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Bonsoir je partage l'interview que j'ai réalisée ce soir avec Virginie VANOS sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEUR

Virginie VANOS
Vendredi 12 avril 2019 à 18 h

(en différé)

 

JM : - Bonsoir à tous

 

Virginie VANOS a gentiment accepté, de se soumettre, récemment, à mes questions.

 

- Je partage avec vous cet entretien, à l'issue duquel, vous pourrez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Virginie qui vous répondra en direct.

 

 

JM : - Bonsoir Virginie

 

Comment allez-vous? Etes-vous prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Virginie : Toujours prête! Même trop souvent sur le qui-vive! ;-)

 

 

JM : - Pouvez-vous, tout d'abord, vous présenter afin que nos amis puissent mieux vous connaître ?

 

Virginie : Je suis de nationalité belge, résidente bruxelloise mais aux origines argentino-néerlandaises. Sur mes 8 arrière-grands-parents, je compte 7 nationalités différentes. Je crois que je suis tombée dans l'écriture un peu avant mon adolescence où poussée par quelques adultes de mon entourage, on m'a encouragée à écrire en dehors des cours. C'est en 2004, suite à un "Chiche" lancé par un de mes collègues que j'ai écrit et fait publier mon 1er livre, une petite parodie des guides Marabout Flash, une satire sur les hommes nommée "L'encyclopédie pratique du Mâle Moderne". Vu que j'ai toujours bossé (du moins jusqu'à mi-mai 2018) dans l'audiovisuel puis dans la photographie, je croyais que j'allais me contenter d'écrire 3-4 livres d'humour et puis basta! J'en suis actuellement à la finalisation de mon 14ème manuscrit. Ce roman sortira sans doute au début de l'automne 2019.

 

 

JM : - Et si vous nous parliez de vos romans ?

 

Virginie : J’ai commencé avec des livres d’humour satiriques, j’en ai vite fait le tour. Ensuite, j’ai écrit en collaboration avec des photographes et graphistes deux ouvrages plus poético-philosophiques. Je ne me suis pas retrouvée là-dedans, c’était trop peu accessible, trop pédant, je jouais un rôle qui n’était pas le mien. C’est avec « Battue ! » et ensuite avec « Le Spectateur » que je me suis trouvée. « Battue ! » est un cri de colère, un récit à 95% totalement autobiographique, « Le Spectateur » est un cri d’amour. C’est avec ces deux livres que j’ai réalisé que le seul et le plus beau sujet que je voulais vraiment aborder était le cœur humain.

 

 

JM : - Avez-vous d'autres projets d'écriture et souhaitez-vous nous en parler ?

 

 

Virginie : Je bosse en ce moment sur un roman nommé "Negombo". C'est une petite ville côtière de la côte ouest du Sri Lanka. Comme tous mes autres livres, c'est le patchwork, un puzzle composé de trois ou quatre éléments autobiographiques, mixés, shakés puis romancés... La seule chose que je puisse évoquer en ce moment est que mon roman parle d'illusions en matière d'amour et inclut une réflexion sur le fait d'être auteur(e) et de devoir jouer aussi les publicitaires. Daphné du Maurier disait qu'un auteur devait être lu, mais jamais vu ni entendu. Je la rejoins... mais je sais que montrer ma pomme maquillée, bien éclairée et joliment photoshopée est malheureusement une meilleure enseigne que la plus élogieuse des chroniques!

 

 

JM : - Où trouvez-vous l'inspiration pour créer les protagonistes de vos livres ? Improvisez-vous ou connaissez-vous la fin de vos histoires avant d'en commencer l'écriture ?

 

Virginie : Dans ma propre vie, qui est depuis la fin de mon enfance, une succession de situations extrêmes ou hors du commun ! Dans mes voyages, aussi… Je connais toujours plus ou moins la trame générale quand je commence à écrire, mais au fil de la rédaction, je me laisse aller à l’improvisation. La fin est souvent plus ou moins claire dans ma tête quand je commence. Mais quand je l’écris, elle est très souvent fort différente de ce que j’avais imaginé.

 

JM : Comment procédez-vous pour écrire vos romans (carnets, cahiers, fiches, écriture directe sur l'ordinateur) ?

 

Virginie : J’écris directement à l’ordinateur, après avoir pensé et « rédigé » pendant plusieurs semaines le fil principal dans ma tête. Le récit passe directement de mon cortex au fichier Word, je ne prends jamais de notes manuscrites, vu mon écriture de médecin psychopathe et manchot !

 

 

JM : - Quand écrivez-vous (la nuit, le jour) pendant combien d'heures ?

En combien de temps écrivez-vous un roman ?

 

 

Virginie : Je ne compte pas mes heures. Quand je suis en période d’écriture, c’est presque toujours en plein cœur de l’hiver. Pour le premier jet, je me lance tous les matins de 4h30 à midi, je stoppe pour déjeuner et faire une sieste d’une heure trente à deux heures et je continue encore quelques heures si j’ai assez de force et d’inspiration. J’ai grand besoin de calme, pour ne pas dire d’un silence total pour m’y mettre, ce qui est difficile dans le monde actuel ! Sinon, j’attends le lendemain pour m’y remettre, après avoir médité dans mon bain, en faisant de la marche nordique ou en rêvant sur mon lit les yeux ouverts. Cette phase dure maximum deux semaines. Ensuite, je passe après quelques semaines de répit aux corrections. Là, cela prend en général entre quatre et six mois.

