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Résultat pour “comme une aurore dans la brume”

Bonsoir aujourd'hui mardi je vous propose mon avis sur LES LEGENDES OUBLIEES DU BERRY

« LES LEGENDES OUBLIEES DU BERRY »

Serge CAMILLE et Christophe MATHO

Editions MARIVOLE

18 janvier 2018

158 pages

 

 

Présentation

 

Nos légendes populaires parlent en général d'une histoire vraie, vieille de centaines ou de milliers d'années. La légende fait référence à un lieu, à un objet, à un personnage. Elle était racontée le soir à la veillée, de bouche-à-oreille et de génération en génération. Au fil du temps, la légende est devenue un mythe, elle a perdu en précision, mais elle a gagné en fantaisie. Dans le Berry, elle a pu naître d'une source, d'une forêt, d'un chevalier. Elle a rencontré des êtres fantastiques, des fées, des sorciers ou des rebouteux ou le diable lui-même. Nos légendes berrichonnes sont un élément essentiel de notre culture locale. En effet, elles nourrissent profondément l'imaginaire de gens qui vivent dans notre terroir. Elles sont probablement l'élément le plus ancien qui forge notre culture régionale. Les légendes berrichonnes sont notre imaginaire commun. À l'heure de la mondialisation et de la « culture unique », il est important de retrouver les mythes qui font notre identité régionale.

 

 

Les auteurs :

 

Christophe MATHO est éditeur, Serge CAMAILLE est romancier. Ensemble, ils recherchent les légendes populaires du Berry que des ethnographes du XIXème siècle ont transcrites de l'oral à l'écrit pour éviter qu'elles ne soient oubliées à jamais. Serge CAMAILLE les utilise comme source d'inspiration pour ses romans et Christophe MATHO nous les restitue chaque année dans l'Almanach du Berrichon. Dans cet opus, ils ravivent l'ambiance des anciennes veillées berrichonnes où furent contées durant des siècles ces histoires merveilleuses.

 

Mon avis

 

Merci aux Editions MARIVOLE et en particulier à Céline de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, « Les légendes oubliées du Berry », de Serge CAMAILLE et Christophe MATHO.

 

Ce sympathique recueil de textes courts, extrêmement bien documenté, reprend les récits de différents auteurs et sont agrémentés de photos en noir et blanc. Les thèmes abordés sont : le surnaturel, le diable et le Bon Dieu, les fées, les revenants, les sorcières...

 

Ces histoires étranges, sombres pour certaines, charmantes, drôles et poétiques pour d'autres, se lisent facilement et permettent, au fil des pages, de faire un retour dans le temps, une balade dans le Berry de nos ancêtres, s'imaginant aisément assis au coin du feu lors d'une veillée !

 

J'ai bien aimé ces récits mystérieux, judicieusement choisis, qui captivent le lecteur et j'ai même pris plaisir à lire à haute voix certaines légendes qui m'ont particulièrement intéressée.

Un bon moment de détente assuré !

 

Bonne lecture !

 

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Bonsoir aujourd'hui samedi voici ma chronique concernant : "LES RACINES RENOUVELEES"

« LES RACINES RENOUVELEES »

Christine PEZET-GREVET

EDITIONS MARIVOLE

Parcours de Femme

15 février 2018

376 pages

 

 

Présentation

 

 

Saga familiale, de la Suisse à l'Algérie

jusqu'au rapatriement en France

 

« Dis-moi qui sont tes ancêtres, je te dirai qui tu es. »
De 1853 à nos jours, du canton de Vaud en Suisse à la Sologne des arbres et des forêts, en passant par l’Algérie, bouleversante de beauté, de guerre et d’amour mêlés, c’est l’histoire des femmes de la branche maternelle de sa famille que nous conte l’auteure avec tendresse et délicatesse.
« Sois heureuse d’être au monde et d’y voir clair ! » disait ma mère. Comme elle avait raison ! Il y avait en moi un inconcevable pessimisme et je ne comprenais pas pourquoi. Je n’avais pas encore découvert que je portais en moi, les blessures de mes aïeules ».

 

 

 

L'auteur

 

Contrainte de quitter son pays natal l'Algérie à l'âge de 8 ans, Christine PEZET-GREVET vit en Sologne depuis plus de quarante ans. Retraitée de l'Education Nationale, elle se consacre entre autre, avec bonheur, à la peinture et à l'écriture.

 

Après « Si tu sais lire entre les lignes » (Amalthées 2013), elle nous propose aujourd'hui « Les racines renouvelées ».

 

 

Mon avis

 

Je tiens à remercier les Editions MARIVOLE et en particulier Céline de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, « Les racines renouvelées », roman de Christine PEZET-GREVET et ainsi de découvrir la très belle plume de cette auteure.

 

 

Dès les premières lignes, l'on ne peut que se laisser porter par la belle histoire des femmes de la branche maternelle familiale de l'auteure. Ainsi, au travers d'un journal tenu par son ancêtre Marie-Louise née en 1836 en Suisse et par son époux, l'auteur nous conte leur départ pour Aïn Arnat en Algérie, leur vie familiale, la découverte de ce pays magnifique où ils vécurent heureux.

 

Puis c'est par les mots d'Amélie née en 1875, Raymonde (Lise) née en 1902, Marie-Rose (Marie) née en 1929 que nous partageons les bonheurs, la vie des ancêtres de l'auteure dans ce pays, la beauté des paysages, les couleurs et les parfums de cette terre d'accueil qui était la leur et qu'ils ont du quitter pour retourner en France, sans rien emporter....

 

C'est par cette saga familiale bouleversante et ce assurément après moult recherches généalogiques, que Christine PEZET-GREVET tente de panser la plaie ouverte, lorsqu'elle était âgée de huit ans, lors du rapatriement de sa famille.

 

J'ai bien aimé ce roman tendre, nostalgique et porteur d'espoir, sur les séquelles morales ancrées par le déracinement de la famille de l'auteure mais aussi celles de toutes les personnes qui ont vécu les événements d'Algérie et le rapatriement en France.

 

Bonne lecture !

 

 

 

 

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui vendredi voici ma chronique concernant : "UN GOUT DE CANNELLE ET D'ESPOIR"

« UN GOUT DE CANNELLE ET D'ESPOIR »

Sarah MAcCCOY

POCKET

avril 2015

511 pages

 

Présentation

 

Allemagne, 1944. Malgré les restrictions, les pâtisseries fument à la boulangerie Schmidt. Entre ses parents patriotes, sa sœur volontaire au Lebensborn et son prétendant haut placé dans l'armée nazie, la jeune Elsie, 16 ans, vit de cannelle et d'insouciance. Jusqu'à cette nuit de Noël, où vient toquer à sa porte un petit garçon juif, échappé des camps....

 

Soixante ans plus tard, au Texas, la journaliste Reba Adams passe devant la vitrine d'une pâtisserie allemande, celle d'Elsie.. Et le reportage qu'elle prépare n'est rien en comparaison de la leçon de vie qu'elle s'apprête à recevoir.

