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Voici mon avis concernant : "UNE VIE DE CHAT"

« UNE VIE DE CHAT »

Albine NOVARINO-POTHIER

Editions DE BOREE

Beaux livres

25 octobre 2018

203 pages

 

 

 

Présentation

 

Silhouettes longilignes, poses alanguies, minois et moustaches, yeux profonds et pattes de velours..

 

Nos félins préférés, si chers à nos cœurs, ont fait vibrer les plus grands écrivains.

 

Ils les ont mis en scène dans leurs ouvrages, racontant tendrement leur quotidien ou faisant d'eux des personnages à part entière.

 

Des extraits des plus belles œuvres accompagnés de magnifiques illustrations !

 

 

L'auteure

 

Née en 1953 à Paris, Albine NOVARINO a vécu à Chambéry, Marseille, Paris, Bucarest. Elle demeure aujourd'hui en Bourgogne. Professeur de lettres, passionnée de lecture depuis l'enfance, elle a publié de nombreux ouvrages scolaires et parascolaires. Historienne de la littérature et chroniqueuse pour la presse, elle avoue une prédilection pour les anthologies qui lui permettent de mettre en valeur les textes les plus remarquables des écrivains sur des thèmes qui lui sont chers : l'amour, le bonheur, l'enfance, la mer. Ici, c'est le chat qui miaule de plaisir.

 

 

Mon avis

 

Je remercie les Editions DE BOREE et en particulier Virginie de m'avoir permis, de lire, en service de presse « Une vie de chat », ouvrage d'Albine NOVARINO-POTHIER. Lorsque j'ai reçu ce très joli livre, je me suis dit « mais c'est Noël en novembre ! ». Il faut dire que je suis une passionnée de lecture mais également des chats et que ce cadeau ne pouvait que me plaire.

 

Dès la première page nous découvrons avec plaisir un texte de Georges Brassens « c'est l'animal le plus beau le plus noble.... » .

 

Cet ouvrage, dédié aux chats, est composé de textes, de citations, de poèmes d'auteurs célèbres qui ont mis à l'honneur les félins, leur donnant un rôle, la parole même à certaines occasions.

Ainsi nous retrouvons ou découvrons des textes de Charles Baudelaire, Guy de Maupassant, Théophile Gautier, Victor Hugo, Colette, Jules Renard, Jules Verne, Jean de la Fontaine, Jean Cocteau, Emile Zola, Charles Perrault, Jean-Jacques Rousseau, Alexandre Dumas et bien d'autres...

 

Les textes sont agrémentés de très jolies photos, peintures, dessins, représentant des chats de toutes races, couleurs et dans des situations variées, nous permettant de visualiser et d'entrer dans leur univers.

 

J'ai feuilleté et parcouru avec un immense plaisir ce magnifique ouvrage que je ferai lire très bientôt à mes petits enfants qui, comme moi, aiment beaucoup les félins, ces fidèles compagnons, mystérieux, majestueux et apaisants qui nous apportent beaucoup d'amour et dont nous ne pourrions nous passer.

 

Très beau livre à offrir aux amoureux des chats.

 

 

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Bonjour aujourd'hui vendredi voici ma chronique concernant : "L'ENFANT LOUP"

« L'ENFANT LOUP »

Simon LAROCHE

NDB EDITIONS

20 décembre 2017

323 pages

 

 

Présentation

 

Un roman d'aventures, une histoire d'amour dans cette Inde mythique de l'entre deux guerres où les dirigeants britanniques côtoient les riches maharajas dans leur palais des mille et une nuits.


Durant cette période du Raj britannique, une jeune anglaise fraîchement débarquée sera laissée pour morte dans l'immensité de la jungle du Behar, territoire des loups et du terrifiant tigre du Bengale.

 

Traquée par des chasseurs aux intentions pas toujours louables, elle devra défendre sa nouvelle famille : les loups.

Un thriller haletant, une chasse aux tigres effrénée à dos d'éléphants, qui vous transportera au plus profond des ténébreuses forêts de ce pays aux mille odeurs et aux flamboyantes couleurs.

 

La reconstruction grandiose du règne de Bhaiya, le maharaja de Cooch Behar et le frère de l'impétueuse maharani Gayatri Devi.

 

L'auteur

 

Simon Laroche est informaticien, programmeur, web-designer et référenceur. Il est né le 13 décembre 1974 à Friedrichshafen au bord du lac Constance en Allemagne. C’est tout jeune qu’il retournera en France pour poursuivre ses études à Paris.

 

Mon avis

 

Je remercie NDB EDITIONS et en particulier Nelly de m'avoir permis de lire, en service de presse, « L'Enfant loup », roman de Simon LAROCHE et ainsi de découvrir la très belle plume de cet auteur.

La très jolie couverture et le thème de ce roman m'ont de suite interpellée.

L'auteur nous transporte, de nos jours, au Nord-est de l'Inde, pays que j'aime beaucoup, puis à Londres où nous faisons connaissance avec l'inspecteur Bryan Palmer dans le bureaux de Scotland Yard. Un médaillon représentant la photo d'une petite fille a été retrouvé par des bûcherons dans la Jungle. S'agit-il de la jeune Camille Sinclair qui fut portée disparue, dans les années 30 et laissée pour morte dans une forêt ?

 

Simon LAROCHE nous offre un magnifique voyage dans le temps et dans ce pays ô combien mystérieux, coloré et odorant qu'est l'Inde. Les descriptions précises, tant des lieux que des personnages et des animaux nous permettent de visualiser aisément, au fil des mots de l'auteur, toutes les scènes comme dans un film.

 

J'ai ADORE ce thriller extrêmement bien écrit, palpitant et fort dépaysant que j'ai lu pratiquement d'une traite ne pouvant me résoudre à le quitter tant j'avais hâte d'en connaître le dénouement et que j'ai refermé à regret..

 

Je lirai assurément d'autres ouvrages de cet auteur.

 

Excellent moment de lecture.

 

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Bonjour aujourd'hui jeudi voici ma chronique concernant : "LA SECONDE CHANCE DE LILI"

« LA SECONDE CHANCE DE LILI »

Chérif ZANANIRI

Editions DE BOREE

11 octobre 2018

240 pages

 

 

Présentation

 

Ce roman plein d'humanité relate le véritable destin de Lili. Une jeune femme espiègle, resplendissante d'optimisme. Elle a grandi dans une famille peu aimante et pauvre de la Sologne de la fin du XIXème siècle.