 

 

JM : -Avez-vous des séances de dédicaces prévues prochainement  et où ?

 

Virginie : En dehors des salons littéraires que j’organise chez moi, je n’ai encore rien de prévu pour cette année, hélas ! J’espère que je pourrai participer à quelques foires et salons du livre… Donc, si qui de droit me lit… Vous me suivez ?

 

 

JM : - A qui confiez-vous vos manuscrits en première lecture (membre de votre famille, bêta lecteur) ? Qui réalise les couvertures de vos livres ?

 

Virginie : Pour les bêta lecteurs, j’ai un noyau dur de 4 à 6 amis, profs, psys, auteur.e.s, journalistes qui me suivent roman après roman. En général, je réalise mes couvertures moi-même. Mon ami Marc Naesen, photographe de génie et grand ami, m’a confié en décembre 2017 qu’il rêvait de réaliser une couverture de roman. C’est comme cela que nous avons conçu ensemble celle d « Anna Plurielle ». Je pense que cette première ne sera pas une dernière, du moins, je l’espère !

 

 

JM : - Comment avez-vous procédé pour faire publier vos ouvrages ?

 

Virginie : Je n’ai jamais vraiment eu de procédé. Je me suis contentée de soumettre mes manuscrits suite à des conseils et expériences d’ami.e.s auteur.e.s. J’avoue que je ne me suis jamais cassé la tête à ce sujet. Si je n’avais jamais été publiée, j’aurais vu cela comme un signe du destin et je n’aurais pas persisté.

 

 

JM : - Quels sont les auteurs qui vous ont donné l'envie d'écrire ?

 

Virginie : Le premier a été Francis Scott Fitzgerald, il y a eu aussi Colette et Balzac. C’est non leurs écrits (quoi que…) mais leur biographie qui m’a donné envie de me créer une vie d’auteure et un univers livresque bien à moi.

 

 

JM : Lisez-vous ? Quel genre ?

 

 

Virginie : Je marche au coup de cœur, je lis de tout. Pêle-mêle, on retrouve dans ma bibliothèque des romans historiques, des polars, des biographies, des grands classiques, des romans ésotériques, des livres d’humour, des recueils de nouvelles, des récits de voyage… Seule la littérature érotique n’a pas sa place dans mes rayons. Je ne suis pas pudibonde. Mais je trouve cette mode stupide. De plus, ces livres m’emmerdent. Je les trouve plus barbants qu’un épisode des « Feux de l’Amour » en noir et blanc doublé en bosniaque et sous-titré en coréen.

 

 

JM : En dehors de l'écriture, quelles sont vos passions ?

 

Virginie : Les voyages, bien sûr. Je suis aussi une fondue de plongée sous-marine. De randonnées, malgré ma foutue tendance au vertige. Je suis aussi une grande cinéphile. Je ne conçois pas deux jours d’affilée sans lire quelques chapitres. Et j’avoue mon amour coupable pour la série « Esprits Criminels » !

 

 

JM : - Quel est votre proverbe préféré ?

 

Virginie : « Le succès c'est d'aller d'échec en échec sans perdre son enthousiasme ». - Winston Churchill.

Mais aussi, même si je ne suis franchement pas fan de Napoléon Bonaparte, j’ai fait mienne sa citation : « En amour, la seule victoire, c’est la fuite ». Paradoxal, pour une auteure parlant souvent d’amour, non ?

 

 

JM : - Quel est votre endroit favori (chez vous, une région, un pays) ?

 

Virginie : Ailleurs… Vivre où que ce soit plus de trois mois d’affilée est pour moi un vrai supplice. Mais il faut parfois s’y faire…

 

 

JM : - Avez-vous des animaux de compagnie ?

 

 

Virginie : Une petite chatte blanche de dix ans, surnommée Titi !

 

 

JM : - Quel est votre film culte et quel genre de musique écoutez-vous ?

 

Virginie : Pour mon film culte, j’hésite entre Docteur Jivago, La reine Christine, The Hours, The Reader, La liste de Schindler, Chicago, Au risque de se perdre, Kill Bill, L’Ange Bleu, la Piscine, Le Barbier de Sibérie… Il y a en a tant ! Je n’ai pas de films-cultes, je crois, mais une bonne liste de préférés. Quant à la musique, je n’en écoute plus beaucoup, vu que je souffre d’hyperacousie.

 

 

JM : - Quelle est votre odeur préférée, votre couleur ?

 

Virginie : Ma couleur, vert d’eau, ce bleu-vert très clair… Mon parfum, ce mélange d’eau-de-toilette et de chemise fraîchement lavée de mon premier amour… Nous avions 13 ans. Son parfum restera plus durablement dans ma mémoire que tout ce que j’ai pu sentir lors des décennies suivantes.

 

 

JM : - Si vous deviez partir sur une île déserte quel objet, indispensable à vos yeux, emporteriez-vous ?

 

Virginie : Ca, c’est classé secret défense ! Il existe en ce monde un objet vital à mes yeux. Si on me le volait ou me le détruirait, je crois que j’en mourrais de chagrin.

 

 

JM : - Avez-vous quelque chose à ajouter ?

 

Virginie : Pas pour l’instant. Mais dans 5 minutes, peut-être…

 

 

JM : - Merci Virginie VANOS pour ce très agréable moment passé en votre compagnie, votre disponibilité et votre gentillesse.

 

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Virginie qui vous répondra avec plaisir, en direct ou plus tard, selon ses disponibilités.

