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ANNONCE INTERVIEW LORENE RUSSELL LUNDI 11 JANVIER 2021 SUR MON GROUPE FB

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS
Bonsoir les amis,
Aujourd'hui Vendredi 8 janvier 2021 j'ai réalisé ma 166 ème interview avec un auteur du groupe qui a accepté de se soumettre à mes questions.
Je vous donne rendez-vous le Lundi 11 janvier 2021 (dans la journée) pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec . A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Lorene qui y répondra selon ses disponibilités.
A lundi.

 

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INTERVIEW REALISEE CE JOUR AVEC BETH HOLLAND - Aurore DPOLOCHONDAIX sur mon groupe FB

GROUPE LECTEURS – AUTEURS :

LA PASSION DES MOTS

__________

 

 

INTERVIEW AUTEURE

Beth HOLLAND (Aurore DPOLOCHONDAIX)

(réalisée en 2020)

 

 

JM : - Bonjour à tous,

 

  • Notre amie Aurore DPOLOCHON DAIX - Beth HOLLAND- a gentiment accepté de répondre, récemment, à mes questions.

 

Je partage donc avec vous cette interview à l'issue de laquelle vous pourrez, si vous le souhaitez, poser vos questions à Aurore qui vous répondra selon ses disponibilités.

 

 

 

JM : - Bonsoir Aurore,

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prête à « passer sur le gril » ?

 

Aurore : Bonsoir Joëlle, je suis impatiente d’entendre tes questions !

 

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Aurore : Avec plaisir. Alors, je suis une passionnée de lecture et d’histoires. Enfant et ado, je préférais passer du temps avec un roman ou à écrire des aventures plutôt qu’être avec des jeunes de mon âge. J’ai un côté solitaire et asocial. Je me sens plus à l’aise avec du papier qu’avec des humains. Du coup, j’écris, beaucoup et je lis, un peu moins maintenant que mon temps libre est consacré surtout à mes romans. J’ai 41 ans, je suis amoureuse des mots et de la façon dont on peut jouer avec (et de mon chéri aussi évidement), j’aime créer des univers, des personnages rencontrant des choix cruciaux et voir comment les sortir de tout ça !

 

 

 

JM : - Que représente pour toi l'écriture ?

 

Aurore. : Un moyen de création sans limite ! On peut faire voyager, rêver, pleurer, rire, râler,… Générer des réactions à ses lecteurs, c’est un pur bonheur. C’est ça l’écriture, c’est un partage extra entre l’auteur et les lecteurs alors qu’ils ne se connaissent même pas.

 

 

 

 

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes romans ?

 

 

Aurore : Mes bébés, mes ptites bouses comme je les nomme affectueusement. J’en suis hyper fière même si je suis consciente qu’ils ne sont pas parfaits. Ils me correspondent, ils sont « vrais ». Je veux dire que je n’ai pas suivi les directives éditoriales d’une ME pour être plus bankable. J’ai fait ce que je voulais et c’est pourquoi je suis fan de l’autoédition. Donc, j’ai sorti 3 romans depuis mai et le 4ème arrive en décembre. Avec Stories by Fyctia, j’ai eu la chance de faire des WordCamp (stage intensif d’écriture et de com pour terminer un roman) et j’ai sorti mes 3 bébés grâce à cela. « 40 ans et alors ?’ Tome 1 est donc arrivé le 7 mai (c’est le tome 2 qui va débarquer en décembre), « Demande-moi de t’embrasser » Tome 2 est sorti en septembre (suite prévue pour avril) et mon petit dernier « Par la lune et le feu » Tome 1 vient de pointer son nez pour Halloween ! Normal pour une saga surnaturelle avec une héroïne sorcière !

 

 

JM : - Tes deux romans sont des « romances ». Pourquoi ce choix et envisages-tu d'écrire dans un genre différent ?

 

Aurore : Alors, je suis tombée dans la romance par hasard… J’écris surtout du thriller et du surnaturel en fait. Le tome 1 de « Par la lune et le feu » est le premier roman que j’ai terminé. Il est le départ d’une saga surnaturelle et c’est vraiment ce que je kiffe écrire ! Pour la romance, c’est parti d’un défi de moi à moi. Participant aux concours Fyctia, je me suis laissée prendre au jeu et j’ai essayé les concours de romance. Contente des retours, je me suis lancée dans l’idée de terminer les romans et voilà !