 

Après des accusations de sorcellerie et trois années passées en prison, elle décide pour se racheter, d'apprendre le métier d'infirmière, ce qui l 'amènera à croiser les pas de Marie Curie pendant la Grande Guerre. A cette ligne de vie, se greffera une histoire d'amour. Elle succombe aux charmes de Martin qui ne s'aperçoit même pas de sa présence. Mais Ti-Louis qu'elle repousse, est amoureux d'elle.

 

Le récit d'une femme qui voulait, avec beaucoup de détermination, quitter une condition modeste, se racheter de ses bêtises de jeunesse et donner un sens à sa vie.

 

L'auteur

 

Chérif ZANANIRI a une plume élégante, extraordinaire et superbement maîtrisée. Il sait alpaguer son lecteur dès les premiers instants. Un art de conter qui n'est pas donné à tout le monde. Chaque phrase, chaque mot a une signification bien précise. Sa cible est votre cœur et le mien a été emporté dans ce tourbillon. (Aurélie Perreaud, blog Livres addict du 28/08/2018).

 

 

Mon avis

 

Je remercie les Editions DE BOREE et en particulier Virginie de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, « La Seconde chance de Lili », roman de Chérif ZANANIRI.

 

La très jolie couverture et le thème de cet ouvrage m'ont de suite interpellée. Il faut dire que j'ai lu une grande partie des livres de cet auteur et que ce titre m'intéressait beaucoup.

 

 

Chérif ZANANIRI nous emporte au XIXème siècle, en Sologne et nous relate l'histoire vraie, quelque peu romancée certes, de Lili, femme courageuse, dynamique et très attachante, son enfance au sein d'une famille de pauvres paysans puis sa vie de femme.

 

Emilie que l'on surnomme « Farfadette », du fait qu'elle possède le don de guérir, est accusée de sorcellerie. Elle n'a pas une vie facile notre héroïne mais malgré tout elle n'a de cesse de se consacrer , avec amour et dévotion, aux autres afin de leur rendre la vie meilleure.

 

L'auteur rend hommage aux femmes courageuses comme il sait si bien le faire, aux infirmières, à Marie Curie grâce à laquelle la « radiologie » a pu être pratiquée par les médecins pour soigner les soldats blessés de la Grande Guerre.

 

J'ai beaucoup aimé ce roman très émouvant qui met en scène des personnages intéressants, hauts en couleur et avec lequel j'ai un passé un bon moment de lecture.

 

A découvrir sans hésitation.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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« A FLEUR DE PEAU »

James BARNABY

MARGE NOIRE

DE BOREE

18 octobre 2018

396 pages

 

Présentation

 

Brillante étudiante de 19 ans à l'université du Wisconsin à Madison, Jane souffre de « fugues temporelles » depuis l'enlèvement dont elle a été victime huit ans plus tôt, dans des circonstances qui n'ont jamais été élucidées et dont elle ne garde aucun souvenir.

 

En vacances comme chaque été dans le chalet familial au bord du lac Mendota, elle est seule avec son beau-père, sa mère ayant dû repartir précipitamment à Chicago pour son travail. Dans la nuit, la jeune fille se réveille avec les mains ensanglantées, un couteau à ses pieds. Richard gît à se côtés, égorgé.. Jane le sait, elle a tout de la coupable idéale. Pour le procureur du comté et la police de Madison, l'affaire est claire : l'étudiante a commis cet acte odieux dans une crise de folie. Ce n'est pourtant pas l'avis de Joseph Sleuth, l'agent du FBI, qui penche pour un assassinat politique maquillé en crime familial. Leader du parti écologiste, Richard briguait le poste de sénateur et comptait de nombreux ennemis à la Bourse des valeurs agricoles de Chicago, le puissant et influent lobby des céréaliers.
Libérée sous caution dans l'attente de son procès, Jane est prise en charge par un spécialiste de l'hypnose. Au fil des séances elle retrouve peu à peu la mémoire. La réalité se dessine, effroyable...

 

L'auteur

 

Derrière le pseudonyme de James BARNABY se cache un auteur français bien connu du grand public. Romancier et essayiste, il a publié de nombreux ouvrages traduits dans une dizaine de pays. Grand amateur de cinéma américain, James BERNABY s'est inspiré des univers oppressants d'Alfred Hitchcock, Martin Scorsese et John Mankiewicz. Paru en avant-première en édition club, A Fleur de peau a figuré dès sa sortie au top 5 des meilleures ventes, avec plus de 20 000 exemplaires.

 

Mon avis

 

Je remercie les Editions DE BOREE et en particulier Virginie de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, « A Fleur de peau », roman de James BARNABY.

 

Bien que peu habituée à ce genre de lecture, j'ai été de suite intriguée par la mystérieuse couverture et le résumé plutôt inquiétant de ce roman.

 

L'auteur nous fait voyager entre le passé et le présent de Jane, jeune fille de 19 ans qui vit à Madison. Jane est très perturbée depuis l'enlèvement dont elle a été victime à l'âge de 11 ans, fait depuis des fugues temporelles et souffre d'amnésie.

 

Jane parviendra-t-elle à retrouver ses souvenirs ? A-t-elle réellement tué Richard, son beau-père ?

 

James BARNABY décrit d'une manière terrifiante les situations au cours desquelles notre héroïne voit et côtoie les personnages plutôt méchants de certains dessins animés de Walt Disney. Tout à coup on ne peut s'empêcher de penser que les jeunes enfants doivent être effrayés en voyant la sorcière de Blanche-Neige ou la reine de cœur d'Alice au pays des merveilles....

 

J'ai aimé lire ce thriller psychologique très original, addictif qui tient vraiment en haleine et mêle hypnose, manipulation mentale, sociétés secrètes, aux multiples rebondissements qui font penser au lecteur qu'il a trouvé le secret de l'énigme mais en fait il n'en est rien, tant celle-ci est bien ficelée !

 

J'ai lu pratiquement d'une traite ce récit tant j'avais hâte d'en connaître le dénouement au demeurant fort surprenant mais je vous laisse le découvrir par vous-mêmes. Frissons et angoisse garantis !

 

Bonne lecture.

 

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Bonsoir aujourd'hui lundi voici l'interview que j'ai réalisée avec un auteur sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEUR

Christine SOUCHON

Lundi 12 novembre à 18 h

direct

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

  • Notre amie Christine SOUCHON a gentiment accepté de répondre ce soir à mes questions.

