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ANNONCE INTERVIEW ISABELLE-MARIE D'ANGELE - Isabelle MINIBULLE - LUNDI 2 NOVEMBRE 2020 18 H SUR MON GROUPE FB

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

 

 

Bonjour les amis,

 

Le jeudi 15 octobre 2020 j'ai réalisé ma 153  ème interview avec un auteur du groupe qui a accepté de se soumettre à mes questions.

 

 

Je vous donne rendez-vous le lundi 2 novembre 2020 à 18 H 00 pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Isabelle-Marie d'ANGELE -Isabelle Minibulle - A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Isabelle qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

 

 

A bientôt.

 

 

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Bonjour aujourd'hui vendredi voici ma chronique concernant : "40 ANS ET ALORS ?"

« 40 ANS ET ALORS ? »

tome 1 : Le début de la suite

Beth HOLLAND

Stories by FICTIA

7 mai 2020

390 pages

 

 

Présentation

 

Et si vous deviez tout recommencer ?

 


Quand Alyce voit sa vie stable et tranquille basculer à l'aube de ses quarante ans, elle se retrouve face à ses peurs et incertitudes. Son couple va mal, sa famille est au bord de l'explosion et son emploi est menacé. Elle commence alors à perdre pied. " Vieille ", " moche ", " bonne à rien " ou encore " incompétente " ne cessent de tourner en boucle dans la tête de cette jolie brune qui va devoir passer ce cap et réussir à rebondir.

 

Reprendra-t-elle sa vie en main ?

 

L'auteure

 

« Moi, c’est Beth Holland. J’écris, c’est ce qui me plaît. Cela me permet de m’évader, de construire des univers dans lesquels je peux dicter les règles. J’écris depuis toujours, enfin, depuis que j’ai compris l’impact des mots à travers le conte de la belle au bois dormant. Je suis donc passionnée par les livres, les histoires, les différentes manières de les raconter et de les faire vivre autour de nous.
C’est pourquoi j’aime le théâtre d’improvisation. Il nous permet de faire travailler notre imagination et notre répartie. Je le rapproche souvent de l’activité de jeux de rôle, de soirées enquête ou de jeux grandeur nature. Là encore, je mets ma créativité à profit afin de d’écrire des scénarios et de permettre aux participants d’explorer l’extravagance de mes pensées.
Je me ressource en dévorant moult fois les œuvres d’Agatha Christie, d’Elisabeth Georges, d’Anne Rice, de Stephen King, de René Barjavel ou encore de Michaël Crichton, H.P Lovecraft et Pierre Pevel.
Étant une grande adepte de cinéma et de séries TV, je puise aussi mon inspiration dans les salles obscures et depuis mon canapé.
Ne cessez jamais de lire et de créer. Que l’imagination demeure à jamais dans vos cœurs ! »

 

Mon avis

 

Je remercie Beth HOLLAND pour l'envoi de « 40 ans et alors ? » roman gagné récemment lors d'un concours sur sa page auteure ainsi que pour la gentille dédicace et le joli marque-page. J'ai ainsi pu découvrir la plume fluide pétillante et addictive de cette auteure.  

 

Bien que peu habituée à lire des romans « chick-lit », j'ai de suite été emportée par les mots de Beth HOLLAND.

Celle-ci nous conte l'histoire d'Alyce, jeune femme mariée à Connor et mère de deux enfants Amy et David.

La vie de notre héroïne semblait parfaite jusqu'au jour de son 40ème anniversaire où elle découvre un texto sur le portable de son mari...

 

 

L'histoire, qui se déroule aux Etats-Unis, est sympathique, dure et tendre à la fois. Beaucoup d'émotions sont palpables à la lecture de cet ouvrage et l'on ne peut s'empêcher d'éprouver de la peine, de la peur pour Alyce face aux coups bas dont elle est victime mais également de la colère envers Connor.

 

J'ai beaucoup aimé le personnage d'Alice qui est vraiment une battante, attachante et vraie ainsi que son amie Anna, la copine exceptionnelle, la sœur de coeur que tout le monde aimerait connaître.

 

J'ai dévoré pratiquement d'une traite cette belle romance, émouvante, légère et emplie d'espoir et j'attends avec impatience la suite des aventures d'Alyce.

 

Un bon moment de lecture et de détente.

 

 

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Bonjour aujourd'hui jeudi voici ma chronique concernant : "LA MORT SUR UN PLATEAU"

« LA MORT SUR UN PLATEAU »

Francisco LOZANO

EVIDENCE EDITIONS

Collection Clair Obscur

22 mai 2020

251 pages

 

 

 

Présentation

 

Les meurtres en chambre close, le commissaire Martinot aime bien ça, dans les romans de John Dickson Carr. Il les apprécie beaucoup moins lorsqu'il doit mener l'enquête et que cela l'oblige à écourter des vacances bien méritées.