 

 

 

« Un dilemme passionnant, un roman déchirant

à dévorer d'une traite » (ELLE)

 

« Un bijou de roman, aussi beau que déchirant, écrit juste comme je les aime : le passé qui revient hanter le présent, des héroïnes attachantes, une fin lumineuse pleine d'espoir ».

(Tatiana de ROSNAY)

 

L'auteure

 

Nationalité : États-Unis  Né(e) à : Fort Knox, Kentucky , le 14/04/1980


Sarah McCoy est écrivain. Fille de militaire, elle a déménagé toute son enfance au gré des affectations de son père. Elle a ainsi vécu en Allemagne, où elle a souvent séjourné. Elle vit à El Paso, au Texas, avec son mari.
 

Mon avis

 

J'ai gagné ce livre, il y a quelques mois, lors d'un concours organisé par mon amie Sandrine Lit que je remercie vivement pour l'envoi de « Un goût de cannelle et d'espoir », roman de Sarah McCOY.

 

Sarah McCOY nous conte la vie d'Elsie, jeune fille Allemande vivant à Garmisch en 1945 et également celui de Reba, journaliste à El Paso, au Texas, près de la frontière Mexicaine en 2007.

 

Le style est fluide et très agréable.

 

J'ai beaucoup aimé cette belle saga touchante et captivante qui au fil des mots de l'auteur, traverse les années de la seconde guerre mondiale jusqu'à nos jours, avec des retours en arrière, mettant ainsi en parallèle le destin de deux femmes attachantes.

 

De nombreuses émotions sont palpables et les mouchoirs en papier de rigueur... Les odeurs alléchantes de cannelle, de bon pain et de pâtisseries viennent indéniablement titiller nos papilles !

J'ai ainsi dévoré ce roman pratiquement d'une traite tant j'avais hâte d'en connaître le dénouement et je lirai assurément d'autres romans de Sarah McCOY.

 

Excellent moment de lecture !

 

 

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Bonsoir voici ma chronique concernant : "LA CONFESSION I"

« LA CONFESSION I »

(Les confidences du Père Antoine)

Henri LACOMBE

NDB EDITIONS

2017

208 pages

 

Présentation

 

Etes-vous prêt(e)s à entrer dans la peau d’un curé de campagne ?

Avec « La confession I » vous serez amené(e) à vous poser des questions.

La mère d’Antoine meurt en lui donnant naissance.

Dès lors, son père, mineur, n’aura de cesse d’accuser Antoine de la mort de sa mère, d’accuser les hommes d’être mauvais et la société d’être pourrie. Il se mettra à boire et à battre son fils, sans vergogne.

Antoine a grandi dans ce contexte. Il aime pourtant ce père haineux. Il défend son honneur quand les autres enfants l’insultent dans la cour de l’école « Tu es le fils du soûlaud ! ». Antoine a une grande âme bafouée.

Comme son père, il aura une répulsion pour ses semblables, cependant il ne pourra pas faire autrement que d’entrer dans les Ordres pour expier les péchés de son père et le sien !

Vous verrez, au fil d’un roman sans concession, la progression intellectuelle d’un homme aigri mais plein d’humour, devenir un curé de campagne.

A l'occasion de ses 75 ans, un événement extraordinaire qui aurait pu être néfaste, sera pour lui un formidable tremplin qui va lui permettre de voir la vie de façon très différente.

En effet, au confessionnal quelqu’un lui annonce qu’il va devoir le tuer !

Ce roman n’est pas un roman ordinaire, ce n’est pas un polar. Il vous amène à réfléchir sur la condition d’un homme que vous avez peut-être croisé, un être qui ne croyait pas en son destin et qui, pourtant, finit par l’accomplir.

Le père Antoine, vulgaire et désabusé, deviendra au fil de votre lecture, attachant et aimant.


Henri Lacombe sort des sentiers battus pour vous présenter un roman atypique, drôle, poignant et passionnant.

 

Mon avis

 

Je viens de lire « La confession I », roman d'Henri LACOMBE, auteur dont j'ai découvert la plume fluide et légère lors de la lecture du « Voyage d'Antonin », très beau roman que j'avais beaucoup aimé.

Henri LACOMBE nous fait découvrir le Père Antoine, curé de campagne extrêmement touchant et humain, au franc parler certes mais auquel l'on ne peut que s'attacher tant on a l'impression de le connaître ! Quant à l'entourage du curé : Suzette paroissienne assidue et  très dévouée mais aussi Sophie, son aide-ménagère ce sont  des personnages émouvants et tellement vrais.

J'ai vraiment ADORE ce livre tendre, drôle et triste à la fois, que j'ai lu d'une traite et refermé à regrets, les yeux humides mais avec l'espoir de bientôt en connaître la suite...

Merci Henri LACOMBE pour cet excellent moment de lecture. 

 

 

 


 

 

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INTERVIEW REALISEE CE SOIR AVEC GE GROIDEVAL SUR MON GROUPE FB

INTERVIEW AUTEURE

GE FROIDEVAL

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

  • Notre amie GE FROIDEVAL a , récemment, accepté gentiment de répondre à mes questions.

 

  • Je partage donc l'interview que j'ai réalisée à l'issue de laquelle vous pourrez, si vous le souhaitez, poser des questions à GE qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

 

 

JM : - Bonsoir GE

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

GE : Oui !

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

GE : Je m’appelle Gisela, Gigi pour les amis. Je suis née au Mexique il y a quelques dizaines d’années et depuis 20 ans je vis en France. J’aime mes deux pays de cœur. J’ai toujours aimé les livres. J’ai commencé à inventer des petites histoires depuis toute petite, mais seulement une m’a obsédée jusqu’à l’âge adulte. C’est celle de mon premier roman « Le violoniste – Coup d’archet »

 

JM : - GE FROIDEVAL est-il ton nom de plume ?

 

GE : Oui. Au départ je voulais rester un peu en retrait, donc je ne voulais laisser que mes initiales. Finalement j’affiche ma tête aussi, mais le G. E. contient le nom avec lequel je suis née, donc c’est spécial.

 

 

JM : - L'écriture est-ce une passion ou un métier pour toi ?

 

GE : C’est une passion. Mais j’aimerais bien que mon métier puisse être ma passion ! Pour l’instant ce n’est pas le cas, alors je jongle entre ma vie professionnelle, ma vie familiale et mes passions, comme l’écriture, la lecture et l’apprentissage musical.

 

 

JM : - Peux-tu nous parler de ton premier roman « Le Violoniste » ?

 

GE : C’est l’histoire d’un virtuose, bel homme, mais pourri et immature à l’intérieur. Il aime jouer avec les femmes à sa façon, jusqu’à ce qu’une pulsion le pousse au meurtre. Dès lors, sa vie bascule. Son crime le fascine et hésite à recommencer. D’un autre côté, en voulant détruire les preuves, il croise le chemin d’un tueur à gages qui va chercher lui proposer un sombre marché.