 

 

JM : - Bonsoir Christine

 

  • Comment allez-vous ? Etes-vous prête à vous soumettre à mon petit interrogatoire ?

 

Christine : Bonsoir Joëlle. Oui, avec plaisir, s’il n’y a pas de condamnation judiciaire par la suite !

 

 

JM : - Pouvez-vous, tout d'abord, vous présenter afin que nos amis puissent mieux vous connaître ?

 

Christine : Je suis stéphanoise et lyonnaise d’origine. Dans mon enfance, j’avais le projet de devenir sociologue. La vie et mes parents en décideront autrement. Après avoir été diplômée de l’Ecole Supérieure de Commerce de Saint-Etienne je pars travailler en Corrèze dans le domaine de l’assurance pendant 10 ans. Revenue à Saint-Etienne en 2012, avec mon mari stéphanois, je deviens chasseur de têtes mais rapidement décide de réaliser mon rêve. Depuis février 2016, je me consacre alors à l’écriture.

 

 

JM : - Pouvez-vous nous parler de votre roman «  Les arcs en ciel de l'ombre », thriller géo politique je crois  ?

 

 

Christine : L’intrigue dans « Les Arcs-en-ciel de l’ombre » se noue autour de deux étudiants à Paris, en géopolitique, d’un de leurs professeurs dans le domaine du nucléaire et du Colonel en charge de l’enquête sur plusieurs meurtres et d’un attentat planétaire. Dominique Lenoire et Sofiane Issaoui, des étudiants de la faculté de Compréhension Politique de Paris et leur professeur Samuel Kilkeni, vont être confrontés aux tsunamis causés par des éruptions volcaniques sur les Iles Canaries.

Le Colonel Simon Chandeleur, Directeur de la Brigade anti-terroriste, va s’interroger sur les causes réelles de cette catastrophe environnementale. Le Colonel sera également en charge de l’enquête sur le meurtre de plusieurs personnalités politiques et industrielles, françaises et américaines.

Le manuscrit est construit sous forme de scènes écrites à la première personne du singulier. Le lecteur plonge dans les réflexions et les ressentis de chacun des protagonistes.

Les sentiments, les dialogues et le suspense sont les piliers du livre. Mon écriture est synthétique, imagée et sans complexe. Les jeux de mots et les anagrammes colorent mes phrases.

 

 

JM : - Quel message souhaitiez-vous faire passer à travers ce livre ?

 

Christine : « Les Arcs-en-ciel de l’ombre », un thriller à plusieurs lectures, une romance, une enquête, des questions géopolitiques et environnementales. J’aborde des thèmes délicats comme le terrorisme, la politique, la manipulation médiatique et l’environnement. Je souhaite dénoncer les préjugés et les manipulations dans notre société, j’amène le lecteur à s’interroger et briser les idées reçues, sans donner de leçon mais plutôt avec de l’humour et du burlesque.

 

 

JM : - Avez-vous d'autres projets d'écriture et souhaitez-vous nous en parler ?

 

Christine : J’ai écrit cinq chansons, un CD et un spectacle où je vais les chanter sont prévus pour le 17 Novembre à Roche la Molière.

J’écris la suite des « Arcs-en-ciel de l’ombre », le deuxième tome prévu le printemps 2019, et qui s’intitulera « les chimères de l’arc-en-ciel ». Les thèmes abordés seront la trahison, le pardon et l’environnement.

 

 

JM : - Comment faites-vous pour assurer la promotion de vos livres ? Pensez-vous que les blogs, les réseaux sociaux aident les auteurs à promouvoir leurs écrits ?

 

 

Christine : ma maison d’édition Evidence Edition gère la distribution et la promotion. Je participe à des dédicaces et des salons. Les réseaux sociaux et les blogs sont des soutiens à la promotion mais je reste convaincue que les échanges en direct avec les lecteurs sont plus enrichissants et formateurs.

 

 

JM : -Avez-vous des séances de dédicaces prévues prochainement ?

 

 

Christine : Non, je viens d’en faire trois en septembre et octobre, notamment la Fête du Livre de Saint-Etienne. Jusqu’à la sortie du deuxième tome je n’ai pas prévu de dédicace.

 

 

JM : - A qui confiez vous vos manuscrits (membre de votre famille, bêta-lecteur) ? Avez-vous des correcteurs ?

 

 

Christine : A ma famille et mon entourage.

 

 

JM : - Ecrire est-ce une passion ou un métier pour vous ?

 

Christine : un métier depuis 2016.

 

 

 

JM : Quel livre fut pour vous un coup de cœur ?

 

Christine : Da Vinci Code de Dan Brown.

 

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont vos passions ?

 

Christine : j’ai créé mon entreprise d’animation d’atelier d’écriture auprès des écoles, des adultes et des retraités.

 

 

JM : - Quelle est votre musique préférée ? Ecrivez-vous en musique ?

 

Christine : J’écoute beaucoup de musiques françaises contemporaines mais j’aime bien également le soul-jazz.

Par contre je n’arrive pas à écrire avec de la musique, il me faut le silence complet.

 

 

JM : - Quel est votre film culte ? Votre animal favori ? Votre couleur ?

 

 

Christine : Mon film culte est « The bodyguard « avec Whitney Houston et Kevin Costner. Je pleure à chaque fois !

Mon animal favori est le chat.

Ma couleur : l’arc-en-ciel ! Donc une palette entière !

 

 

JM : - Avez-vous quelque chose d'autre à ajouter ?

 

Christine : Les écrivaines sont les voix rebelles du monde. Osez écrire !

 

 

JM : - Merci Christine pour cet agréable moment passé en votre compagnie.

 

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Christine qui se fera un plaisir de vous répondre en direct ou plus tard si vous n'êtes pas présents ce soir.

 

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Bonjour aujourd'hui dimanche voici ma chronique concernant : "LA PASSAGERE"

« LA PASSAGERE »

Chantal FORET

MARIVOLE

4 octobre 2018

264 pages

 

Présentation

 

Camarades d'enfance, Catherine et Daniel se sont perdus de vue depuis plus de trente ans quand ils se retrouvent en tête-à-tête dans un bar de Moulins où ils ont rendez-vous.