Son ancien collègue Santiago Blanco ne pensait plus être amené à collaborer avec Martinot. Il n'imaginait pas qu'un homme surgi du passé le conduirait, lui aussi, à se pencher sur la mort d'un ancien dictateur.

Au Costa Verde, la candidate du parti démocrate de gauche affronte une difficile campagne présidentielle en se demandant si la mort du dictateur aura une influence sur l'élection.

Entre whodunit et thriller politique, ce roman vous réserve bien des surprises.


 

L'auteur

 

Francisco Lozano est né en 1954,il est d'origine espagnole. Il s'intéresse à la politique internationale avec une préférence pour l'Amérique latine. Il écrit depuis qu'il a appris à le faire. La Mort sur un plateau introduit le personnage de Santiago, un policer à la retraite qui doit apparaître dans une suite de romans qui se déroulent partiellement dans un pays imaginaire d'Amérique latine le "Costa Verde".


Admirateur de Didier Daeninckx, il aimerait concilier intrigue policière et réflexion politique.
 


Mon avis

 

Je remercie Francisco LOZANO de m'avoir envoyé son roman « La Mort sur un plateau » accompagné d'une très gentille dédicace, que j'avais gagné lors d'un concours organisé sur sa page. J'ai ainsi pu découvrir sa plume alerte et précise.

 

Bien que très peu habituée à ce genre de lecture surtout lorsque le sujet de la « politique » est abordé, je me suis de suite sentie happée par cette histoire originale et intéressante.

 

En effet, lors d'une émission de télévision en direct, le général Ortega est assassiné. Inès de Los Rios, candidate de l'opposition à l'élection présidentielle, mène sa campagne.

Cet acte a-t-il un rapport avec sa candidature ? S'agit-il d'un assassinat politique ?

 

Une enquête policière est menée tambour battant par le commissaire Martinot secondé par Santiago Blanco.

 

Le suspense est constant et les nombreux rebondissements tiennent le lecteur en haleine jusqu'à la dernière page.

 

Je n'en dirai pas plus, vous le découvrirez par vous-mêmes en lisant ce polar, bien écrit et documenté que j'ai lu d'une traite tant j'avais hâte d'en connaître le dénouement, fort surprenant et émouvant qui invite à découvrir la suite : « Gabrielle ».

 

Cet ouvrage séduira les amateurs du genre.

 

Un bon moment de lecture.

 

 

 

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Voici une troisième chronique concernant : "DE SOIE ET DE CENDRES"

« DE SOIE ET DE CENDRES »

Mireille PLUCHARD

PRESSES DE LA CITE

TERRES DE FRANCE

10 septembre 2020

642 pages

 

Présentation

 

Début du XXe siècle, au cœur des Cévennes. Qui pour succéder à Auguste-César Roustan des Fontanilles à la tête de sa filature de soie de belle renommée ? Une grande fresque familiale au cœur d'un métier et d'une tradition séculaire

des Cévennes.

1926. Qui pour reprendre le flambeau de la filature cévenole La Bâtie Neuve ? Ce qui fut le domaine de ses ancêtres est devenu depuis plus de soixante ans l’œuvre d'Auguste-César Roustan des Fontanilles. Il a consacré sa vie à l'entreprise, qui peut se targuer d'être la plus cotée dans le milieu séricicole. Or, parmi ses proches héritiers, l'exigeant patriarche ne voit personne. Déroulant le fil de sa longue vie, jalonnée de drames familiaux, Auguste-César affine son choix et, à l'ouverture du testament, ses dernières volontés n'admettent aucune contestation.


L'élue, que personne n'attendait, a pourtant grandi à l'ombre du temple de la soie ; face aux traîtres, aux envieux, elle devra faire front. Mais, fidèle à la mémoire d'Auguste-César, rien n'arrêtera sa détermination pour que rayonne, encore, La Bâtie Neuve.

 

 

L'auteure

 

Mireille Pluchard est née en 1946 dans les Cévennes, à Alès. Après s'être consacrée avec bonheur à l'éducation de ses enfants, elle prend la plume encouragée par son époux, le premier et le plus fervent de ses lecteurs.

Mue par une passion pour l'Histoire et la généalogie, Mireille Pluchard se définit volontiers comme une véritable souris d'archives.

Ses recherches se veulent les fondations de chacun de ses romans car Mireille Pluchard, en bonne Cévenole, avoue ne pas aimer « construire sur le sable ».

Elle est désormais l'auteur de plus d'une quinzaine de romans, dont Le Miroir d'Amélie aux Presses de la Cité. Sa terre natale reste la première source d'inspiration de ses sagas mais au-delà des paysages et du climat si particulier de cette contrée entre mer et montagne, Mireille Pluchard aime « raconter les gens ».

