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Bonsoir aujourd'hui mercredi voici ma chronique concernant : "PRISONNIERS DES OMBRES"

« PRISONNIERS DES OMBRES »

Gaëlle CHARRIER-BRETAGNE

ELLA EDITIONS

29 août 2020

339 pages

 

Présentation

 

 

Un thriller psychologique profondément envoûtant !

Et bien sûr empli de rebondissements...

 

 

Hélène est une fillette de 6 ans qui a subit un grave traumatisme avec l’incendie de son école. Elle ne parle plus. Démunis, ses parents vont d’échecs en incompréhension. Le salut ne viendra peut-être pas du corps médical mais du voisin de ses parents, Élie. C’est un homme âgé et discret qui se contente d’une vie simple sur les bords de Loire. En allant à sa rencontre, Hélène va enfin comprendre qu’elle n’est pas seule à affronter l’impensable. Le secret est lourd à porter et peut même s’avérer dangereux. Malgré l’aide de cet homme, les épreuves s’enchaînent. Hélène va disparaître à l’approche de ses 21 ans laissant ses parents, les Talmond, sans nouvelle jusqu’au jour où ces derniers reçoivent un appel téléphonique. Leur fille s’est échappée d’un hôpital psychiatrique sur Toulouse. Une course folle s’engage alors, des cahiers écrits par Hélène depuis l’enfance refont surface, c’est le choc ! Pierre et Béatrice réalisent alors le calvaire de leur fille tout au long de ces années. Comment ont-ils pu passer à côté ?


Extraits

 

"Hélène regarde le marronnier au centre de la cour. Le vent agite ses feuilles qui bruissent en cadence. Elle se laisse bercer par cette musique que les autres ne semblent pas entendre. A ses pieds, une pierre abritant une fourmilière. Les petits êtres s'activent avec frénésie, dans quel but ? Hélène ne sait pas, elle se doute bien qu'il y a une raison à cela même si elle ne la comprend pas. Elle devine qu'ils doivent faire vite et bien, leur survie en dépend".


« Samedi matin, pas un bruit dans la maison. C'est d'un pas feutré qu'Hélène avance et emprunte l'escalier. Le jour vient à peine de se lever, une lumière diffuse se fraie un chemin à travers les volets roulants mal jointés du salon. Bientôt, les effluves de la brioche grillée et du chocolat chaud envahissent le rez-de-chaussée. La nuit n'a pas été bonne, comme beaucoup l'ayant précédée. Des images se sont immiscées dans ses rêves d’enfant, mais Hélène ne peut pas en parler. Ce phénomène lui fait peur, alors elle a choisi de se taire. »

L'auteure

Gaëlle CHARRIER-BRETAGNE nous a séduit avec « jusqu'au bout du monde », ce voyage fascinant au cœur des forêts malgaches, elle nous bouleverse maintenant avec l'histoire d'Hélène.

 

 

Mon avis

 

Je remercie Gaëlle CHARRIER-BRETAGNE de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son roman « Prisonniers des ombres » et ainsi de découvrir sa plume fluide, précise et sensible.

 

La couverture mystérieuse et le titre m'ont de suite interpellée.

 

Je me suis de suite sentie happée par les mots de Gaëlle CHARRIER-BRETAGNE qui, à l'aide de nombreux retours en arrière, nous conte l'histoire d'Hélène, une fillette très attachante. Celle-ci ne parle plus depuis l'événement tragique qui s'est déroulé dans son école...

 

L'auteure nous fait également partager le destin d'Elie, un homme âgé avec lequel notre héroïne parvient à communiquer malgré le traumatisme qu'elle a subi.

 

L'histoire est belle, palpitante et ponctuée d'une touche d'ésotérisme.

 

L'auteure dresse une analyse fine des sentiments et des émotions des protagonistes de son roman. Ainsi, l'on ne peut s'empêcher d'espérer, de trembler, d'avoir peur pour Hélène, ses parents et Elie. Il faut dire également que les nombreux rebondissements tiennent vraiment le lecteur en haleine.

 

J'ai beaucoup aimé ce thriller psychologique très bien écrit et étrange que j'ai lu en deux soirs tant j'avais hâte d'en connaître le dénouement. Je lirai assurément d'autres ouvrages de cette auteure qui a su me transporter et me bouleverser avec ses mots.

 

Un très bon moment de lecture.

Page FB :https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

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INTERVIEW REALISEE CE SOIR AVEC ALAIN MAUFINET SUR MON GROUPE FB

INTERVIEW AUTEUR

Alain MAUFINET

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

  • Notre ami Alain MAUFINET a récemment accepté de répondre à mes questions.