 

Il n'a jamais quitté sa région natale, elle est revenue s'y installer depuis peu ; lui, a élevé seul sa fille après l'abandon de sa femme, elle a perdu son mari dans un accident et n'a qu'un grand fils resté vivre à Paris. Il n'a jamais oublié Catherine, son premier amour, elle se souvient à peine de lui, mais leur commune solitude les rapproche.
Malgré ses réticences, Catherine se laisse peu à peu enfermer dans une troublante relation amoureuse qu'elle n'ose rompre. Sous le regard inquiet de leur entourage, une nouvelle vie se dessine, une dernière chance d'aimer, peut être.. un bonheur possible.


Mais qui retrouve-t-on après tant d'années ? Que reste-t-il de ce qu'ils ont été ? Qu'est-ce que le temps, la vie a fait d'eux ? Pourquoi Daniel mène-t-il une existence si solitaire ?

 

De quoi Catherine a-t-elle peur ? Froide et mystérieuse, elle semble surgie de nulle part et garde le silence sur les épreuves qu'elle a vécues, tandis qu'autour de Daniel bruisse encore la vilaine rumeur concernant la disparition de sa femme une vingtaine d'années plus tôt. Et si ces retrouvailles n'étaient qu'un piège, une boîte de Pandore qu'il faudrait se garder d'ouvrir ? De secrets enfouis en blessures mal cicatrisées, leur passé les poursuit. Mieux vaudrait ne jamais se retourner.

 

L'auteure

 

Originaire de l'Allier, Chantal FORET vit à Ceyrat, dans le Puy-de-Dôme. Elle a travaillé dans le domaine de la formation pour adultes et l'animation culturelle, avant de se consacrer à l'écriture. Passionnée de théâtre, auteure de pièces pour enfants, elle a dirigé pendant une dizaine d'années un atelier d'initiation à l'art dramatique et intervient en milieu scolaire. Qui-vive, son premier roman (Editions Henry), a obtenu le Grand Prix national Lions de littérature 2012. Les éditions de l'Archipel ont publié L'Heure du thé (2013), « un très beau roman aux accents à la Chabrol » (Culture Hebdo), et Pierre Noire (2015).

 

Mon avis

 

Je remercie MARIVOLE EDITIONS et en particulier Christophe de m'avoir permis de lire, en service de presse, « La Passagère », roman de Chantal FORET et ainsi de découvrir la très belle plume de cette auteure.

 

L'auteure nous conte les retrouvailles de Catherine et Daniel amis d'enfance que la vie a séparés. Tout oppose ces deux êtres qui tentent toutefois d'établir une relation amoureuse et ce malgré leurs différences.

Chantal FORET réalise une excellente analyse tant physique que psychologique des protagonistes de son roman et dépeint l'atmosphère qui les entoure.

 

L'histoire est fort originale, intéressante et les nombreux rebondissements, le suspense tiennent le lecteur en haleine jusqu'au dénouement que l'on a vraiment hâte de découvrir.

 

J'ai beaucoup aimé ce roman de littérature blanche extrêmement bien écrit et qui se lit très facilement et agréablement.

 

Je lirai assurément d'autres ouvrages de cette auteure.

 

Très bon moment de lecture.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Bonsoir voici l'interview que j'ai réalisée ce soir avec un auteur sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEUR

Sandra BANIERE
Vendredi 9 novembre à 18 h

(différé)

 

JM : - Bonsoir à tous

 

J'ai lu en 2017 “Les noces meurtries”, roman de notre amie Sandra BANIERE qui a gentiment accepté  de se soumettre récemment à mes questions.

 

Je partage donc avec vous cette interview à l'issue de laquelle vous pourrez, si vous le souhaitez, poser vos questions à Sandra qui y répondra en direct ou en différé selon ses disponibilités.

 

 

 

JM : - Bonsoir Sandra

 

Comment allez-vous ? Etes-vous prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Sandra : Bonsoir Joëlle, bonsoir à toutes et à tous! Je vais très bien, merci. C'est la fin de la semaine, et quoi de mieux qu'entrer en contact avec les amis du groupe! Allons-y, c'est parti!

 

 

JM : - Pouvez-vous, tout d'abord, vous présenter afin que nos amis puissent mieux vous connaître ?

 

Sandra : Je vous avoue que j'ai toujours eu du mal à me présenter car je me sens terriblement banale. J'ai 40 ans, j'habite dans la Marne où j'enseigne le français à des collégiens, et à mes heures perdues le théâtre d'improvisation.

Je suis plutôt réservée avec les gens que je ne connais pas car j'ai besoin d'un temps d'observation pour les appréhender et savoir si je peux évoluer en confiance. Passé ce cap, j'instaure des relations durables dominées par le partage et la joie de vivre. Enfin, s'il faut me caractériser encore un peu, je manque d'organisation, je laisse parfois couler les choses. Je dois souvent me faire des rappels à l'ordre pour garder un cadre sinon je passerais mes journées dans mon monde à lire et écrire sans rien faire d'autre!

 

 

JM : - Pouvez-vous nous parler de vos romans ?

 

Sandra : Je n'en suis encore qu'aux prémices de ma carrière littéraire.

 

Les Noces meurtries est mon premier roman. Il a d'abord été publié en numérique à la suite d'un concours organisé par Place des Editeurs pour découvrir de nouveaux auteurs. Il a été remarqué par la directrice des Presses de la Cité, membre organisateur, qui l'a ensuite repris pour la collection Terres de France en 2017. Je crois que c'était l'un des plus beaux jours de ma vie quand j'ai eu cette proposition. Même dans mes rêves les plus fous je n'avais pas pensé à une telle publication!

Ce premier roman, inspiré par ma culture champenoise et mon admiration pour les combats de femmes, raconte l'histoire d'Hélène et de Gaby, mère et fille, en quête d'indépendance. Tout débute en 1979, dans le vignoble, près d'Epernay, Hélène vit ses premières désillusions d'épouse. Elle va très vite tomber dans un enfer conjugal. Pour continuer à vivre, elle devra trouver la force et le courage de rompre son union avec Bertrand qui la brise un peu plus chaque jour. C'est un long chemin de croix lorsque l'on n'est personne aux yeux de la société, quand les divorces, demandés par la femme, sont inconcevables, et que l'exploitation viticole prime sur tout. Parallèlement, Gaby, adolescente, va construire sa vie de femme moderne dans la douleur, entre l'éclatement de l'image du père et les souffrances silencieuses de la mère. L'histoire familiale ne sera pas sans conséquences, mais ce qui est à gagner n'a pas de prix.