 

Mon avis

 

Je remercie les Editions PRESSES DE LA CITE et en particulier Marie-Jeanne de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, « De Soie et de cendres », roman de Mireille PLUCHARD, auteure dont j'ai lu un grand nombre d'ouvrages tant j'aime sa plume fluide et majestueuse.

 

La très belle couverture et le résumé fort alléchant m'ont de suite interpellée.

 

L'auteure nous emporte en 1926. Auguste-César Roustant des Fontanilles, âgé de 88 ans, propriétaire d'une filature de soie dans les Cévennes, rédige son testament avant que sa dernière heure ne soit venue.. Tous ses souvenirs lui reviennent alors en mémoire et nous les suivons, au fil des mots de Mireille PLUCHARD.

 

L'histoire est belle, les personnages bien que très nombreux, sont attachants et bien décrits. J'ai bien aimé celui de Félicia qui est une jeune femme déterminée et authentique et dont l'auteure dresse un bien joli portrait .

 

Mireille PLUCHARD nous fait découvrir la vie de la haute société fin XVIIIème début XIXème siècle, les us et coutumes de l'époque dans les Cévennes, le travail à la filature de soie et, en mêlant l'Histoire, nous offre une jolie saga familiale très bien écrite et documentée tant sur les plans historique, médical que régional.

 

Un bon moment de lecture.

 

 

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Voici une seconde chronique concernant : "LE PAIN DE LUNE"

« LE PAIN DE LUNE »

Claude VINCENT

Editions de BOREE

TERRE DE POCHE

10 septembre 2020

464 pages

 

Présentation

 

Ce gamin qui pénètre chez eux sans autorisation, Sophie et Abel ne s'y attendaient pas ! Le temps a si vite filé depuis la mort accidentelle de leur fille Manon. Une douce quiétude emplit désormais leur quotidien : leur fils, Jacques, a repris l'exploitation agricole et son épouse, Julienne y règne avec autorité.

Alors, cet enfant de dix ans, Justin, ils se surprennent à le guetter : il devient même le rayon de soleil de leur quotidien. Or, après plusieurs visites, Abel apprend qu'il est le fils d'Isabelle, la meilleure amie de Manon...

 

 

L'auteure

 

 

Après des études de psychologie et une carrière de conseillère professionnelle, Claude Vincent passe aujourd’hui la plus grande partie de son temps à écrire. Cette auteure au verbe aussi rare que précieux est entrée en littérature avec Les Roses de l’hiver, un roman plusieurs fois primé.


Mon avis

 

Je remercie les Editions de BOREE et en particulier Virginie de m'avoir permis de lire, en service de presse, « Le Pain de lune », roman de Claude VINCENT et ainsi de découvrir la plume fluide de cette auteure.

 

Claude VINCENT nous conte la vie de Sophie et Abel, un couple âgé de fermiers Ardéchois qui, depuis le décès accidentel de leur fille Manon, ont perdu la joie et l'envie de vivre.

 

Jusqu'au jour où un jeune garçon de 10 ans leur rend visite et Abel commence à s'attacher à ce petit qui serait le fils d'une amie de leur défunte fille.

L'auteure décrit à merveille la vie en milieu rural, la beauté des paysages au fil des saisons, les sentiments et les émotions des protagonistes de son roman ;

 

J'ai bien aimé ce roman régional émouvant, nostalgique empli de poésie, ayant pour thème, outre la vie paysanne, le deuil et surtout la perte d'un enfant, l'approche de la vieillesse, les rapports grands-parents-petits-enfants, la transmission..

 

Un bon moment de lecture.

 

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Bonjour aujourd'hui mercredi voici ma chronique concernant : "UN ETE D'ESPERANCES"

« UN ETE D'ESPERANCES »

Alain LEONARD

Editions de BOREE

08 octobre 2020

252 pages

 


Présentation

 

Issoire, 1943. Le docteur Pierre Neveu quitte Orléans pour accepter un poste à l'hôpital de la petite ville auvergnate. Il fait la connaissance de Veronika Steiner, médecin de la Wermarcht qui doit réquisitionner des lits pour l'occupant. Pierre ne sera pas insensible au charme de la jeune femme, tandis que la Résistance, qui opère dans la région, sollicitera son aide. Tiraillé entre ses sentiments et son patriotisme, Pierre Neveu devra faire preuve d'une extrême prudence.

 

L'auteur

 

Après une carrière militaire en France et à l'étranger, Alain Léonard est actuellement infirmier dans un hôpital clermontois. A 52 ans, il entame en parallèle une carrière d'écrivain, mêlant histoire de France et romanesque. Enfants de la liberté, son premier roman, a reçu le prix du jury du l'Association du Noël des Romanciers d'Auvergne en 2017, puis le premier prix du concours de littérature 2019, attribué par le Lions Club Auvergne-Rhône- Alpes.
Un été d'espérances est son quatrième roman aux éditions De Borée.

