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Bonsoir voici ma dernière chronique pour ce dimanche concernant : "UN PARFUM DE LAVANDE ET DE SANG"

« UN PARFUM DE LAVANDE ET DE SANG »

Olivia JONES

Auto-Edition

10 mai 2019

279 pages

 

 

Présentation

 

Liz, jeune artiste peintre, se remet lentement d’un traumatisme vécu deux ans auparavant. Alors qu’elle prend des photos en forêt pour un futur tableau, elle aperçoit un couple faisant l’amour contre un arbre, avec passion. Elle les photographie discrètement, trouvant la scène magnifique et d’une sensualité rare. Quelques jours plus tard, alors qu’elle a commencé quelques esquisses, elle apprend par la presse que ce couple adultère, Mathilde Garcin et Alex Orsini, a disparu. Liz est impliquée dans l’affaire et tente d’aider de son mieux le Commandant Godard, en charge de l’enquête. Trois mois plus tard, Mathilde et Alex sont libérés par leur ravisseur, mais dans un état lamentable. S’ensuivent alors d’autres disparitions, qui malheureusement se concluront par des assassinats particulièrement cruels. La signature du tueur ? Un petit bouquet de lavande, déposé sur les corps. Qui se cache derrière le tueur à la lavande ? Et que cache le mari de la belle Mathilde, Etienne Garcin ? Un personnage bien étrange… Adultères, passions, mensonges, passé sulfureux, tels sont les ingrédients du premier thriller d’Olivia Jones. Un parfum de lavande et de sang est le sixième roman d’Olivia Jones. Tous ses ouvrages sont en vente sur Amazon.

L'auteure


 

Olivia Jones est une auteure française, d'origine bretonne. Née en banlieue parisienne, d'un père guitariste de jazz et d'une mère au foyer, elle a vécu en Suisse de nombreuses années. Elle s'installe ensuite pour cinq ans dans le golfe du Morbihan, d'où sa famille est originaire, et actuellement, c'est en Alsace qu'elle a choisi de vivre.


Elle a publié cinq romans sur KDP, ainsi qu'un petit recueil de trois nouvelles. Son tout dernier roman, Un parfum de lavande et de sang, son premier thriller, vient de paraître sur Amazon, en broché et ebook. 


Elle fait également partie d'un collectif d'auteurs, le Pécéoc, qui publie, dès le 1er décembre 2018, C(h)oeur de nouvelles, un recueil au bénéfice de l'association "Petit coeur de beurre", en faveur des enfants atteints de maladies cardiaques. Neuf nouvelles composent ce recueil. Celle d'Olivia Jones s'intitule : Quand le vent se tait...



Sa passion pour l'écriture remonte à l'enfance, en découvrant les contes d'Andersen, Grimm et les autres... Cet univers onirique l'obsède, et la pousse à coucher sur le papier les histoires à caractère fantastique qu'elle aime raconter. Car c'est ainsi qu'elle se considère, une conteuse.

 


 

Mon avis

 

Je remercie Olivia JONES de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son roman « Un Parfum de lavande et de sang ». J'ai découvert la plume légère et fluide de cette auteure lors de la lecture de « Trop Belle pour mourir » puis de « Blue Kashmir – Valentina et « L'Homme de Cristal », que j'ai adorés.

 

Bien que peu attirée par les « thrillers », je me suis laissée tenter par ce roman dont la très jolie couverture m'a de suite interpellée et du fait que j'aime beaucoup l'écriture d'Olivia..

 

Olivia JONES nous embarque dans une région du sud de la France et nous présente Liz, jeune peintre qui photographie un couple d'amants dans une forêt afin de réaliser ensuite une peinture d'après ses photos. Elle ne se doute pas que ces amoureux, Mathilde et Alex vont disparaître ainsi que d'autres jeunes femmes du village. Mais qui est ce tueur en série ? Le seul indice qu'il laisse près de ses victimes étant un bouquet de lavande...

 

 

Certains personnages tels que Liz, Mathilde Raymond sont vraiment attachants, d'autres totalement détestables mais je vous laisse le découvrir par vous-mêmes !

 

L'histoire est captivante, mystérieuse, addictive. L'intrigue est bien ficelée et le suspense très bien mené. L'auteure nous dirige habilement vers de fausses pistes et nous pensons avoir découvert le nom du tueur... mais il n'en est rien.

 

J'ai dévoré ce sublime roman pratiquement d'une traite tant j'avais hâte d'en connaître le dénouement ô combien fort surprenant.

 

J'ai ADORE ce premier thriller de l'auteure, agrémenté d'une histoire d'amour, extrêmement bien écrit, passionnant et dont les multiples rebondissements tiennent vraiment le lecteur en haleine et je vous le recommande donc vivement.

 

Un grand BRAVO Olivia ! Une petite question toutefois : une suite est-elle prévue à cette histoire ?

 

Excellent moment de lecture.

 

 

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Rebonjour voici ma seconde chronique du dimanche concernant : "LA LIBERTE DE NOUS AIMER"

« LA LIBERTE DE NOUS AIMER »

Ninon AMEY

Auto-Edition

4 mai 2019

232 pages

 

Présentation

 

Et si on vous proposait de correspondre avec un détenu ? Tenteriez-vous l’expérience ?

 
Abigaïl, une jeune femme passionnée par les mots, décide de rentrer dans ce programme expérimental mis en place par la prison locale. Si cette expérience est pour elle l’opportunité de s’adonner à son amour de la prose, pour son correspondant, David, elle représente surtout une bouffée d’oxygène dans son quotidien morose.