 

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https://www.facebook.com/virginievanos

 

 

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Bonsoir aujourd'hui vendredi voici un gros coup de coeur : "LA VALLEE DU LOTUS ROSE"

« LA VALLEE DU LOTUS ROSE »

Kate MC ALISTAIR

Editions L'ARCHIPEL
3 octobre 2018

688 pages

Présentation

SEULE A L'AUTRE BOUT DU MONDE

1918. A 16 ans, Jezebel Tyler, orpheline issue de l'aristocratie anglaise, part aux Indes rejoindre son tuteur, un archéologue de renom. Ce dernier compte la marier au baron Von Rosenheim, qui financera en échange ses recherches liées à une cité disparue.

A bord du luxueux paquebot qui la mène à Calcutta, Jezebel se lie avec Olga Obolenski, duchesse russe fantasque, qui lui enseigne les usages du monde, tout en l'encourageant à prendre en main sa destinée. Durant la traversée, elle fait aussi la connaissance de Jan Lukas, un aventurier dont le charme la subjugue.

Au Bengale, elle découvre, prise au piège, que son futur époux est un trafiquant d'opium notoire, au caractère tyrannique. Et malgré la délicatesse du prince Charu, qui la courtise, elle ne parvient pas à oublier Jan..

Des jardins de Darjeeling aux mangroves des Sundarbans, ce premier volume de la trilogie du Lotus rose met en scène une héroïne attachante, déterminée à échapper au carcan de son éducation pour vivre sa vie.

Emotion et évasion : un roman qui s'inscrit dans la lignée des sagas de Tamara McKinley et Sarah Lark.

L'auteure

Kate McAlistair, dont la famille a vécu en Asie, se passionne pour l'Inde. Après des études d'art et de cinéma, elle travaille comme graphiste puis se lance dans l'écriture.

Mon avis

Je remercie les Editions L'ARCHIPEL et Kate McALISTAIR de m'avoir envoyé « La Vallée du Lotus rose », roman que j'ai gagné récemment lors d'un concours organisé sur la page de l'auteure. Je remercie également Kate pour la très jolie dédicace et le dessin qui m'ont beaucoup touchée.

La magnifique couverture et le résumé fort alléchant m'ont de suite interpellée et la passionnée de romans se déroulant en Inde et en Asie n'a pu qu'être séduite par le premier opus de cette trilogie.

L'auteure nous emporte en 1918 et nous présente le destin de Jezebel, jeune orpheline aristocrate Anglaise âgée de 16 ans, qui doit quitter son pays natal pour rejoindre son tuteur en Inde ; celui-ci ayant prévu un mariage arrangé avec un homme cruel et sans scrupules...

L'auteure nous invite à un voyage dépaysant et magnifique aux côtés de notre héroïne, tout d'abord sur le luxueux paquebot qui la conduira en Inde puis à travers ce pays vivant, coloré et ô combien mystérieux.

Les personnages sont hauts en couleur, pour certains attachants et d'autres détestables.. J'ai beaucoup aimé Jezebel, jeune fille courageuse, déterminée, faible et forte à la fois tellement avide de liberté mais également Jan, le charmant aventurier au grand cœur ainsi que Charu, le prince envoûtant.

Nous partageons les doutes, les joies, les passions, les peines de Jezebel et les pages défilent à une vitesse incroyable. Il faut dire que Kate McAlistair décrit avec moult détails les caractères tant physiques que psychologiques des protagonistes de son livre mais également les paysages exotiques, les coutumes du pays, le faste des palais du Maharajah. Des images défilent devant nos yeux tel un film et les odeurs des fleurs, des épices, des plats sont perceptibles : un vrai délice !

Beaucoup d'émotions sont palpables à la lecture de cet ouvrage où l'on passe du rire aux larmes et l'on ne peut s'empêcher de trembler et d'espérer pour nos héros.

J'ai ADORE ce roman extrêmement bien écrit et documenté, captivant, très intéressant et dont les multiples rebondissements tiennent le lecteur en haleine jusqu'à la dernière page. Je l'ai lu en trois soirées, ne pouvant me résoudre à le quitter et je l'ai refermé à regret en attendant avec impatience la suite de cette trilogie. Un gros COUP DE COEUR !

Si comme moi vous aimez les romans exotiques et romanesques, les romans de Tamara McKinley et de Sarah Lark,  ce livre est fait pour vous !

Excellent moment de lecture.

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui jeudi voici ma chronique concernant : "SOUS LE MANTEAU DU SILENCE"

« SOUS LE MANTEAU DU SILENCE »
Claire BERGERON

MonPoche

CENTREFRANCE

14 février 2019

477 pages

 

Présentation

 

Une saga dans laquelle on n'échappe pas à son destin.

 

La mort suspecte du curé Charles-Eugène Aubert dans l'hôpital où elle est infirmière va contraindre Rosalie Lambert à se confronter à des souvenirs qu'elle avait jusque-là enfouis. C'est plus de vingt-cinq ans plus tôt, dans le dispensaire où elle exerçait, qu'elle avait fait la connaissance de ce curé si charismatique. Le soupçonnant d'avoir commis des actes allant à l'encontre de son devoir, elle avait dû s'enfuir, laissant derrière elle son grand amour.

 

Alors que ses souvenirs reviennent la tourmenter et se mêler au présent, elle va devoir convaincre les jurés qu'elle n'est pas coupable du terrible crime dont on l'accuse...