 

Mon avis

 

Je remercie les Editions de BOREE et en particulier Virginie de m'avoir permis de lire, en service de presse, « Un Eté d'espérances », roman d'Alain LEONARD auteur dont j'ai lu tous les ouvrages tant j'aime sa plume fluide et élégante.

 

Je remercie également Alain pour sa très gentille dédicace qui m'a beaucoup touchée.

 

La très belle couverture et le titre m'ont de suite interpellée.

 

Alain LEONARD nous emmène en 1943 où nous faisons la connaissance de Pierre Neveu, jeune médecin qui vient de prendre ses fonctions au sein de l'hôpital de la ville d'Issoire. Pierre va devoir, en pleine occupation allemande, collaborer avec Véronika Steiner, médecin et officier de la Wehrmacht ; celle-ci ayant en charge les blessés allemands.

 

 

Pierre qui soutient les résistants parviendra-t-il à accomplir ses missions en présence de cette « ennemie » ?

 

Une histoire d'amour sera-t-elle possible entre les deux médecins ?

 

Vous allez penser qu'il s'agit encore d'un ouvrage qui parle de la Guerre de 39-45, sujet maintes fois évoqué ; or ce livre sort vraiment du lot car il met en scène les amours impossibles d'un couple de médecins Franco-Allemand dans ce contexte si difficile.

 

J'ai beaucoup aimé ce roman historique très bien écrit et documenté, ponctué d'une touche romanesque qui mêle l'Histoire à celle de deux êtres que tout oppose en cette période au combien mouvementée et sombre que fut la Seconde Guerre Mondiale.

 

Par ses mots, Alain LEONARD rend également hommage aux hommes et aux femmes qui, courageusement, dans l'ombre et souvent au péril de leur vie, ont sauvé un grand nombre de nos concitoyens et œuvré pour la liberté de notre pays.

 

Un très bon moment de lecture que je conseille aux amateurs du genre.

 

 

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Bonsoir aujourd'hui dimanche voici ma chronique concernant : "TETE DE PAILLE"

« TETE DE PAILLE »

Gérard GLATT

Editions RAMSAY

13 octobre 2020

200 pages

 

Présentation

 

 

En mars 1984, un après-midi, le père du narrateur lui annonce la mort de son frère, Daniel, qu'il n'avait pas revu depuis le mois de mai 1968. À cette époque, seize ans plus tôt, il effectuait son service militaire. C'est à l'occasion d'une permission qu'il avait appris qu'à la suite d'une colère incontrôlable, en présence des gendarmes et des pompiers appelés à la rescousse, rien moins que la force de trois ambulanciers avait été nécessaire pour maîtriser le jeune homme et le conduire dans un hôpital psychiatrique de la région parisienne. Daniel va y être interné pendant presque treize années, un tunnel sans fin, avant d'être admis, à Evry Petit-Bourg, dans une maison spécialisée pour handicapés mentaux adultes. Trois années plus tard, un cancer des poumons devait l'emporter. Il aurait eu 39 ans...

Le narrateur, qui n'est autre que l'auteur de ce roman autobiographique raconte à sa manière, et sans pathétisme, l'histoire d'une vie brève, peuplée d'orages et de superbes éclaircies.

 

 

 

L'auteur

 

 

Gérard Glatt est né en 1944, à Montgeron. Auteur d'une quinzaine d'ouvrages, essentiellement des romans, il écrit depuis son plus jeune âge. Encouragé dans cette voie tout au long de ses études par ses professeurs, dont Roger Vrigny, Grand Prix de littérature de l'Académie française. Il a notamment publié chez de Borée, La Chouette idée d'Alexandre Pluche, en 2014, et aux Presses de la Cité, Les Sœurs Ferrandon, en 2017, Le Destin de Louise, en 2018, Et Le ciel se refuse à pleurer..., en 2018 également, L'Enfant des Soldanelles, en 2019, ainsi qu'un recueil de poésie, Nostalgie 89, aux Editions du Cygne, toujours en 2019.

 

 

Mon avis

 

Je remercie Gérard GLATT et les Editions RAMSAY de m'avoir permis de lire, en service de presse, le dernier ouvrage de Gérard, auteur dont j'ai lu tous les ouvrages tant j'aime sa plume fluide et précise.

 

La photo du jeune garçon sur la couverture du livre m'a de suite émue et j'ai su qu'il s'agissait de Daniel, le frère de Gérard.

 

Gérard GLATT nous conte le destin tragique de Daniel qui fut un enfant puis un adolescent colérique et incontrôlable. Après avoir été interné d'office dans un établissement de soins psychiatriques puis dans une maison pour handicapés mentaux adultes, Daniel est décédé à l'âge de 39 ans des suites d'un cancer.



L'auteur nous offre un récit fort bouleversant au cours duquel il témoigne des difficultés rencontrées par sa famille, les moqueries et le regard des autres face aux agissements du jeune handicapé « différent » comme certains disent...