D’échanges timides en confidences intimes, un lien particulier va progressivement se tisser entre eux. L’une des règles du programme est pourtant claire : ils n’ont pas le droit de tomber amoureux.


Entre échange de lettres et d’e-mails, plongez au cœur d’un roman épistolaire moderne, dans lequel l’amitié, l’amour et la famille occupent une place centrale.

 

L'auteure

La trentaine, un mari, des enfants, plusieurs vies en une....

Ecrire l'a aidée à trouver son équilibre, elle ne pourrait plus s'en passer...

Après avoir obtenu le troisième prix du concours de romans sur les faits divers organisé par Librinova en 2017 avec L'empreinte du passé, paru en novembre de la même année, Ninon Amey se lance dans l'autoédition avec des romances contemporaines émouvantes et aborde, d'une plume douce et sensible, des thèmes qui lui tiennent à coeur comme le deuil, la résilience, ou encore les secrets de famille. L'amitié, la famille et l'amour ont toujours une place centrale dans ses histoires, qui savent captiver le lecteur dès les premières pages. 

Toi qui manques à ma vie, son recueil de deux nouvelles très courtes, autobiographiques, est un hommage à son frère jumeau, décédé in-utéro.

 

Mon avis

Je remercie Ninon AMEY de m'avoir permis de lire, en service de presse, son roman « La Liberté de nous aimer ». J'ai découvert la plume simple, fluide et sensible de cette auteure lors de la lecture de « Les Lettres à Juliette ».


 

Dans un genre différent de ses précédents livres, l'auteure nous présente un roman épistolaire et, bien que peu habituée à ce genre de lecture, je me suis laissée tenter et j'ai de suite été portée par les mots de Ninon.


 

C'est ainsi, qu'au travers d'échanges de lettres et de mel, nous découvrons la vie d'Abigaël et David. Abigaël, jeune femme âgée de 28 ans, célibataire, accepte d'expérimenter un programme mis en place par une maison d'arrêt et correspond avec David, la cinquantaine, détenu dans cette prison pour une peine légère.


 

Leurs échanges sont amicaux et au fil du temps, chacun attend avec impatience, comme le lecteur d'ailleurs, la réponse aux courriers..


 

Les personnages sont attachants et vrais. L’histoire est originale, intéressante, complètement addictive et nous amène à tourner les pages au plus vite afin d'en connaître le dénouement.


 

Ninon AMEY décrit avec précision et délicatesse le milieu carcéral et le quotidien de David, ses angoisses, ses espoirs, ses doutes et regrets.. Au fil des mots de l'auteure, beaucoup d'émotions sont palpables et rendent ce récit fort émouvant.


 

J'ai ADORE ce beau roman ayant pour thème la liberté, dans tous les sens du terme, empli d'amour, d'amitié et d'espoir et avec lequel j'ai passé un bon moment de lecture et refermé à regret.


 


 

 

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Bonjour aujourd'hui dimanche je vous propose ma chronique concernant : "L'ILE DE L'ERMITE" ISA

« L'ILE DE L'ERMITE  ISA»

Tome 2

Sergine DESJARDINS

CHARLESTON

LEDUC.S

(POCHE)

16 avril 2019

512 pages

 

 

Présentation

 

1847, Nouveau-Brunswick, Canada 

Pour protéger la population de la « maladie maudite », les malades sont envoyés en isolement dans une léproserie, sur l'île Sheldrake. La jeune Isabelle, soupçonnée à tort d'avoir développé les symptômes de la maladie, a ainsi été arrachée à sa famille.

Alors que les mois passent, elle commence à perdre espoir. Bien que la maladie ne semble avoir aucune emprise sur la jeune femme, l'isolement et un pénible quotidien l'affectent au plus profond d'elle-même. 

Pendant ce temps, les sœurs d'Isa tentent, elles aussi, de surmonter les épreuves que la vie dresse sur leur chemin. Fanny est toujours à la recherche du bébé qui lui a été enlevé et Juliette rêve d'étudier la médecine.
En cette époque d'interdits, de silence et de jugement divin, cette famille retrouvera-t-elle son bonheur passé ?


Dernier tome de la série Isa, L'Île de l'ermite nous entraîne dans la noirceur d'un autre âge, où injustice et adversité côtoient espoir et courage.

 

L'auteure

 

Originaire du Bas-du-Fleuve, passionnée d'histoire et de littérature, Sergine Desjardins a publié le roman Marie Major et la biographie de la première femme journaliste canadienne-française, Robertine Barry. Ces deux ouvrages lui ont valu respectivement le prix littéraire indépendant Marguerite Yourcenar et le prix Jovette-Bernier. Elle poursuit maintenant sur sa lancée avec Isa, une passionnante série historique dont l'action se déroule principalement au dix-neuvième siècle entre les villes de Tracadie, Miguasha, Québec, Montréal et Rimouski.

 

Mon avis

 

Je remercie Sergine DESJARDINS et CHARLESTON

LEDUC'S de m'avoir permis de lire, en service de presse, le tome 2 d'Isa, roman que j'avais beaucoup aimé et dont j'attendais la suite avec impatience. J'ai découvert la plume fluide et majestueuse de cette auteure lors de la lecture de Marie Major, roman que j'ai adoré.

 

J'ai donc retrouvé avec grand plaisir les protagonistes de « l'Ile des exclus » et en particulier Isa qui, trois ans après avoir été soupçonnée à tort d'avoir contracté la lèpre se trouve toujours à la léproserie de Tracadie où elle a été déportée.