J’ai donc d’autres genres qui arrivent, mais je n’oublie pas les suites de mes romances. J’ai des lecteurs qui me harcèlent pour les avoir et ça discute même d’une action collective pour que j’aille plus vite…

 

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

Aurore : J’ai toujours des projets plein la tête. Je suis constamment en train d’avoir de nouvelles idées et d’essayer de les mettre à plat pour voir si on peut en sortir un truc ou pas. Déjà, je termine les tomes 2 et 3 de « 40 ans et alors ? », ensuite, « Permets-moi de t’embrasser » viendra clôturer les aventures de Marie et Benjamin, découverts dans « Demande-moi de t’embrasser ». Après, j’ai les 4 autres tomes de « Par la lune et le feu », 3 thrillers dont 1 à 4 mains, un épique-historique qui va vous faire redécouvrir les mythes des Dieux et Déesses et une nouvelle romance sous le coude. Je ne planifie pas assez loin pour annoncer les sorties de tous ces livres, mais j’ai mon calendrier 2021 bouclé dès à présent !

 

 

 

JM : - Comment écris tu (carnets, cahiers, directement sur l'ordinateur) ?

 

Aurore : Je suis une manique de la préparation, une folle furieuse de l’organisation…

J’ai les grandes idées sur papier en vrac avant de les organiser de façon chronologique. De là, je tisse la base de mon plan en ajoutant des points clés comme des lieux, des idées, des nouveaux persos,… Je fais un 1er découpage de chapitres.

Une fois le plan basique terminé, je passe au calendrier pour tout noter et vérifier la cohérence temporelle. J’ai pleuré en réalisant que j’avais 2 jeudis sur une semaine sur mon premier manuscrit. Depuis, fini l’improvisation, tout est noté dans sa case pour une vue globale !

Et enfin, je commence l’écriture (ordinateur) de la version 1. J’ajuste le plan et le calendrier si je veux ajouter ou bouger des choses mais je tiens toujours tout à jour, histoire de ne pas me perdre.

Je relis et réécris afin d’envoyer la version 3 à mes BL.
C’est reparti pour la version 4 avec leurs retours. La version 5 est celle des corrections orthographe, grammaire, répétition,…
La version 6 est la définitive qui part pour édition.

 

 

 

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement  ?

 

 

Aurore : Covid oblige, tout est annulé… Je profite pour continuer à prendre des contacts et à promouvoir l’association de la Faucheuse de Mots dont je fais partie et qui regroupe des supers auteur(e)s en AE. Nous avons des projets de salons aussi, mais tout est en stand-by pour le moment.

 

 

 

 

JM : - Que penses-tu de l'édition numérique ?

 

Aurore : C’est un moyen génial de stocker des tonnes de livres ! Je suis accro aux bouquins et sans ma tablette, je ne pourrais pas en avoir autant ! Déjà, pas la place de tous les ranger et ensuite, le prix permet d’en acheter plus.

 

 

JM : - A qui confies-tu la première lecture de tes manuscrits (amie, membre de ta famille, bêta-lecteur) et qui réalise les couvertures de tes livres ?

 

Aurore : C’est toujours chéri qui lit le premier. Je profite des ses conseils et idées pour modifier et améliorer. Ensuite, mes BL prennent le relais.

Pour les couvertures, je fais confiance à la géniale Charlie de Dragonfly Design qui fait des merveilles ! Mes couvertures sont sublimes, ces idées sont au top !

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire éditer tes romans ?

 

Aurore : Je vais reprendre un peu le processus expliqué plus haut. Je suis passée par les WordCamps de Fyctia puis édition avec Stories by Fyctia (version numérique) et Amazon (version papier).

 

 

JM : - Penses-tu que les réseaux sociaux, les blogs permettent aux auteurs de promouvoir leurs écrits ?

 

Aurore : Oui tout à fait. Tout le monde est branché sur le net en permanence. Téléphone, tablette et ordi, on a tous un œil sur la toile toute la journée. Alors, il est indispensable pour un auteur d’y être aussi ! Les RS, les bloges, les sites de chroniques, les forums de lecture,… sont des supers moyens de se montrer un peu et de toucher quelques futurs lecteurs.

 

 

JM : Lis-tu et quel genre ?

 

Aurore : Je lis moins depuis que j’écris plus… Cercle vicieux, moins de temps pour l’un car plus de temps pour l’autre… Sinon, je lis René Barjavel, Agatha Christie, H P Lovecraft, Elisabeth Georges (c’est pour elle que mon nom de plume est Beth d’ailleurs), et plein d’autres.
Je lis de tous les genres, sauf de l’érotique et de la SF. J’accroche pas donc je passe mon tour.

