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Bonjour aujourd'hui vendredi voici ma chronique concernant : "JOHNNY LE GUERRIER"

« JOHNNY LE GUERRIER »

Gilles LHOTE

MONPOCHE

Novembre 2018

332 pages

 

Présentation

Johnny, c'est notre Keith Richards, l'enfance à la Zola et les « morts » à répétition en plus. On pouvait penser que tout avait été écrit sur lui.. c'est loin d'être le cas !

Comment retracer l'histoire de Johnny Hallyday, ce chanteur moitié guerrier, moitié phénix, dont toute la vie a été une succession de combats et de prises de risques ? Son enfance sans père, désargentée, sa famille de saltimbanques vagabonds, la prophétie gitane qui fit de lui un « élu », expliquent sa fêlure mais aussi son incroyable force et sa capacité à renaître de toutes les épreuves. Après le triomphe de l'Alhambra en 1960, le destin de Johnny a épousé celui de la musique qu'il aime : de son premier mariage avec la reine des yé-yé à sa tentative de suicide, du délire psychédélique du Johnny Circus jusqu'au concert de Las Vegas – la ville du King -, de ses intenses périodes de doute à son triomphe éclatant au Stade de France, l'idole aura traversé soixante ans de « Sex, Drugs & Rock'n Roll », cédant au gigantisme que lui imposaient ses rêves, emportant avec lui des générations de fans..


Pour avoir côtoyé Johnny pendant près de trente ans, Gilles LHOTE a recueilli d'innombrables confidences qui lui permettent aujourd'hui de réécrire la sage par-delà le mythe. Il dessine ici le portrait d'un perfectionniste passionné et monomaniaque, découvreur de talents, bête d'intelligence tactique. A la lumière de ces pages, Johnny apparaît surtout comme un héros tragique qui aura mené sa carrière pied au plancher, honorant pour toujours les pères fondateurs du rock, cette musique du diable qui consume ses apôtres.

 

L'auteur

Photographe, globe-trotter, puis journaliste à Paris Match, Gilles LHOTE a fait partie de la rédaction en chef de VSD avant de diriger le service photos de Télé 7 jours. Spécialiste du rock, auteur de nombreux albums de biographies de stars, il a écrit avec Johnny son autobiographie Destroy (Michel Lafond) et a consacré différents livres au rockeur : Johnny le Survivant, un Dictionnaire de A à Z (en collaboration avec Patrick Mahé, Ramsay) et, au Cherche Midi, Johnny le rock dans le sang, Journal de la démesure et Johnny interdit.

 

 

Mon avis

 

Je remercie DE BOREE Editions – Montpoche et en particulier Virginie de m'avoir donné l'opportunité de lire « Johnny le guerrier », ouvrage de Gilles LHOTE.

 

Gilles LHOTE, ami de longue date de Johnny Hallyday, nous offre une nouvelle biographie du chanteur, l'idole des jeunes et de moins jeunes, le rocker aux 60 ans de carrière que pour ma part j'aimais beaucoup et dont la mort, comme beaucoup de monde, m'a particulièrement affectée.

 

Ainsi nous apprenons beaucoup sur Johnny, son enfance perturbée par l'absence de Léon son père, la personnalité de sa mère Huguette et celle de sa tante Hélène qui a joué un rôle important dans sa vie, afin qu'il devienne « l'élu ».

 

L'auteur nous parle également des amours et des confidences que le chanteur lui a dévoilées.

 

Gilles LHOTE explique comment Johnny s'est battu toute sa vie et plus encore à l'annonce de son cancer, comment malgré les souffrances, affaibli mais toujours débout, il a lutté contre la mort qui s’immisçait insidieusement dans son corps..

 

J'ai ADORE ce livre qui m'a beaucoup émue et fait ressortir des souvenirs de jeunesse et que je recommande aux fans de cet incroyable artiste qu'était « Johnny le guerrier » qui restera toujours présent dans nos mémoires et dans nos cœurs.

 

Très bon moment de lecture.

 

 

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Bonjour aujourd'hui jeudi je vous propose ma chronique concernant : "UN FRERE DE TROP"

« UN FRERE DE TROP »

Sébastien THEVENY

Auto-Edité

19 octobre 2017

460 pages

 

 

Présentation

 

Eté 1986, au large de la baie des Anges.

 

Le fils aîné des Lacassagne, une riche famille d'investisseurs niçois, se noie lors d'une virée en mer en compagnie de son frère et de sa sœur.

 

Eté 2016. Coup de chaud sur Nice.

 

Le patriarche des Lacassagne, à l'aube de ses quatre-vingts ans, décide de transmettre les rênes de son empire à ses enfants.

 

Dans le même temps, il engage un journaliste-écrivain public pour rédiger ses mémoires. Laisser une trace sur papier de ses réussites.

Mais les journalistes ont le fâcheux défaut d'être trop curieux...

 

Le loup est entré dans la bergerie...


30 ans après le drame, les vérités éclatent...

 

Les accidents sont-ils toujours fortuits ?

 

L'auteur

Sébastien THEVENY est l'auteur de trouble Je (Editions Douin – 2016), un suspense familial qui a remporté un vif succès critique auprès du lectorat. Il a également publié un recueil de poèmes, puis un roman en alexandrins.

 

Mon avis

 

Je remercie Sébastien THEVENY de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son roman « Un Frère de trop » ainsi que pour la très gentille dédicace qui m'a beaucoup touchée.

J'ai ainsi pu découvrir la très belle plume de cet auteur.

 

L'histoire commence en 1986 à Nice où nous faisons connaissance avec la famille Lacassagne puis l'auteur nous transporte en 2016, au moment où le patriarche souhaite écrire ses mémoires et pour ce faire, engage un journaliste et sa jeune assistante.

Les secrets bien cachés de cette famille vont-ils enfin être dévoilés ?

Sébastien THEVENY nous offre un magnifique thriller doux et extrêmement bien écrit, comme je les aime ! Un vrai régal pour les amoureux de la langue française. Nous suivons donc, à l'aide de retours dans le passé, cette enquête familiale très intéressante, aux nombreux rebondissements et au suspense bien gardé qui tient en haleine jusqu'au dénouement ô demeurant inattendu...