 

L'auteure

 

Claire BERGERON rêvait de devenir médecin mais les études n'étant pas accessibles aux jeunes filles dans ce Québec des années 60, elle choisit de devenir infirmière. Très active, elle devient ensuite chef d'entreprise. Aujourd'hui, Claire BERGERON nous restitue toute l'intensité de sa vie de femme à travers des romans forts en sentiments.

 

Mon avis

 

Je remercie CentreFrance MonPoche et en particulier Virginie de m'avoir permis de lire, en service de presse, « Sous le manteau du silence », roman de Claire BERGERON. J'ai découvert la plume fluide et précise de cette auteure récemment lors de la lecture de son roman « Les Amants maudits de Spirit Lake », qui fut pour moi un coup de coeur.

 

J'ai donc retrouvé avec grand plaisir l'écriture de cette auteure.

Claire BERGERON nous emmène dans une petite ville du Québec en 1967 où le père Charles-Eugène décède à l'hôpital où Rosalie est infirmière. Suspectée d'avoir causé la mort de l'homme d'église, Rosalie se souvient de ce qui s'est passé vingt-cinq ans plus tôt.. alors qu'en 1940 elle avait rencontré le jeune prêtre à l'époque, homme dur et pervers qu'elle ne semble pas porter dans son cœur...

 

Rosalie est un personnage attachant, une femme courageuse et généreuse qui s'est battue pour exercer le métier d'infirmière à une époque où les femmes ne pouvaient prétendre à certaines fonctions et devaient rester au foyer pour s'occuper de leurs enfants et servir leurs époux..

 

J'ai beaucoup aimé ce roman captivant, bouleversant et très bien écrit qui évoque avec précision et pudeur les thèmes de la condition féminine en 1940 au Québec, l'absence de moyens de contraception quand l'avortement était interdit, mais également le sujet tabou des abus sexuels perpétrés par certains représentants de l'Eglise. Beaucoup d'émotions et de sentiments tels que la haine, l'amour et l'amitié sont au programme.

 

J'ai trouvé fort intéressante, vivante et bien restituée la partie consacrée au procès de Rosalie.

 

Très bon moment de lecture.

 

 

 

 

 

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Bonsoir aujourd'hui mercredi je vous propose ma chronique concernant : "L'ILE AUX ORAGES"

« L'ILE AUX ORAGES »

Martial MAURY

CITY EDITIONS

TERRE D'HISTOIRES

6 février 2019

288 pages

 

 

 

Présentation

 

« Dans ma famille, nous sommes orphelins de père en fils depuis de nombreuses générations ». »

 

 

Depuis des générations, une terrible malédiction semble frapper la famille d'Antonin. Tous les hommes meurent juste avant la naissance de leur enfant. Persuadé qu'il ne sera pas épargné, il redoute l'arrivée prochaine de son bébé.

 

Véritable malédiction ? Hasard ? Vengeance ? Lorsque, finalement, il reçoit des menaces de mort, Antonin comprend qu'il va devoir creuser dans le passé de sa famille pour tenter de conjurer le sort. Le futur père va découvrir qu'un demi-siècle plus tôt, une tragédie a frappé sa grand-mère sur l'île Nouvelle, dans l'estuaire de la Gironde. Une nuit d'orage où de sombres secrets ont marqué à tout jamais les membres d'une famille...


 

 

L''auteur


Correspondant de presse, essayiste, romancier, Martial Maury est l'auteur de plusieurs romans, dont Les Amants maudits de Dorliac, Le Secret des Restiac et Le Fils perdu. Périgourdin de naissance, il vit dans le Bordelais où il situe ce roman dans lequel présent et passé s'entremêlent.
 

 

Mon avis

 

Je remercie City Editions Terre d'Histoires et Martial MAURY, de m'avoir permis de lire, en service de presse, « L'Ile aux orages ». J'ai découvert la plume légère et fluide de cet auteur lors de la lecture de son précédent roman « Le Fils perdu ».

 

La très jolie couverture et le résumé fort alléchant m'ont de suite interpellée.

 

Martial MAURY nous emmène en 1944 près de Bordeaux où nous faisons connaissance avec Léa qui, après le décès de ses parents, a été élevée par Marthe sa grand-mère. A la mort de cette dernière, Léa quitte Villenave-d'Ornon pour L'Ile Nouvelle où elle exerce le métier d'institutrice.

 

Nous découvrons sa nouvelle vie sur cette île, son histoire d'amour avec Lucien, l'instituteur jusqu'au jour où, après une nuit d'orage, une malédiction semble s'abattre sur les descendants de notre héroïne..

 

En parallèle l'auteur nous présente Antonin qui, en 2018, séjourne sur l'Ile Nouvelle en compagnie de Patricia, sa fiancée qui attend leur premier enfant.

 

Antonin réussira-t-il a percer les secrets de famille et à lever cette malédiction ?

 

J'ai lu avec plaisir ce roman régional émouvant qui mêle passion, drames, secrets et dont les multiples rebondissements tiennent le lecteur en haleine jusqu'au dénouement fort surprenant .. mais je vous laisse le découvrir par vous-mêmes.

 

Un bon moment de lecture.