Je partage donc avec vous l'entretien que nous avons réalisé, à l'issue duquel, vous pourrez, si vous le souhaitez, poser des questions à Alain qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

 

 

 

JM : - Bonsoir Alain

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prêt à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Alain : Aucun problème, je tenais surtout à te remercier pour ton invitation. J’ai souvent lu tes entretiens avec beaucoup de plaisir. Il me vient subitement l’idée d’offrir une très petite histoire en fin d’entretien, pour distraire lecteurs et lectrices.

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Alain : Plus jeune, solitaire, je voyageais guidé par mes lectures, en particulier nos grands romantiques. Je pense surtout à Chateaubriand. À l’étroit entre la Garonne et les Pyrénées, je rêvais d’équipées lointaines.

En 1969, j’ai choisi l’uniforme, le danger soviétique se profilait. J’ai sillonné vingt ans les terres de l’Est de la France. Ce fut mon « désert des tartares ». Les années suivantes, chargé de missions sur d’autres continents, en particulier l’Afrique francophone, je découvrais des cultures et des mondes différents.

Puis, à l’aube de l’an 2000, je change de vie pour diriger une agence immobilière. J’ai d’abord pris un nom de plume : Alain Badirac, pour éditer chez Libre Label trois romans et un recueil de nouvelles.

Depuis j’écris avec mon nom : Alain Maufinet.

J’ai eu la chance d’être accepté par JDH EDITIONS, pour mes derniers écrits, et en particulier mon dernier roman : Le chant des Brisants.

 

 

 

JM : - L'écriture est-ce une passion ou un métier pour toi ?

 

Alain : Une passion. Elle m’a toujours habitée. Depuis jeune, je lisais et j’écrivais. J’ai d’abord écrit deux thèses pour mes mémoires du troisième cycle, puis pour des publications militaires.

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes romans ?

 

Alain :

2010, j’avais pris un nom de plume, à mes débuts : Alain Badirac, pour éditer chez Libre Label trois romans : Passion clair-obscur, La Pluie soleil, les Griffes de la vie, et un recueil de nouvelles : Souffles de vies.

 

2018, je propose : Les larmes du désert avec mon nom chez le Livre Actualité. Il est distribué dans le réseau Hachette.

 

2020, je rejoins JDH EDITIONS. Je signe avec mon nom.

J’inaugure une nouvelle collection littéraire avec mon roman, paru mi janvier 2020, Le Chant des Brisants  : Collection Magnitudes.

Puis, j’ai participé à un ouvrage à 8 mains : « Coronavirus, la dictature sanitaire » Collection Uppercut.

J’ai collaboré avec plusieurs auteurs à un livre sur le confinement : « Stupeur et Confinements » Collection Les collectifs.

J’ai rejoint d’autres auteurs pour évoquer la violence, sous toutes ses formes, entre homme et femme : « Nos violences conjuguées ». A paraitre : Les collectifs.

Je propose également des préfaces de romans de grands auteurs : Le colonel Chabert de Balzac et Aziyadé de Pierre Loti qui va paraitre (Collection Atemporels).

 

 

 

 

JM : - Si ma mémoire est bonne tes romans sont des thriller, polar mêlant amour et suspense. Pourquoi ce choix et envisages-tu d'écrire dans un autre registre ?

 

Alain : J’ai toujours du mal à définir un registre. Je vais simplement laisser s’exprimer trois lectrices, très présentes sur les réseaux.

Nadine Doyelle écrit, en parlant des larmes du désert : « Un roman inclassable, tant il traite de style ! Aventure, thriller psychologique, thriller à suspens etc. »

Corinne Falbet-Desmoulin (auteure) évoque, après avoir lu : le chant des Brisants : « Action et poésies entremêlées. » 

Patricia Mercier indique : « Alain a une plume qui chante, empreinte de douceur, de légèreté et de poésie. »

 

J’explore actuellement d’autres registres en écrivant sur des thèmes différents avec d’autres auteurs.

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier tes romans ?

 

Alain: J’ai d’abord contacté des maisons d’éditions, en proposant des écrits. J’ai rencontré des éditeurs. Ce ne fut pas toujours très simple : refus et déceptions. J’ai persévéré.

Puis j’ai échangé (écrits, idées) régulièrement avec quelques auteures.

Dernièrement ma rencontre avec JDH éditions a été déterminante.

 

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

Alain : J’ai effectivement un projet d’écriture avec une « artiste culinaire » de l’Île Maurice. On affine l’aventure.

 

 

 

JM : - Où trouves-tu l'inspiration pour créer les protagonistes de tes livres ? En combien de temps écris-tu un roman ?