Bien que ne présentant aucun signe avéré de la maladie, notre héroïne perd espoir mais sa famille est prête à tout pour la sauver...

 

Nous partageons le quotidien des lépreux, les épreuves qu'ils tentent de surmonter, leurs souffrances, leurs espoirs et leurs luttes face aux perversions de certains êtres « humains » qui les entourent, ce qui ne peut que provoquer révolte et dégoût au lecteur.

 

Ce second opus est aussi, si ce n'est plus, émouvant et poignant que le précédent. Sergine DESJARDINS nous fait ainsi découvrir un pan de l'Histoire du Canada en abordant le sujet réel, effrayant et difficile à imaginer qu'est la lèpre, maladie malheureusement encore répandue de nos jours.

 

J'ai ADORE ce roman historique extrêmement bien écrit et documenté sur les plans historique et médical et j'avoue avoir eu, à plusieurs reprises, les yeux embués de larmes à la lecture de certains passages difficiles mais reflétant la triste réalité.

 

Excellent moment de lecture.

 

 

 

 

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Rebonjour voici une seconde chronique concernant : "LA HACHE"

« LA HACHE »

Alain GERBER

RAMSAY EDITIONS

23 avril 2019

250 pages

 

 

Présentation

 

Un sous-lieutenant français se trouve affecté avec trois autres soldats dans la zone occupée par l’armée d’un pays imaginaire qu’on imagine être situé en Europe de l’Est, sans doute de confession orthodoxe, peut-être la Serbie, car il y a un pope au village. Il est logé dans une ferme où habite un fermier, sa femme et sa fille adolescente. Un crime de guerre a eu lieu dans cette région, mais on ignore quels en sont les coupables. L’officier passe son séjour entre l’ennui de cet exil, dans un lieu peu hospitalier, avec les locaux dont il ne parle pas la langue, et les soldats placés sous ses ordres avec lesquels il n’a rien en commun. Un jeu de séduction s’instaure avec la jeune fille qui l’observe en cachette lorsqu’il prend son bain, bien vite interrompu par le père qui, pour couper son bois, manie une hache au fer étincelant. Peu à peu, se révèle la vérité sur ce qui s’est passé dans ce village, avec la découverte d’un charnier. Comme toujours chez Alain Gerber, l’intrigue a moins d’importance que la psychologie extrêmement subtile des personnages, la narration jouant sur les non-dits, les ellipses, les silences. Rien n’est clairement révélé, tout est suggéré, laissant au lecteur le soin de combler les vides du récit. Tout cela servi par une écriture belle et limpide, servie par un style inimitable.


 

L'auteur

Alain GERBER : Chroniqueur et critique de jazz à France Musique et France Culture,. Alain GERBER est également romancier et nouvelliste ; il a publié près de trente ouvrages qui lui ont valu de nombreux prix littéraires, notamment le prix du roman populiste en 1982, le pris Goncourt de la nouvelle en 1984, l’Interallié en 1989 pour Le Verger du diable et le Grand Prix du roman de la ville de Paris pour l'ensemble de son œuvre.


 

Mon avis


 

Je remercie RAMSAY Editions et en particulier Christophe de m'avoir permis de lire, en service de presse, « La Hache », roman d'Alain GERBER, auteur dont j'ai découvert la plume majestueuse lors de la lecture en 2018 de « Souvenirs d'une invisible ».


 


 

C'est dans un genre totalement différent de ses précédents ouvrages que l'auteur nous fait découvrir « La Hache ».


 

Nous nous trouvons ,  a priori, dans un pays imaginaire d'Europe situé à l'est et c'est sous forme de récit que Alain GERBER nous présente les protagonistes de son livre. Le personnage principal est un officier français qui avec trois soldats, se trouve affecté dans une zone occupée par l'armée, territoire ô demeurant fort inhospitalier. Il est hébergé par un couple de fermiers et leur fille qui sont plutôt bizarres et ne parlent pas sa langue. Que cachent-ils ? A quoi a bien pu servir cette « hache » ?


 

L'auteur dresse une fine analyse des traits psychologiques de ses personnages et provoque également une atmosphère sombre et énigmatique à son récit qui, comme les paysages enneigés de cette région, est froid et mystérieux...


 

J'ai lu avec plaisir ce roman très bien écrit mais j'ai toutefois préféré le style de « Souvenirs d'une invisible » qui correspond mieux à mes goûts littéraires. Toutefois ce roman séduira, j'en suis certaine, les férus du genre.


 

Bon moment de lecture.

 

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Bonjour aujourd'hui vendredi je vous invite à découvrir ma chronique concernant : "SHAENA"

« SHAENA »

Aurélie DEPRAZ

Auto-Edition

22 mai 2019

183 pages

 

 

Présentation

 

Extrême Nord de l'Ecosse – 1214

 

Quand Connor revient à CastleWhite après neuf ans d’absence, c’est pour constater que les desseins de son père, le seigneur de Caithness, n’ont pas changé à son égard : quoique grabataire et alcoolique, il n’a pas renoncé à le contraindre à épouser la fille de leur pire ennemi : le jarl des Orcades. Une Scandinave ! Quand tout le monde sait que c’est à ces chiens de Vikings qu’on doit la mort de Tormond !

Connor est catégorique. S’il doit se marier un jour, ce sera avec une Ecossaise. Jamais il n’épousera cette sauvageonne dont il a gardé le souvenir, une gamine d’à peine dix ans, maigre, plate et farouche.