 

Ex Utero, plus contemporain, d'une ligne éditoriale différente, n'a pas pu faire partie de la collection Terres de France. Toutefois, l'assistante éditoriale m'a aidée dans son aboutissement parce qu'elle a pensé que ce roman pouvait avoir un avenir. J'ai donc fait comme pour le premier roman, je l'ai d'abord soumis à un lectorat numérique. Il a fait partie des 30 finalistes d'un concours sur internet. Depuis quelques semaines, il est disponible en version papier car le plus important est le contact avec les lecteurs.

Ce second roman parle des couples qui sont confrontés à l'infertilité. Perdues de vue depuis plus de vingt ans, Nathalie et Carole se retrouvent par hasard dans une salle d'attente de procréation médicale assistée. C'est un roman à quatre voix, ce qui permet de suivre aussi bien les hommes que les femmes. Entre secrets de famille et traumatismes du passé, les couples résisteront-ils à la dureté des traitements, aux échecs répétés, à la pression sociale et biologique? A vous de lire!

 

 

JM : - Avez-vous d'autres projets d'écriture et pouvez-vous nous en dire quelques mots ?

 

 

Sandra : J'ai d'autres projets d'écriture, un peu plus longs à réaliser qu'initialement prévus. Je garde le secret sur l'histoire, car il y a encore beaucoup de travail, et que je préfère parler des projets achevés. Tout ce que je peux vous révéler, c'est que ce sera le retour de la Champagne.

Comme je vous l'ai dit, j'en suis aux prémices de mon activité d'auteure, et tout n'est pas réussi du premier coup. Je m'accroche et espère que mes efforts vont aboutir car il me tient à coeur de proposer à mes lecteurs des histoires de qualité.

 

 

JM : - Etes-vous sensible à la critique littéraire et pensez-vous que les blogs, les réseaux sociaux aident les auteurs à promouvoir leurs écrits ?

 

Sandra : Quand on a travaillé pendant des mois, qu'on a tout fait pour donner le meilleur de soi, qu'on en a même lâché une partie, il est difficile, pour moi en tout cas, de ne pas être sensible à la critique. L'avis des autres compte, c'est ce qui fait qu'on existe. Toutefois, j'ai conscience qu'on ne peut pas plaire à tout le monde, il y a aura toujours des détracteurs plus ou moins virulents qui cherchent à destabiliser. Alors, je m'attache surtout aux critiques constructives qui font progresser.

Je pense que les blogs et les réseaux sociaux aident à promouvoir le travail des auteurs. C'est, à mon sens, une nouvelle donne qui a de l'importance. Il y a tellement de choix de nos jours que les blogueurs aident certains auteurs à se faire connaître, à sortir de la masse. Moi-même, grâce à vous, Joëlle, j'ai découvert des auteurs dont je n'avais jamais entendu parler et qui ont pourtant déjà une certaine reconnaissance. Les réseaux permettent ainsi d'élargir les horizons, d'avoir le point de vue de lecteurs assidus et curieux qui ne s'arrêtent pas aux seuls auteurs que l'on voit en tête de gondole dans les librairies.

 

 

JM : - Ecrire est-ce pour vous une passion ou un métier ?

 

Sandra : Ecrire est avant tout une passion. Cela fait partie de ma vie depuis que j'ai appris à écrire. Avant de me lancer dans l'écriture de romans, j'ai tenu pendant des années des journaux intimes. Ecrire, c'est un équilibre, c'est une façon de lutter contre mes angoisses face à la vie, car en écrivant on a la chance de vivre une sorte de vie parallèle, en dehors du temps. L'important aussi pour moi est de transmettre aux autres, de délivrer des messages qui nous amènent à voir les choses différemment, qui nous aident à nous construire. Je crois que les romans ont cette force.

En faire mon métier serait la cerise sur le gâteau. Vivre de sa passion, c'est le graal!

 

JM : - Quel est votre plus beau souvenir d'auteur ?

 

Sandra :

Il s'agit de ma première séance de dédicace à la librairie Guerlin, à Reims (qui a malheureusement dû fermer récemment). J'étais en compagnie de l'une de mes meilleures amies, Sylvine Ploix-Hugé. Il y a longtemps (nous nous connaissons depuis le lycée), nous avons découvert que nous avions le même rêve. C'est elle qui m'a donné le courage de me lancer. Puis, sans se concerter, nous avons participé au même concours. Quand nos romans ont été publiés, nous avons fait cette dédicace ensemble. C'était vraiment chouette, car nous étions ensemble pour faire venir à nous des lecteurs qui ne nous connaissaient ni d'Eve ni d'Adam. Cela a détendu l'atmosphère. Les lecteurs se sont prêtés au jeu et nous ont soutenues.

Je pense aussi à tous ces moments d'échanges bouleversants avec ces femmes qui se sont reconnues en Hélène. L'envie d'écrire prend tout son sens dans ces instants.

Honnêtement, en répondant à cette question, je me dis que c'est difficile de sélectionner le plus beau souvenir car j'ai vécu des partages très différents des uns des autres, et j'aimerais parler de chacun: ce sont aussi les gens, inconnus, qui acceptent de se livrer lorsqu'on les contacte pour des recherches, des libraires qui soutiennent formidablement leurs auteurs locaux, ma boulangère qui décore sa vitrine avec mon roman, des rencontres avec des blogueuses...

 

 

JM : - Quels sont les auteurs qui vous ont donné l'envie d'écrire ?

 

Sandra : Ce sont principalement les auteurs du XIXème siècle: Balzac, Stendhal, Flaubert, Hugo, Maupassant, Zola car leurs romans explorent des thèmes que j'affectionne, parce que j'aime les écrits réalistes qui parlent de ce que les gens ont vécu ou vivent encore et qui trouvent des résonances en nous.

A l'adolescence, c'est Danielle Steel qui m'a vraiment donné envie d'écrire des romans. J'ai eu une période au cours de laquelle je ne lisais que ses romans, notamment ceux qui mêlent un contexte historique à son intrigue. J'étais admirative de son travail et rêvais d'être ce type d'écrivain capable de parler des émotions des gens, de tenir les lecteurs en haleine tout en retraçant des événements historiques.

 

 

JM : - Lisez-vous ? Si oui quel genre ?

 

Sandra : Je lis dès que je le peux. Malheureusement, il y a des périodes où je n'ai pas le temps. Tous les ans, quand arrivent les vacances d'été, je suis en état de manque. C'est ma priorité du mois de juillet. Dès mon premier jour de vacances, je me compose une pile de livres pour me ressourcer.