 

 

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Bonjour aujourd'hui mardi voici ma chronique concernant : "MALDONNES"

« MALDONNES »

Virginie VANOS

EDILIVRE

5 janvier 2018

141 pages

 

Présentation

 

 

Le paisible quotidien de Boris et sa sœur Mélanie est bouleversé par la venue d'une cliente pas comme les autres dans leur épicerie. Mannequin de haute couture, Elisabeth Mayne, les éblouit tous deux par sa grâce et sa sympathie. Les deux femmes se lient rapidement d'amitié, tandis que l'amour naît progressivement dans le cœur de Boris. Mais derrière sa beauté de façade, la célébrité se révèle être une arriviste égocentrique venue semer le trouble. Les apparences sont trompeuses et le jeu de dupes qui s'instaure entre les personnages mène bientôt à un drame inéluctable. À travers le destin tragique de cette idole sacrifiée au culte du paraître, Virgine Vanos entend dénoncer les dangereux travers de la société contemporaine.


L'auteure

 

Née en 1979, Virginie Vanos a d’abord passé quelques années sur les planches, puis devant la caméra, pour enfin atterrir devant les appareils photo ! Elle travaille aussi une fois de temps en temps comme photographe, et a écrit deux livres d’humour satirique, en plus du fascicule d’une exposition conceptuelle. Auteur de fascicules d'expo, de romans d'humour, d'un roman autobiographique et d'un essai sociologique

 

Mon avis

 

Je remercie Virginie VANOS de m'avoir donné l’opportunité de lire, en service de presse, son roman « Maldonnes ». J'ai découvert récemment la plume fluide et agréable de cette auteure lors de la lecture de « Anna plurielle », roman que j'ai beaucoup aimé.

 

C'est dans un style différent mais très original que Virginie VANOS raconte la vie de Boris et de sa sœur Mélanie qui tiennent une épicerie et ont pour cliente Elisabeth, un mannequin très connu.

 

Quel sera le destin de ces personnes alors que certains liens vont se créer entre eux ?

 

Ainsi, sous forme de dialogues, soit avec la voix d'Elisabeth soit avec celle de Boris, nous découvrons les pensées de ces personnages vrais et attachants.

 

L'histoire dévoile les revers du décor de la vie de mannequin dans le monde impitoyable de la mode.. L'auteure décrit d'ailleurs à merveille les souffrances tant morales que physiques endurées par l'artiste pour continuer à exercer son métier.

 

J'ai lu avec plaisir et intérêt ce court roman très bien écrit, ponctué d'une touche d'humour et qui m'a fait découvrir un milieu que je ne connaissais pas.

 

Bon moment de lecture.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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ANNONCE INTERVIEW AUTEUR VIRGINIE VANOS VENDREDI 12 AVRIL A 18 h SUR MON GROUPE FB : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

✍️MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS✍️📖📚

Le vendredi 5 avril 2019 j'ai réalisé ma 45ème interview 🎤💻avec un auteur du groupe 🙋‍♀️ qui a accepté de se soumettre à mes questions.

Je vous donne donc rendez-vous le vendredi 12 avril

à 18 H 00 pour suivre l'entretien 💻 que j'ai eu récemment avec Virginie Vanos. 🙋‍♀️📖A l'issue, Virginie Vanos répondra à vos questions.

A bientôt.😍

 

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Bonsoir je partage l'interview que j'ai réalisée ce soir avec Christine PEZET-GREVET sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEUR

Christine PEZET-GREVET
Vendredi 5 Avril 2019 à 18 h

(différé)

 

 

JM : - Bonsoir à tous

 

J'ai lu l'année dernière “Les Racines renouvellées”, roman de notre amie Christine PEZET-GREVET. Christine a gentiment accepté, récemment,   de se soumettre à mes questions.

 

Je partage donc avec vous cette interview à l'issue de laquelle vous pourrez, si vous le souhaitez, poser vos questions auxquelles Christine répondra en direct.

 

 

 

JM : - Bonsoir Christine

 

Comment allez-vous ? Êtes-vous prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Christine : Bonsoir Joëlle ! Je vais bien merci. C’est avec plaisir que je vais essayer de répondre à vos questions.

 

 

JM : - Pouvez-vous, tout d'abord, vous présenter afin que nos amis puissent mieux vous connaître ?

 

Christine : Je suis née à Philippeville, (aujourd’hui Skikda), au tout début de la guerre d’Algérie. Je fais partie de ces gens qui ont dû tout quitter au moment de l’Indépendance…L’hiver 62/63 restera pour la toute petite fille que j’étais alors, un hiver glacial au sens propre comme au sens figuré.

Depuis 1975, année de mon mariage, je vis en Sologne. Retraitée de l’Education Nationale, je suis aussi maman de 2 enfants. J’ai également deux petits-fils et une petite-fille qui, après mes élèves, sont devenus mes nouveaux “rayons de soleil”.

 

JM : - Pouvez-vous nous parler de vos romans : “Les Racines renouvelées” et “Si tu sais lire entre les lignes” ?

 

Christine : “Si tu sais lire entre les lignes, mon premier roman, a vu le jour en mars 2013. C’est l’histoire d’une rencontre entre une femme mariée en vacances dans le Jura (région magnifique que j’ai eue plaisir à décrire) et un artiste-peintre solitaire et quelque peu mystérieux. Ce fut un vrai bonheur de lire les retours des lecteurs de tous âges, enthousiastes et qui demandaient une suite.

Mais, écrire une suite, ne m’intéressait pas vraiment à cette époque car j’étais alors plongée dans l’étude de la psycho généalogie. Et c’est, je dirai “ tout naturellement “ que je me suis mise à écrire “ Les racines renouvelées “.