Les traits de caractère tant physiques que psychologiques des protagonistes de ce roman et les lieux sont décrits à merveille, permettant ainsi de les comprendre et de les visualiser.

J'ai ADORE ce roman sur le pouvoir, les secrets de famille et la richesse, qui est très addictif et que j'ai lu pratiquement d'une traite ne pouvant me résoudre à le refermer tant il est captivant et que j'ai refermé à regret.

Un COUP de COEUR pour moi. Je lirai assurément d'autres ouvrages de cet auteur.

Excellent moment de lecture.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

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Bonjour aujourd'hui mercredi voici ma chronique concernant : "BLOUSE BLANCHE ET 5 NOUVELLES D'ANTICIPATION"

« BLOUSE BLANCHE

ET 5 NOUVELLES D'ANTICIPATION »

Jean-Baptiste VAN DYCK

NDB EDITIONS

1er octobre 2018

185 pages

 

Présentation

 

Un infirmier, Antoine, est fou amoureux de sa collègue. Il idéalise son désir ardent dans ses pensées et ne voit pas la réalité de son quotidien lui échapper complètement. Une ambiance de service psychiatrique en mode nocturne. Une veillée habituelle, l'accalmie avant la monstruosité.

Suivi de 5 nouvelles d'anticipation sociétales et réalistes, ayant pour cadre un monde de demain pas très éloigné de celui dans lequel nous évoluons déjà. Une anticipation violente mais vivante.

 

L'auteur

 

Cogitateur chronique, Jean-Baptiste VAN DYCK voyage, songe et griffonne ses histoires depuis l'adolescence. Le futur comme préoccupation entêtante, il anime et articule ses récits d'une écriture clinique et dynamique, ancrée dans le réel de nos sociétés.

 

Mon avis

 

Je remercie NDB EDITIONS et en particulier Nelly de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, « BLOUSE BLANCHE ET 5 NOUVELLES D'ANTICIPATION », ouvrage de Jean-Baptiste VAN DYCK.

 

Bien que peu attirée par ce genre de lecture, la couverture originale et énigmatique m'a de suite interpellée.

 

JB VAN DYCK commence son récit par une intrigue surprenante et déroutante qui met de suite dans l'ambiance terrifiante qui nous attend...

 

Les cinq nouvelles futuristes qui suivent ont pour thème la science, la surpopulation, l'écologie, l'alimentation... Elles nous emportent dans le milieu de la psychiatrie, glauque et dérangeant.

 

 

L'écriture est fluide et précise. JB nous invite à réfléchir sur le monde actuel et l'avenir que sera celui de nos enfants et nos petits enfants. A méditer...

 

J'ai lu ce court ouvrage pratiquement d'une traite, la journée toutefois afin de m'éviter de faire des cauchemars, qui m'a effrayée à maintes reprises et que je recommande aux amateurs du genre, friands de sensations fortes et d'hémoglobine.

 

Bonne lecture !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui mardi voici ma chronique concernant : "PACHACUTI LA FIN DU MONDE"

« PACHACUTI LA FIN DU MONDE »

Didier CALLOT

MARIVOLE EDITIONS

27 SEPTEMBRE 2018

296 pages

 

Présentation

 

Il y a longtemps que notre monde n'avait connu période plus troublée, où les armes prolifèrent dans tous les pays, et où deux chefs d’état trop gâtés se disputent la taille de leurs boutons nucléaires. Qui appuiera dessus le premier ? Peu importe, ce qui devait arriver arrivera, et la prophétie des Incas, Pachacuti, concernant la fin, sous forme d'un gigantesque chaos, d'un quatrième monde, avant l'avènement d'un cinquième, plus pacifique et plus faste, se réalisera-t-elle ? Elle corroborait les légendes, chrétienne d'Armageddon, et nordique de Ragnarök, à propos d'une sorte d'Apocalypse. Que peut y faire maintenant Luc, ingénieur atomiste repenti, qui vient de quitter Edith, sa compagne hôtesse de l'air, et qui est réfugié dans un abri antiatomique pendant que celle-ci s'est envolée pour un pays lointain ? La seule chose qui comptera pour lui dorénavant, ce sera de la retrouver. Mais, sur une planète en grande partie détruite par une guerre nucléaire, y réussira-t-il ? Subsistera-t-il sur cette terre un endroit préservé de la folie des hommes, une sorte de paradis terrestre inviolé par la « civilisation » ?

 

L'auteur

Avec son 4ème roman, Didier CALLOT, écrivain éclectique s'il en est, puisqu'il écrit aussi des chansons et des sketches, a choisi de changer de registre, abandonnant, pour cette fois-ci, la catégories « romans régionaux » pour celle de « romans d'anticipation ».

S'inspirant de la psychose actuelle d'une guerre nucléaire possible, il franchit le pas et imagine ce qui pourrait se passer si celle-ci devenait mondiale.

Cela donne ce livre palpitant, commençant comme un roman de science fiction et se terminant en roman d'aventures, fait de voyages autour du monde et de découvertes très surprenantes.

Didier CALLOT a déjà publié 3 romans : La Gitane, sa suite Le Bohémien aux yeux clairs, saga amoureuse en roulotte sur fond de Grande Guerre, et L'Ermite de Loire, consacré à son fleuve fétiche.

 

Mon avis

 

Je remercie MARIVOLE Editions et en particulier Christophe de m'avoir permis de lire, en service de presse, « PACHACUTI LA FIN DU MONDE », roman de Didier CALLOT et de retrouver la belle plume de cet auteur mais dans un genre totalement différent de celui de ses précédents ouvrages.

 

Bien que peu habituée à ce thème de lecture, la couverture flamboyante et le titre m'ont interpellée. La prophétie Inca pourrait-elle se réaliser ?

 

Didier CALLOT nous propose un roman d'anticipation sur l'éventualité d'une guerre nucléaire mondiale en mêlant à ce récit, l'histoire de Luc, scientifique atomiste et d'Edith, hôtesse de l'air, son amie de cœur.

 

Ainsi, au fil des mots de l'auteur et en compagnie des protagonistes de ce roman, nous voyageons en France jusqu'en Amazonie et nous tremblons pour notre héros et sa belle... Toutefois parviendront-ils à se retrouver dans un tel chaos ?