Peu importe qu’elle ait grandi, peu importe sa beauté, ce que leurs pères peuvent comploter. Peu importe qu’il soit devenu homme, peu importe qu’elle soit devenue femme. Rien ni personne ne le fera changer d’avis.
Pas même elle.

 

Dans ce 4e roman historique, Aurélie Depraz renoue avec ses premières amours : la romance écossaise. Cap au nord ! Nous partons pour le Caithness, les Orcades et les Shetland, au temps où les archipels du nord de l’Ecosse – mais aussi les Hébrides – appartenaient encore à la Norvège… Un roman où culture des Highlands et culture viking se mêlent à coups de conflits, de haine… et de passion !



 

L'auteure

 

Férue tant d'Histoire et de littérature que de langues et de sciences humaines (anthropologie, psychologie, sociologie, philosophie...), Aurélie écrit depuis presque aussi longtemps qu'elle sait tenir un stylo : poèmes, correspondances, journaux intimes, carnets de voyage, contes, synthèses, ébauches de romans tout d'abord... puis, enfin, ses 3 premières romances historiques à l'âge de 30 ans. Elle en a écrit d'autres depuis et prépare de nombreux autres scénarios, mais... dans l'auto-édition, la publication prend aussi du temps !

Passionnée de voyages et de contrées reculées, elle aime ancrer ses intrigues dans les cadres idylliques de ses pays de cœur (l'Ecosse, l'Angleterre, l'Irlande, les pays scandinaves... sans oublier son propre pays, la France) et les époques qui l'ont toujours fascinée (le Moyen-âge, la Deuxième Guerre Mondiale, l'époque victorienne...). 

Son genre de prédilection est la romance historique à l’anglo-saxonne, mais elle a également de très nombreux autres projets en tête (une trentaine en tout, de la chick-lit au roman de littérature générale et des romans historiques aux ouvrages sur l'éco-citoyenneté ou l'Histoire du vin en bordelais).

Touche-à-tout et curieuse, elle conjugue, entre deux romans, différentes activités professionnelles afférentes à l’œnotourisme, à l’enseignement privé de matières littéraires et à la préparation d’élèves au baccalauréat. Aussi enthousiaste que prolifique, elle partage sur son blog des articles sur le genre de la romance, la place de l’amour et de l'érotisme dans la littérature, l'Histoire et les grands mouvements littéraires, les plus importants courants amoureux, l'évolution du genre romanesque et tout ce qui touche, de près ou de loin, à l'univers de ses romans, à son parcours dans l'édition et à ses projets d'écriture.

Pour suivre ses publications, ses articles et ses partages en tous genres, retrouvez-la sur:
- facebook : @aurelie.depraz.auteur
- instagram : @aurelie.depraz.auteur
- son blog : aureliedepraz.com
- twitter : https://twitter.com/AurelieDepraz
 


Mon avis

 

Je remercie Aurélie DEPRAZ de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son quatrième roman « Shaena ». J'ai découvert la plume fluide et majestueuse de cette auteure lors de la lecture de « Pour l'amour d'une Sassunach » et ensuite j'ai dévoré tous ses romans..

 

La très jolie couverture et le résumé fort alléchant ont de suite interpellée la férue de romances historiques que je suis.

 

Aurélie DEPRAZ nous emporte en Ecosse sur l'Archipel des Orcades au Moyen Age où nous faisons connaissance avec Connor, jeune seigneur Écossais qui, à la demande de son jeune frère, rentre à CastelWhite après plusieurs années d'absence, afin de sauver le château familial de l'abandon.

 

Cependant, le père de Connor a organisé le mariage de son fils avec Shaena, la fille de son pire ennemi, ce viking qui a tué son frère aîné..

 

Shaena est, depuis son adolescence, très amoureuse de Connor mais celui-ci ne partage pas ses sentiments. Une histoire d'amour, entre ces deux êtres que tout oppose, sera-t-elle possible ?

 

 

L'histoire est très belle et addictive car, comme dans tous ses romans, l'auteure a le don de captiver ses lecteurs en décrivant avec moult détails les traits tant physiques que psychologiques de ses personnages les rendant vrais et les faisant évoluer dans des paysages que nous imaginons aisément.

 

J'ai bien aimé Connor et Shaena qui sont très attachants, mais également Sean, le meilleur ami de Connor qui joue un rôle important dans cette histoire. Les dialogues entre les deux amis sont ponctués d'humour et très sympathiques.

 

Dans cet ouvrage, extrêmement bien documenté sur les plans historique, géopolitique, architectural, Aurélie DEPRAZ relate avec précision les us et coutumes de l'époque, les conflits entre les Scandinaves et les Ecossais tout en ajoutant à son récit une touche d'érotisme qui rend moins sombre ces périodes ô combien troublées de l'Histoire.

 

J'ai ADORE ce très bon roman d'aventures et d'amour que j'ai dégusté tout doucement tout en ayant hâte d'en connaître le dénouement et refermé à regret.