De 1853 à 2015, du canton de Vaud en Suisse à la Sologne, en passant par l’Algérie bouleversante de beauté, de guerre et d’amour mêlés, je partage avec le lecteur, l’histoire des femmes de la branche maternelle de ma famille. Mon idée était d’écrire un livre très accessible. A travers l’histoire familiale, en abordant l’Histoire avec un grand H, j’ai mis ma plume au service d’une cause perdue pour éclairer les jeunes générations et rappeler des souvenirs à ceux qui comme moi, ont vécu leurs jeunes années dans ce magnifique pays.

 

 

JM : - Avez-vous d'autres projets d'écriture et pouvez-vous nous en dire quelques mots ?

 

 

Christine : Oui. J’ai en tête plusieurs projets…l’un d’eux est même en cours … Mais j’ai besoin de “digérer” ce second roman et de prendre du recul. Je peux juste vous dire que je suis très sensible à tous les “déracinements” de ce monde… Je réfléchis aussi à un livre qui expliquerait aux enfants le sens de la vie tel que je le conçois : la vie et pourquoi pas l’après vie…

 

JM : - Où trouvez-vous l'inspiration pour créer les protagonistes de vos écrits ?

 

Christine : Dans la vie de tous les jours, en observant le monde qui m’entoure, dans mon imaginaire aussi, en fonction de mes ressentis : ce qui m’émeut, me blesse, m’intrigue, me rend admirative, m’émerveille… Il faut s’émerveiller, toujours !

 

 

 

JM : Dans vos deux romans, si ma mémoire est bonne, vous mettez à l'honneur les femmes.... Pouvez-vous nous donner la raison de ce choix ?

 

Christine : Oui, c’est exact ! Vous avez bonne mémoire Joëlle ! J’ai toujours aimé lire des vies de femmes. Elles ont tant à nous apporter ! Dans “ La francophonie sans frontière, une nouvelle cartographie de l’imaginaire au féminin, on peut lire : “ L’apport des femmes de lettres marque aussi la traversée du temps. De façon voilée ou audacieuse, des femmes…ont ainsi dessiné des modèles positifs, ont encouragé chacune à être, à penser, à agir et à parler… Toutes ces femmes sont conscientes que la traversée du temps et le mouvement qui l’accompagne, que le dialogue entre le futur et le passé sont à valoriser, à maintenir ; le temps oeuvrant encore à construire nos identités et nos sociétés…

 

 

 

 

JM : Comment faites-vous pour écrire vos romans (carnets, cahiers, fiches, écriture directe sur l'ordinateur) ?

 

Christine : J’ai un tas de petits carnets dans lesquels je note des phrases entendues, lues ou qui me viennent à l’esprit à n’importe quel moment. Quand je rédige aujourd’hui, je le fais directement sur l’ordinateur mais j’ai longtemps écrit sur des feuilles 21/29,7.

 

 

 

 

 

 

JM : - À quel moment de la journée écrivez-vous ? Le jour ? La nuit ? Et pendant combien de temps ?

 

Christine : Lorsque je travaillais encore, j’écrivais entre 5h et 7h le matin et pendant les vacances scolaires, de 5 à 8h. Depuis que je suis retraitée, je le fais en fonction de mes disponibilités. Je n’ai pas d’horaires précis.

 

 

 

JM : -Avez-vous des séances de dédicaces prévues prochainement et où ?

 

Christine : Je suis cordialement invitée dans plusieurs régions de France depuis la sortie de mon livre. Mais je prends mon temps. J’irai quand cela sera possible. Je viens d’être invitée à un grand rassemblement de plusieurs cercles algérianistes, le 1er juin dans un château. J’aime aussi les rencontres d’une dizaine de personnes avec discussion autour du livre… J’attends quelques propositions. (J’accepte lorsque ce n’est pas trop loin de chez moi).

 

 

JM : Êtes-vous sensible à la critique littéraire et pensez-vous que les blogs, les réseaux sociaux aident les écrivains à promouvoir leurs écrits ?

 

Christine : Si je suis sensible à la critique littéraire ? Oui, bien sûr, comme tous les auteurs je pense. Et j’ai bien conscience que de nos jours, les réseaux sociaux sont un vrai soutien, une vraie richesse pour faire connaître nos écrits.

 

 

JM : - Quels sont les auteurs qui vous ont donné l'envie d'écrire ?

 

Christine : Je pense que je me suis nourrie de tous les auteurs rencontrés depuis l’école. Les grands classiques du XVIème au XXème siècle… Mais aussi Pearl Buck, Gilbert Cesbron, Saint-Exupéry et tant d’autres !

JM : - Quels conseils donneriez-vous aux lecteurs qui souhaiteraient devenir écrivains ?

 

 

Christine : De se lancer ! André Maurois le dit très bien dans “ Lettres à l’inconnue “ : “ Le gouvernail ne peut agir que si le bateau est déjà en movement. On n’apprend à écrire un livre qu’en l’écrivant. Dans ce métier, comme en tout autre, il faut, après une brève délibération, se jeter à l’eau. Autrement, on délibérera tout sa vie. J’ai vu plus d’un homme, et qui aurait eu du talent, rester sur la rive jusqu’à la mort en se demandant :” Aurais-je la force “ ?

 

 

JM : Lisez-vous et quel genre de lecture ?

 

 

Christine : Oui. La lecture est peut-être ma seconde respiration. J’aime varier mes lectures. Actuellement, je lis surtout des romans, des biographies, des livres de sagesse intérieure… Mon livre préféré reste “ Le petit prince “ de Saint-Exupéry” que j’ai dû relire des dizaines de fois…

Le seul “point noir” ce sont les thrillers…

 

 

JM : En dehors de l'écriture quelles sont vos passions ?