 

JM : - Ce roman est un thriller pourquoi ce choix et envisages-tu d'écrire dans un tout autre registre ?

 

GE : J’aime beaucoup les histoires de suspense avec des meurtres. Mais dans mon roman il y a un peu plus : un véritable développement du personnage principal, il a une personnalité complexe et son évolution est intéressante. De ce point de vue, je dirais qu’il s’agit d’un thriller psychologique.

J’aime beaucoup les thrillers, mais comme j’aime aborder la vie et la psychologie de mes personnages et concevoir des histoires complexes, je ne saurais pas te dire. C’est dommage de réduire tout dans une case, parfois on a un peu de plusieurs registres. Comme j’aime l’humour, je me suis essayée à la comédie. J’écris un thriller, mais « à ma manière », donc il pourrait rentrer aussi tout simplement dans le roman général.

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour le faire publier ?

 

GE: Au départ, en phase d’écriture, je publiais un chapitre par semaine sur la plateforme Scribay. C’est un site excellent pour avoir des avis constructifs et s’améliorer. Le roman a eu son petit succès. Je voulais tenter l’auto-édition et offrir un produit selon mes goûts. Au départ je comptais imprimer quelques-uns, pour les lecteurs intéressés, puis j’ai monté une cagnotte et elle a bien réussi.

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

GE :Je suis très lente pour écrire, car j’ai besoin du temps, des idées. Tricoter dans ma tête des histoires à tiroirs ou comme des poupées russes. Du coup cela prend du temps. J’écris en ce moment, mais je pense que ce sera prêt pour l’année prochaine. Peut-être qu’avant je sortirai un recueil d’histoires humoristiques avec des dessins, mais il faut voir.

 

 

 

JM : - Où as-tu trouvé l'inspiration pour créer les protagonistes de ton livre ? En combien de temps as-tu écris ce roman ?

 

 

GE : J’ai une fascination pour les violonistes ! Ils ont une classe énorme quand ils jouent. La musique du violon m’inspire. La musique classique aussi, mais le violon est juste fascinant. J’aime aussi les personnages torturés, qui ne sont pas ni tout noirs, ni tout blancs, et j’aime les tueurs à gages taciturnes. J’ai mis tout dans un milkshake et cela m’a donné les protagonistes de mon roman.

Pour le temps, il m’a pris énormément de temps ! J’avais la première idée dans mon adolescence, un violoniste charmant et tueur. Puis l’idée a mûri avec moi et c’est le fruit de 20 ans. J’avais rédigé quelques chapitres en espagnol, puis, après quelques blocages et des années d’apprentissage, j’ai tout réécrit en français directement.

 

 

JM : - Comment écris-tu (cahiers, carnets, direct sur l'ordinateur) ?

 

 

GE :Je préfère direct sur l’ordinateur, par confort et rapidité. Mais le cahier me sert de défouloir, me permet de sortir mes idées, des réflexions, me poser des questions, etc. Avant j’écrivais au cahier et après je tapais à l’ordinateur. Depuis l’année dernière, j’ai écrit quelques chapitres à la main et je n’ai pas réussi à me relire… j’ai dû tout recommencer !

 

 

JM : - Ton roman a pour principal thème la musique : quel genre de musique aimes-tu et écris-tu en musique ?

 

GE : J’écoute essentiellement de la musique qui me plaît. La musique classique généralement. Je mets Radio Classique et je suis aux anges, sinon j’écoute des enregistrements divers. Mais cela m’arrive aussi d’écouter des musiques récentes qui m’ont plu, la musique des films, la musique pop des années 80 et 90, les grands noms de la musique française (Brel, Gainsbourg, Aznavour).

J’écris toujours en musique, surtout parce que cela masque les bruits parasites (je n’ai pas de pièce fermée pour écrire seule).

 

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement ?

 

 

GE : Oui, si tout va bien je serai en octobre au Salon l’arrêt création des Scribouillards à Saint Illide et en décembre au Salon du pays noir à Charleroi. Je croise les doigts pour qu’ils soient maintenus et que je puisse participer à d’autres.

 

 

 

JM : - A qui as-tu confié ton manuscrit en première lecture (amie, membre de ta famille, bêta-lecteur) ?

 

GE : A des inconnus sur Scribay. Je préfère un avis externe. Dans ma famille et amis personne ne lit vraiment, ou ça les saoulait un peu.

 

 

JM : - Es-tu sensible à la critique littéraire et penses-tu que les blogs, les réseaux sociaux aident les écrivains à promouvoir leurs écrits ?

 

GE : Je pense qu’on est tous sensibles à la critique littéraire, mais c’est tout naturel d’avoir des retours négatifs ou positifs, on ne peut pas plaire à tout le monde. Après les goûts sont tous différents et chaque lecteur a ses propres attentes et ses goûts.

Pour les blogs et les RS c’est bien évidemment le seul média gratuit dont nous disposons, les auteurs indépendants. Le reste c’est la chance, le bouche à oreille, les dédicaces.

 

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

GE : La musique ! Bien que j’aie commencé sur le tard, je veux apprendre à jouer du violon. J’avais commencé le piano il y a 3 ans.

 

 

JM : - Quel est ton plus grand rêve ?

 

GE : J’en ai plein. Gagner au loto et ne plus travailler. Plus sérieusement, j’aimerais ouvrir ma propre maison d’édition.

 

 

JM : - Quels auteurs t'ont donné l'envie d'écrire ?

 

GE : Milan Kundera, Mary Shelley, Franz Kafka, Marcel Proust, les classiques essentiellement.

 

 

JM : - Lis-tu ? Quel genre de lecture ?

 

GE : Oui je lis beaucoup. J’aime les thrillers surtout, mais j’aime quand l’histoire et les personnages sont originaux. Dès que je trouve des clichés, mes dents grincent et le livre peut me tomber des mains. J’aime la littérature générale aussi. En fait, dès qu’il y a un musicien ou un tueur à gages, je suis comblée. Mais bien sûr je lis de tout.

 

 

JM : - Es-tu thé ou café ? Vanille ou chocolat ? Mer ou montagne ?

 

GE : Thé, noir et fort ou rouge hibiscus. Chocolat toujours et mer ET montagne, je ne pourrais pas choisir.

 

 

 

 

JM : - Peux-tu nous donner une des tes qualités ? Un de tes défauts ?

 

GE : Mes qualités ? Aucune !  On dit que je suis souriante et toujours de bonne humeur. Mes défauts ? Je me coupe les cheveux en quatre, je me pose trop de questions.

 

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

GE : Un grand merci pour cet échange !

 

 

JM : - Merci GIGI pour cet agréable moment passé en ta compagnie.

 

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Gigi qui se fera un plaisir de vous répondre sous ce post.