 

Alain : Une idée me vient, je la développe. Parfois j’abandonne si le résultat ne me convient plus. D’autre fois, l’idée se développe comme une plante qui pousse régulièrement et donne des fruits. Alors petit à petit, je la développe, la nourris.

L’idée de départ peut avoir plusieurs origines. Un lecteur m’a indiqué dernièrement que le chant des brisants donne l’impression d’être un récit autobiographique. J’ai beaucoup aimé cette observation, mais ce n’est pas vraiment le cas, même si les interprétations des chants des récifs (brisants) sont les miennes.

Je fais souvent l’éloge de la nature car (à mon sens) son influence est déterminante sur l’humain, ses choix et son devenir.

 

Quelquefois, je reprends un projet abandonné et l’inspiration pour la faire vivre et grandir est cette fois au rendez-vous.

Pour mes premiers romans, j’ai mis 3 à 4 ans. Désormais, il me faut environ une année.

 

 

JM : - Comment écris-tu (cahiers, carnets, direct sur l'ordinateur) ?

 

Alain : J’écris lentement. Je lance plusieurs jets, soit à la main sur des cahiers, soit sur l’ordinateur. Puis je travaille, reprends, réécris chaque paragraphe, chaque page. J’ajoute, je supprime des passages, je tente de présenter le meilleur roman, celui qui transportera, fera rêver.

 

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement  ?

 

 

Alain : Oui, je vais reprendre les séances, si la covid nous le permet. Je démarre doucement, j’avoue faire peu de dédicaces.

Pour l’instant j’ai prévu :

  • Celle de la médiathèque de Fameck 57 290 (complétée par une foire aux livres) le dimanche 27 septembre.

  • Celui organisé par Marie-Jo-Dumas Suter à Jouy-en-Josas (Yvelines) Le salon du livre et des Art, le 18 octobre, salle du Vieux Marché.

  • Le salon du livre de Beaumont-sur–Oise le 1 décembre à l’Hôtel du Croissant.

 

 

 

 

JM : - A qui confies-tu tes manuscrits en première lecture (ami, membre de ta famille, bêta-lecteur) ?

 

Alain : Je ne commence que depuis peu à confier mes manuscrits à très peu de monde : Corinne Falbet-Desmoulin, Isabelle Bruffaert, (deux auteures que je vous encourage à découvrir), mon épouse…

 

 

 

 

JM : - Es-tu sensible à la critique littéraire et penses-tu que les blogs, les réseaux sociaux aident les écrivains à promouvoir leurs écrits ?

 

Alain : Oui bien sûr, toute critique est bonne à lire et à comprendre. Les réseaux sociaux sont très utiles de nos jours. C’est un moyen de bousculer le règne de certains éditeurs qui décident de tout. Aujourd’hui, les éditeurs s’appuient sur les réseaux et les suivent. Les plus habiles recrutent.

 

 

 

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Alain : J’aime : la lecture, le cinéma, le théâtre, l’opéra, le sport…

 

 

JM : - Quel est ton plus beau souvenir d'auteur ?

 

Alain : Le sourire heureux d’une de mes lectrices.

 

 

 

JM : - Quels auteurs t'ont donné l'envie d'écrire ?

 

Alain : J’ai toujours beaucoup lu : Chateaubriand, Victor Hugo, Balzac, Alexandre Dumas, James Fenimore Cooper, Pierre Loti…

 

 

 

JM : - Lis-tu ? Quel genre de lecture ?

 

Alain : Franchement, je lis sans rechercher de genre précis.

 

 

 

JM : - Es-tu thé ou café ? Vanille ou chocolat ? Mer ou montagne ?

 

Alain : Plutôt café, vanille et chocolat, un peu plus mer que montagne.

 

 

 

 

 

 

JM : - Quel est ton proverbe préféré ?

 

Alain : Je m’attache assez peu aux proverbes.

Jeune, je répétais parfois : « Il est dur d’échouer, mais il est pire de n’avoir jamais essayé de réussir. »

 

 

 

JM : - Peux-tu nous donner une des tes qualités ? Un de tes défauts ?

 

Alain : Je suis mauvais juge. Je dois avoir la qualité de mes défauts et le défaut de mes qualités.

Je l’avoue, je pense être assez persévérant.

 

 

 

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Alain : Oui beaucoup, mais je ne vais pas trop m’imposer en ne parlant que de moi. Je plaisante… Je propose juste la petite histoire promise quand nous avons commencé l’entretien.

Il était une fois…

 

Sur le quai de la gare, les bourrasques de vent chassaient les rares voyageurs Je n’étais pas mécontent de me réfugier dans le train, à l’abri. Les wagons étaient presque vides. Une journée de nuages gris et de pluies violentes ne pouvaient que décourager ceux qui n’étaient pas obligé de sortir.