 

Excellent moment de lecture.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui mercredi je vous propose ma chronique concernant : "8 MINUTES DE SOLEIL EN PLUS"

« HUIT MINUTES DE SOLEIL EN PLUS »

Sébastien THEVENY

Auto-Edition

7 mai 2019

198 pages

 

 

 

Présentation

 

Quand la volonté est plus forte que la mort. Jules a treize ans et il est condamné. Atteint de mucoviscidose, il sait qu’un jour tout doit finir. Or Jules a un rêve : rencontrer son idole de toujours, Roger Federer. Pour cela, il est prêt à braver toutes les épreuves. Seul à seul avec son père, Jules va tenter de se rendre, à vélo, jusqu’à Wimbledon. Il sait que le Maestro du tennis mettra bientôt un terme à sa carrière.Dans son cœur, c’est cette année… ou jamais ! Ce road-trip sera aussi, pour le père et le fils, le moyen d’apprendre à se retrouver, à panser les blessures et les non-dits du passé…Un voyage initiatique et rédempteur, entre un père et son fils, face à l’inexorable.

 

 

L'auteur

 

Né en 1976 en Pays de Champagne,je pose mes valises en Franche-Comté en 2002 et ne quitte plus cette terre d'adoption. De formation littéraire , j'occupe mon temps libre à rédiger poèmes, nouvelles, contes pour enfants et romans tout en n'oubliant pas de m'adonner au tennis et au tennis de table : mens sana in corpore sano !

« Après la publication de mon premier roman "Trouble Je", j'ai publié mon premier recueil de poèmes, écrits sur une période 14 ans, intitulé "En Vers... et contre tout".
J'ai eu la folie également de créer un "roman en alexandrins" : Vers...tige, qui suit la vie d'un homme de sa naissance à sa mort, au travers du prisme du désir et de son rapport aux femmes.

Un Frère de Trop, mon premier thriller, a conquis plus de 35000 lecteurs en auto-édition, depuis sa parution en novembre 2017. Il est publié aux Editions Michel Lafon en février 2019.

Trente secondes avant de mourir, mon nouveau thriller paru en juin 2018, dont l'action se déroule à New York, a quant à lui déjà séduit plus de 15000 lecteurs. »

 

 

Mon avis

 

Je remercie Sébastien THEVENY de m'avoir permis de lire, en service de presse, son dernier roman « Huit minutes de soleil en plus ». J'ai découvert récemment la très belle plume de cet auteur en lisant « Un Frère de trop » que j'ai beaucoup aimé.

 

La très jolie couverture réalisée par M. BIASOTTO et le résumé fort alléchant m'ont de suite interpellée.

 

C'est dans un style très différent de ses précédents romans que Sébastien THEVENY nous emporte dans le Nord de la France puis en Angleterre où nous suivons Jules et son père, à l'aide d'un journal intime tenu alternativement par l'un ou l'autre. Jules est un petit garçon de 13 ans qui, comme tous les enfants, a une passion : le tennis et il rêve de rencontrer Roger Federer son idole en assistant à l'un de ses matches. Toutefois Jules a la mucoviscidose et ses jours sont comptés..

 

Sébastien THEVENY nous fait vivre l'incroyable voyage que père et fils vont effectuer pour essayer de se rendre à Wimbledon en vélo..

 

L'auteur décrit parfaitement les sentiments de cette famille éprouvée par la maladie de leur enfant. Beaucoup d'émotions sont palpables à la lecture de ce roman et l'on ne peut que s'attacher à ce jeune garçon très courageux ainsi qu'à ses proches et partager le combat qu'ils doivent mener face à cette terrible maladie.

 

J'ai ADORE ce court roman, très bien écrit, sur la relation père-fils, touchant, prenant, émouvant, triste mais empli d'amour et d'espoir. Je l'ai lu d'une traite tant j'éprouvais des difficultés à le refermer et à quitter ces personnages tellement attachants..



Excellent moment de lecture.

Bonjour aujourd'hui mercredi je vous propose ma chronique concernant : "8 MINUTES DE SOLEIL EN PLUS"

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Bonjour aujourd'hui lundi je vous propose ma chronique concernant :"L'ILE AUX MILLE SOURCES"

« L'ILE AUX MILLE SOURCES »

Sarah LARK

L'ARCHIPEL

5 juin 2019

464 pages

 

 

Présentation

 

La nouvelle saga de l'auteure de

la trilogie du Nuage Blanc

 

Londres, 1732. Nora, la fille d'un riche négociant, a perdu Simon, son premier amour avec qui elle rêvait d'horizons lointains. Pour satisfaire ses envies d'exotisme, la jeune femme accepte d'épouser un veuf bien plus âgé qui possède une plantation en Jamaïque.


Nora embarque alors pour les Caraïbes, à la découverte d'une île enchanteresse. Mais, bien vite, elle déchante : les conditions de vie des esclaves dans les champs de canne la révoltent.

 

Décidée à faire évoluer les mentalités, Nora pourra compter sur le soutien de Douglas, le fils d'Elias. Mais la révolte gronde, qui pourrait bouleverser à jamais la vie de Nora.

 

Avec cette nouvelle saga, Sarah LARK nous entraîne sur les pas d'une héroïne forte et attachante, à la découverte de contrées lointaines où tout reste à inventer, à commercer par sa propre destinée.

 

« Amour, haine et trahisons : un livre qui vous transporte au temps des grandes plantations

de la Caraïbe. »

 

 

L'auteure

 

Sarah LARK vit près d'Alméria, en Andalousie, où elle a créé un refuge pour chevaux. Traduite dans 22 pays, sa trilogie du Nuage blanc a séduit plusieurs millions de lectrices dans le monde. Tous ses romans ont paru aux éditions de l'Archipel. Du même auteur paraît chez Archipoche simultanément « Les Larmes de la déesse Maorie ».

 

 

Mon avis

 

Je remercie Mylène et Florence des Editions l'ARCHIPEL de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, « L 'Île aux mille sources », roman de Sarah LARK, auteure dont j'ai lu tous les ouvrages tant j'aime sa plume légère et majestueuse.