 

J'ai lu avec plaisir ce roman d'aventure et d'anticipation post-apocalyptique que je recommande aux amateurs du genre.

 

Bonne lecture.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Bonsoir je vous propose l'interview que j'ai réalisée ce soir lundi 26 novembre avec un auteur sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEUR

Nathalie ANTIEN
Lundi 26 novembre à 18 h

(différé)

 

JM : - Bonsoir à tous

 

-Je partage avec vous l'interview que j'ai réalisée récemment avec Nathalie ANTIEN qui a gentiment accepté de se soumettre à mes questions.

 

- A l'issue de cette publication, vous pourrez, si vous le souhaitez, poser vos questions à Nathalie qui y répondra en direct ou en différé selon ses disponibilités.

 

 

 

JM : - Bonsoir Nathalie

 

Comment vas-tu ? Es-tu prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Nathalie : - Bonsoir Joëlle. J’espère que tu vas bien. Je suis ravie de répondre à tes petites questions ce soir.

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Nathalie : -Si je dois me présenter, alors je dirais que je suis une personne qui se diversifie énormément. Dans la vie je suis professeur mais je suis artiste peintre pastelliste avant toute chose. C’est d’ailleurs pour cela que j’illustre des albums pour enfants. Je m’investis dans l’écriture car je suis une littéraire. Parallèlement à mes activités d’écriture, je voyage beaucoup. Je suis plutôt agréable avec les gens, toujours prête à rendre service et j’aime la relation avec les gens.

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes romans ?

 

Nathalie :- J’écris le plus souvent pour la jeunesse même si je réserve quelques surprises à mon lectorat dans quelques temps. J’aime diversifier mon travail. Mes romans jeunesse abordent le plus souvent des thèmes de l’imaginaire, pour que les jeunes lecteurs entrent dans un univers different du leur.

 

 

JM : - Pourquoi écris-tu des romans jeunesse et depuis combien de temps ?

 

Nathalie :-Mes romans jeunesse sont écrits dans le but de faire rêver mais surtout de redonner goût à la lecture aux jeunes d’aujourd’hui qui ne lisent plus autant qu’avant. Je pense qu’il faut leur proposer des univers qui les fascinent ou les surprennent.

 

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et peux-tu nous en dire quelques mots ?

 

 

Nathalie :-Bien sûr! J’ai toujours des milliers de projets! Je suis sur le point de publier plusieurs romans d’ici à avril 2019. Ils seront de genres littéraires très différents et pas forcément pour la jeunesse! Surprise! Je continue aussi de créer mes petits albums illustrés pour les tout-petits!

 

 

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement et où ?

 

Nathalie :-Oui, bien sûr! Je serai au salon du livre jeunesse de Léognan(Gironde) le 17 novembre 2018, probablement au salon de Blaye les 7 e 8 décembre 2018, puis au Printemps du livre de Montaigu les 6 et 7 avril 2019 (avec Marc Levy) (clin d’oeil) et à la rentrée de septembre, au salon de Pusignan près de Lyon (14-15 septembre) ainsi que le salon du livre du château de Montesquieu à La Brède et celui de Castelnau du Medoc le 17 novembre 2019. Voilà tout du moins les dates programmes et réservées!

Je recherche actuellement des dédicaces en librairie.

 

 

 

JM : - Es-tu sensible à la critique littéraire et penses-tu que les blogs, les réseaux sociaux aident les auteurs à promouvoir leurs écrits ?

 

Nathalie :- Evidemment! C’est d’ailleurs pour celà que je te fais confiance Joëlle et que je suis certaine que beaucoup vont suivre notre petit entretien! (clin d’oeil) Les réseaux sociaux sont aujourd’hui essentiels pour promouvoir les livres! Tout le monde ne s’appelle pas Amélie Nothom et n’est pas invité à l’émission la grande librairie…Qui sait? Peut-être un jour ? (je plaisante)

 

 

 

JM : - Ecrire est-ce pour toi une passion ou un métier ?

 

Nathalie :- Une passion. L’écriture, le dessin et les voyages sont mes trois grandes passions que je réunis lorsque je réalise mes carnets de voyage par exemple.

 

 

JM : - Quand écris-tu (le jour, la nuit) et pendant combien d'heures ?

 

Nathalie :-Dès que je peux, souvent le soir, très tard car dans la journée je travaille. Il me faut une certaine tranquilité pour écrire. Lorsque la nuit tombe, l’inspiration vient plus facilement.

 

 

JM : - Dans ta prime enfance avais-tu déjà envie de devenir écrivain ?

 

Nathalie :-J’ai écrit mon premier “livre” quand j’étais en sixième. J’étais très fière. Mon parrain était imprimeur et m’avait donné de quoi le relier. Je ne sais pas ce qu’est devenu ce petit livre d’ailleurs. Mais je ne voulais pas forcément devenir écrivain; Je voulais avoir ma propre galerie de peinture et un immense atelier!

 

 

JM : - Je crois savoir que tu es également illustratrice. Pourrais-tu nous donner des informations sur cette fonction ?

 

Nathalie :-Comme je disais, je fais du dessin, du pastel, de la peinture et je réalise des tableaux. J’ai décidé de combiner peinture, dessin et écriture au service des tout-petits en créant des albums éducatifs et ludiques. J’adore illustrer!

 

 

JM : Comment as-tu procédé pour faire éditer tes livres ?

 

Nathalie :-J’ai cherché très longtemps avant de pouvoir trouver un premier éditeur qui accepte de me publier mais ce ne fut pas une bonne expérience. Je repars actuellement sur de bonnes bases.

 

 

JM : - J'ai appris que tu as beaucoup voyagé.. Est-ce que tu as trouvé, au cours de tes voyages, l'inspiration pour l'écriture de tes livres ?

 

Nathalie :-Oui, bien sûr! Les voyages sont essentiels. Ils nous ouvrent des horizons. Très bientôt, une trilogie sortira et dévoilera des contrées lointaines que j’ai visitées et qui m’ont énormément aidée à me construire. J’écris aussi des carnets de voyage lorsque certains endroits me marquent profondément.