 

 

 

 

 

JM : - Quel roman, lu dans ton enfance, t'a vraiment marquée ?

 

Aurore : Sans hésitation, « Les 10 petits nègres » d’Agatha Christie. J’étais en 6ème et j’ai commencé à écrire des nouvelles policières après avoir lu ce roman extra.

 

 

JM : - Quels sont les auteurs que tu apprécies (dans le passé et contemporains )?

 

Aurore : Ceux déjà nommés plus haut, mais aussi Stephen King, Anne Rice, Pierre Pevel, Michaël Connelly ou Michaël Crichton.

 

JM : - Pour tes romans, improvises-tu au fil de l'histoire ou connais-tu déjà la fin avant d'en commencer l'écriture ?

 

Aurore : La folle de l’organisation que je suis ne peux pas commencer un roman sans en connaitre tous les points importants. J’ai toujours ma situation initiale, mes gros points clefs et ma fin.

 

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Aurore : Le théâtre, surtout l’impro, le chant, les jeux de rôle et grandeur nature, les jeux vidéos, la cuisine, la couture et le cinéma.

 

 

 

JM : - Y a-t-il dans tes livres, des personnages qui te touchent et auxquels tu t'identifies ?

 

Aurore : Je mets un peu de moi dans chacun de mes personnages principaux. Que ce soit un trait de caractère, un aspect physique, des connaissances scolaires ou des gouts, je peux m’identifier à chacun d’entre eux et c’est pour ça que j’ai du mal à les quitter.

 

 

 

JM : - Quel est ton film ou ta série culte ? Ta musique préférée ? Ecris-tu en musique ?

 

Aurore : Film : Identity

Série : Buffy contre les vampires

Musique : Maroon 5

Non, je n’écris pas en musique, je préfère le silence, mais j’attribue une chanson à chacun des chapitres de mes histoires.

 

 

 

JM : - Quel est ton endroit préféré (pièce de ta maison, région, pays)

 

 

Aurore : Les parcs Disney !!! Je suis une gosse qui refuse de grandir et je me sens trop bien au pays de Mickey.

Sinon, j’ai un gros coup de cœur pour la Californie et ses parcs nationaux juste sublimes.

 

 

 

JM : - Si tu étais : une couleur, un animal, un dessert : tu serais ?

 

Aurore : Couleur : noir ou prune

Animal : panthère noire

Dessert : tarte au citron meringuée

 

 

JM : - Quel mot te définit le mieux ?

 

Aurore : passionnée

 

JM : - Peux-tu nous donner ton proverbe préféré ?

 

Aurore : S'il y a un livre que tu veux vraiment lire, mais qui n'a pas encore été écrit, alors tu dois l'écrire.

 

JM : - A quelle époque aurais-tu aimer vivre ?

 

Aurore : à celle des romans de Pierre Pevel ! Sous Louix XIII avec les mousquetaires, mais avec le côté magique et surnaturel crée par Pevel.

 

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Aurore : Merci à toi pour ces questions et merci à tout ceux qui prendront le temps de lire cette entrevue et/ou mes romans !

 

JM : - Merci Aurore pour ce très agréable moment passé en ta compagnie , ta disponibilité et ta gentillesse.

 

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Aurore qui se fera un plaisir de vous répondre sous ce post.

 

 

 

 

 

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ANNONCE INTERVIEW AUTEURE Beth HOLLAND - VENDREDI 8 JANVIER 2021 sur mon groupe FB

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

 

 

Bonsoir les amis,

 

Aujourd'hui Lundi 4 janvier 2021 j'ai réalisé ma 165 ème interview avec un auteur du groupe qui a accepté de se soumettre à mes questions.

 

 

Je vous donne rendez-vous le  Vendredi 8 janvier 2021 (dans la journée) pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Beth HOLLAND (Aurore) -. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Aurore qui y répondra selon ses disponibilités.

 

 

A VENDREDI.

 

 

 

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INTERVIEW REALISEE CE JOUR AVEC GEORGES-PATRICK GLEIZE SUR MON GROUPE FB

GROUPE LECTEURS-AUTEURS :

LA PASSION DES MOTS

 

INTERVIEW AUTEUR

Georges-Patrick GLEIZE

(réalisée pendant le confinement)

 

 

 

JM : - Bonjour à tous

 

Notre ami Georges-Patrick GLEIZE a gentiment accepté de se soumettre, récemment, à mes questions.