 

La très jolie couverture et le résumé fort alléchant m'ont de suite interpellée.

 

Dans ce premier opus d'une nouvelle saga, Sarah LARK nous fait voyager au XVIIIème siècle, d'Angleterre en Jamaïque, pays exotique qui évoque pour le lecteur une destination de rêve : en sera-t-il de même pour Nora notre héroïne ?

 

 

Après le décès de Simon, son premier amour avec lequel elle avait fait des projets d'aventures sur une île paradisiaque, Nora quitte l'Angleterre et, selon le désir de son père, épouse Elias, un homme d'âge mur, propriétaire d'une plantation en Jamaïque.

 

Dès les premiers mots de l'auteure, je me suis sentie happée par cette magnifique histoire très émouvante, aux multiples rebondissements qui tiennent le lecteur en haleine, addictive et fort bien ficelée.

 

L'auteure met en avant la richesse des nantis Anglais face à la pauvreté des habitants de certains quartiers de Londres, puis les conditions de vie terrifiantes des esclaves dans les plantations où leurs « backras » leur font subir des sévices et mauvais traitements tant physiques que psychologiques. Certains passages sont très durs mais reflètent tellement la réalité..

 

Sarah LARK décrit à merveille les paysages et nous transporte sur les plages de sable que nous imaginons aisément ainsi que la faune et la flore. Elle nous dévoile le côté obscur des croyances et rites africains.

 

Beaucoup d'émotions sont palpables à la lecture de ce sublime ouvrage et l'on ne peut s'empêcher d'être révolté, de trembler et d’espérer pour Nora, Doug et Maanu qui sont des personnages fort attachants.

 

Aussi, lors du passage d'un ouragan, le lecteur ressent l'intensité de son souffle, la peur et la tristesse des protagonistes de ce roman.

 

J'ai ADORE cette saga historique romancée mêlant l'Histoire à celle d'une jeune femme forte, courageuse, déterminée et révoltée, à une époque où les femmes se devaient d'obéir à leurs pères puis à leurs époux..

 

Si comme moi vous aimez les belles histoires d'amour, les paysages exotiques, les secrets de famille, cet ouvrage ne pourra que vous séduire.

 

Pour ma part, j'attends avec impatience la sortie du second tome de cet excellent roman dur et tendre à la fois avec lequel j'ai passé un très bon moment de lecture.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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ANNONCE BLOG EN PAUSE FORCEE

Bonsoir les amis

J''espère que vous allez bien et que votre week-end se passe bien.

Ce petit message pour vous dire au revoir et que je ne vous oublie pas. Je pars à l'hôpital afin de subir une intervention chirurgicale demain matin mais je vous donnerai, dès que possible de mes nouvelles. Vous allez me manquer....

A bientôt - bise

 

 

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Bonsoir je partage l'interview réalisée ce soir avec Sonia DAGOTOR sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEUR

Sonia DAGOTOR
Vendredi 17 mai 2019 à 17 h

(en direct)

 

JM : - Bonsoir à tous

 

 Notre amie Sonia DAGOTOR a gentiment accepté, de se soumettre, ce soir, à mes questions.

 

 

JM : - Bonsoir Sonia

 

 Comment vas-tu ? Es-tu prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Sonia : Super bien ! J'adore les interrogatoires, c'est parti ! 

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Sonia : J'ai 40 ans (bientôt 41, le 25 mai), j’ai 2 enfants, une fille de 11 ans et un garçon de 8 ans. Ils étaient petits quand j’ai commencé à écrire en 2013. J’ai aussi un amoureux, le même depuis deux décennies, nous sommes mariés depuis bientôt 14 ans. 

 

 

JM : - Tu as une vie de famille et professionnelle bien remplies.. comment fais-tu pour concilier tout cela ?

 

Sonia : Ecrire, c’est comme un loisir. La journée, je suis au travail. Je récupère les enfants à 18h30, je m’occupe d’eux jusqu’au coucher et ensuite, j’écris. Certains font du sport, eh bien moi, parfois je fais du sport (aussi) et parfois, j’écris. Je n’écris pas le week-end, parce que c’est le moment réservé à la famille. Et puis, parce que je n’y arrive pas avec tout ce petit monde autour de moi.

 

 

 

 

JM : - Et si tu nous parlais de tes romans et en particulier de ton “petit dernier” : “A minuit tout est permis” ?

 

Sonia : En réalité, mon dernier roman est Sortez-moi de là. A minuit tout est permis ? est une nouvelle qui fait suite à une autre nouvelle intitulée C’est le pompon ! faisant suite à la trilogie épouse, mère et working girl. Vous me suivez ? ;-)

Tout a commencé en janvier 2013 lors d’une nuit d’insomnie. J’ai eu envie d’écrire, de raconter la vie d’une maman qui court tout le temps, qui se noie dans un verre d’eau parce qu’elle veut tout bien faire et qui s’épuise, un peu ce que je vivais à l’époque. Mon fils ne faisait toujours pas ses nuits. J’étais épuisée. Il me fallait un challenge : celui qui changerait ma vie. Pour ceux qui se posent la question, la trilogie « Epouse, mère et working girl » n’est pas une autobiographie. Cela pourrait ma vie, la tienne, celle d’une amie, d’une sœur, parce qu’au fond, on est un peu toutes pareilles.