 

 

JM : - Quels sont les auteurs qui t'ont donné l'envie d'écrire ?

 

Nathalie :Etrangement, je ne lis pas du tout les genres que j’écris. Je lis essentiellement les romans noirs américains, les ouvrages des auteurs islandais, norvégiens ou suédois. J’aime particulièrement Ellory, Ellroy, Ken Follet, Ian Rankin et Dennis Lehane.

 

 

 

 

JM : - Lis-tu ? Si oui quel genre ?

 

Nathalie :-Oups! Je crois que je viens de répondre à ta question avant l’heure Joëlle! Je lis des thrillers, des romans avec des intrigues sombres et tortueuses. J’aime quand la chute est surprenante.

 

 

JM : - En dehors de l'écriture as-tu d'autres passions ?

 


Nathalie :- L’Art, l’architecture, les voyages, les rencontres avec les gens et les civilisations hors normes ou très anciennes ainsi que le paranormal.

 

JM : - Quel est ton proverbe préféré ?

 

Nathalie :Je n’en ai pas vraiment.

 

 

JM : - Es-tu thé, café ? Quel est ton péché mignon ?

 

Nathalie :-Je préfère le café mais je n’en bois pas beaucoup. Je ne suis pas très gourmande et je déteste faire la cuisine.

 

 

JM : - As-tu des animaux de compagnie ?

 

Nathalie :-Oui. Deux chats! Des amours

 

 

JM : - Souhaites-tu ajouter quelque chose  ?

 

Nathalie :-Je n’ajouterai qu’une seule chose! Un grand merci à toi Joëlle de m’avoir donné cette opportunité. Ce que tu proposes aux auteurs est vraiment très bien. J’ai adoré ce petit échange! Finalement, j’ai passé l’examen avec succès! Ouf! Merci!

 

 

 

JM : - Merci Nathalie ANTIEN pour cet agréable moment passé en ta compagnie.

 

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Nathalie.

 

 

 

 

 

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Bonsoir voici ma chronique concernant : "EOOL" LA REVOLTE Tome 1

« EOOL »

LA REVOLTE

Tome 1

Christine MACHUREAU

LES EDITIONS DU 38

29 mai 2018

232 pages

 

 

Présentation

 

Éool est un archer remarquable. À ce titre, il veut être reconnu comme chasseur. Mais à l’orée de sa vie d’adulte, le chaman du clan des Bisons en décide autrement. Éool sera le chaman qui lui succédera. Mais Éool négocie et transpose sur une rude vie un rêve d’évolution, un rêve de réelle humanité. Il faut qu’il s’éloigne et bâtisse une vie hors du commun. Jalousies, passions, vengeances, régressions, lois claniques, rien ne lui sera épargné.

Entre -8 000 ans et -7 000 ans, au bord de la Dordogne, dans un clan dont la grotte-habitat est située près de Trémolat (24), c’est la saga d’Éool le chaman que Christine Machureau vous propose. Elle-même rêve à ces temps lointains, assise au bord de la Dordogne, face à la grotte du clan des Bisons. Implantée sur cette rive mythique qui fut un des berceaux de l’humanité, elle vous fera pénétrer profondément les arcanes spirites des premiers hommes, plongés dans la fureur et l’épouvante.

 

 

L'auteure

 

Menant de front une vie de famille, une carrière commerciale, des recherches en histoire et en religions anciennes pendant cinquante ans, Christine Machureau s’affirme comme une romancière du Moyen-Âge.
Ayant enfin à elle les vingt-quatre heures du jour libérées de toute obligation, c’est avec une écriture précise et une grande rigueur (acquise pendant ses études scientifiques) qu’elle manie l’Histoire, mêlée et enrichie du quotidien. Son souci du détail, de l’atmosphère et de la sensibilité humaine va jusqu’à s’immerger dans les divers pays où la mèneront ses enquêtes et ses recherches.


Une véritable passion des voyages lui fera couramment évoquer avec admiration Alexandra David Neel. Appréhender les horizons lointains est une coutume familiale à laquelle elle n’a pas dérogé. Ces derniers enrichissent considérablement ses romans. Ainsi une expatriation de huit années lui permit l’écriture originale de deux romans se déroulant en Polynésie française.


Elle qualifie son écriture d’« écriture immersive », tant son besoin de peindre l’humanité profonde de tous ses personnages, avec leurs dons, leurs défauts et leurs préoccupations, est vivace.

 

Mon avis

Je remercie les Editions du 38 et en particulier Anita de m'avoir donné l'opportunité de lire « EOOL – La révolte » – tome 1, roman de Christine MACHUREAU, auteure dont j'ai lu presque tous les romans tant j'aime son écriture envoûtante et magnifique.

 

La férue d'Histoire que je suis n'a pu qu'être attirée par ce livre qui se déroule à la Préhistoire, période si lointaine qu'elle en est plus captivante à mes yeux.. J'ai lu d'ailleurs dans la même lignée, il y a quelques années, et relu d'ailleurs « Les enfants de la terre ».

 

Comme à son habitude, Christine MACHUREAU nous offre une saga riche en émotions et en rebondissements : Eool le héros fait partie du Clan des Bisons et va vivre avec son complice Adani, des aventures incroyables au cours de la mission qui leur sera confiée....

 

Nous découvrons ainsi les croyances, les moyens de survie, les mentalités de ces peuples. Il faut dire que l'auteure a une imagination débordante et ses descriptions fort détaillées nous font vivre avec une certaine appréhension les aventures de ces deux amis..

 

J'ai beaucoup aimé ce roman historique captivant, extrêmement bien documenté qui garantit évasion, frissons et sueurs froides !

 

Je lirai assurément le second opus de cette saga.

 

Excellent moment de lecture.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui vendredi voici ma chronique concernant : "LES ECLAIREURS - D'UNE VIE A L'AUTRE" tome 1

LES ECLAIREURS

D'UNE VIE A L'AUTRE -Tome 1-

Alexandra STOECKLIN

AUTO-EDITE

22 février 2017

363 pages

 

Présentation

 

Sommes-nous entièrement libres de nos choix ? Nos rencontres sont-elles fortuites ? Des événements pourtant éloignés dans le temps et l’espace peuvent-ils avoir un rapport les uns avec les autres ?