 

A l'issue de cet entretien, vous pourrez, si vous le souhaitez, poser des questions à Georges-Patrick qui y répondra selon ses disponibilités.

 

 

 

JM : - Bonsoir Georges-Patrick

 

⁃ Comment allez-vous ? Etes-vous prêt à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Georges-Patrick : Bonsoir, je vais bien, un peu confiné, comme tout le monde. C’est avec plaisir que je réponds à vos questions.

 

JM : - Pouvez-vous, tout d'abord, vous présenter afin que nos amis puissent mieux vous connaître ?

 

Georges-Patrick : Je suis né à Paris où ma mère poursuivait une carrière de comédienne au théâtre, à la radio et au cinéma tandis que mon père, officier de la marine marchande, parcourait les mers. Mais ma famille est originaire des Pyrénées ariégeoises et c’est là que j’ai passé mon enfance, chez mes grands-parents. Après une scolarité à Toulouse, au lycée Pierre de Fermat, j’ai entrepris des études d’histoire à l’Université. Je me suis alors spécialisé sur l’étude des sociétés rurales. Agrégé d’histoire, j’ai fait une carrière de professeur en lycée qui m’a conduit en Lot-et-Garonne, à Dunkerque, en Creuse et pour finir en Ariège à partir de 1991. En parallèle et en complément, je me suis intéressé aux questions de géopolitique du monde contemporain et j’ai suivi l’enseignement de l’Institut des Hautes Etudes de la Défense Nationale. Actuellement en retraite depuis quatre ans, j’ai désormais tout le loisir de m’adonner à la littérature, une passion que je partage avec mon épouse, professeur d’économie et auteure pour enfants.

 

 

JM : - Pouvez-vous nous parler de vos romans (la liste est longue, je sais !) ?

 

Georges-Patrick : Mon premier roman, Le temps en héritage, a paru il y a presque vingt ans et depuis, j’ai publié au rythme d’un roman par an, chez Albin Michel et aux éditions Calmann-Lévy. J’ai coutume de dire que mes romans sont des romans d’histoire. Ils se situent à mi-chemin entre le roman historique et le livre d’histoire. Ce que je raconte est vrai, tant dans le contexte que dans le détail, mais les personnages que je fais évoluer sont la synthèse imaginative de personnes réelles. Tout est juste mais pas arrivé à la même personne. Sans doute y a-t-il une préoccupation didactique dans mon écriture. Chassez le prof, il revient au galop ! Et je vois dans mes romans le moyen de faire de l’histoire autrement, plus digeste que dans les études scientifiques que j’ai pu écrire. J’essaye de mettre ainsi l’histoire à la portée du lecteur en ayant le souci qu’il apprenne quelque chose tout en se distrayant. Et aujourd’hui, j’en suis à mon 19e roman...

 

JM : - Avez-vous d'autres projets d'écriture et pouvez-vous nous en dire quelques mots ?

 

Georges-Patrick : Bien sûr ! J’ai d’abord un nouveau roman en préparation pour 2021 à paraître aux Editions Calmann-Lévy. Je dois remettre mon manuscrit en avril et il devrait sortir pour la rentrée littéraire. Il se déroulera dans les années 70 avec comme thématique l’utilisation de la montagne par nos sociétés modernes au regard des usages traditionnels. Avec bien sûr pour soutenir l’attention du lecteur une intrigue policière à rebondissements.

Par ailleurs, paraîtra aussi en 2021, aux Editions Le Papillon rouge, un opus plus historique mais orienté grand public sur ces Ariégeois qui ont fait l’histoire, une série de cinquante courtes biographies de personnages surprenants et bien souvent oubliés.

 

JM : - Où trouvez-vous l'inspiration pour créer les protagonistes de vos écrits ? Improvisez-vous ou connaissez-vous la fin de l'histoire avant de commencer l'écriture ?

 

Georges-Patrick : L’inspiration de mes personnages ? Il me suffit d’observer mes contemporains et de les écouter. Certains ont eu des vies passionnantes, chaotiques, étonnantes. De l’un, je garderai le physique, de l’autre, les tics et les manies, d’un autre encore le caractère ou la voix. Je recompose ainsi des héros dans lesquels mes lecteurs peuvent se retrouver, croire qu’ils les ont croisés. Je n’invente rien, tous ont une parcelle d’existence. Quant aux décors dans lesquels je les faits évoluer, ils s’inspirent de ce que j’ai vu, de mes voyages ou de mes recherches. Il m’arrive ainsi d’aller sur des sites d’annonces immobilières pour visiter en image des maisons qui seront les décors de la vie de mes héros.