 

Christine : Je peins et j’adore peindre : peinture acrylique, avec du relief, peinture instinctive aussi.

J’aime l’aquagym et la marche.

 

 

JM : - Quel est votre genre de musique préféré et écrivez-vous en musique ?

 

Christine : J’aime beaucoup la musique classique. Mais j’aime aussi la variété quand l’accord entre la mélodie et le texte raconte une histoire, éveille des émotions.

En écrivant “ Les racines renouvelées”, j’ai écouté les musiques des époques que j’abordais. Surtout en écrivant la vie de ma grand-mère et celle de ma mère.

 

 

JM : - À quelle époque auriez-vous aimé vivre ?

 

Christine : Dans les années 1920, pour les toilettes des femmes. Mais j’ai beaucoup aimé la seconde moitié du XXème siècle.

 

 

JM : - Êtes-vous thé ou café ? Vanille ou chocolat ? Mer ou montagne ?

 

Christine : Café sans hésitation. Vanille. Mer (mais aussi montagne)

 

 

JM : - Si je vous dis “odeur” à quoi pensez-vous ?

 

Christine : au mimosa.

 

JM : - Si vous étiez : un animal, une couleur, une fleur ?

 

Christine : un oiseau, un “petit” oiseau libre, discret, apportant de la joie.

Le bleu du ciel, de la mer, des yeux d’une belle personne.

Une rose (celle du Petit Prince)

 

 

JM : - Avez-vous quelque chose à ajouter ?

 

Christine : Si vous me le permettez, j’aimerais ajouter deux choses :Tout d’abord, ce magnifique commentaire concernant mon premier, venant d’une bibliothécaire de la région parisienne : “ Il émane de ce récit une étonnante vitalité Il y a tout ce qui nous habite, les doutes, le questionnement, les épreuves, la force des sentiments, le dilemme entre passion et raison. Il y a aussi et surtout une exaltation des bonheurs simples du quotidien, un regard bienveillant et reconnaissant sur la beauté de la vie. Une impression de douceur enveloppante persiste dans le coeur du lecteur bien après qu’il ait refermé le livre.

 

Enfin, j’aimerais vous remercier Joëlle. Votre investissement, votre gentillesse, votre bienveillance m’ont fait, me font tant de bien ! J’aimerais également vous féliciter pour la qualité de vos chroniques et de votre groupe… Longue vie à “Lecteurs, auteurs : la passion des mots !

 

 

JM : - Merci Christine PEZET-GREVET pour ce très agréable moment passé en votre compagnie, votre gentillesse et votre disponibilité.

 

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Christine qui vous répondra, j'en suis certaine, avec plaisir.

 

 

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Bonjour aujourd'hui mercredi voici ma chronique concernant : "IMDOMPTABLE AQUITAINE"

« INDOMPTABLE AQUITAINE »

Aurélie DEPRAZ

Auto-Edition

2 mars 2019

211 pages

 

 

Présentation

 

France, 1137.


Après avoir longtemps guerroyé et fait prospérer l'économie de ses domaines, il est temps pour le comte de Champagne de se trouver une épouse. La belle Héloïse, fille du comte d'Angoulême, lui conviendrait tout à fait : elle est ravissante, racée et s'avère un excellent parti.


Mais les mœurs légères de la cour d'Aquitaine, au sein de laquelle la jeune fille a grandi, l'inquiètent. Pour éprouver la vertu et la droiture de sa future, Guillaume convient alors avec le père de la demoiselle d'un arrangement... plus que discutable. Un marché qui pourrait fort bien lui coûter l'amour de la jeune femme...


Un jeu entre désir, honneur, passion, amour et rancœur au temps des ducs d'Aquitaine et des comtes de Champagne...
 

L'auteure

 

 

Férue tant d'Histoire et de littérature que de langues et de sciences humaines (anthropologie, psychologie, sociologie, philosophie...), Aurélie écrit depuis presque aussi longtemps qu'elle sait tenir un stylo : poèmes, correspondances, journaux intimes, carnets de voyage, contes, synthèses, ébauches de romans tout d'abord... puis, enfin, ses 3 premières romances historiques à l'âge de 30 ans. Elle en a écrit d'autres depuis et prépare de nombreux autres scénarios, mais... dans l'auto-édition, la publication prend aussi du temps !

Passionnée de voyages et de contrées reculées, elle aime ancrer ses intrigues dans les cadres idylliques de ses pays de cœur (l'Ecosse, l'Angleterre, l'Irlande, les pays scandinaves... sans oublier son propre pays, la France) et les époques qui l'ont toujours fascinée (le Moyen-âge, la Deuxième Guerre Mondiale, l'époque victorienne...). 

 

 

Mon avis

 

Je remercie Aurélie DEPRAZ de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son roman « Indomptable Aquitaine ». J'ai découvert récemment la plume fluide et majestueuse de cette auteure lors de la lecture de « Pour l'amour d'une Sasunnach ».

Aurélie DEPRAZ nous transporte au XIIème siècle, en France et nous conte l'histoire d'Héloïse, suivante d'Aliénor. Ainsi, notre héroïne rencontre Guillaume au mariage d'Aliénor. Mais qui est cet inconnu, qui a fait battre son cœur lors d'une brève étreinte ?