Hermine n’a que seize ans quand elle prend l’une des plus grandes décisions de sa vie : partir étudier dans le Sud de la France. Commence alors une vie faite de rencontres, de choix, d’échecs et de victoires. Les expériences aidant, Hermine apprend à être moins impulsive, à pardonner et à faire de ses erreurs des atouts pour poursuivre son chemin et être heureuse.


Trouvera-t-elle enfin l’endroit où elle se sentira bien afin d’y vivre et de fonder une famille ? Rencontrera-t-elle seulement l’homme qu’elle attend depuis si longtemps ? Et si tous les chemins empruntés convergeaient vers une seule et même destinée ?

 

L'auteure

 

 

Née à Metz en 1983, Alexandra Stoecklin est diplômée en sciences de l'environnement, domaine dans lequel elle exerce sa profession actuelle. Amoureuse de la littérature et rédigeant régulièrement des textes professionnels et personnels durant son temps libre, elle s'est inspirée de ses expériences de vie, de ses nombreux voyages et de sa passion pour les belles phrases afin de rédiger la Trilogie des Eclaireurs, composée de tome 1 : D'une vie à l'autre, du tome 2 : Seule la mort nous séparera, du tome 3 : Tout ça pour Elle, parue en 2018.


 

Mon avis

 


Je remercie Alexandra STOECKLIN pour l'envoi en service de presse de son roman « LES ECLAIREURS tome 1 – D'UNE VIE A L'AUTRE ».

 

Dès les premières pages, je me suis sentie happée par cette histoire mais au fil des mots de l'auteure je me suis posée de nombreuses questions sur l'éventuel lien entre de destin de Mina et Louis et celui d'Hermine..

 

J'ai donc découvert Hermine, adolescente passionnée d'équitation , puis adulte un peu paumée, sans cesse à la recherche du grand amour, posant ses valises dans le sud de la France, à Paris, aux Etats-Unis et en Louisiane où nous la suivons partageant avec elle ses joies, ses peines et ses déceptions. Nous découvrons les rencontres qu'elle fait avec certaines personnes et ses expériences de la vie, tant personnelles que professionnelles, qui vont la faire grandir et s'épanouir.

 

J'ai beaucoup aimé ce roman fantastique très bien écrit, agréable à lire, triste mais empli d'espoir, mêlant paranormal à une histoire d'amour mettant en scène des personnages vrais et attachants que l'on quitte à regret, en attendant de pouvoir lire le second opus de cette trilogie...

 

Très bon moment de lecture.

 

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Bonsoir voici l'interview que j'ai réalisée ce soir avec un auteur sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEUR

Chérif ZANANIRI

Lundi 19 novembre à 18 h

direct

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

  • J'ai lu en 2017 « Mado, retour de l'enfer » et « L'étrange village de Monsieur Labiche » puis récemment «L'Arménie, un passé sans sépulture », « Gayané l'Arménienne – Pellerins de la vie », « Maman, je t'aime.. » enfin dernièrement « La Seconde chance de Lili » de notre ami Chérif ZANANIRI , qui a gentiment accepté de répondre ce soir à mes questions.

 

 

JM : - Bonsoir Chérif

 

  • Comment allez-vous ? Etes-vous prêt à répondre à mon « petit interrogatoire » ?

 

Chérif : absolument, résolument prêt. Avec plaisir. Lorsqu’on se procure un livre, on n’achète pas du papier ou des octets, pas des pages à lire, mais un « auteur ». Alors, se faire connaître est une bonne chose.

 

JM : - Pouvez-vous, tout d'abord, vous présenter afin que nos amis puissent mieux vous connaître ?

 

Chérif : Là, c’est embarrassant. Pas simple de savoir qui on est, comment on est et surtout de quoi demain sera fait.

Pour être simple : je suis un physicien qui a, aussitôt qu’il a pu, tourner casaque et passer du statut de scientifique respecté à celui de « littéraire » avec des guillemets tant il faut être modeste.

Là, je peux vous raconter le pourquoi et le comment du passage, de la classe de terminale jusqu’à hier, sachant que j’ai le bac en 1967 !!!

 

JM : - Pouvez-vous nous parler de vos livres ?

 

Chérif : mes livres. Quelle histoire ! Le dernier sorti est la 70ième publication … je n’ai pas dit roman. … il y a des essais, des livres manuels universitaires, des livres de vulgarisation, d’histoire des sciences, de biographie … et également une vingtaine de romans

Ainsi en 2018 : plusieurs sorties… je vous fais la liste, mais on peut passer plus vite.

Un livre essai sur les paradoxes, Ellipses Editions (Ed universitaire)

Pisseur au vent chez de Borée

Les deux romans sur l’Arménie

La seconde chance de Lili, de Borée

Et je mets la dernière main à « Maman, je t’aime »

 

JM : - Avez-vous d'autres projets d'écriture et souhaitez-vous nous en parler ?

 

Chérif : Bien entendu, je peux développer ces points, mais j’ai peur d’être lassant. A vous de voir, si ça vaut le coup.

 

JM : - Comment trouvez-vous l'inspiration pour imaginer les protagonistes de vos romans ?

 

Chérif : c’est la partie la plus simple. Je vous développe deux exemples ; celui de Léocadie marraine de guerre et celui d’un autre livre, non encore sorti, disons qu’il est dans l’atelier et qui pourra s’intituler : la maison aux bruits étouffés et qui sera un roman d’un nouveau genre pour moi : romantique et fantaisie.

 

JM : Quand écrivez-vous, le jour, la nuit et pendant combien d'heures ?

 

Chérif : dans ma phase d’écriture, beaucoup d’heures par jour ; disons 5 ou 6 et je commence tôt le matin, lorsque tout dort dans la maison. Je profite alors et je discute, me bagarre avec mes propres personnages, tentant de les convaincre de suivre ma volonté. Dieu que c’est parfois difficile ! Je me laisse faire et le roman prend alors d’autres chemins…

 

JM : - A qui confiez-vous vos manuscrits en première lecture (membre de votre famille, béta lecteur) ?