 

Je connais toujours la fin de l’histoire avant d’en avoir écrit les premières phrases. Je pars en effet sur un synopsis précis qui découpe le roman en huit ou dix chapitres où en une dizaine de lignes l’action est résumée. Certes, elle peut évoluer en cours d’écriture mais les modifications relèvent plus du détail que de la finalité du roman.

 

JM : Vos livres sont pour la plupart des romans régionaux. Pourquoi ce choix et envisagez-vous d'écrire dans un tout autre registre ?

 

Georges-Patrick : L’expression de roman régional est un qualificatif purement commercial pour distinguer la littérature intellectualiste. Tout roman qui se déroule dans une région précise peut être qualifié de régional et les plus grands auteurs français en font partie. Balzac, Giono, Mauriac ou tout récemment Genevoix, maintenant panthéonisé, peuvent voir leurs œuvres qualifiées de romans régionaux. J’écris sur ce que je connais bien mais en tant qu’historien de profession, géographe d’occasion, je pourrais écrire aussi des livres de pure histoire, du polar, des récits de voyages. L’universalité de l’histoire offre un champ d’écriture immense, au carrefour de la littérature et des sciences.

 

JM : Comment procédez-vous pour écrire vos ouvrages (carnets, cahiers, fiches, écriture directe sur l'ordinateur) ?

 

Georges-Patrick : Mon premier roman a été écrit à la main sur des blocs de papier quadrillé il y a vingt ans. Depuis, je suis passé à l’ordinateur et j’écris exclusivement ainsi à mon bureau. Mais il m’arrive de prendre des notes sur un cahier qui me suit dans les salons littéraires, en dédicaces, lorsqu’une idée me vient. De même, si je me réveille la nuit, je note parfois sur des bouts de papier les idées qui me traversent l’esprit.

 

JM : - À quel moment de la journée écrivez-vous ? ? Le jour ? La nuit ? Et pendant combien de temps ?

 

Georges-Patrick : En général, j’écris le matin. C’est là où je suis le plus créatif, gardant les après-midis pour d’autres activités et le soir pour les recherches ou la mise au net. Mais cet ordonnancement classique, adopté à l’époque de ma vie professionnelle dans l’Education Nationale, est aujourd’hui plus souple. La météo joue désormais un rôle important et je suis plus créatif quand il pleut ou qu’il fait un sale temps que lorsqu’un soleil radieux et une douceur angevine m’attirent au jardin.

 

JM : - Que ressentez-vous lorsque vous écrivez le mot FIN ?

 

Georges-Patrick : Un lâche soulagement. Finir un roman n’est jamais aisé. Et quand on a passé des semaines et des mois on a envie à un moment d’en finir. Le mot fin est un exutoire, une bouffée de plaisir qui constitue une vraie respiration, l’apaisement d’une tension qui se relâche.

 

JM : - Vous avez noué un lien très fort avec vos lecteurs et lectrices, pouvez-vous nous parler de ces rencontres ?

 

Georges-Patrick : Je fais un assez grand nombre de salons et de dédicaces en librairies, plus d’une cinquantaine par an, car j’ai besoin du contact avec mon lectorat. Besoin d’échanger, besoin de l’écouter. Nombreux sont mes lecteurs qui m’ont raconté des détails, leur histoire, des éléments dont je me suis servi pour écrire par la suite. Je leur dis parfois : Ne me racontez pas votre vie, je vais en faire un roman. Et c’est vrai qu’il y a un peu de ça. Comme romancier, je suis dans la posture de l’éponge, j’absorbe pour restituer ensuite ce qu’on m’a dit.

 

JM : -Avez-vous des séances de dédicaces prévues prochainement -après le confinement bien sûr- et où ?

 

Georges-Patrick : Le confinement a beaucoup perturbé le programme cette année. Tous les grands salons auxquels je devais participer, à commencer par la Foire du livre de Brive dont je suis un habitué depuis mon entrée en littérature, ont été annulés. Et l’horizon manque singulièrement de clarté pour nous les auteurs à l’heure où le livre ne fait pas partie des biens essentiels. Ainsi, la rencontre que je devais faire à la médiathèque d’Esperanza, dans l’Aude, fin novembre, est bien compromise. Il reste donc à espérer que nous pourrons faire quelques signatures avant les fêtes de Noël pour offrir nos dédicaces à nos lecteurs. Quant à l’année prochaine, c’est le noir complet. Personne n’ose se positionner et on imagine mal la tenue de grands salons comme Montaigu ou Limoges au printemps dans le contexte actuel. Je risque comme tous mes camarades d’en être réduit à quelques séances de signatures au coup par coup en librairie. Triste période pour tous les acteurs de la chaîne du livre dont les auteurs sont les artisans.