 

 

https://gefroideval.wordpress.com/

 

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Et voici ma troisième chronique du jour : "LA FORET DES VIOLONS"

« LA FORET DES VIOLONS »

Philippe LEMAIRE

Editions de BOREE

10 septembre 2020

248 pages

 

Présentation

 

Nice, mars 1920. Quand la famille Malinovski fait face à la lumière éblouissante de la baie des Anges, elle sait qu'elle va pouvoir recommencer à vivre. En portant le poids de l'exil et de la nostalgie.


Alors qu'ils possédaient une usine à SainyèPétersbourg et une plantation de thé dans le Caucase, les Malinovski ont été pris comme tant d'autres dans le tourbillon glacial de la révolution d’octobre 1917.

 

Obligés de fuir, ils ont dû affronter les mille dangers d'une Russie à feu et à sang. La jeune Elena, violoniste virtuose, est soutenue, durant toutes ces épreuves, par l'espoir de remonter sur scène. Elle a sacrifié l'amour à sa passion de la musique. Mais chacun sait que l'amour n'a jamais dit son dernier mot...

 

 

L'auteur

 

Grand reporter à France 3, auteur de chansons, réalisateur de films documentaires, Philippe Lemaire s'est fait remarquer dès son premier ouvrage, Les Vendanges de Lison. Il prouve une fois de plus son talent dans La Forêt des violons, son seizième roman.

 

 

Mon avis

 

 

 

Je remercie les Editions de BOREE et en particulier Virginie de m'avoir permis de lire, en service de presse, « La Forêt des violons », roman de Philippe LEMAIRE et ainsi de découvrir la très belle plume de cet auteur.

 

La très jolie couverture et le titre m'ont de suite interpellée.

 

 

Philippe LEMAIRE nous emporte en 1917 à St Saint-Pétersbourg et nous conte l'histoire d'une famille Russe - les Malinovski - qui, pour fuir la Révolution d'octobre, s'exile en France. Nous suivons leur long et périlleux voyage jusqu'à Nice. Cette famille bourgeoise ne possède plus rien mais elle est réunie en cette terre d'accueil.

 

Quel sera le destin de Nikolaï, le père, Adélaïde, la mère, Kostia, le fils, Elena, la fille ?

 

 

L'auteur décrit avec précision la situation politique de la Russie lors de la montée du bolchevisme, la révolution de 1917 et nous transporte par ses mots de Saint-Pétersbourg à la Baie des Anges à Nice.

 

J'ai bien aimé ce roman historique romancé très bien documenté et écrit, empli de nostalgie, sous fond de musique classique, dur et tendre à la fois.

 

Je le recommande aux passionnés d'Histoire et de musique.

 

Un bon moment de lecture.

 

 

 

Page FB :https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

 

 

 

 

 

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INTERVIEW REALISEE CE SOIR AVEC PHILIPPE MURATET SUR MON GROUPE FB

INTERVIEW AUTEUR

Philippe MURATET

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

  • Notre ami Philippe MURATET a accepté, récemment, de se soumettre à mes questions.

 

  • Je partage donc cette interview à l'issue de laquelle vous pourrez, si vous le souhaitez, poser des questions à Philippe qui y répondra en direct ou plus tard en fonction de ses disponibilités.

 

 

 

JM : - Bonsoir Philippe

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prêt à « passer sur le gril » ?

 

Philippe : - Oui merci je vais très bien et je suis prêt à passer sur le gril, ce qui est un peu difficile pour un ancien poulet ;-)

 

 

JM : - Question habituelle mais incontournable : peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Philippe : Bien sûr, alors voilà, j’ai 62 ans, je suis retraité de la police nationale (où j’ai terminé au grade de commandant) et j’effectue parfois des missions d’expert en sécurité intérieure en Afrique francophone. J’ai deux grands enfants et cinq petits-enfants. Je vis entre deux pays, la France dans la région de Toulouse et le Canada à Ottawa car ma seconde épouse est franco canadienne et a deux grands enfants dans ce beau pays..

 

 

JM : - Que représente pour toi l'écriture ?

 

Philippe : - J’ai toujours aimé écrire, souvent des courriers et mon père a dû me donner, involontairement, le gout de la langue française car il aimait beaucoup notre langue. Ce n’est que récemment que j’ai commencé à écrire mon premier ouvrage afin de transmettre un témoignage de ce que j’avais vécu à Madagascar et au Sénégal.

 

 

JM : - Peux-tu nous parler de ton premier ouvrage « Un Flic sans frontières » ?

 

Philippe : - C’est un ouvrage que j’ai écrit entre 2014 et 2017. Je me trouvais alors au Canada en période d’inactivité et j’ai eu l’idée de coucher sur papier, diverses anecdotes vécues lors de mes deux séjours à Madagascar (2004-2007) puis au Sénégal (2007-2012) comme policier coopérant. En effet, ces souvenirs souvent atypiques étaient restés en moi et j’ai eu envie de les partager avec tous les policiers et gendarmes français en écrivant et publiant un livre. En effet, peu d’entre eux savent qu’il existe ces postes à l’étranger. Puis j’ai pensé que cela pourrait intéresser un public plus élargi et je me suis employé à limiter le jargon policier ;-)

 

 

JM : - Ton livre est un témoignage autobiographique. Envisages-tu d'écrire dans un autre genre ?

 

Philippe : - Si je devais changer de genre, le polar me tenterait bien mais en ai-je la capacité ? Je n’ai pas la réponse à cette question ;-)

 

JM : - Je crois savoir que tu as beaucoup voyagé dans le cadre de tes fonctions. Peux-tu nous dire quelques mots sur les séjours que tu as effectués à Madagascar et au Sénégal ?

 

Philippe : - Mon premier séjour, celui de Madagascar, était pour moi la découverte d’un nouveau métier et aussi d’un nouvel environnement. Il a fallu s’adapter à beaucoup de choses et au final ce fut une expérience très enrichissante. C’est pour cette raison que j’ai candidaté à un deuxième poste obtenu au Sénégal, qui fut tout autant enrichissant ne serait-ce que par une culture différente.

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

Philippe : Mon premier ouvrage ne retrace qu’une courte partie de ma carrière (2004-2012). Avant cela, j’avais effectué 24 ans dans des services de police judicaire en France et de niveaux différents (Vincennes, Paris, Toulouse) durant lesquels, comme beaucoup de policiers, j’ai connu des situations et des affaires originales (1980-2004). J’ai commencé à rassembler mes souvenirs mais ne sait pas encore si j’en publierai un ouvrage ou pas.

 

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour l'écriture de ton livre (carnets, cahiers, directement sur l'ordinateur) ?

 

Philippe : J’ai commencé par séparer les deux pays et directement à l’ordinateur j’ai couché mes anecdotes au fur et à mesure. Au début, j’avais scindé les privées et les professionnelles puis j’ai décidé de les mélanger puisque dans la vie, les moments privés et les professionnels, se chevauchent temporellement en permanence. J’ai trouvé que cela rendrait le récit plus vivant. Cet exercice a été un travail un peu compliqué techniquement puisqu’il fallait insérer des paragraphes au milieu d’autres et que tout cela ait du lien..