 

Par ses mots, l'auteur exprime l'amour qu'il a toujours éprouvé et aujourd'hui encore, pour son frère.

 

J'ai beaucoup aimé cet ouvrage autobiographique très émouvant, écrit avec le cœur qui reflète la culpabilité, les questionnements et l'impuissance que l'auteur ressent après toutes ces années mais il en ressort également que Daniel restera à jamais dans son cœur.

 

J'ai lu cet ouvrage prenant pratiquement d'une traite et je l'ai refermé les yeux humides.

 

Un très beau moment de lecture.

 

 

 

Petite précision : Les droits d'auteur de la première édition seront reversés à l'Association Les Jours Heureux, qui accompagne des personnes en situation de handicap.

 

 

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Bonsoir aujourd'hui samedi voici ma chronique concernant : "L'HERITIERE DU LOTUS ROSE"

« L'HERITIERE DU LOTUS ROSE »

Kate McALISTAIR

Editions de l'ARCHIPEL

8 octobre 2020

544 pages

 

Présentation

 

Le nouveau volet de l'enivrante saga du Lotus Rose, dans la lignée des grands romans de Sarah Lark (Le Pays du nuage blanc) et de Tamara McKinley (La Dernière Valse de Matilda).

 

Août 1939.

 

Les échos de la guerre qui couve en Europe parviennent en Argentine jusqu'à la somptueuse estancia La Balandra, au bord du Rio de la Plata, où Jezebel et Jan ont élevé dans la quiétude leur fille Lián et son frère Zachary.


Un jeune officier britannique en mission de renseignement, Milo McCorball, s'y invite le temps de mener une enquête sur de puissants propriétaires terriens, les Ramiro, soupçonnés d'être des sympathisants nazis. D'emblée, Milo tombe amoureux de Lián. Mais Carlos, le fils Ramiro, est décidé à épouser la jeune beauté, de gré ou de force.

 

Désirant mettre sa fille à l'abri, Jezebel la confie à Milo afin qu'il la conduise à Calcutta auprès de sa marraine, la duchesse Olga Obolenski, devenue par son mariage la maharani du Mahavir.


Lián part contrainte et forcée vers un pays qui la rebute, car elle le devine lié au mystère qui entoure sa propre naissance. La passion de Milo suffira- t-elle à lui faire aimer cette Inde mystérieuse et à la réconcilier avec ses racines ? Et la guerre, qui gronde aux frontières, leur permettra-t-elle de vivre leur amour ?

 

L'auteure

 

Kate McAlistair, dont la famille a vécu en Asie, se passionne pour l'Inde. Après des études d'art et de cinéma, elle travaille comme graphiste puis se lance dans l'écriture. Les éditions de l'Archipel ont publié La Vallée du Lotus rose (2018) et La Cité du Lotus rose (2019), les deux premiers volets de cette trilogie indienne, repris chez Archipoche.

 

Mon avis

 

Je remercie les Editions de l'ARCHIPEL et en particulier Mylène de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, « L'Héritière du lotus rose », roman de Kate McALISTAIR. Je remercie également Kate pour la très belle et gentille dédicace qui m'a beaucoup touchée.

 

La très jolie couverture et le résumé fort alléchant m'ont de suite interpellée.

 

Ayant lu et adoré les précédents opus de cette trilogie, j'avais hâte de découvrir ce troisième tome et de retrouver les principaux protagonistes : Jezebel et Jan..

 

L'auteure nous transporte en 1939 à Buenos Air où nous faisons connaissance avec Milo Mc Corball, jeune officier britannique en mission en Argentine. Milo, fils d'un ami de Jan Lukas se rend dans la magnifique exploitation agricole où vivent Jan, Jezebel son épouse, Mary-Leela (Lian), leur fille et leur jeune fils Zachary.

 

Ainsi nous découvrons la rencontre entre Milo et Lian, leur histoire d'amour et les nombreuses aventures qui vont les conduire en Inde.

 

Lian va-t-elle parvenir à découvrir les secrets de sa naissance ? Les souvenirs de son enfance en Inde lui reviendront-ils en mémoire ?

 

 

L'auteure a vraiment un talent exceptionnel et décrit à merveille les traits tant physiques que psychologogiques des protagonistes de son roman, les rendant vrais, hauts en couleur, attachants pour certains, détestatbles pour d'autres. Il en est de même pour leurs sentiments et émotions.

 

Elle dépeint avec moult détails les paysages et ainsi, au fil de ses mots, des images défilent devant nos yeux et l'on imagine aisément les couleurs, la pampa puis la jungle, les animaux, les palais des maharadjas, les odeurs et l'on perçoit également la musique des tangos argentins.. Un vrai régal !