 

 

Comme à son habitude, l'auteure nous offre une magnifique romance historique et dépeint avec moult détails les us et coutumes, les costumes, les coiffures, les méthodes d'hygiène et de maquillage au Moyen-Age mais également les sentiments des protagonistes de son roman.

 

Par ses mots, elle nous fait partager également les saveurs des multiples plats servis dans les palais lors des banquets.

 

Il en est de même pour les paysages des régions de France qu'elle décrit avec une telle précision que l'on les imagine aisément défiler devant nos yeux.

 

L'histoire est très belle, extrêmement bien écrite et documentée sur le plan historique. Les personnages sont authentiques, hauts en couleurs et attachants.

 

J'ai ADORE ce roman émouvant, dépaysant, ponctué d'une jolie touche d'érotisme, qui mêle l'Histoire de notre pays à celle de deux jeunes gens au caractère bien trempé.

 

J'ai dévoré cet ouvrage en deux soirées tant il me passionnait !

 

Excellent moment de lecture.

 

 

 

 

 

 

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ANNONCE INTERVIEW AUTEUR CHRISTINE PEZET-GREVET SUR MON GROUPE FB : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS🌹📚

Hier lundi 1er avril 2019 j'ai réalisé ma 44ème interview 💻🎤avec un auteur du groupe 🙋‍♀️ qui a accepté de se soumettre à mes questions.

Je vous donne donc rendez-vous le vendredi 5 avril à 18 H pour suivre l'entretien 🎤 que j'ai eu récemment avec Christine Pezet-Grevet🙋‍♀️📖📚. A l'issue, Christine Pezet-Grevet répondra à vos questions.

A bientôt.😍

 

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Bonjour aujourd'hui mardi je vous propose ma chronique concerannt : "L'HERITIERE DE LA NOUVELLE-FRANCE"

« L'HERITIERE DE LA NOUVELLE-FRANCE »

Rose MORVAN

SOMETHING ELSE EDITIONS

11 février 2017

216 pages

 

 

 

Présentation

 

Région de Saint-Malo, vers 1750. Pour solder une ancienne dette de famille, l'armateur et corsaire le plus fortuné de Saint-Malo, Arnaud Magon de Beauchesne, doit se rendre en Nouvelle-France (actuel Québec) afin de ramener les héritiers du comte moribond Sosthène Liffré de Kernilis, qui avait chassé son fils pour lui avoir désobéi. Il rembarque avec les enfants de ce dernier, devenus orphelins : une jeune fille de 17 ans qui n'a pas froid aux yeux et son jeune frère de 13 ans, un être fragile qu'elle protège comme une mère. De Saint-Malo à Québec et de Québec à Saint-Malo, suivez une suite de péripéties vécues par deux êtres orgueilleux et effrayés par leurs sentiments, le tout dans des décors restitués avec soin, au plus près de la réalité historique.

 

L'auteure

 

Rose Morvan écrit depuis son adolescence, mais elle a franchi le cap de l'édition en 2014, seulement. Dans ses tiroirs, dorment encore des histoires rédigées dans des cahiers, et depuis elle ne peut plus s'arrêter. 
Très attachée à sa Bretagne, - dont une partie coule dans ses veines -, à ses tempêtes, à son histoires et à ses légendes, elle situe l'intrigue de certains de ses romans dans cette région. Elle trace surtout des portraits de femmes qui se battent pour s'imposer, vivre leurs envies, et leurs amours, être heureuses tout simplement. 
Qu'il s'agisse de contemporain, de l'historique, ou bien de l'érotique et du conte, Rose Morvan, amoureuse de la langue et de la littérature françaises, travaille les mots, leurs sonorités pour qu'ils enchantent les lecteurs. 

 

 

Mon avis

 

Je remercie Emma, La Voie de Calliopé de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, « L'Héritière de la Nouvelle-France », roman de Rose MORVAN. J'avais découvert la plume fluide et élégante de cette auteure récemment lors de la lecture de « Pour l'honneur d'Yselis », roman historique que j'ai beaucoup aimé.

 

Ayant lu un grand nombre d'ouvrages se déroulant en Nouvelle-France, le titre et la très jolie couverture de ce roman m'ont de suite interpellée.

 

Rose MORVAN nous transporte au 17ème siècle et nous conte la très belle histoire d'Athénaïs et d'Arnaud Magon de Beauchesne.

 

Dès les premières pages, l'auteure nous présente le comte de Liffré de Kernilis, personnage très puissant et sévère, qui sentant sa mort proche, charge Arnaud de retrouver ses héritiers partis vivre au Québec..

 

Ainsi, nous suivons les aventures houleuses de notre héros entre St-Malo et Québec puis sa rencontre avec la belle et impétueuse Athénaïs, jeune femme rebelle, forte et instruite.

 

Les personnages sont attachants et très bien décrits tant sur le plan physique que psychologique et l'on ne peut s'empêcher de trembler, de vibrer, d'espèrer à leurs côtés.

Il faut dire que l'auteure a une imagination débordante, qu'elle a le don de tenir le lecteur en haleine et offre, par ses jolis mots, un voyage divertissant, dépaysant et intéressant.

 

Un vrai régal !

 

J'ai ADORE cette romance historique extrêmement bien écrite et documentée, aux multiples rebondissements ,  que j'ai lue d'une traite tant j'avais hâte d'en connaître le dénouement.

 

Si, comme moi, vous aimez les romans historiques et les belles histoires d'amour, cet ouvrage ne pourra que vous séduire.

 

Excellent moment de lecture.

 

 

 

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