 

 

JM : - A quel moment de la journée ou de la nuit écris-tu et pendant combien d'heures ?

 

Philippe : Je n’ai pas de moment particulier, matin, après-midi ou soir et les périodes d’écriture vont de 30mn à 2h.

 

 

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement, après le confinement bien sûr..  ?

 

 

Philippe : - Compte tenu qu’on ne sait pas encore à ce jour, fin avril, comment va se passer le déconfinement, je n’ai rien de prévu. Je devais en faire une dans un Cultura de Balma (31) et ce n’est que partie remise ;-)

 

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier ton ouvrage ?

 

Philippe : - Ce fut le problème le plus épineux à résoudre puisque comme vous le savez, il est très difficile pour un auteur inconnu de trouver une maison d’édition. Après avoir envoyé mon tapuscrit à des maisons d’édition connues et ciblées, je n’ai pas eu de réponse favorable. Puis par hasard, j’ai découvert Le Lys Bleu Editions qui m’a proposé un contrat.

 

 

 

JM : - Que penses-tu de l'édition numérique ?

 

Philippe : - C’est un domaine que je ne connais pas. Pour ma part, je préfère avoir le livre entre les doigts plutôt qu’une liseuse, mais je comprends l’intérêt que l’édition numérique peut présenter.

 

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Philippe : - Et bien j’ai longtemps aimé et pratiqué le volley-ball mais mes genoux ont moins apprécié et aujourd’hui je regrette de ne plus pouvoir pratiquer ce sport. Sinon, j’adore regarder les reportages animaliers, et maintenant avec la technologie des drônes et autres, on peut admirer des scènes magnifiques. Enfin, j’aime bien les moments un peu fort en adrénaline. J’ai juste fait un saut en parachute (en double) et un baptême de plongée sous-marine. Récemment, je me suis acheté un jouet…une moto de route, une Triumph 675cm3 ;-)

 

 

JM : - Lis-tu ? Quel genre ?

 

Philippe : - Oui je lis de temps à autre, beaucoup de livres témoignages sur la police ou les voyous mais pas que. Dans ma PAL comme on dit, j’ai « du » Virginie Grimaldi, Benoit Séverac, Déon Meyer…

 

 

JM : - Quel est ton genre de musique préféré et écris-tu en musique ?

 

Philippe : - Je n’écris pas en musique et sinon j’aime le genre variétés des années 70-80…aussi le jazz. En réalité, je suis assez éclectique en terme de musique. Bien sur quelques grandes musiques classiques…

 

 

JM : - Quel est ton plus grand rêve ?

 

Philippe : - Joker on peut ? Comment dire, je n’ai pas de grand rêve en tête, sinon celui de profiter de la vie le plus longtemps possible ;-)

 

 

JM : - Quels auteurs t'ont donné l'envie d'écrire ?

 

Philippe : - Cette envie n’est pas venue par la lecture d’autres auteurs mais je dois dire que j’aime beaucoup lire Frédéric Ploquin, grand reporter spécialiste des affaires de flic et de voyous depuis plus de 30 ans et auteur de plusieurs ouvrages de témoignages. Peut-être m’a-t-il inconsciemment inspiré.. ?

 

 

 

 

JM : - Quel film as-tu déjà vu plusieurs fois ?

 

Philippe : - Les bronzés, Papy fait de la Résistance, les Tonton flingueurs

 

 

 

JM : - Quels sont tes endroits préférés pour l'écriture (pièce de ta maison, région, pays) ?

 

Philippe : - Mon premier livre a été écrit dans le bureau de notre maison à Ottawa au Canada

 

 

JM : - Quel adjectif te définit le mieux ?

 

Philippe : - Il y en aurait eu plusieurs mais un seul…je dirai : sincère ;-)

 

 

JM : - Si tu étais un animal, une couleur, un dessert tu serais ?

 

Philippe : -Animal : un léopard,

Couleur : le bleu, ça tombe bien ;-)

Dessert : l’omelette norvégienne

 

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Philippe : - D’abord je souhaite te remercier pour ce que tu fais pour animer ta page FB ainsi que pour cette interview. Ensuite, je souhaite adresser un vif remerciement à Monsieur Jean-Christophe RUFIN pour la préface qu’il m’a rédigée et offerte. Enfin, celles ou ceux aimeraient voir des photographies personnelles de ces deux pays, pourront en trouver sur la page FB dédiée à mon ouvrage ;-)

 

 

JM : - Merci Philippe pour cet agréable moment passé en ta compagnie.

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Philippe

qui se fera un plaisir de vous répondre sous ce post.

 

 

 

 

https://www.facebook.com/flicsansfrontieres/

 

 

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Bonjour aujourd'hui dimanche voici ma chronique concernant : "APPELEZ-MOI CAMILLE..."

« APPELEZ-MOI CAMILLE.... »

Sylvie GRIGNON

SOUFFLES LITTERAIRES

27 octobre 2020

380 pages

 

Présentation

 

Qui saurait retenir les brumes évanescentes d’une mémoire qui s’étiole ? Qui saurait repousser le gouffre noir et glacé de l’oubli ? Elle a vécu, elle a aimé, elle a souffert, mais elle se perd à présent. Alors, carnet après carnet, elle s’accroche à la moindre lueur de souvenir, entretenant l’étincelle de cette vie qui lui échappe, soufflant sur les braises d’un passé qui s’éteint. Oui, elle a vécu, mais elle veut vivre encore. Alors, pour ne pas la laisser partir, appelez-la : Camille…

Pièce après pièce, entre romance et épopée humaine, suivez cette femme ordinaire au travers de sa vie extraordinaire, et reconstituez auprès d’elle le puzzle de cette humanité que nous avons en partage.

 

 

L'auteure

 

Sylvie GRIGNON, enseignante en zone sensible durant plus de vingt-sept ans, mère de cinq enfants, est aujourd'hui en retraite anticipée afin de pouvoir se consacrer pleinement à l'écriture et à la peinture, deux de ses passions.

 

Auteure de plusieurs livres, explorant différents genres, elle nous entraîne cette fois-ci dans les méandres des souvenirs qui forgent une vie.

 

 

Mon avis

 

Je remercie Sylvie GRIGNON de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son roman « Appelez-moi Camille.. » ainsi que pour la gentille dédicace qui m'a beaucoup touchée. J'ai ainsi pu découvrir la très belle plume de cette auteure.

 

Sylvie GRIGNON nous emporte en 2078 où nous faisons connaissance avec Camille, 94 ans. Elle vit en maison de retraite et ses souvenirs s’effacent au fil des jours..

 

C'est ainsi que, dans un cadre chronologique totalement décousu, comme sa mémoire, notre héroïne tente de se souvenir de certains pans de sa vie en lisant des carnets qu'elle a conservés et nous les conte.

