour les plus faibles. Elle sera prête à tout pour réaliser son rêve quitte à enfreindre les limites imposées par ses parents. Un jour, elle surprend une conversation entre sa mère et sa grand-mère. Bouleversée, elle s’enfuit de la maison et en une fraction de seconde, son existence et celle de sa famille va voler en éclat… Elle découvrira une autre vie, a laquelle personne n’est préparé. Elle verra son avenir s’envoler, mais son caractère bien trempé et sa détermination sans borne lui permettront de se battre pour tenter de se reconstruire et surtout de se relever…

 

« La vie, l’amour, les emmerdes » tome 2. L’histoire se déroule 11 ans plus tard. Maeva est à présent adulte, il est temps pour elle de quitter le nid familial afin d’obtenir son indépendance. Dans ce second volet, vous découvrirez le combat sans relâche qu’elle devra livrer pour vivre libre, travailler, faire du sport. Son chemin sera semé d’embûches. Vous serez immergés dans son quotidien et connaîtrez, ses joies, ses colères, ses frustrations, ses rêves, ses amours, ses emmerdes !

 

Il est bien évident que ces deux romans sont des fictions, mais les émotions, la colère, la révolte, le sentiment d’injustice résultent de mon propre ressenti. Je pense que c’est ce qui donne une force aux deux récits.

 

Mon héroïne a un caractère fort, tout comme moi, mais c’est aussi ce qui lui permet de se battre et de toujours se relever quelques soient les difficultés.

 

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en dire quelques mots ?

 

Perrine : Le tome 3 qui viendra clôturer cette trilogie. Ensuite, je ne sais pas, je ne suis plus en mesure de me projeter, mon état se dégrade et je dois apprendre à vivre au jour le jour.

 

 

 

JM : - Comment écris tu (carnets, cahiers, directement sur l'ordinateur) ?

 

Perrine : Directement sur l’ordinateur. De plus, je ne peux pas écrire longtemps par jour à cause de douleurs chroniques intenses. J’ai la chance d’avoir l’imagination fertile et je me sers également de situations plus ou moins vécues ou rencontrées de par mon expérience.

 

 

 

 

JM : - Tes deux livres sont des témoignages sur le combat face au handicap. Envisages-tu d'écrire dans un genre différent ?

 

 

 

Perrine :

Peut-être… Qui sait ! J’aimerais, mais j’ai encore beaucoup de choses à apprendre et c’était important pour moi d’écrire sur ce sujet précis. Mes romans sont truffés de messages forts destinés à faire découvrir « Une certaine réalité sur le monde du handicap » souvent mal connu, voire méconnu du grand public.

 

 

 

JM : - A qui confies-tu tes manuscrits (membre de ta famille, bêta-lecteur) ?

 

Perrine : « Et soudain la vie bascule ! » a été relu par des membres de la famille et amis, mais trop absorbés par l’histoire, nous avons laissé passer encore trop de coquilles et de fautes. Prenant, conscience de mon erreur, le manuscrit a été repris rapidement et entièrement revu.

En ce qui concerne « La vie, l’amour, les emmerdes ! » j’ai fait appel à une correctrice et bétas lecteurs et lectrices. Mon expérience m’a permis de ne pas reproduire les mêmes erreurs de débutants.

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier tes ouvrages ?

 

Perrine : J’ai souhaité opter pour l’auto-édition, car je suis une auteure qui écrit avec son cœur et ses tripes. Je désire préserver l’authenticité, le franc parlé et l’humour qui me caractérise.

 

 

 

 

JM : - Que penses-tu de l'édition numérique ?

 

Perrine : Je pense que c’est une bonne alternative. Un progrès énorme qui permet justement aux personnes ayant des difficultés physiques de pouvoir lire.

 

 

 

JM : - Outre l'écriture, je sais que tu lis et chroniques un grand nombre de livres. Peux-tu nous dire quelques mots sur cette activité et nous donner le nom de ta page FB ? Est-ce que tu parviens à chroniquer un livre qui ne t'a pas plu ?