Ensuite, il y a eu Un anniversaire au poil, parce qu’à ce moment-là, je voulais comprendre ce qui se passe dans la tête des hommes. Quelle femme n’a jamais rêvé de cela ? Eh bien, Julie l’expérimente pour nous.

Puis, le voyage existentiel d’Elisa qui fait un paquet de rencontres lors de son périple dans lequel Tout peut arriver (ou presque).

Et enfin le petit dernier, Sortez-moi de là ! dans lequel nous suivons Madeleine, qui a toujours vécu auprès de sa maman (qui meurt au début du roman) et qui va vivre plus de choses en 3 jours qu’en 36 ans.

 

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

 

Sonia : A l’heure où je vous parle, j’écris mon 8ème roman. Je ne vous dévoile pas de suite le titre. Si tout va bien, il sera prêt début juillet. Je vous réserve aussi quelques surprises sur sa réalisation. Chut !

On n’a pas parlé de bébé 7 mais ce n’est un secret pour personne alors je le redis ici, ce sera mon roman 2020 publié par une belle maison d’édition : le Cherche-Midi. Je suis aux anges.

Ensuite, j’écrirai sans doute une petite nouvelle (ou peut-être deux) dont le principe est justement de donner à mes lecteurs des nouvelles d’une héroïne ou d’un personnage secondaire d’un de mes livres déjà publiés. J’ai bien envie d’écrire la bio de Monsieur Chen, le taxi chouchou que l’on retrouve dans quasi tous mes livres.

 

 

 

JM : - Où trouves-tu l'inspiration pour créer les protagonistes de tes livres ? Improvises-tu ou connais-tu la fin de tes histoires avant d'en commencer l'écriture ?

 

Sonia : Toutes les situations du quotidien m’inspirent. Je peux les créer à l’issue d’un rêve, en poireautant au feu rouge, en lisant un article… Généralement, je connais le début et la fin de mon histoire, ou plutôt le message que je veux faire passer. Mais tout le corps de l’histoire m’est dicté par mes personnages, de vrais pros dans l’improvisation.

 

 

JM : - T'arrive-t-il de t'attacher à tes personnages et certains te ressemblent-ils ?

 

Sonia : Oui, il y a sûrement un peu de moi dans chacune de mes héroïnes. Et oui, je m’attache à eux quand j’écris. Je suis contente d’être à leurs côtés pendant l’écriture mais je suis aussi contente de les laisser vivre quand j’ai fini. Rien ne m’empêche de les retrouver plus tard, de les faire apparaître dans une autre histoire…

 

 

JM : Comment procédes-tu pour écrire tes romans (carnets, cahiers, fiches, écriture directe sur l'ordinateur) ?

 

Sonia : J’écris directement sur l’ordi. De temps à autres, je note une phrase sur un carnet, une idée sur un autre… Je ne fais aucun plan. Comme je le disais, j’ai mon idée de départ, le message que je cherche à véhiculer et une fin approximative. L’inspiration me vient dès que je suis devant l’écran.

 

 

 

 

JM : - Quand écris-tu (la nuit, le jour) pendant combien d'heures ? Est-ce que parfois tu passes des nuits blanches ? En combien de temps écris-tu un roman ?

 

 

Sonia : Je n’ai aucune rigueur. J’écris le soir la plupart du temps, pendant deux heures. Je me couche entre 23h et minuit, pour lire. J’écris le mercredi matin quand je ne travaille pas. Contrairement à ce que crois mes lecteurs, je n’écris pas la nuit. Certes, mes héros me provoquent parfois quelques insomnies mais je ne me lève pas pour autant. Je préfère lire les copains dans ces moments-là.

Je mets environ 4 mois pour écrire un roman. 3 à 4 semaines pour écrire une nouvelle de 100 pages, sachant que je n’écris pas tous les soirs. Tout est une question d’entrainement, plus on écrit, plus on écrit vite. Cela dit, mes histoires requièrent peu de recherches historiques ou autres, donc cela peut aller très vite.

 

 

 

JM : - Tous tes romans sont des “feel-good”. Pourquoi ce choix ?

 

Sonia : Parce que c’est ce que j’aime lire le plus, tout simplement. J’ai envie que les lecteurs passent un bon moment, tout en se posant des questions : « Et moi, qu’est-ce que je ferais à sa place ? »

Je m’amuse beaucoup quand j’écris et j’espère sincèrement que les lecteurs aiment me lire, qu’ils referment le livre avec le sourire. Mon histoire ne leur laissera sans doute pas un souvenir impérissable mais pendant un laps de temps, ils se seront divertis et peut-être qu’ils se seront fixés un nouvel objectif pour rendre leur vie meilleure.

 

 

JM :- Envisages-tu d'écrire dans un autre genre ?

 

Sonia : Peut-être… mais en suis-je réellement capable ? Je veux me faire plaisir avant tout. Si j’écris en me faisant plaisir alors je pense que le lecteur le ressentira en me lisant. Si j’écris un polar, il y a fort à parier que mon inspectrice sera une inspectrice gadget qui fera rire… Bref, l’humour et l’autodérision prennent une place importante dans mes écrits. On verra…

 

 

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement  et où ?

 

Sonia : Oui, demain au CULTURA de BELLE EPINE à Thiais, à partir de 10h jusqu’à 18h. D’ailleurs, venez tous, on va s’éclater avec mes lunettes cœur ! Tous mes bébés seront là ! (Enfin presque, tous sauf Un anniversaire au poil dont la version papier est en rupture de stock – la version poche sortira en août prochain).