 

Elle nous fait partager les moments qui ont marqué sa jeunesse, sa vie de femme et sa vieillesse. A maintes reprises, la vieille dame demande de l'appeler « Camille », ce prénom qu'elle n'a pas oublié et dont l'évocation fait ressurgir les instants du passé..

 

J'ai beaucoup aimé ce roman très bien écrit, émouvant et bouleversant, ponctué d'une touche sensuelle qui aborde outre le thème de la vieillesse et de la perte de mémoire, l'amour, le désir, la relation entre frère et sœur..

Un bon moment de lecture.

 

 

Page FB : https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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INTERVIEW REALISEE CE SOIR AVEC JENNIFER SCHNEIDER SUR MON GROUPE FB

INTERVIEW AUTEURE

Jennifer SCHNEIDER

 

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

  • Notre amie Jennifer SCHNEIDER a gentiment accepté de répondre, récemment, à mes questions.

 

 

 

JM : - Bonsoir Jennifer

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prête à « passer sur le gril » ?

 

Jennifer : Bonsoir Joelle. Je vais très bien merci. J’espère que toi aussi ? Prête à répondre à tes questions 😊

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Jennifer : Je suis l’auteure de Skinny Love, mon premier roman paru en février 2020 aux Editions Nouvelles Plumes chez France Loisirs, et dont la sortie nationale est prévue le 19 novembre. Je suis maman de deux adorables petits garçons, de 3 et 6 ans. J’ai toujours adoré lire, et rêvé d’écrire aussi. Mais j’avais l’impression que ce rêve était trop grand pour moi. Alors j’ai suivi des études et obtenu un Master en Droit et Économie, avant d’intégrer un grand groupe international. Sans jamais oublier mon vieux rêve.

 

 

 

 

JM : - Que représente pour toi l'écriture ?

 

Jennifer : Jusqu’à ce que j’entame l’écriture de Skinny Love, écrire me semblait inaccessible. D’ailleurs, j’ai écrit mon roman à l’instinct, juste pour savoir si j’en étais capable. La suite a fait que ça a plutôt bien fonctionné pour mon histoire. A présent, écrire est pour moi une façon de partager des émotions, ma vision sur le monde. Ecrire, c’est aussi un peu comme se balader dans un rêve. On peut vivre mille vies en lisant, et je pense qu’on peut en vivre tout autant en écrivant.

 

 

 

 

 

JM : - Peux-tu nous parler de ton premier roman ?

 

Jennifer : Skinny Love est une histoire d’amour à priori impossible entre une jeune femme qui a construit sa vie en ne faisant que ce qu’on attendait d’elle, et un homme mystérieux. Lorsque Jenna rencontre Chris, elle va remettre en question son existence toute entière et essayer de réaliser son rêve : devenir écrivain.

De son côté, le musicien qui a à priori tout pour être heureux est en réalité pris au piège d’une vie dont il ne veut plus, et a perdu l’inspiration.

Leur relation va faire voler en éclats toutes leurs certitudes.

 

 

JM : - « Skinny Love » est une « romance ». Pourquoi ce choix ? Envisages-tu d'écrire dans un tout autre registre ?

 

 

Jennifer : C’est une histoire qui m’est venue en tête pendant le concert de l’un de mes groupes préférés, celle qui s’est imposée à moi assez naturellement. Je suis une grande lectrice de romance, même si pour qu’un livre me plaise, il faut qu’il y ait une vraie trame, un enjeu. J’ai beaucoup d’autres histoires en tête, et toutes ne sont pas des romances. Je ne m’interdis donc aucun registre, du moment qu’il m’inspire.

 

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

Jennifer : J’ai terminé une deuxième romance, qui est en quelque sorte un tome compagnon de Skinny Love (même univers, mais d’autres personnages). Je travaille sur un troisième manuscrit qui est davantage de l’ordre du feel good / de la tranche de vie. Un livre qui se concentre sur l’histoire de trois femmes aux prises avec le sexisme ordinaire dans un milieu un peu particulier.

 

 

 

 

 

JM : - Comment pas-tu procédé pour créer les protagonistes de ton livre ou connaissais-tu, lorsque tu as commencé à écrire, la fin de l'histoire ou est-ce que tu improvises au fil des mots ?

 

Jennifer : Skinny Love a vraiment été écrit au feeling. J’avais en tête les deux personnages principaux, les autres sont nés au fil de l’histoire. Je n’avais pas de plan, mais une idée bien précise des grandes lignes de l’histoire. Je notais toutes mes idées dans un carnet, listais les scènes que je souhaitais inclure, ou même des répliques. L’écriture de ce roman a été assez instinctive.

 

 

 

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement  ?

 

 

Jennifer : Elles ont toutes été annulées à cause de la crise sanitaire. J’espère pouvoir rencontrer mes lectrices bientôt. Heureusement, les réseaux sociaux nous permettent d’échanger, mais Facebook ne remplacera jamais une vraie rencontre.

 

 

 

 

JM : - A qui as-tu confié ton manuscrit (amie, membre de ta famille, bêta-lecteur) ?

 

Jennifer : A ma petite sœur et mes meilleures amies, par ailleurs lectrices du genre. J’ai une confiance aveugle en elles, mais j’avais peur que leur affect puisse influencer leur retour sur mon livre. C’est pourquoi je me suis tournée vers Nouvelles Plumes et ses lecteurs.

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier ton roman ?

 

Jennifer : Après avoir relu et corrigé mon manuscrit, je l’ai soumis sur Nouvelles Plumes et, après quelques mois d’évaluation, j’ai appris que les lecteurs lui avaient décerné le prix de la Romance 2020.

 

 

 

JM : - Ton premier roman a reçu le Prix de la Romance 2020 ! Comment as-tu vécu cette expérience ?

 

Jennifer : mon éditrice m’a appelé le 24 décembre en tout début d’après-midi pour me l’annoncer. Autant dire que j’ai passé les fêtes sur un nuage !

 

 

JM : - Penses-tu que les réseaux sociaux, les blogs aident les auteurs à promouvoir leurs écrits ?

 

Jennifer : oui, en effet. C’est même une condition sine qua non pour se créer une communauté et se faire connaître. J’ai eu la chance de bénéficier d’une belle publicité pour mon livre, mais il y a des maisons d’édition qui laissent à l’auteur la responsabilité de leur promotion. Ce qui peut vite devenir un obstacle de taille, à moins d’avoir déjà une petite renommée. L’une d’entre elles m’avait d’ailleurs proposé un contrat pour Skinny Love, que j’avais fini par refuser.

 

 

JM : - Que ressens-tu lorsque tu écris le mot FIN ?

 

Jennifer : le premier sentiment a quelque chose de l’ordre de la sidération. Je me dis « déjà ! » et puis « j’ai réussi ». C’est toujours génial, mais je ne peux pas m’empêcher d’avoir l’impression de quitter des amis. C’est un peu comme dire adieu.