Sur ma droite, la vitre reflétait les éclairs qui accompagnaient notre route. Sur ma gauche, je découvrais une passagère aux vêtements soignés, et sa petite fille. N’osant pas l’observer, je compris qu’elle avait choisi de voyager avec un livre qui l’absorbait. Un éclair plus puissant fit vaciller notre éclairage.

Le long trajet commençait, je m’assoupis. J’étais ce trappeur, d’une bande dessiné de mon enfance, qui affrontait des bêtes sauvages, et souvent des indiens. Je devais lutter contre une nature hostile, quand une petite voix m’obligea à quitter mon aventure, et mon rêve.

« Maman, le monsieur ressemble à celui de la couverture ! »

Je me retournais pour faire face aux yeux bleus de ma petite voisine qui me montrait du doigt. Sa mère captivée par sa lecture, ne fit qu’un signe de la tête sans m’accorder un regard. Elle lisait un de mes romans.

 

 

JM : - Merci Alain pour cet agréable moment passé en ta compagnie.

 

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Alain qui se fera un plaisir de vous répondre sous ce post.

 

 

Mon dernier roman, sur le site de mon éditeur. On peut y lire de nombreux ressentis de lectrices.

https://jdheditions.fr/produit/le-chant-des-brisants/

 

 

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Bonjour aujourd'hui dimanche voici ma chronique concernant : "UNE FEMME JUSTE"

« UNE FEMME JUSTE »

Jean-Guy SOUMY

EDITIONS PRESSES DE LA CITE

TERRES DE FRANCE

10 septembre 2020

314 pages

 

 

Présentation

 

Années 1980 : après une vie dédiée aux autres, Blanche coule une retraite paisible à Draguignan
quand, un jour, une inconnue frappe à sa porte. Et le passé avec elle.


Elle s’appelle Pauline, la vingtaine à la dérive, elle souffre de ne rien savoir de l’histoire de sa
mère, Hélène, qui vient de mourir. Blanche, elle, la connaît, cette histoire, c’est aussi la sienne :
en 1942, elle a sauvé la petite orpheline juive du camp de Rivesaltes, et de la menace nazie.


Elle a pu exfiltrer sa protégée et d’autres enfants dans une communauté de la Creuse. Au prix de
mille dangers.


Pauline part avec Blanche dans un pèlerinage sur les traces de sa mère. Ce retour aux sources
jalonné de rencontres saura-t-il réconcilier la jeune femme avec l’absente ? Pour Blanche, il ravive le souvenir bouleversant d’une passion secrète…

 

Un beau roman à deux voix sur la transmission d’une mémoire, et le portrait d’une Juste.


L'auteur

 

Jean-Guy Soumy a étudié la physique et les mathématiques à l'université de Limoges.
Actuellement professeur de mathématiques à l'I.U.F.M. du Limousin à Limoges et vit près de Bourganeuf.
Se marie en 1972 et devient père de deux filles.

Auteur de la trilogie "Les Moissons délaissées" - 1er tome publié en 1992. Obtient la Grande sélection à France Loisirs, le prix Terre de France et le prix de la Corne d’or Limousine.
Co-auteur d'ouvrages de mathématiques parus dans la collection "Vivre les mathématiques" chez l'éditeur Armand Colin.
Appartient à l'École de Brive, nom donné à un courant contemporain du roman de terroir.
 

 

 

Mon avis

 

Je remercie les Editions PRESSES DE LA CITE et en particulier Marie-Jeanne de m'avoir permis de lire, en service de presse, « Une Femme Juste », roman de Jean-Guy SOUMY auteur dont j'ai découvert la très belle plume lors de la lecture de « Le Voyageur des bois d'en-haut ».

 

Jean-Guy SOUMY nous emmène à Draguignan en 1980 où nous faisons connaissance avec Blanche une dame âgée, veuve qui mène une vie paisible dans sa petite maison emplie de souvenirs.

 

Jusqu'au jour où une jeune femme frappe à sa porte. Il s'agit de Pauline la fille d'Hélène décédée depuis peu et qui a caché son enfance à sa famille. Blanche se souvient parfaitement d'elle puisqu'elle l'a cachée pendant l'occupation allemande..

 

L'auteur nous offre un très beau roman à deux voix qui dévoile, au fil des pages, le passé de Blanche et celui d'Hélène. Il nous fait voyager dans le temps et sur les routes en compagnie de Pauline et Blanche.