Ensuite, je vous retrouverai le 21 septembre au salon du livre organisé par Auchan Boissénart (77), puis le 23 novembre à la médiathèque d’Issy-les-Moulineaux (92), puis au Festival du Livre romantique qui aura lieu à Dunkerque le 30 novembre et 1er décembre 2019.

 

 

JM : - A qui confies-tu tes manuscrits en première lecture (membre de ta famille, bêta lecteur) ? Qui réalise les couvertures de tes livres ?

 

Sonia : Elles sont quatre. Chaque soir, je leur envoie ce que j’ai écrit et le lendemain, en rallumant mon téléphone, je suis certaine de trouver le petit message d’encouragement. Il y a Corinne, une amie avec qui je partage mes footing dominicaux, Aurélie, une lectrice récente, Isabelle, une amie working girl et Elisa, ma meilleure amie depuis le lycée.

Je réalise moi-même mes couvertures sauf pour la trilogie. Les dessins avaient été faits par Yolande, une prof de dessins qui a croisé ma route et la version moderne par l’auteur Amélie Antoine. Eh oui… elle est bourrée de talents ! Sinon, toutes les autres ont été réalisées par mes soins (et l’outil CANVA pour ceux que cela intéresse).

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier tes ouvrages ?

 

Sonia : Grâce à l’autoédition via la plateforme KDP d’AMAZON. Un vœu pas comme les autres (devenu ensuite Un anniversaire au poil) a été repéré par CITY Editions alors qu’il était N°1 du TOP 100. Mon roman 7 sera publié par Le Cherche-Midi comme tous les suivants, j’espère. Une nouvelle aventure via l’édition traditionnelle.

 

 

JM : - Quels sont les auteurs qui t'ont donné l'envie d'écrire ?

 

Sonia : Gilles Legardinier ! L’unique !

 

 

 

 

JM : Lis-tu ? Quel genre ?

 

 

Sonia : Je lis beaucoup, tous les soirs, après ma phase d’écriture. C’est indispensable pour me permettre de m’endormir. En ce moment je lis « Il est grand temps de rallumer les étoiles » de Virginie Grimaldi. Son nouveau roman vient de sortir et j’avais un peu de retard. En général, je lis des feel-good mais comme je lis beaucoup d’auteurs autoédités, je fais de jolies découvertes dans d’autres styles. Dernièrement, j’ai lu Théo Lemattre, Loly PK, Lily B. Francis, Ninon Amay… Ma PAL est immense !

 

 

 

JM : En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Sonia : J’aime bouger, danser, rire, faire des puzzles, ça me détend. J’adore le volley ball mais j’ai les épaules en vrac. J’aime courir, uniquement parce que je le fait avec une amie et qu’on papote pendant nos séances. Je n’ai pas de passions à proprement parler, j’aime juste profiter de la vie…

 

 

JM : - Quel est ton proverbe préféré ?

 

Sonia : « Exister est un fait, vivre est un art. »

 

 

JM : - Quel est ton endroit favori (chez toi, une région, un pays) ?

 

Sonia : J’adore l’Italie, le pays de mes origines. Rome, particulièrement. J’aime la montagne, elles m’apaisent, j’aime le silence avec le chant des oiseaux… Je suis facilement bien partout, pourvu qu’il y ait de la lumière naturelle…

 

 

JM : - Quel est ton péché mignon ?

 

Sonia : La gourmandise. J’adore manger !

 

 

JM : - Quel est ton film culte et quel genre de musique écoutes-tu ?

 

Sonia : J’aime les comédies romantiques en général, les films de filles du style GHOST, Pretty woman, Dirty Dancing, Coup de foudre à Notting Hill, Bridget Jones, Titanic… Un film plus dramatique a pourtant marqué mon adolescence : Le cercle des poètes disparus.

Concernant la musique, j’étais fan de Jean-Jacques Goldman étant jeune. Aujourd’hui, j’écoute de tout sauf du Hard rock et du RAP…

 

 

JM : - Si tu devais partir sur une île déserte quel objet, indispensable à tes yeux, emporterais-tu ?

 

Sonia : Bonne question ! Je ne sais pas… Un stylo ? mais sans feuille, je n’irai pas bien loin ! Une brosse à dent ? mais sans dentifrice… Bref c’est sans fin, pourvu que je n’ai jamais à faire ce choix !

 

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Sonia : Juste MERCI.

 

 

JM : - Merci Sonia DAGOTOR pour ce très agréable moment passé en ta compagnie, ta disponibilité et ta gentillesse.

 

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Sonia qui vous répondra avec plaisir, en direct ou plus tard, selon ses disponibilités.

 

 

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ANNONCE INTERVIEW AUTEUR SONIA DAGOTOR VENDREDI 17 MAI A 17 H SUR MON GROUPE FB : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

 

 

Ce Lundi 13 mai 2019 j'ai réalisé ma 54ème interview avec un auteur du groupe qui a accepté de se soumettre à mes questions.

 

Je vous donne donc rendez-vous le vendredi 17 mai à 17 H 00 pour suivre l'entretien que mon amie modératrice Nathalie BRUNAL réalisera en direct  avec Sonia DAGOTOR. A l'issue, Sonia répondra à vos questions. En effet, étant trop fatiguée, j'ai confié le déroulement de cette interview à mon amie modératrice Nathalie Brunal que je remercie d'avoir accepté de me remplacer.. Un grand MERCI ma Nathalie.

 

Cette interview sera la dernière du mois de mai et il n'y en aura pas en juin.

 

 

A bientôt.

 

 

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