 

 

 

JM : Lis-tu ? Quel genre ?

 

Jennifer : je lis beaucoup, oui, même si certains genres m’attirent moins que d’autres (comme le Polar et le thriller, ou encore la Dark romance). Pour le reste, je suis assez bon public.

 

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Jennifer : la musique surtout. La danse. Et les voyages.

 

 

 

JM : - Quelle est ta musique préférée et écris-tu en musique ?

 

Jennifer : j’écoute absolument tous les styles de musique, ou presque. Du rock au reggae, elle fait partie intégrante de ma vie. J’ai grandi en écoutant Bob Marley, Téléphone et Queen. Je suis une fan de Coldplay. J’écris toujours en musique. Je me relis en silence, en revanche.

 

 

JM : - Quel est ton film ou série culte ?

 

Jennifer : pas très original mais absolument sincère : Dirty Dancing. J’adore la danse, et je ne me lasse jamais de l’alchimie qui existe entre Johnny et bébé.

 

 

JM : - Quel livre aurais-tu aimé écrire ?

 

Jennifer : La couleur des sentiments, de Kathryn Stockett. Ou encore P.S. I love you, de Cecelia Ahern.

 

 

 

 

JM : - Quel livre lu pendant ton enfance t'a marquée le plus ?

 

Jennifer : J’étais fan du Club des Cinq, d’Enid Blyton. J’avais tous les livres. Un autre roman de la bibliothèque rose m’a marquée : 99 Dragons, de Barbara Sleigh. Plus tard, j’ai emprunté Jane Eyre à ma grand-mère. C’est comme ça que j’ai découvert Charlotte Brontë. J’ai toujours ce livre, d’ailleurs. C’est un peu un symbole, c’est lui qui m’a donné envie d’écrire à mon tour.

 

 

 

JM : - Peux-tu nous donner une citation qui t'inspire ?

 

Jennifer : Demande-toi d’abord qui tu veux être, puis agis en conséquence. Epictète

 

 

 

JM : - Quel mot te définit le mieux ?

 

Jennifer : la détermination.

 

 

JM : - Quel est ton péché mignon ?

 

Jennifer : le sucre de façon générale. Le chocolat est ma grande faiblesse.

 

 

JM : - Si tu étais : une fleur, une couleur, un animal : tu serais ?

 

Jennifer : une orchidée, le turquoise, un chat

 

 

 

JM : - As-tu autre chose à ajouter ?

 

Jennifer: je voudrais remercier toutes les lectrices et les chroniqueuses pour leurs retours plus qu’enthousiastes sur mon premier roman lorsqu’il était en exclusivité chez France Loisirs. La sortie nationale de Skinny Love est prévue pour le 19 novembre, et j’ai hâte de pouvoir le faire découvrir à un public encore plus élargi. Merci pour ces questions, Joëlle, et à très vite.

 

 

 

JM : - Merci Jennifer pour cet agréable moment passé en ta compagnie , ta disponibilité et ta gentillesse.

 

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Jennifer qui se fera un plaisir de vous répondre sous ce post.

 

 

* https://www.facebook.com/Jennifer-Schneider-auteure-827786287603703

 

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INTERVIEW REALISEE CE SOIR AVEC ELISABETH LARBRE sur mon groupe FB

INTERVIEW AUTEURE

Elisabeth LARBRE

 

 

JM : - Bonsoir à tous

 

Notre amie Elisabeth LARBRE a gentiment accepté, de se soumettre, récemment, à mes questions.

 

 

 

JM : - Bonsoir Elisabeth

 

Comment vas-tu ? Es-tu prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Elisabeth : Bien, je te remercie. Oui bien sûr et avec grand plaisir. Je te remercie d’ailleurs de me l’avoir proposé.

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Elisabeth : Je suis née à Paris et vis en Bretagne depuis bientôt trente ans… Le temps passe vite !! Lol. De formation scientifique, docteur en biochimie, j’ai eu la chance à ce jour d’avoir plusieurs vies en une. J’ai tout d’abord travaillé dans de grands groupes industriels pendant de nombreuses années puis ai pris la direction d’un établissement privé d’enseignement supérieur. Mon souhait était de jeter des ponts entre le monde industriel et celui de l’enseignement afin d’aider nos jeunes à être mieux préparer au monde qui les attend. Je me consacre actuellement à l’écriture.

 

 

JM : - Et si vous tu nous parlais de tes romans ?

 

Elisabeth : J’ai écrit un premier roman : Les embruns du fleuve Rouge qui a reçu le prix du livre indépendant Monbestseller par un Jury d’éditeurs (La Martinière, Michel Lafon et Incartades) et a été édité en septembre 2018 par la Maison d’édition Carnets Nord. J’ai eu la chance de voir présélectionné ce premier roman pour le prestigieux prix Henri Quéffélec (Salon Livre et Mer de Concarneau).

Puis il y a eu une petite traverse du desert avec la cessation d’activité des éditions Carnets Nord et dans la foulée l’arrivée de la pandémie et de son confinement.

Les éditions Fauves (maison d’édition du groupe Harmattan) s’est penchée sur mon second roman : Le Veilleur des Songes et a souhaité l’éditer. Ce second roman est paru le mois dernier.

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

 

Elisabeth : Oui, je suis en train d’écrire mon troisième roman, mais pour le moment je n’en parle pas encore, comme à chaque fois ce sont mes personnages qui me guident et m’emmènent, je me laisse surprendre moi-même, il est donc encore trop tôt pour en parler.

 

 

 

JM : - Où trouves-tu l'inspiration pour créer les protagonistes de tes livres ? Improvises-tu ou connais-tu la fin avant de commencer l'écriture ?

 

Elisabeth : sans le savoir je viens de partiellement répondre à ta question dans la précédente. Je pars en fait d’un sujet qui me tient à coeur et me laisse ensuite guider par mes personnages. Je ne connais jamais à l’avance la fin de mes romans. Comme je l’ai dit tout à l’heure je me laisse surprendre, j’ai besoin de laisser libre cours à mon imagination, je ne me mets aucune barrière, aucun interdit. Et c’est en cela que se trouve le vrai plaisir pour moi de l’écriture. On peut changer de sexe, être tour à tour enfant, ado, homme, femme, vieillard, vivre là ou ailleurs, peu importe. La magie de l’écriture c’est de vous permettre de vivre plusieurs vies en une.

 

 

 

JM : Comment procédes-tu pour écrire (carnets, cahiers, fiches, écriture directe sur l'ordinateur) ?

 

Elisabeth : Directement sur ordinateur. Je me mets face à mon clavier et c’est parti. Je peux écrire des heures. Je ne ressens ni faim, ni soif, ni fatigue… Souvent je me contrains à m’arrêter.

 

 

 

 

JM : - Quand écris-tu (la nuit, le jour) ? pendant combien d'heures ?