 

J'ai ADORE le troisième tome de cette saga familiale, extrêmement bien écrit et documenté, passionnant, envoûtant, qui mêle l'Histoire, l'aventure, les secrets, l'amour, le suspense et fait voyager dans des contrées lointaines mystérieuses.

 

Un excellent moment de lecture et d'évasion.

 

Je lirai assurément d'autres ouvrages de cette auteure.

 

 

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ANNONCE INTERVIEW ALEX KIN VENDREDI 6 NOVEMBRE 2020 18 H SUR MON GROUPE FB

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

Bonsoir les amis,

Le lundi 2 novembre 2020 je vais réaliser  ma 154 ème interview avec un auteur du groupe qui a accepté de se soumettre à mes questions.

Je vous donne rendez-vous le vendredi 6 novembre 2020 à 18 H 00 pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Alex Kin. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Alex qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

A bientôt.

 

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INTERVIEW REALISEE CE SOIR AVEC NADINE DECONINCK SUR MON GROUPE FB

INTERVIEW AUTEUR

Nadine DECONINCK-CABELDUC

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

  • Notre amie Nadine DECONINCK-CABELDUC a gentiment accepté de répondre, récemment, à mes questions.

 

Je partage donc avec vous cette interview à l'issue de laquelle vous pourrez poser vos questions à Nadine qui vous répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

 

 

JM : - Bonsoir Nadine

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prête à « passer sur le gril » ?

 

Nadine : C’est un exercice qui ne m’est pas familier mais allons-y.

 

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Nadine : J’ai 54 ans. Adjointe administrative dans la fonction publique territoriale, j’ai pris une disponibilité à la naissance de mon premier enfant. Suite à des grossesses compliquées, j’ai décidé de donner la priorité à ma famille. J’en ai profité pour reprendre la plume que j’avais délaissée quelques années plus tôt. Ma première expérience dans le monde de l’édition s’est faite par le biais d’une ME participative. Aujourd’hui, je suis une auteure « hybride ». Je navigue entre le compte d’éditeur et l’auto-édition.

 

 

 

JM : - Que représente pour toi l'écriture ?

 

Nadine. : Je crois que c’était une évidence pour moi. J’ai découvert la lecture très tôt. Mon argent de poche, les cadeaux d’anniversaire et de Noël étaient prétexte à l’acquisition de livres. J’ai très vite eu envie d’écrire. J’ai cependant mis ce projet à exécution seulement à l’adolescence. Il n’empêche que cela reste avant tout un loisir.

 

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes romans ?

 

 

Nadine : Mon tout premier roman, « Le pyé koko » devenu « Une seconde chance » lors de sa réédition, a été écrit en 2007. Publié en 2014 aux Éditions Sokrys puis aux Éditions Les Bas Bleus en 2018, il est actuellement sous bannière So romance (2019) suite à la fusion de ces deux ME . Il s’agit d’un roman contemporain mêlant romance et enquête policière.

 

Ensuite, j’ai eu envie de me lancer, pour m’amuser, dans une romance historique. Ainsi est né « L’envol du papillon ». Écrit en 2008, il a d’abord connu AE sur Amazon en 2018 avant d’être publié aux Éditions So romance en 2020. Il se déroule au 19ème siècle, pendant la révolution de 1845 qui a mené, entre autre, à l’abolition de l’esclavage. Je ne suis pas une fan d’histoire mais le sujet m’intéressait beaucoup. Je me suis donc documentée sur cette période pour coller au plus près de la réalité.

 

Puis, j’ai écrit, en 2009, « Les cigognes n’en font qu’à leur tête ». C’est un sujet qui me tenait particulièrement à cœur. En 2001, j’ai eu la douleur de perdre un bébé à 5 mois de grossesse. Quelques jours plus tard, un nouveau-né était kidnappé à la néonat de Nantes. Mon aîné y avait été admis deux ans et demi plus tôt car il est né grand prématuré, j’ai donc écrit en connaissance de cause. Je voulais expliquer, même si le fait est condamnable bien sûr, comment une femme complètement déboussolée par la perte de son bébé pouvait en arriver à cette extrémité car le kidnapping de nourrissons est généralement le fait de femme en mal d’enfants.

Par pudeur, j’ai choisi la fiction pour parler de cette épreuve que j’ai subie. Je n’avais pas envie d’étaler ma vie privée et par ce biais, j’ai tout de même pu, par petites touches, évoquer mon vécu, mais aussi celui d’autres mamans. Et comme je n’avais pas non plus envie de tomber dans le pathos, le début du roman est construit de façon assez légère.

 

Mon 4ème roman, « En attendant l’arc-en-ciel » a été écrit en 2010 et publié en AE sur amazon en 2019. Je le classe davantage en feelgood que romance même s’il y en a une. Au bord du divorce, une femme retourne dans le village de son enfance. Elle y croise un homme qu’elle tient pour responsable du drame qui s’est joué dans sa famille alors qu’elle était enfant.