 

Beaucoup d'émotions sont palpables à la lecture du destin tragique de ces enfants cachés dans la Creuse pendant la Seconde Guerre Mondiale. Jean-Guy SOUMY rend ainsi hommage aux personnes qui, dans l'ombre et au péril de leur vie, ont œuvré pour sauver des enfants des griffes des nazis. Il nous invite à garder en mémoire l'engagement et le dévouement sans faille de ces femmes au grand cœur.

 

J'ai beaucoup aimé ce roman bouleversant qui mêle l'Histoire de la France à celle d'une très belle personne : « Une femme Juste ».

 

Un très bon moment de lecture.

 

Page FB :https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

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Bonjour aujourd'hui samedi voici ma chronique concernant : "LA NUIT DES VENDANGES"

« LA NUIT DES VENDANGES »

Alain DELAGE

Editions de BOREE

13 août 2020

312 pages

 

 

 

Présentation

 

Depuis qu'il est veuf, Corentin partage sa vie entre son vignoble et l'organisation de manifestations caritatives au village. Lors d'une soirée, il rencontre Carmen, nouvelle arrivée au village. Ces deux là tombent vite amoureux, mais quand Carmen expose son projet à Corentin, elle n'a pas son soutien : pourquoi s'intéresse-elle à la généalogie du village ?


Corentin sent le danger de lourds secrets enfouis, sans se douter qu'il en sera le premier à en subir les conséquences....
 

 

L'auteur

 

Auteur de plusieurs livres à vocation patrimoniale sur le département du Gard, Alain Delage c'est orienté vers l'écriture de romans du terroir.

Son premier roman sort en 2013. Publié en 2015, "L’Étrangère de Collonges", sur les mariniers de la Loire, a connu un réel succès.

Secrétaire administratif originaire de Béziers, il vit à Gajan, près de Nîmes, depuis 1983.

page Facebook : https://www.facebook.com/Alain-Delage-585247691562946/
son site : http://alaindelage.wixsite.com/alain

 

 

Mon avis

 

Je remercie les Editions de BOREE et en particulier Virginie de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, « La Nuit des vendanges », roman d'Alain DELAGE auteur dont j'ai lu une grande partie des ouvrages tant j'aime sa plume fluide et précise.

 

L'auteur nous emmène en 2018 dans le midi de la France où nous faisons connaissance avec Corentin, veuf âgé de soixante ans dont la vie est basée essentiellement sur l'exploitation de son vignoble et les manifestations qu'il organise dans son village.

 

Au cours d'une soirée, Corentin rencontre Carmen, une Espagnole, nouvellement arrivée dans la région. Celle-ci lui suggère de reconstituer l'arbre généalogique du village...


Cette idée plutôt saugrenue va-t-elle semer la zizanie en ces lieux où les habitants se connaissent tous depuis la nuit des temps ?

 

Alain DELAGE décrit à merveille les paysages de la garrigue languedocienne et l'on perçoit, au fil de ses mots, les bonnes odeurs qui s'en échappent.

Il en est de même pour les traits tant physiques que psychologiques des protagonistes de son roman, les rendant ainsi vrais et attachants.

 

Les dialogues truculents, ponctués d'une touche d'humour, nous permettent de percevoir le joli accent méditerranéen : on se croirait chez Marcel Pagnol !

 

J'ai bien aimé ce roman régional très bien écrit, au suspense bien mené qui aborde divers thèmes tels que : la généalogie, l'amour, les secrets de famille, la recherche des racines et la vie en milieu rural et sur les exploitations viticoles.

 

Un très bon moment de lecture et de détente pour les amateurs du genre.

 

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ANNONCE INTERVIEW AUTEUR ALAIN MAUFINET LUNDI 12 OCTOBRE 2020 18 H SUR MON GROUPE FB

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

 

 

Bonsoir les amis,

 

Ce soir vendredi 9 octobre 2020 j'ai réalisé ma 151 ème interview avec un auteur du groupe qui a accepté de se soumettre à mes questions.

 

Je vous donne rendez-vous le lundi 12 octobre 2020 à 18 H 00 pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Alain MAUFINET. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Alain qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

 

 

A lundi.

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui vendredi voici ma chronique concernant : "LE PORTEUR DE JOIE"

« LE PORTEUR DE JOIE »

Maurice CHALAYER

Editions de BOREE

13 août 2020

329 pages

 

 

 

Présentation

 

Dans la famille Guillotot, tout le monde se rejoint sur un point : le petit Joseph est un cabochard. Sur le reste, personne n'est d'accord : tandis que Marius, son père, soutient activement les idées de Jaurès, sa grand-mère, Rosine, très pieuse, ne supporte pas la séparation de l'Eglise et de l'Etat soutenue par son gendre. Joseph, lui, n'a qu'une passion : courir. Qu'un rêve : devenir champion olympique !