 

 

Perrine : Effectivement, je tiens un blog : Lectures Évasion – Lire c’est rêver les yeux ouverts.

https://lecturesevasiondotblog.wordpress.com/a-propos/

 

Ainsi qu’une page FB :

https://www.facebook.com/lecturesevasionpatriciamercier/

 

Je parviens à chroniquer des livres qui ne me plaisent pas. Je privilégie l’honnêteté, mais ne porte aucun jugement sur l’auteur. Un roman ne peut pas plaire à tout le monde et j’ai envie de dire : heureusement. Par contre, j’argumente toujours et fais preuve d’un maximum de respect. Il m’est arrivée d’abandonner un livre en cours de route, mais c’est assez exceptionnel.

 

 

JM : -Quel livre lu dans ton enfance t'as marquée ?

 

Perrine : Retourne vers la lumière mon fils de Chris Oyler. Une histoire vraie qui m’a fait pleurer. Je ne peux pas dire que ce soit dans mon enfance puisque je ne lisais pas.

 

 

JM : - Quels sont tes auteurs préférés (dans le présent, dans le passé) ?

 

Perrine : Jojo Moyes, Agnès Ledig, Colleen Hoover, Karine Giebel, Amélie Antoine…

 

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Perrine : Le sport, même si je ne peux plus pratiquer. La lecture, le cinéma, les balades au soleil.

 

 

 

JM : - Quelle est ta musique préférée et écris-tu en musique ?

 

Perrine : Mes goûts sont assez variés en musique. J’aime beaucoup Calogero, Grand Corps Malade, mais je peux également écouter ABBA, BEE GEES, COOL AND THE GANG (oui je sais ça ne nous rajeuni pas lol)

 

Lorsque j’écris, j’ai besoin d’être dans le silence total. Je me déconnecte de mon corps et endosse la vie de mes héros. Ce temps me permet de m’évader, d’oublier ce qui fait encore trop mal. De vivre au travers de mon héroïne tout ce que la vie m’a volée au fil des années…

 

 

JM : - As-tu un film ou une série culte ?

 

Perrine : Walking Dead, Prison Break, La planète des singes, Desperates Housewives, Nina série et bien d’autres…

 

 

JM : - Quel est ton plus grand rêve ?

 

Perrine : Ne jamais s’arrêter de s’inventer de nouveaux rêves justement.

 

 

JM : - Et ton proverbe préféré ?

 

Perrine : Ce qui ne tue pas rend plus fort.

 

 

 

 

JM : - Le mot qui te définit le mieux ?

 

Perrine : Combattante.

 

 

 

JM : - Si tu étais : un fruit, une fleur, un animal, un dessert : tu serais ?

 

Perrine : Une poire, une orchidée, un chien, un fondant au chocolat.

 

 

 

 

 

JM : - Dans quel lieu aimes-tu te ressourcer ?

 

Perrine : Je ne peux malheureusement plus voyager, mais j’aime me ressourcer en compagnie de mes amis. Un resto, un café, et discuter.

 

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Perrine : Merci Joelle pour ta gentillesse et pour cette interview fort sympathique.

 

 

 

JM : - Merci Perrine pour cet agréable moment passé en ta compagnie, ta disponibilité et ta gentillesse.

 

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Perrine qui y répondra sous ce post.

 

 

 

 

https://www.facebook.com/lecturesevasionpatriciamercier/

 

 

https://www.facebook.com/perrinemarcheauteure/

 

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ANNONCE INTERVIEW AUTEURE PERRINE MARCHE SAMEDI 25 JANVIER 2020 16 H SUR MON GROUPE FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

✍️MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS✍️

Bonjour les amis,💁‍♂️💁‍♀️📖

Hier lundi 20 janvier 2020 j'ai réalisé ma 86ème interview 💻avec un auteur du groupe 💁‍♀️📖qui a accepté de se soumettre à mes questions.