 

Enfin, le petit dernier est sorti cet été. « Hasard et conséquences », navigue également entre feelgood et romance. À la mort de son frère, un célibataire prend à sa charge sa nièce. Il engage une baby-sitter pour l’enfant et remet ses choix de vie en question.

 

 

 

JM : - Sauf erreur de ma part, tes ouvrages sont des « romances » (contemporaine ou historique) . Pourquoi ce choix et envisages-tu d'écrire dans un genre différent ?

 

Nadine : En dehors de « Les cigognes n’en font qu’à leur tête », il y a effectivement toujours une histoire d’amour, mais je me contente rarement de n’évoquer qu’une simple romance. Il y a des thèmes dont on parle peu (fausse-couche, non-désir d’enfant, alcool, drogue, handicap, des épreuves que chacun de nous peut connaître un jour, des secrets de famille, une enquête policière, l’Histoire.

Ceci dit, j’aime les histoires d’amour, c’est pourquoi on en retrouve dans mes romans.

 

Si j’en avais les capacités, j’aimerais écrire un suspens (où il y aurait aussi une histoire d’amour (mdr)) mais il faut tenir le lecteur en haleine… Pas évident. Peut-être que j’essaierai un jour.

 

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

Nadine : À la demande de ma ME et de plusieurs lectrices, j’ai commencé la suite de « L’envol du papillon ». On y retrouvera les personnages du premier tome bien sûr, mais le personnage principal sera la fille d’Élisa et Alexandre.

 

Le projet qui me tient le plus à cœur, c’est la suite de « En attendant l’arc-en-ciel ». Elle n’était pas prévue à l’origine, mais en retravaillant le texte l’année dernière, des scènes se sont imposées à moi. Je vais donc m’y atteler quand j’aurai terminé le 2ème tome de « l’envol du papillon ».

 

Je tiens à préciser que chaque roman (que ce soit pour la romance historique ou le feelgood) pourra se lire indépendamment, malgré tout.

 

 

 

JM : - Comment écris tu (carnets, cahiers, directement à l'ordinateur) ?

 

Nadine : J’ai longtemps écrit sur des cahiers ou des feuilles ce qui me permettait d’écrire à tout moment de la journée car l’ordinateur familiale n’était pas toujours disponible. J’ai maintenant un PC portable personnel, du coup, j’écris directement sur ordi ce qui me fait gagner du temps. C’est d’autant plus appréciable que je prends mon temps pour écrire et surtout peaufiner mes « manuscrits ».

 

 

 

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement  ? Si non pourquoi ?

 

 

Nadine : Je devais faire un salon du livre cet été mais il a été annulé pour cause de COVID19. Pour le moment, je n’en ai pas de prévu. L’écriture reste un passe-temps pour moi et ma famille passe avant toute chose, donc pour le moment, je n’en fais pas beaucoup et seulement à proximité de chez moi.

 

 

 

JM : - Que penses-tu de l'édition numérique ?

 

Nadine : C’est une très bonne chose pour les auteurs. Par contre, la lectrice que je suis, lit principalement en édition papier. J’aime le contact avec les livres, tourner les pages… et je peux lire plus longtemps sans fatiguer.

 

 

JM : - A qui confies-tu la première lecture de tes manuscrits (amie, membre de ta famille, bêta-lecteur) et qui réalise les couvertures de tes livres ?

 

Nadine : Quelques membres de ma famille ont la primeur de la lecture.

 

Pour l’AE, c’est moi qui m’occupe des couvertures, même si je ne suis pas une pro.

Pour les ME, il y a des graphistes. Pour « l’envol du papillon », on m’a proposé 8 images différentes mais j’ai eu un coup de cœur pour celle-ci.

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire éditer tes romans ?

J

Nadine : Toute jeune, dans les années 90, j’envoyais mes manuscrits à des ME sans grand succès. Quand j’ai eu internet, j’ai opté pour l’envoi par mail, donc seulement pour celles qui le faisaient. J’ai participé à des concours et des appels à textes. C’est dans ce cadre que Les Bas Bleus m’ont proposé un contrat. Pour So romance, je les ai contactés quand ils ont lancé leur concours/appel à textes de romance historique, mais ils avaient déjà réédité « Une seconde chance » lors de la fusion.

 

Avant cela, j’avais signé avec une petite ME régionale dont j’avais entendu parler par une autre auteure, je suis restée avec eux jusqu’à leur fermeture en 2015 même si j’ai fait un petit break cette année-là.

 

JM : - Penses-tu que les réseaux sociaux, les blogs permettent aux auteurs de promouvoir leurs écrits ?

 

Nadine : Ce n’est pas facile, nous sommes nombreux. Mais oui, cela permet de faire connaître nos romans. Il faut cependant être très présent et ne pas s’attendre à des miracles. (même s’il y en a parfois )

 

 

JM : Lis-tu et quel genre ?