 

Chérif : toujours la même équipe de gens proches et en particulier ma filleule qui est forte en psy et capable de déceler des comportements inappropriés ou des incohérences psychologiques. Puis d’autres encore pour gommer d’autres bêtises car il y en toujours plein. De plus, la phase de correction et d’autocorrection est illusoire puisqu’un auteur ne lit pas ce qui est écrit, mais ce qu’il a bien voulu dire… en fait, ma propre lecture est une véritable passoire !

 

JM : - Comment faites-vous pour assurer la promotion de vos livres ? Pensez-vous que les blogs, les réseaux sociaux aident les auteurs à promouvoir leurs écrits ?

 

Chérif : je fais comme tout le monde. Je compte sur mon éditeur et son carnet d’adresse pour passer dans la presse, la radio ou la TV locale. Mais également les blogs qui ont un très fort impact. Pas nécessairement sur le même public. Il faut donc avoir plusieurs fers au feu et je suis donc, fortement actif sur FB.

 

JM : -Avez-vous des séances de dédicaces prévues prochainement  ?

 

Chérif : je dois en avoir près de deux par semaine (près de 75 par an). Je suis donc pris quasiment tous les week end. Cette semaine du 20/10, le salon d’Orléans. Le 24/11 la Fnac d’Orléans, dimanche 25/11, salon du livre à la Queue en brie près Paris, la semaine qui suit je serai à Chartres, etc.

 

JM : - Que représente pour vous l'écriture ?

 

Chérif : je ne sais pas. J’imagine sans mal ce que pourrait représenter son absence : le vide.

Après une vie très active, l’écriture m’a donné une deuxième jeunesse puisque je suis reparti dans un deuxième métier avec toutes les phases : apprentissage, erreurs, acquis d’expériences, quelques succès, amitiés,…

 

JM : - Aimez-vous lire et quel genre de lecture ?

 

Chérif : je suis un très très mauvais lecteur. Autant j’étais un lecteur facile avant d’écrire, autant je ne lis que mes romans de jeunesse : Maupassant, Giono, Balzac… du classique.

J’ajoute que je ne lis pas l’intégralité d’un texte. Je peux développer la raison.

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont vos passions ?

 

Chérif : je ne sais pas ce qu’est une passion. Je ne sais pas si l’écriture est une passion. je sais juste que je ne peux pas m’en passer.

 

 

JM : - Quels conseils donneriez-vous aux lecteurs qui désirent devenir écrivains ?

 

Chérif : d’abord écrire pour se faire plaisir. On écrit pour soi. L’écriture pour les autres est une toute autre démarche. Là, au de se câliner, il faut prendre garde d’être à la hauteur de ce qu’on propose au lecteur. Il faut être d’une folle exigence pour le satisfaire.

 

 

JM : - Avez-vous des animaux domestiques ?

 

Chérif : non, juste enfants et petits-enfants, ce qui me suffit. Pourtant, nous habitons une ferme et je dispose de beaucoup de place. Mais comme j’aime voyager et que je suis souvent ici ou là, il n’y a aucune raison de laisser des animaux seuls dont il faut s’occuper.

 

JM : - Etes-vous thé ou café ? Chocolat ou vanille ? Fruit ou pâtisserie ?

 

Chérif : thé au lever, puis café le reste de la journée et je suis à la fois fruit et pâtisserie, quoique ces dernières sont à réduire si je veux réduire mon tour de taille.

 

JM : - Aves-vous quelque chose d'autre à ajouter ?

 

Chérif : aujourd’hui … rien.

 

 

 

 

JM : - Merci Chérif pour cet agréable moment passé en votre compagnie, votre disponibilité et votre gentillesse.

 

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Chérif qui se fera un plaisir de vous répondre en direct ou plus tard si vous n'êtes pas présents ce soir.

 

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Bonjour aujourd'hui dimanche voici ma chronique concernant : "LE PAYSAN SANS VACHE"

« LE PAYSAN SANS VACHE »

Serge CAMAILLE

EDITIONS DE BOREE

11 OCTOBRE 2018

246 pages

 

 

Présentation

 

« Mon petit paysan sans vache », une tendre moquerie à l'encontre de Frédéric, parce qu'il a choisi de rester proche de la terre sans jamais se l'approprier. Au-delà de l'amour pour la terre, une autre passion anime Frédéric, ouvrier agricole dans une grande ferme à la sortie de La Guerche, sur la route de Sancoins : les conquêtes féminines !

 

Ainsi, il virevolte joyeusement d'une fille à l'autre dans chaque village de la région. Au cœur du mémorable été 1976, marqué par une canicule sans précédent, la vie bien réglée du paysan sans vache va basculer insidieusement vers l'angoisse.... Qui peut bien s'attaquer à ses petites amies ? Frédéric va s'efforcer de le découvrir avec l'aide de sa bande de copains. Un roman sur l'insouciance de la jeunesse rurale dans cette décennie bénie, échappant encore pour quelque temps au fléau du sida.

 

« Paysan sans vache.. J'adore !

Tu n'es pas déçue au moins ? ».

 

L'auteur

 

Le Paysan sans vache est le neuvième roman de Serge CAMAILLE. Le Petit Berlaudiot (Marivole) a été récompensé en 2015 du Prix Premier roman du cercle Médicis, tandis que L'Enfant du Carladès (De Borée) a obtenu le Prix Arverne 2018. Auxquels s'ajoutent quelques facéties légendaires et culinaires.

 

 

Mon avis

 

Je remercie les Editions DE BOREE et en particulier Virginie de m'avoir permis de lire, en service de presse, « Le Paysan sans vache », roman de Serge CAMAILLE. Je remercie également Serge pour la très gentille dédicace qui m'a beaucoup touchée.

 

Le titre très original m'a de suite attirée et j'ai découvert avec plaisir ce roman qui se déroule dans le Berry, en 1976. Frédéric, jeune ouvrier agricole ne collectionne pas les vaches mais les petites amies et profite bien de la vie tout en exerçant un métier qui lui plaît mais toutefois sans en avoir les contraintes..

 

Serge CAMAILLE nous dévoile une image réaliste du monde agricole des années 70, en pleine mutation à cette époque, en mêlant intrigues policières et amoureuses, le tout dans un style léger et ponctué d'une touche d'humour.