En combien de temps écris-tu un roman ?

 

 

Elisabeth : J’écris le jour à n’importe quel moment, jamais la nuit. Un roman peut me prendre entre huit mois et un an. J’écris aussi des nouvelles en participant à des concours. Plusieurs ont été publiées dans des ouvrages collectifs papier et/ou numériques.

 

 

JM : - Si ma mémoire est bonne, tu as remporté le Prix du Livre Indépendant Monbestseller en 2016 pour ton premier roman “Les Embruns du fleuve Rouge”. Peux-tu nous dire quelques mots sur cette expérience ?

 

 

Elisabeth : La plateforme Monbestseller m’a permis de trouver ce que tout auteur cherche : un lectorat. Ecrire est avant tout un partage. Ne pas pouvoir permettre à ce partage d’exister est extrêmement frustrant pour tout auteur. C’est un peu, toutes proportions gardées, comme pour un tennisman de se limiter à faire des balles contre un mur : techniquement c’est intéressant mais la frustration de ne pas pouvoir jouer et de confronter son jeu à un partenaire est très vite pregnante, le plaisir ressenti se ratatine car le partage n’est pas là.

 

 

 

 

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement  (après le confinement bien sûr) et où ?

 

Elisabeth : oui bien sûr en matière de projets mais les dates ne sont pas encore fixées du fait du confinement, il est donc encore trop tôt pour en parler.

 

 

JM : - A qui confies-tu tes manuscrits en première lecture (amie, membre de ta famille, bêta lecteur) ? Qui réalise les couvertures de tes livres ?

 

Elisabeth : en première lecture amis et membres de ma famille. Le choix de la couverture est fixé d’un commun accord avec mon éditeur qui me soumet des propositions à partir des idées que nous avons émises ensemble.

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier tes ouvrages ?

 

Elisabeth : pour Les embruns du fleuve Rouge c’est la maison d’édition Carnets Nord qui est venue à moi, puisque Renaud Delourme son directeur avait demandé à Monbestseller qu’on lui reserve mon livre pour edition.

Pour Le Veilleur des Songes, j’ai procédé à cinq envois numériques. J’ai essuyé un refus, un ne m’a pas répondu, et les trois autres m’ont répondu positivement. J’ai choisi les éditions Fauves dont le sérieux et le professionnalisme ne sont plus à prouver.

 

 

JM : - Que ressens-tu lorsque tu écris le mot FIN ?

 

Elisabeth : Je ne l’écris jamais… Un bon livre pour moi, et là je parle aussi en tant que lectrice, doit continuer à s’écrire une fois refermé. Les personnages résonnent toujours en vous, vous vous y êtes attachés, ils sont entrés et ancrés dans vos vies. Ils continuent de vous accompagner, parfois même à certains moments ils vous hantent. Quand un lecteur/lectrice me fait ce compliment pour moi c’est de loin le plus beau. La transmission d’émotions, et donc le partage, cette magie irrationnelle s’est opérée.

 

JM : - Que prétères-tu le format papier ou numérique ? Pourquoi ?

 

Elisabeth : de loin le papier. J’aime l’odeur d’un livre que l’on ouvre. Cela fait parti du plaisir. Tous les sens sont sollicités et devraient l’être quand on lit. Même l’ouïe. Le rythme, le tempo des phrases doit donner au lecteur une musicalité qui l’accompagne et avec laquelle il chemine.

 

 

 

JM : - Quels sont les auteurs qui t'ont donné l'envie d'écrire ?

 

Elisabeth : Oh…. Il y en a beaucoup ! Mais pour faire court je ne citerai que cinq noms : Albert Camus, Yves Navarre, Andréï Makine, Philip Roth, Jeanne Champion…

 

 

JM : Lis-tu et quel genre ?

 

Elisabeth : Oui, j’aime avant tout les romans. Autant la littérature étrangère (Lars Christensen, Paulo Coehlo, Arturo Pérez-Reverte etc) que celle des auteurs français cités précédemment, auxquels je rajouterais Laurent Gaudé.

 

 

 

JM : En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Elisabeth : la musique, sous toutes ses formes : Classique, blues, country etc. et les voyages qui sont ma grande passion et en même temps la nourriture indispensable à mes romans afin qu’ils prennent corps un jour ou l’autre. C’est au cours des voyages, que mes yeux et mon coeur retiennent certains visages, certaines émotions de lieux de couleurs, de musique justement, des moments là encore de partage privilégiés.

 

 

JM : - Quel est ton endroit préféré (pièce de ta maison, une région, un pays) ?

 

Elisabeth : depuis que je l’ai visitée l’été dernier, je répondrai l’Istrie en Croatie… Merveilleux ! Autant les paysages qui sont fabuleux que ses habitants accueillants et bienveillants au sens le plus noble du terme.

 

 

JM : - As-tu des animaux de compagnie ?

 

Elisabeth : Oui, un chat qui veille jalousement sur moi et j’adore ça !

 

 

JM : - Quel est ton film culte et quel genre de musique écoutes-tu ? Ecris-tu en musique ?

 

Elisabeth : “le cri” de Jules Dassin.

Musique de Georges Michaël à Stjepan Hauser (violoncelliste croate) comme je l’ai dit précédemment c’est très éclectique

 

Oui parfois, cela dépend de mon humeur.

 

 

JM : - Quelle est ton odeur préférée, ta couleur ?

 

Elisabeth : mon odeur préférée est celle de la glycine en fleurs ou de la terre mouillée après la pluie. Ma couleur le bleu avec toute sa palette qui s’étire de part et d’autre du vert au violine. Couleur de l’océan au large calme ou en colère.

 

JM : - Quel mot te définit le mieux ?

 

Elisabeth : persévérance

 

 

JM : - Quelle est ta citation préférée ?

 

Elisabeth : “Nous sommes tous un rayon de soleil pour quelqu’un … mais on ne le sait pas toujours” Antoine de Saint Exupéry

 

 

JM : - Si tu devais partir sur une île déserte quel objet, indispensable à tes yeux, emporterais-tu ?

 

 

Elisabeth : je ne vais pas être très originale, je dirais une boîte d’allumettes.

 

 

JM : - Imaginons que tu doives organiser un dîner littéraire.. Quelles personnes convierais-tu à ta table ?

 

Elisabeth : s’il m’était possible de faire revenir les personnes de l’au-delà je dirais : Victor Hugo, Charles Beaudelaire, George Sand, Marcel Proust, et pour nos contemporains Andréï Makine, Philippe Claudel, et Cécile Coulon pour ses poèmes.

 

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Elisabeth : Non, si ce n’est que je te remercie encore une fois beaucoup de cette interview extrêmement complète.

 

 

 

 

JM : - Merci Elisabeth pour ce très agréable moment passé en ta compagnie, ta disponibilité et ta gentillesse.

 

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Elisabeth qui vous répondra sous ce post.

 

 

www.facebook.com/elisabeth.larbrecailler/

 

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