 

Avec ses deux amis, Rachel, la fille du maire et Adrien, le fils du boucher, il passe des heures à s'entraîner. Mais la guerre qui se profile à l'horizon pourrait bien bousculer le destin des trois jeunes gens...

 

 

UN MAGNIQUE DESTIN INSPIRE DE LA VIE DE JOSEPH GUILLEMOT, CHAMPION OLYMPIQUE

AUX JEUX D'ANVERS EN 1920.

 

 

L'auteur

 

Originaire du massif du Pilat, Maurice Chalayer est issu d'une famille de scieurs depuis plusieurs générations. Dans ses essais sociologiques et ses romans, il nous invite à pénétrer dans le monde rural où il a passé son enfance. Aujourd'hui retraité de l'enseignement, il partage son temps entre l'écriture et le journalisme.

 

 

Mon avis

 

Je remercie les Editions de BOREE et en particulier Virginie de m'avoir permis de lire, en service de presse, « Le Porteur de joie », roman de Maurice CHALAYER.

 

Maurice CHALAYER nous emmène en Auvergne en 1902 où nous faisons connaissance avec la famille Guillotot : Marius le père, Louise la mère, Rose la grand-mère et Joseph alors âgé de trois ans.

 

L'enfance du jeune garçon se déroule tranquillement bien que son père, qui soutient Jean Jaurès et sa grand-mère, très pieuse, se disputent très souvent en évoquant la politique et l'église..

 

Joseph a un rêve : devenir champion olympique et de ce fait il s'entraîne sans répit avec ses deux amis Rachel et Adrien.

 

Joseph parviendra-t-il à réaliser son rêve ?

 

 

J'ai bien aimé ce roman, ponctué d'une touche d'humour, empli d'amour et d'espoir, aux dialogues vivants, inspiré de la vie de Joseph Guillemot qui fut champion olympique aux JO d'Anvers en 1920 et qui séduira les amateurs de sport.

 

Bonne lecture.

 

 

 

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Bonsoir aujourd'hui mercredi voici ma chronique concernant : ET PUIS UN JOUR ON S'EN FOUT ET CA FAIT DU BIEN"....

« ET PUIS UN JOUR ON S'EN FOUT

ET CA FAIT DU BIEN »

Virginie-Sarah LOU

Editions RAMSAY

15 septembre 2020

227 pages

 

Présentation

 

 

Lorsque Mathilde fait le bilan de ses vingt dernières années, elle ne peut s’empêcher de vider ses poumons dans un long soupir. Elle, la hippie un brin rebelle et globe-trotteuse dans l’âme ne se voyait pas, deux décennies plus tard, enfermée dans un bureau à répondre aux mails et au téléphone huit heures par jour, accompagnée de Chantal, sa collègue commère en chef. Le destin est parti en sucette quelque part, mais où, quand, comment ?


Heureusement, son blog de voyage participatif est là pour lui maintenir un semblant de rêve à défaut de les vivre, car sa vie sentimentale est également en berne. L’homme idéal, elle y a renoncé depuis longtemps. C’est comme ça, le grand Amour n’existe pas, c’est un gros mythe raconté aux enfants pour leur faire croire que la vie d’adulte est chouette. Preuve en est : ses ex. Même Marc, le père de ses enfants était un choix de raison. Franck, l’actuel petit ami ? Il est sympa, mais attend un peu trop de leur histoire sans saveur. Bref.


Mathilde est seule face à elle-même et navigue dans cette existence sans surprise. C’est sans compter ce message intrigant, reçu un beau jour et qui modifiera peut-être – ou pas – la donne de son chemin de vie et celui de ses rêves enfouis.

 

L'auteure

 

Virginie-Sarah LOU – Maman comblée, cadre dans la fonction publique territoriale dans le sud de la France. Cette jeune femme est une raconteuse d'histoires optimistes. Elle les dépeint avec humour, suspense, émotion et même un soupçon d’imaginaire. Elle signe là son troisième roman.

 

 

 

Mon avis

 

Je remercie Virginie-Sarah LOU et les Editions RAMSAY de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, « Et Puis un jour on s'en fout et ça fait du bien », roman de Virginie-Sarah dont j'ai découvert la plume légère et fluide lors de la lecture de « Et Si on oubliait l'avenir ».

 

La première phrase de cet ouvrage : « Il faut vivre ses rêves et non pas rêver sa vie », m'a de suite interpellée.

 

Virginie-Sarah LOU nous emmène à Marseille en 1999 où nous faisons connaissance avec Mathilde, jeune fille qui planche sur un formulaire de vœux à remplir sur la manière dont les lycéens imaginent leur vie dans vingt ans...