 

Nadine : Comme je l’ai dit tout à l’heure, j’adore lire et ce, depuis que je suis toute petite.

 

Mon genre de lecture dépend de l’humeur du moment. De la romance contemporaine ou historique, du feelgood, du suspens, des policiers principalement.

 

 

 

JM : - Quel roman, lu dans ton enfance, t'a vraiment marquée ?

 

Nadine : Je citerai la série « Belle et Sébastien » de Cécile Aubry qui m’a donné envie d’écrire quand j’étais enfant.

À l’adolescence, il y en a plusieurs « La gloire de mon père », « la mort est mon métier » ou « mon bel oranger » par exemple.

 

 

JM : - Quels sont les auteurs que tu apprécies (dans le passé et dans le présent )?

 

Nadine : Agatha Christie, Jane Austen, Harlan Coben, Agnès Martin-Lugand, Virginie Grimaldi, Agnès Ledig, Torrey Hayden. Mais j’aime beaucoup découvrir de nouvelles plumes.

 

 

JM : - Pour tes romans, improvises-tu au fil de l'histoire ou connais-tu déjà la fin avant d'en commencer l'écriture ?

 

Nadine : Au début, une fois que l’histoire avait suffisamment pris forme dans ma tête, je faisais un plan succinct. Mais j’ai très vite compris que c’était inutile. Mes personnages ont leur vie propre et nen font qu’à leur tête. Donc maintenant je les laisse me guider.

 

 

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Nadine : La lecture, évidemment. La cuisine et la pâtisserie, le jardinage, le tricot. J’ai fait pas mal de loisirs créatifs aussi quand mes enfants étaient plus petits.Les balades dans la nature, surtout au bord de mer où j’ai la chance d’habiter.

 

 

 

JM : - Y a-t-il dans tes livres, des personnages qui te touchent et auxquels tu t'identifies ?

 

Nadine : Tous mes personnages principaux me touchent. Je ne saurais pas faire autrement. Étant de nature empathique, je peux m’identifier à eux facilement. Parfois, je me dis, et moi que ferais-je dans ce cas ? mais je ne suis pas eux et ils ne sont pas moi.

 

 

JM : - Quel est ton endroit préféré (pièce de ta maison, région, pays)

 

 

Nadine : Impossible pour moi de vivre loin de la mer. Même si je ne vais pas me promener au bord de l’eau tous les jours, ni même toutes les semaines, je sais qu’Elle est là. C’est un lien viscéral.

J’aime beaucoup les côtes sauvages, c’est tellement vivifiant. Cela me booste toujours !

 

 

 

 

JM : - Si tu étais : une couleur, un animal, un dessert : tu serais ?

 

Nadine : Une couleur : celles de l’arc-en-ciel car j’aime quasiment toutes les couleurs.

Un animal : le loup me fascine.

Un dessert : la mousse au chocolat maison

 

 

JM : - Quel mot te définit le mieux ?

 

Nadine : Je suis plutôt déterminée. Si je tiens à quelque chose en particulier, il faudra de bons arguments à la personne d’en face pour me faire changer d’avis.

 

 

JM : - Si tu partais sur une île déserte, quel objet incontournable à tes yeux emporterais-tu ?

 

Nadine : Il m’en faudrait deux : un crayon et du papier pour écrire.

 

 

JM : - Quel est ton proverbe favori ?

 

 

Nadine : « La vie ce n’est pas attendre que l’orage passe mais apprendre à danser sous la pluie »

 

JM : - Quel est ton film ou série culte ?

 

Nadine : Difficile de n’en citer qu’un mais puisqu’il le faut, je dirai « Love Story » que j’aurais aimé écrire : Il y a une histoire d’amour, du drame avec la maladie de l’héroïne. Et pourtant, j’aime quand les histoires finissent bien.

 

JM : Aimes-tu la musique ? Ecris-tu en musique ?

 

Nadine : J’aime beaucoup mais non, je n’écris pas en musique (sauf parfois quelques scènes).

 

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Nadine : Tout d’abord un grand merci Joëlle pour cet interview.

 

Merci aussi à tous ceux qui m’ont fait confiance : mes différents éditeurs et mes lecteurs.

N’hésitez pas à faire savoir aux auteurs ce que vous pensez de leurs romans, c’est très motivant d’avoir des retours et cela peut nous aider à progresser dans nos écrits.

J’ajouterai aussi qu’il est important de laisser des avis sur les réseaux sociaux. Les lecteurs ont le pouvoir, par le bouche-à-oreille, de donner une chance aux auteurs qui n’ont pas derrière eux une structure pour les faire connaître et des médias qui leurs ouvrent facilement leurs portes.


 

JM : - Merci Nadine pour ce très agréable moment passé en ta compagnie , ta disponibilité et ta gentillesse.

 

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Nadine qui se fera un plaisir de vous répondre sous ce post.

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