Je lis principalement des histoires réalistes. Tatiana de Rosnay, Valérie Tuong Cuong, Anna Gavalda, David Foenkinos, Delphine de Vigan, les auteurs que je découvre au gré de mes rencontres comme Emmanuel Prost, Marjorie Tixier, Madeleine Petitpantalon font partie de ma pal comme on dit! Et bien d'autres encore! On peut passer des vies entières à lire!

J'aime ne pas ressortir idemne d'une lecture, qu'elle m'ait fait percevoir un angle du monde ou me fasse réfléchir.

Pendant l'année, je lis beaucoup de livres jeunesse. Je pars en quête d'aventures palpitantes pour mes élèves. J.K Rowling, Christian de Montella, Sylvine Ploix-Hugé m'ont d'ailleurs autant embarquée qu'eux!

Je lis aussi quelques romans à suspense pour le plaisir d'être plongée dans une histoire qu'on ne parvient pas à lâcher: Michel Bussi et Guillaume Musso le font très bien.

 

 

JM : - En dehors de l'écriture avez-vous d'autres passions ?

 


Sandra : La lecture est une autre passion, mais on vient d'en parler. Après, ce sont des loisirs ou des activités plutôt que des passions. Je pratique la course à pied, mais en courant je pense souvent à mes personnages de romans. Comme quoi ça ne me lâche pas! C'est le cas aussi quand je marche dans la campagne. Sinon, j'écoute de la musique en lisant ou en corrigeant mes copies.

Quand il me reste un peu de temps, j'aime parcourir les musées parisiens et enrichir ma culture picturale.

 

JM : - Quelle est votre musique préférée ? Ecrivez-vous en musique ?

 

Sandra : Sans conteste, c'est la musique pop'rock, notamment celle des années 80-90: INXS, Depeche Mode, Indochine... Il m'arrive très souvent d'écrire en musique, mais cela doit être juste un fond sonore qui brise le silence que je peine à supporter. La musique rassure, occupe l'espace.

 

 

JM : - Etes-vous thé, café ? Quel est votre péché mignon ?

 

Sandra : Je suis un peu thé, et surtout pas café. Si je n'avais qu'un péché mignon, je me trouverais bien raisonnable! Je ne peux pas me passer de chocolat, de fromage et de champagne. Rassurez-vous, je ne bois pas non plus du champagne tous les jours, mais si on m'en propose, je ne dis jamais non! Un vrai vice!

 

 

JM : - Avez-vous quelque chose d'autre à ajouter ?

 

Sandra : Il me semble que les questions font le tour de pas mal de choses. Je vous remercie Joëlle de m'avoir proposé cette interview, et je remercie tous les amis du groupe qui se seront arrêtés ce soir pour la lire. Je vous souhaite un excellent week-end. A très vite!

 

 

 

JM : - Merci Sandra BANIERE pour cet agréable moment passé en votre compagnie.

 

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Sandra.

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui vendredi voici ma chronique concernant : "LES TRIBULATIONS D'HORTENSE"

« LES TRIBULATIONS D'HORTENSE »

Nathalie BRUNAL

Auto-Edité

19 octobre 2018

299 pages

 

Présentation

 

Quand le quotidien d'une maman solo vire au cauchemar..

 

Hortense, divorcée depuis plusieurs années approche doucement de la quarantaine. Entre les « sautes d'humeur » de son adolescent, les bêtises du petit dernier et sa tante envahissante, elle n'a pas le temps de s'ennuyer !

 

Elle travaille avec tata Martha dans le salon de thé que possède celle-ci et subit chaque jour les allusions sur sa vie sentimentale désertique.

 

Assumant pleinement son statut de mère célibataire, elle ignore du mieux qu'elle peut ses propos. Mais quand sa tante prend « le taureau par les cornes » et décide de lui trouver le prince charmant, rien ne va plus !

 

L'auteure

 

Nathalie Brunal a 43 ans quand elle se lance le défi fou d'écrire son premier roman. "Dévoreuse" de livres depuis sa plus tendre enfance, elle est passée de l'autre côté du miroir pour à son tour, faire voyager les lecteurs. Lisant de tout depuis qu'elle sait lire avec une préférence pour les romans qui font découvrir de nouveaux horizons, elle a découvert le "feel-good" tout à fait par hasard. Il l'a inspirée pour l'écriture de son premier roman publié en juin 2017. " Une tragique fête des fraises " est drôle, frais et rempli d'humour. Son héroïne Anna est une Bridget Jones à la française. Avec son compagnon Roger, ils vont vivre des aventures rocambolesques. Ce sont des personnages attachants qui pourraient être tout à chacun et qu'il est possible de retrouver dans le tome 2 " Le défilé des glaces ". Le tome 3 " Un bouquet sans mariée " est disponible depuis le 6 mars 2018. Les 3 tomes ont été réunis dans la " Trilogie Anna & Roger ". Un roman d'été parfait pour vous prélasser à la plage et oublier vos soucis a été publié le 4 mai 2018. Vous découvrirez deux nouvelles héroïnes dans "Vacances en terre inconnue", sourire garanti en leur compagnie. N'hésitez pas à vous procurer le petit dernier " Les tribulations d'Hortense " disponible en ebook et broché dès le 19 Octobre 2018. Douceur, humour et amour s'y mêlent pour un agréable moment de lecture.

 

Mon avis

Je remercie du fond du cœur, Nathalie BRUNAL de m'avoir donné la chance de lire en avant-première son dernier roman « Les Tribulations d'Hortense » et de m'avoir confié un rôle, tout nouveau pour moi, celui de « bêta lectrice ».

 

La très jolie couverture invitant à déguster ce roman et le résumé fort alléchant m'ont de suite interpellée et la très gentille dédicace m'a beaucoup touchée.

Nathalie BRUNAL a vraiment beaucoup d'imagination et nous offre encore un délicieux roman dont les personnages sont vrais, drôles et tellement attachants.

 

J'ai retrouvé la plume pétillante, généreuse et emplie d'humour de cette auteure et au fil de ses mots, j'ai beaucoup souri et même ri toute seule !! Il faut dire que les romans de Nathalie BRUNAL sont plein de rebondissements, donnent envie de grignoter et ainsi font un bien fou aux lecteurs....

Je vous conseille donc de découvrir et dévorer sans hésitation et sans modération « Les Tribulations d'Hortense ».

 

Excellent moment de lecture qui met vraiment du baume au cœur  !