 

Comme tous les jeunes, Mathilde avait des rêves bien précis et deux décennies plus tard, nous la retrouvons dans sa nouvelle vie. Elle prend alors conscience que ses rêves ne se sont pas vraiment réalisés et que le destin en a décidé tout autrement.

 

En effet, elle souhaitait avoir un bon métier et occupe un poste peu intéressant et rébarbatif. Sa vie sentimentale n'est pas au beau fixe, elle a toutefois deux enfants mais ne croit plus au prince charmant.

Elle qui rêvait de voyager, ne le fait que par la pensée et ce grâce au blog de voyages qu'elle a créé. Jusqu'au jour où elle reçoit, sur ce blog, un message surprenant d'un inconnu..

 

Mais qui se cache derrière le profil de « Antoine85 » ?

 

 

L'histoire est agréable, addictive, très bien écrite et ponctuée d'une touche d'humour.

 

J'ai apprécié le personnage de Mathilde qui est authentique, naturelle, déterminée, rêveuse, à laquelle tout le monde peut s'identifier, ce qui la rend attachante.

 

J'ai beaucoup aimé ce roman feel-good émouvant, empli d'espoir qui invite à « lâcher prise » et vivre les moments présents sans prise de tête. Je l'ai dévoré en une soirée et j'ai ainsi passé un très bon moment de lecture et de détente.

 

Je lirai assurément d'autres romans de cette auteure dont les mots font un bien fou au lecteur !

 

Page FB :https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

 

 

 

 

 

 

 

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INTEVIEW REALISEE CE JOUR AVEC CATHERINE BARDON SUR MON GROUPE FB

INTERVIEW AUTEURE

Catherine BARDON

 

 

JM : - Bonsoir à tous

 

Notre amie Catherine BARDON a gentiment accepté, récemment, de répondre à mes questions.

 

Je partage donc avec vous cette interview à l'issue de laquelle vous pourrez, si vous le souhaitez, poser vos questions auxquelles Catherine répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

 

JM : - Bonsoir Catherine

 

Comment allez-vous ?  Etes-vous prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Catherine : En pleine forme après de bonnes vacances. Allons y pour les questions !

 

 

JM : - Pouvez-vous, tout d'abord, vous présenter afin que nos amis puissent mieux vous connaître ?

 

Catherine : Catherine Bardon, autrice / auteure de la saga des déracinés et de quelques autres livres, des guides de voyages notamment.

 

 

JM : - Pouvez-vous nous parler de vos romans ?

 

Catherine : les trois romans publiés de la saga des déracinés couvrent la période 1930 - 1980 et raconte l'exil d'un couple juif autrichien en République Dominicaine en 1940 pour échapper au nazisme. c'est une histoire d'exil et de reconstruction

 

 

JM : - Avez-vous d'autres projets d'écriture et souhaitez-vous nous en dire quelques mots ?

 

Catherine : pour l'instant je termine le quatrième et dernnier volume de la saga qui se termine en 2011 ainsi que l'adaptation des déracinés en Bande dessinée.

 

 

JM : - Où trouvez-vous l'inspiration pour créer les protagonistes de vos écrits ?

 

Catherine : les personnages sont une mosaique de rencontres réelles, de bribes d'Histoire, et d'imagination.

 

JM : Vous avez écrit des romans historiques. Pourquoi ce choix et envisagez-vous d'écrire dans un tout autre registre ?

 

 

Catherine : Les déracinés peut être qualifier de roman historique puisqu'il raconte d'une page d'histoire de la seconde guerre mondiale. C'est un roman très documenté. Les autres sont plus romanesques même si les personnages s'inscrivent dans un contexte historique, culturel et social précis, je ne les qualifierais pas de romans historiques.

 

 

 

JM : - L'écriture de “romans historiques” nécessite de nombeuses recherches. Comment avez-vous procédé pour ce faire ?

 

Catherine : je pense qu'un roman doit etre documenté. si le roman n'est pas bon, au moins le lecteur aura appris quelque chose ! les recherches sont classiques, vi internet, des bibliothèques, de la bibliographie, des archives de journaux. Pour les déracinés, j'ai également exploré les archives natonales dominicaines et les archives du Joint.

 

 

 

JM : Comment procédez-vous pour écrire (carnets, cahiers, fiches, écriture directe sur l'ordinateur) ?

 

Catherine : j'ai toujours un petit carnet à portée de main pour prendre des notes que je retranscris dans des documents sur mon ordinateur. J'ai énormément de fichiers avec des entrées différentes mais l'ordinateur est un outil formidable.