 

L'intrigue est bien menée et le suspense haletant jusqu'au dénouement..

 

J'ai bien aimé ce roman régional mettant en scène des personnages vrais et pétillants qui m'ont fait sourire à maintes reprises et avec lesquels j'ai passé un bon moment de lecture.

 

 

 

 

 

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Bonsoir voici l'interview que j'ai réalisée ce soir avec un auteur de mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEUR

Eric LE PARC
Vendredi 16 novembre à 18 h

(différé)

 

JM : - Bonsoir à tous

 

J'ai lu récemment “Miss Minchin ou l'histoire de la petite Princesse Sara” et “Retour au pensionnat” de notre ami Eric LE PARC qui a gentiment accepté de se soumettre à mes questions.

 

Je partage donc avec vous cette interview à l'issue de laquelle vous pourrez, si vous le souhaitez, poser vos questions à Eric qui y répondra en direct ou en différé selon ses disponibilités.

 

JM : - Bonsoir Eric

 

Comment vas-tu ? Es-tu prêt à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Eric : Bonjour Joëlle ! Très bien et toi ? Oui je suis prêt et c'est avec grand plaisir !

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Eric : Aïe ! La question piège ^^ ! J'ai 41 ans, je suis breton, j'ai une charmante épouse et deux merveilleux enfants et j'écris depuis le lycée... Un certain nombre de mes ouvrages sont publiés mais j'en ai encore pas mal qui dorment dans mes tiroirs.

 

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes romans ?

 

Eric :

Par où commencer? D'autant qu'il n'y a pas que des romans et que beaucoup ne sont pas ou pas encore publiés ?

Mon premier roman publié (mais pas le premier écrit) a été un court roman de SF bretonnante intitulé “Yann Torvarc'h, corsaire à la Nouvelle Saint-Malo” qui est sorti chez un éditeur de Concarneau en 2012 peu après le livre de Balades consacré à la ville de Vannes (Morbihan) que ce même éditeur m'avait commandé. La ME ayant fermé on ne trouve plus ces ouvrages sauf d'occasion.

J'ai deux recueils de nouvelles chez Edilivre “Dyssynchronies” qui rassemble des textes écrits pour participer à des concours et “Cabinets” qui retrace avec humour le quotidien de deux cabinets d'avocats.

Il y a aussi les “Chroniques d'Egtaïna”, un roman sur l'Atlantide dont je pourais parler longtemps et “Julie et les cinq Samouraïs” également chez Edilivre, un roman humoristique en entreprise à la sauce SF et arts martiaux ^^.

Je viens en outre de mettre sur Amazon un roman onirique/humoristique intitulé “Histoires improbables” écrit en 1998 et qui a subi depuis lors un grand nombre de transformations et d'ajouts dont je me suis plu à laisser la trace dans le texte.

Les ouvrages les plus “ambitieux” et que (pour l'heure) je mets le plus en avant sont ceux de la “Série Miss Minchin” à savoir :

  • Miss Minchin” : c'est une réécriture du roman “une petite Princesse” de Frances H Burnett qui décrit l'histoire de la célébrissime petite Princesse Sara de manière personnelle et du point de vue de la directrice.

  • Retour au Pensionnat” dont l'histoire se déroule en 1920 du point de vue de Lavinia qui, un grand nombre d'années plus tard retourne par hasard dans le fameux pensionnat et y retrouve certaines de ses anciennes condisciples.

  • Et “Monsieur Alberto” qui difère des deux premiers par son point de vue masculin et étranger au cercles des personnages de “une petite princesse” ^^. Ce livre est écrit du point de vue de l'aviateur Alberto Santos-Dumont auquel je prête une histoire d'amour avec la belle Sara devenue une femme.

En fait les romans de cette série sont tous des “one shot” ^^. Ils ont une intrigue commune certes... Mais ils ont aussi leur intrigue propre qui les rend lisibles seuls ou dans n'importe quel ordre même s'ils se complètentet s'éclairent les uns les autres.

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et peux-tu nous en dire quelques mots ?

 

Eric :

Des tas ^^ ! Comme je te l'ai dit j'écris depuis longtemps et ai beaucoup tardé à tenter l'aventure de l'édition qui comme chacun le sait est un chemin tortueux et... Piégé...

Il y a donc un certain nombre d'ouvrages écrits depuis longtemps que j'ai prévu (comme “histoires Improbables”) de mettre sur Amazon ou de proposer à des ME et en tout premier lieu une trilogie fantasy-SF dans un univers contemporain intitulée “Le jour du treizième dieu”.

Il y a mes deux romans publiés chez Edilivre “Chroniques d'Egtaïna” et “Julie et les cinq Samouraïs” que je pense republier ailleurs.

Concernant ma série “Miss Minchin” je réfléchis à une réorientation éditoriale rapide de “Retour au Pensionnat” et “Monsieur Alberto”. Un quatrième opus intitulé “Ermie” est en chantier... Et il y en aura certainement d'autres par la suite.

 

JM : - Quand écris-tu ? Le jour, la nuit et pendant combien d'heures ?

 

Eric :

Il n'y a pas de règle en la matière. J'écris quand j'en ai le temps et aussi longtemps que je le peux... Tout simplement... Et selon mon planning professionnel et familial les plages de liberté peuvent aussi bien être le matin ou l'après midi que le soir.

 

JM : - Es-tu sensible à la critique littéraire et penses-tu que les blogs, les réseaux sociaux aident les auteurs à promouvoir leurs écrits ?

 

Eric :

J'y suis très sensible. Les retours quels qu'ils soient sont toujours instructifs. Ils peuvent encourager dans une voie ou introduire des pistes de travail ou d'amélioration.

 

 

 

 

JM : Comment as-tu procédé pour faire publier tes romans ?

 

Eric :

Comme beaucoup d'auteurs j'ai commencé dès le début par attaquer les grosses légumineuses parisiennes le coeur gonflé de certitudes... Et puis j'ai arrêter les frais et mes ouvrages se sont entassés dans mes tirroirs jusqu'à ce que je ne rencontre par hasard Eric Duthion des éditions L'ECRIRE à Concarneau avec lequel j'ai réalisé un livre touristique sur la ville de Vannes (Morbihan) et ai publié à compte d'éditeur un petit roman de SF Bretonnante. J'ai ensuite tenté Edilivre pour plusieurs textes et ai présenté “Miss Minchin” aux éditions de Lys Bleu.