 

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bonsoir je partage l'interview que j'ai réalisée ce soir avec un auteur, sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEUR

Laurence MARTIN

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

  • Notre amie Laurence MARTIN a gentiment accepté de répondre ce soir à mes questions.

 

 

JM : - Bonsoir Laurence

 

  • Comment vas-tu? Es-tu prête à « passer sur le gril » ?

  •  

Laurence : Bonsoir Joëlle et bonsoir à vous tous !

Je vais bien et suis à point pour « passer sur le Gril » comme tu me le proposes si gentiment !!

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître?

 

Laurence :

Je suis une ex parisienne arrivée dans le sud il y a une dizaine d’années. J’habite le Var entre les vignes et la mer ! Ma vie professionnelle a débuté dans la restauration à Montparnasse où je tenais l’un des plus vieux bistrots du boulevard ! À l’époque j’écrivais déjà… des poèmes et des textes de chanson. Puis, ma vie a pris une autre direction en arrivant dans le midi et j’ai eu la chance de collaborer à un magazine local intitulé Turquoise pour lequel je rédige des articles saisonniers. Dans le même temps j’ai commencé à écrire de manière plus régulière et à me former aux techniques du scénario et du récit. J’ai produit un recueil de nouvelles et un premier roman non édité ainsi qu’un scénario. L’eau de Rose est donc le premier livre que j’ose porter à l’attention du public et je suis ravie de l’accueil que m’ont fait les lecteurs !!

 

 

JM : - Que représente pour toi l'écriture ?

 

Laurence :

L’écriture a toujours été présente dans ma vie, depuis mon plus jeune âge et jusquau aujourdhui la plume reste mon meilleur mode dexpression ! Cest une amie, une confidente, une béquille lorsque je vais mal… une façon dexprimer ma voix, mes ressentis, mon imaginaire et de les partager, enfin, avec le public.

 

 

JM : - Peux-tu nous parler de ton roman « L'eau de Rose » ?

 

Laurence :

Leau de Rose est une histoire qui a pris naissance il y a quelques années grâce à des lectures sur la résilience et le deuil vécu durant l’enfance.

Puis, suite à des premiers contacts noués avec des professionnels de l’enfance et des deuils traumatiques ( Justine Mc Hugh et Jean-Yves Hayez ), un premier manuscrit a été finalisé comme un roman choral passant d’un personnage à un autre.

C’est grâce à la rencontre avec l’auteur Laurent Bettoni, qu’un remaniement complet de l’organisation du texte a été décidé pour se recentrer sur le personnage de Rose.

Le roman a donc été totalement remanié etécrit pour les deux tiers.

Leau de Rose est laboutissement dun long travail de recherche et décriture qui ma tenu en haleine pendant trois ans et ma également aidé à surmonter un deuil personnel.

 

 

JM : - Quel message souhaitais-tu faire passer à travers ce livre ?

 

Laurence :

Je souhaitais transmettre un message despoir !

Je voulais que chacun de mes personnages puissent reprendre confiance en la vie, à leur manière et à leur rythme, que lamour soit le fil conducteur de leur résilience.

Javais été marqué par lune des phrases de Justine McHugh, travailleuse sociale auprès denfants et de jeunes adultes endeuillés à Deuil-Jeunesse au Canada, qui mavait dit ceci sans que jy crois vraiment : « On peut choisir que la mort nous construise ».

Ce nest que quelques années plus tard en faisant mon deuil d’une personne qui m’était chère que jai su à quel point Justine avait raison…

Aussi, ai-je décidé de la fin heureuse et pleine despoir pour mon roman.

Je pense chaque jour à cet absent, c’est grâce à lui que j’ai osé aller jusqu’à l’auto édition.

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler?

 

Laurence :

Oui, je suis à l’écriture du second roman.

Il s’agit, de nouveau, d’une histoire basée l’un de mes thèmes privilégiés : la famille !

On y croise le destin de Pierre, un homme de cinquante ans, abîmé par les échecs de sa vie et ses mauvais choix paternels.

Après de longues années de silence, sa fille décide de renouer avec lui. Célèbre cantatrice, Nadia est enceinte d’un homme qu’elle n’a pas mis au courant de sa paternité. Lorsque naît la petite Soledad, Pierre y voit une chance de réparer ses manquements paternels. L’enfant grandit avec de lourds problèmes de langage et le diagnostic de dysphasie est posé. Pour sa mère, cela est insupportable. Pierre décide alors de dédier sa vie à l’éducation de Soledad et de l’aider à vaincre son handicap grâce à la musique. Un parcours de vingt ans qui amènera le grand-père comme sa petite fille à trouver la voie du bonheur.

 

 

 

JM : - Comment écris tu (carnets, cahiers, directement sur l'ordinateur) ?

 

Laurence :

 

Je me sers de tout !

Carnets lorsque j’interviewe des personnes liées au thème que jaborde afin de pouvoir compulser mes notes quand je passe au travail de rédaction.

Puis, ordinateur pour ce qui est de lécriture pure, ce qui me permet des relectures plus rapides et des corrections plus faciles.

 

 

JM : - Comment fais-tu pour assurer la promotion de tes livres ? Penses-tu que les blogs, les réseaux sociaux aident les auteurs à promouvoir leurs écrits ?

 

 

Laurence :

 

Il est incontestable que sans l’appui des réseaux sociaux, groupes et blogs littéraires je n’aurais jamais pu rencontrer un si large lectorat.

Lorsque l’on s’auto édite, tout le travail de communication nous revient… J’ai donc pris contact avec de nombreux bloggeurs et chroniqueurs sur Facebook ou Instagram.

Certains n’ont jamais répondu mais tant d’autres ont été formidables d’enthousiasme et d’éloquence !

J’ai eu, également, la chance d’être lue et aidée par des auteurs tel que Sébastien Théveny, devenu un vrai parrain littéraire, Vanaly Nomain, Alain Anceschi, Elisa Sebbel, Frédéric Brusson, Gérald Vausort pour n’en citer que quelques-uns…

Que de belles rencontres depuis la sortie de ce livre, que de mains tendues et d’émotions partagées !

Toutefois, cette démarche sur la toile n’exclut pas la recherche de libraires prêts à soutenir le livre, la participation à des séances de dédicace et à des salons littéraires qui sont complémentaires et tout aussi précieux pour la mise en lumière du roman.

 

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement ? Si non pourquoi ?

 

 

Laurence :

Je prévois de faire le salon du livre de Toulon, le samedi 17 novembre prochain : ce sera une première !