Je vous donne donc rendez-vous le samedi 25 janvier 2020 à 16 H 00 pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Perrine MARCHE 💁‍♀️📖. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Perrine qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.😍

A samedi.😎

 

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Bonsoir je partage l'interview que j'ai réalisée ce soir avec Sandrine MAILLARD sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEURE

Sandrine MAILLARD

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

Notre amie Sandrine MAILLARD a accepté de répondre récemment à mes questions.

 

Je partage donc avec vous cette interview à l'issue de laquelle vous pourrez poser vos questions à Sandrine qui vous répondra plus tard en fonction de ses disponibilités.

 

 

JM : - Bonsoir Sandrine

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prête à « passer sur le gril » ?

 

Sandrine : euh...là tout de suite, je me sens comme une brochette….:D

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Sandrine : tout d’abord, ce nom est mon nom administratif que facebook m’oblige à utiliser. Mon nom d’auteur est Lara Lee Lou Ka. J’écris de la fantasy jeunesse depuis quelques années déjà. Je vis avec mes trois chats dans le Sud. Sinon, rien de bien folichon dans ma vie. J’ai un boulot alimentaire et je passe mes moments de détente à lire ou écrire. Je n’ai aucune famille et peu d’amis…

 

 

JM : - Que représente pour toi l'écriture ?

 

Sandrine : un moyen d’évacuer tout ce qui encombre mes pensées.

 

 

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes romans ?

 

 

Sandrine : J’ai écrit ma première trilogie, Sheendara, d’un bloc après avoir lu les trois trilogies de Pierre Bottero. C’est une trilogie de fantasy jeunesse retraçant la quête d’un homme qui, privé de sa mémoire, fera tout son possible pour délivrer le monde de Sheendara du Mal absolu.

Une deuxième trilogie «  les enfants de Sheendara » a suivi. Elle se déroule quatre ans après la première et on retrouve les personnages de la précédente aventure.

En parallèle, j’ai écrit des histoires pour enfants regroupées dans « les aventures de la fée Paillette », petite fée espiègle qui n’aime pas l’école. Ainsi qu’un one-shot de urban fantasy «  Séléna » et un autre de fantasy médiéval «  La dernière des Liomages », ainsi qu’un recueil de nouvelles intitulé «  le goûter d’anniversaire et autres récits peu ordinaires ».

 

 

 

JM : - Tes ouvrages sont des livres fantastiques. Pourquoi ce choix et envisages-tu d'écrire dans un genre différent ?

 

Sandrine : Je ne choisi pas mon genre d’écriture, j’écris ce qui me passe pas la tête. Mais une chose est certaine, je n’écrirai jamais de policier, de thriller ou de romance, car je suis nulle dans ce domaine même si j’aime en lire. Ceci dit, mon recueil de nouvelles inclut des genres que je n’aurai pas penser exploiter il y a quelques années… Alors qui sait ?

 

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

Sandrine : J’ai six manuscrits en cours. Mais je n’aime pas en parler avant que tout soit finalisé.

 

 

 

JM : - Comment écris tu (carnets, cahiers, directement sur l'ordinateur) ?

 

Sandrine : j’écris au style sur des carnets, des feuilles volantes, des enveloppes...bref tout papier à porter de main peut être noirci par une idée. Ensuite, je recopie sur mon ordinateur.

 

 

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement  ?

 

 

Sandrine : Je ne participe pas à ce genre de manifestations. Pour moi, seuls les livres doivent être mis en avant. Je ne suis que celle qui tient la plume.

 

 

JM : - Que penses-tu de l'édition numérique ?

 

Sandrine : Je m’y suis faite. Et ça permet de découvrir un auteur à moindre coût.

 

 

JM : - A qui confies-tu la première lecture de tes manuscrits (membre de ta famille, bêta-lecteur) et qui réalise les couvertures de tes livres ?

 

Sandrine : Mes bêtas lecteurs sont les premiers à me lire. Quant à mon illustratrice qui réalise mes couvertures et les dessins intérieurs de mes livres se prénomme Lucie et vous pouvez découvrir son magnifique travail sur sa page facebook : le monde de Lam Illustration.

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire éditer tes romans ?