 

 

 

JM : - À quel moment de la journée écrivez-vous ? Le jour ? La nuit ? Et pendant combien de temps ?

 

Catherine : de préférence le matin, entre 9 h et 14 h. après je fais une pause. il m'arrive aussi d'écrire l'après midi si le temps est morose ou si je suis en veine d'inspiration. j'écris rarement la nuit. Le soir je lis plutôt.

 

 

 

JM : - Que ressentez-vous lorsque vous écrivez le mot FIN ?

 

Catherine : une libération. une grande joie, un soulagement et aussi une pointe de tristesse car c'est le moment depasser la main à l'éditrice.

 

 

JM : -Avez-vous des séances de dédicaces prévues prochainement et où ?

 

Catherine : mon dernier salon du livre date de décembre 2019. tous les salons de printemps ont bien sûr été annulés et ça continue pour ceux de l'automne auxquels je devait participer. Jai fait quelques dédicaces dans le sud en plein air, mais les libraires restent prudents et c'st normal. ps toujours aisé d'organiser une signature dnas une petite surface ces derniers temps.

 

 

 

JM : Etes-vous sensible à la critique littéraire et pensez-vous que les blogs, les réseaux sociaux aident les écrivains à promouvoir leurs écrits ?

 

Catherine : j'y suis très sensible et c'est l'occasion de saluer tous les internautes, bloggeuses (eurs) et instagrammeuses (eurs) qui ont soutenu mes romans. Je pense que ces média numériques sont une formidable caisse de résonnance où les avis sont sincères et les partages choisis.

 

 

 

JM : - Comment avez-vous procédé pour faire publier vos ouvrages ?

 

Catherine : un simple envoi de synospsis par mail à quelques éditeurs choisis pour leur ligne éditoriale.

 

 

JM : - Quels conseils donneriez-vous à des lecteurs qui souhaitent devenir auteurs ?

 

Catherine : travailler, y croire et ne jamais renoncer.

 

 

JM : - J'ai entendu dire que vous avez beaucoup voyagé et vécu en République Dominicaine.. Pouvez-vous nous parler de cette période de votre vie ? Est-ce que ces voyages vous inspirée pour écrire votre saga ?

 

Catherine : c'est en république dominicaine que je suis tombée sur l'histoire que je raconte dans les déracinés. les voyages sont pour moi une formidable source d'inspiration et de rencontres.

 

 

JM : - Quels sont les auteurs qui vous ont donné l'envie d'écrire ?

 

Catherine : Dumas, Zola, Balzac, les auteurs que j'ai lu dans ma jeunesse.

 

 

JM : Lisez-vous ? Quel genre ?

 

 

Catherine : j'ai des lectures très eccléctiques, des romans, des biographies, des polars, parfois un feel good.

 

 

JM : En dehors de l'écriture quelles sont vos passions ?

 

Catherine : le voyage et la lecture, ce sont mes principales occupations.

 

 

JM : - À quelle époque auriez-vous aimé vivre ?

 

Catherine : peut être pas à celle du Covid 19....

 

 

 

JM : - Quel est votre proverbe préféré ?

 

Catherine : aide-toi le ciel t'aidera

 

JM : - Quel est votre film ou série culte ?

 

Catherine : Out of Africa.

 

 

 

 

JM : - Etes-vous thé ou café ? Vanille ou chocolat ? Mer ou montagne ?

 

Catherine : tout cela sauf vanille ! ce n'est ps contradictoire.

 

 

JM : - Merci Catherine pour cet agréable moment passé en votre compagnie.

 

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Catherine qui vous répondra sous ce post.

 

 

 

 

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ANNONCE INTERVIEW AUTEURE GAELLE CHARRIER-BRETAGNE VENDREDI 9 OCTOBRE 2020 18 H SUR MON GROUPE FB

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

Bonsoir les amis,

Ce soir lundi 5 octobre 2020 j'ai réalisé ma 150 ème interview avec un auteur du groupe qui a accepté de se soumettre à mes questions.

Je vous donne rendez-vous le vendredi 9 octobre 2020 à 18 H 00 pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Gaëlle Charrier-bretagne. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Gaëlle qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

A vendredi.

 

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ANNONCE INTERVIEW AUTEURE CATHERINE BARDON LUNDI 5 OCTOBRE 18 H SUR MON GROUPE FB

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

 

 

Bonsoir les amis,

 

Ce soir vendredi 2 octobre 2020 j'ai réalisé ma 149 ème interview avec un auteur du groupe qui a accepté de se soumettre à mes questions.

 

Je vous donne rendez-vous le lundi 5 octobre 2020 à 18 H 00 pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Catherine BARDON. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Catherine qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

 

 

A lundi.

 

 

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