La librairie Papiers Collés de Draguignan ma fait lhonneur de my convier et jespère rencontrer de nombreux auteurs et nouveaux lecteurs.

 

 

JM : - A qui confies-tu tes manuscrits (membre de ta famille, bêta-lecteur) ?

 

Laurence :

 

Mon premier manuscrit a été coaché par l’auteur Laurent Bettoni mais na pas été confié à un bêta-lecteur je nen connaissais pas lexistence à lépoque !

En effet, le 25 janvier dernier, au moment de la sortie de Leau de Rose, je venais tout juste de créer ma page auteure et commençais à peine à comprendre les rudiments de Facebook.

Pour le second roman, il y a deux bêta-lecteurs, une femme et un homme dont jai fait la rencontre grâce à Leau de Rose !

Ce nouveau manuscrit est également suivi par une professionnelle du handicap abordé par ce livre, une mère de deux enfants dysphasiques et la jeune femme atteinte de dysphasie m’ayant inspiré ce roman.

Il est évident que mon récit sera lu, une fois achevé, par mon cercle familial ainsi que mes amis proches afin qu’ils me donnent leurs premières impressions de lecteur.

 

 

 

JM : - Que penses-tu de l'édition numérique ?

 

Laurence :

 

Cest une formidable opportunité donnée aux auteurs autoédités de proposer leurs récits aux lecteurs !

La tablette numérique est également un outil de lecture adapté à nos nouveaux modes de vie, de plus, elle permet l’achat de livre dématérialisé à des prix plus abordables que le papier.

Je note, toutefois, que l’objet « livre » a encore, chez de nombreux lecteurs, une valeur incomparable : le toucher, l’odeur des pages, la prise en main, comme une sorte de sacralisation de la rencontre avec une histoire, ses personnages et son auteur.

 

 

JM : Est-ce que tu lis et quel genre de lecture ?

 

Laurence :

 

Je lis uniquement lorsque je nécris pas.

Jaime tous les genres de lecture du moment que lécriture, lintrigue et les personnages me plaisent.

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Laurence :

 

Je suis très cinéphile, j’aime les salles obscures et là encore tous les genres sauf peut-être les films dhorreur ou les thrillers trop violents… Je suis une froussarde !

Jaime lhumain, le partage, lamitié, les petits moments de la vie qui font que le bonheur existe

JM : - Quel est ton endroit préféré (chez toi, région, pays)

 

Laurence :

 

Jaime la Corse, cette île sauvage est à chaque fois un dépaysement formidable !

Près de chez moi, jaime me ressourcer aux creux des vignes (mais ceux qui me suivent le savent déjà)

Et pour élargir ce tour dhorizon au monde, jai eu la chance de parcourir une partie de lAsie, jy ai fait la rencontre dun peuple, dune culture et de paysages apaisants.

 

 

JM : - Quelle est ta couleur préférée ? Ton animal favori ?

 

Laurence :

Evidemment, pour ma couleur favorite, je vais vous dire le rose mais j’adore également le vert, celui des vignes, celui des lacs, celui des forêts où qu’elles se trouvent…

Dans la culture occidentale c’est la couleur associée à l’espoir et la chance !!

Pour les animaux favoris, je ne vais pas aller chercher très loin… Ce sont mes trois chiennes qui remportent ma préférence !

 

JM : - As-tu quelque chose d'autre à ajouter?

 

Laurence :

 

Juste un très grand merci aux lecteurs, chroniqueurs, administrateurs de groupe, auteurs qui me suivent depuis la sortie du livre !

Un remerciement également à ceux qui ont suivi cette interview Jattends leurs questions avec impatience !

Enfin, un immense merci à la vie qui nous offre chaque jour lopportunité d’être humain, bienveillant, patient envers tous ceux qui ne savent plus l’être, qui nous amène à de belles rencontres, qui nous fait vibrer, aimer, partager, pleurer, croire en l’avenir et lutter pour notre idéal.

 

 

JM : - Merci Laurence MARTIN pour ce très agréable moment passé en ta compagnie. Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Laurence qui se fera un plaisir de vous répondre en direct ou plus tard si vous n'êtes pas présents ce soir.

 

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Bonjour aujourd'hui lundi voici ma chronique concernant : "L'ENFANT DU CANAL"

« L'ENFANT DU CANAL »

Jean-Pierre CROIZIER

MARIVOLE EDITIONS

11 octobre 2018

392 pages

 

Présentation

 

Jeanne a dix-huit ans. Elle veut se défaire du carcan familial, de ce père omnipotent et de cette mère soumise. Le destin va lui faire rencontrer Paul qui va devenir l'unique amour de sa vie. Un amour irraisonné.

 

Paul est un aventurier au passé mystérieux et qui, en dépit de ses efforts pour plaire à son épouse, a du mal à rentrer dans le rang. Cette passion contient une force destructrice contre laquelle il est impossible de lutter, une force qui amène parfois à commettre l'irréparable.

 

L'auteur

 

Les romans de Jean-Pierre CROIZIER puisent leur inspiration dans le riche terreau et les traditions de nos terroirs (Auvergne, Bourbonnais, Berry..). Mais ses écrits comportent une grande dimension psychologique qui leur font dépasser la seule classification de « roman du terroir ».

En 2010, Jean-Pierre CROIZIER a été récompensé par le prix du Roman d'Auvergne pour Le Secret de belle maison. En 2015, le prix Métiers d'hier lui fut décerné pour son roman Le Fils du faiseur de suie.

 

Mon avis

 

Je remercie MARIVOLE EDITIONS et en particulier Christophe de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, « L'Enfant du canal », roman de Jean-Pierre CROIZIER et ainsi de découvrir la plume fluide et agréable de cet auteur.

 

L'auteur nous transporte en 1862, dans le Berry, chez Paul et son épouse Jeanne qui découvrent que leurs poules ont été massacrées...

 

Paul est un homme mystérieux au caractère fort qui s'adonne à la boisson et dépense sa paie dans les bars. Jeanne est une femme soumise très courageuse qui fait tout pour sortir des mauvaises passes dans lesquelles son mari les entraîne.. Mais quels secrets sur son passé, Paul tente-t-il de cacher ??

 

J'ai lu avec plaisir ce roman du terroir romanesque qui décrit bien la psychologie des personnages, témoigne d'un amour instinctif et destructeur et mêle l'histoire de ce couple à l'Histoire de notre pays au XIXème siècle.

 

Bon moment de lecture.

 

 

 

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