Concernant mon dernier “bébé” (dont la première version a en fait plus de vingt ans), j'ai voulu tenter l'expérience d'Amazon qui a semblé concluante pour beaucoup d'auteurs de mon réseau.

 

JM : - Ecrire est-ce pour toi une passion ou un métier ?

 

Eric :

J'aimerais bien sûr que ce soit un métier ^^. Je fais ce qu'il faut de manière aussi professionnelle possible dans le cadre de mon travail d'auteur... Mais hélas ce ne sont pas mes talents d'écrivain qui ont payé ma maison en Bretagne ^^.

 

JM : - Quels sont les auteurs qui t'ont donné l'envie d'écrire ?

 

Eric :

Difficile à dire ! Il y a de mombreux auteurs que j'ai aimés, qui m'ont apporté, qui m'ont inspiré... Mon envie d'écrire est apparue très tôt... Bien avant d'ailleurs que je n'aie un réel goût pour la lecture. Il y a eu Saint Ex et son célèbre Petit Prince, le grand Meaulnes d'Alain Fournier, Frances Hodson Burnett évidement dont je me suis réapproprié l'univers. Mais je ne saurais plus te dire ce qui a été le réel élément déclencheur qui a sans doute résulté de la rencontre de beaucoup d'éléments différents ^^.

 

JM : - Lis-tu ? Si oui quel genre ?

 

Eric :

Je ne sais pas si beaucoup d'auteurs t'ont répondu qu'ils ne lisaient jamais ^^.

Je lis bien sûr même si c'est beaucoup moins et beaucoup moins vite que je le voudrais.

Je lis absolument tout, j'aime beaucoup les vieux documents d'époque “vintage” à souhait. Pour écrire “Monsieur Alberto” j'avais téléchargé tous les numéros de “L'Aérophile” de 1904 à 1910 (sur le site “Gallica” de la BNF on y trouve ennormément de choses!)... Et j'ai trouvé ça passionnant! J'avais aussi téléchargé des magasines de mode de 1910 (“les modes de Paris ou le magasine des arts décoratifs appliqués à la femme” ça ne s'invente pas...) J'aime la couture et l'élégance des modèles m'a beaucoup inspiré pour imaginer mes personnages dans ma série “Miss Minchin”? J'ai aussi dans le même registre, choqué la galerie en faisant une chronique sur un livre écrit par Ines Gâche-Sarraute en 1900 intitulé “Le corset, étude physiologique et pratique”. C'était une femme médecin de l'époque qui constatait les dégats causé chez les femmes par cet objet et préconisait d'y apporter certaines modifications.

Sinon je lis tous les styles de fiction et de non-fiction selon les envies et les opportunités... Les livres d'histoire, de philosophie, de science... En ce moment je lis surtout des “collègues” auteurs avec lesquels je fais des échanges de livres, ce qui me semble un moyen sympathique et convivial de découvrir tout en se faisant découvrir. Bon... En ce moment j'ai peu le temps de lire donc le remplissage de ma page “chroniques” avance aussi vite qu'un escargot sous sédatif (pour paraphraser mon amie Carine Foulon).

 

JM : - En dehors de l'écriture as-tu d'autres passions ?

 

Eric :

J'aime de manière globale tout ce qui est créatif (dessin, couture, musique, modélisme). J'aime passionnément l'histoire et les langues étrangères (l'hébreu et le russe sont des langues que j'affectionne particulièrement même si je ne les parle pas aussi bien que je le voudrais). Je suis aussi passionné d'astronomie et un grand rêve serait pour moi d'apprendre à piloter.

 

JM : - Quelle est ta musique préférée ? Ecris-tu en musique ?

 

Eric :

Mes goûts musicaux sont très éclectiques. Je suis à la fois un grand fan de metal et un grand amateur de musique classique... Et j'aime bien aussi le Jazz même si je m'y connais moins. J'écris toujours en musique avec une playlist associée à chaque ouvrage. Pour “Miss Minchin” c'était Frédéric Chopin, pour “Retour au Pensionnat” Shubert et pour “Monsieur Alberto”, au départ Erik Satie (dont le personnage fait d'ailleurs une apparition à un moment clé du roman ^^) et la musique de “Danse avec les loups” que je trouvais très inspirante. En fait cette musique accompagnait un excellent documentaire de Bernard Chabbert sur Santos-Dumont que j'ai pu voir sur Aérostar TV, (une excellente chaine sur l'aviation (112 sur le bouquet Orange pour ceux que ça intéresse ^^)).

Une expérience amusante que j'avais pu faire en matière d'association musique/littérature est mon roman “Death Party” (non publié et que je ne publierai sans doute pas). Le défi était d'écrire en écoutant du metal extrême à fort volume et en ne me laissant qu'une demie heure pour écrire une page entière sans interligne. Je n'ai pas de regrêt sur cet ouvrage même en le relisant longtemps après avec toute la sérénité voulue... Sur le fond... Le propos ne me semble pas sujet à de réeles polémiques... Mais sur le ton, sur la forme, sur la violence et sur la façon de décrir certaines choses... J'ai de gros doutes sur l'accueil qu'il serait susceptible de recevoir...

 

JM : - Si tu devais partir sur une île déserte quel objet emporterais tu ?

 

Eric :

Mon telescope ^^ même si c'est loin d'être un indispensable de la survie sur une île déserte....

 

JM : - Es-tu thé, café ? Quel est ton péché mignon ?

 

Eric :

Thé ET café (je ne suis pas sectaire ^^)... Mon petit péché mignon : le rhum (avec modération cela s'entend) et un petit cigare de temps en temps.

 

JM : - As-tu quelque chose d'autre à ajouter ?

 

Eric :

Un grand merci à toi pour cette interview. J'espère avoir bien répondu ^^ et ne pas avoir été trop long.

 

 

 

JM : - Merci Eric LE PARC pour cet agréable moment passé en ta compagnie.

 

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Eric qui y répondra plus tard.

 

 

 

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