 

Sandrine : J’aime le monde de l’auto édition. J’ai testé le monde classique et j’ai détesté. Je suis de celles qui aime tout maîtriser. Je suis chez amazon pour l’édition numérique et chez lulu pour les versions papier ?

 

 

 

JM : Lis-tu et quel genre ?

 

Sandrine : Je lis beaucoup. A ce jour, j’en suis à mes 129 et 130e livres . Je lis toujours deux livres en même temps car je lis sur ma tablette l’après midi en rentrant du travail et le soir en version papier avant de dormir.

 

 

 

JM : - Quels sont les auteurs que tu apprécies (dans le passé et dans le présent )?

 

Sandrine : Celui qui m’a donné le déclic a été Pierre Bottero. Mais j’ai dévoré Tolkien, Robin Hobb et Lynn Fleweling. Depuis quelques années , je lis surtout des auteurs auto édités et je dois avouer que j’ai découvert de jolies pépites telles que Florence Jouniaux, Ludovic Metzger, Freeric Huggins, Marc Vidon, Giovanni Portelli, Aurore Aylin, Ysaline fearfaol, Sylvie Noël, Nathalie Brunal, Olivia Jones… Et la liste peut être longue.

Et je lis aussi certains auteurs de petites maisons d’édition comme Laetitia Arnoult, dont le dernier livre «  Et il a neigé sur le fjord » est un délice que je savoure actuellement sur ma tablette.

 

 

JM : - Quand écris-tu : le jour, la nuit ? Pendant combien d'heures ?

 

Sandrine : peu importe, c’est ma plume et mon imaginaire qui décident.

 

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Sandrine: la lecture

 

 

JM : - Je sais que tu as un blog littéraire.. Peux-tu nous dire quand et pourquoi tu l'a créé et nous en parler afin de nous donner envie de le visiter ?

 

Sandrine : mon blog a été créé en mai 2017 ( si je ne me plante pas dans la date) suite à une énième fermeture de facebook. C’est un endroit à moi où je poste tous mes retours de lecture et, quand je le peux, j’y glisse aussi des interviews d’auteurs mais j’avoue que cette année, je n’ai pas eu le temps d’en faire.

 

 

JM : - Y a-t-il dans tes livres, des personnages qui te touchent et auxquels tu t'identifies ?

 

Sandrine : il y a un peu de moi dans chaque livre mais je ne dirai pas quoi. Ah si, je peux vous dire que Criip, mon dragon nain végétarien dans Sheendara, a hérité de mon humour.

 

 

JM : - Quel est ton endroit préféré (pièce de ta maison, région, pays)

 

 

Sandrine : Noirmoutier et son Gois. J’aime tellement cet endroit que je l’ai pris comme modèle pour un des passages de la dernière des Liomages.

 

 

JM : - Si tu étais : une couleur, un animal, un dessert : tu serais ?

 

Sandrine : une couleur : le kaki, un animal : un ours, un dessert : le tiramitsu

 

 

JM : - Si tu devais partir sur une île déserte, quel objet indispensable à tes yeux emporterais-tu ?

 

Sandrine : peut être le livre que je lis actuellement et que je relis chaque fin d’année : « une seconde avant noël » de Romain Sardou.

 

JM : - Aimes-tu le cinéma , quel est ton film culte ?

 

Sandrine : Le cinéma ne m’attire pas car je suis claustrophobe et les salles obscures m’étouffent. Je préfère regarder un film chez moi.

Mon film culte : j’en ai tellement … Willow, Dirty dancing, Independance day, Les Autres...bref, j’en ai pas qu’un.

 

JM : Quel mot te définit le mieux ?

 

Sandrine : solitaire

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Sandrine : j’espère que mon univers attirera de nouveaux voyageurs qui testeront les balades sur les terres de mon imaginaire.

 

 

JM : - Merci Sandrine pour ce très agréable moment passé en ta compagnie , ta disponibilité et ta gentillesse.

 

 

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Sandrine qui se fera un plaisir de vous répondre plus tard sous ce post.

 

Bonne soirée à tous.

 

 

 

 

 

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