 

JM : - Comment avez-vous procédé pour faire publier vos ouvrages ?


Georges-Patrick : Avant de publier mon premier roman, j’avais déjà fait des publications professionnelles. En l’occurrence, une biographie sur Charles de Gaulle soldat, une commande de la Commission historique pour la paix, émanant du ministère des anciens combattants et aussi deux publications sur le tourisme vert, à l’époque où j’étais professeur en BTS tourisme. Malgré tout, je ne connaissais pas vraiment le monde de l’édition. Mon premier roman est parti par la poste. J’ai réalisé une vingtaine de copies expédiées aux grands éditeurs parisiens. Et comme de bien entendu, j’ai essuyé des refus, lettres types de réponse à l’appui. Je commençais à désespérer quand j’ai reçu un coup de fil de chez Albin Michel, maison qui était intéressée par mon manuscrit. J’ai signé le premier contrat la tête un peu dans les nuages. Mais j’ai compris qu’une chance inespérée s’offrait à moi. Il fallait pousser la porte et battre le fer tant qu’il est chaud. En l’occurrence, assurer le succès commercial de mon manuscrit sachant que le compteur des ventes allait parler pour moi. En même temps, il ne fallait pas traîner et pouvoir dans la foulée proposer un autre manuscrit, bref, faire preuve de professionnalisme.

 

JM : Etes-vous sensible à la critique littéraire et pensez-vous que les blogs, les réseaux sociaux aident les écrivains à promouvoir leurs écrits ?

 

Georges-Patrick : Quel auteur n’est pas sensible à la critique ? Elle nous arrache un sourire ou une grimace. Aujourd’hui, la presse écrite n’est plus le seul moyen par lequel elle s’exprime et l’informatisation de nos sociétés a ouvert la porte à l’expression des lecteurs qui par leurs courriers ou dans les blogs donnent leur sentiment. Les blogs sont indispensables, reflet d’une réelle audience indépendante de toute coterie. Ils participent à l’environnement existentiel du roman tout comme les réseaux sociaux. Personnellement, je suis très actif sur Facebook où je fais vivre ma page littéraire au quotidien par mes annonces de dédicaces, mes photos et mes vidéos. Cette dimension est facilitée par la bonne maîtrise que j’ai dans le domaine audiovisuel.

 

JM : - Quels sont les auteurs qui vous ont donné l'envie d'écrire ?

 

Georges-Patrick : Comme beaucoup de ma génération, j’ai découvert la littérature par les auteurs jeunesse qu’on lisait à l’époque. Enid Blyton et Le club des cinq, Bob Morane et Henri Vernes... Un peu plus tard, j’ai goûté à Alexandre Dumas, à Jules Vernes, Alain Fournier, Louis Pergaud et à quelques auteurs de science-fiction comme Asimov.

 

 JM : - Quel roman lu pendant votre enfance vous a le plus marqué ?

 

Georges-Patrick : J’ai beaucoup apprécié La gloire de mon père, de Marcel Pagnol.

 

JM : - Quels conseils pourriez-vous donner aux lecteurs qui veulent devenir écrivains ?

 

Georges-Patrick : S’armer de patience, ne jamais désespérer, avoir l’écorce solide. La concurrence est rude. Beaucoup plus de monde écrivant aujourd’hui qu’hier, il est plus difficile de trouver un vrai éditeur qui vous fasse confiance. Je conseillerais aussi de se méfier de nombreuses maisons qui constituent des pièges à sous et qui prospèrent à grand renfort de publicité en promettant aux néophytes le succès. La naïveté et le besoin d’écrire sont parfois honteusement exploités. Un vrai éditeur ne demande jamais d’argent.

 

 

JM : Lisez-vous et quel genre ?

 

Georges-Patrick : Je lis beaucoup de livres d’histoire par nécessité et par goût. Je lis aussi nombre de romans dits « régionaux » mais je ne dédaigne pas pour autant un bon roman policier (pas trop saignant) ou un bon roman de science-fiction. Je lis souvent des romans qu’on m’offre, les cadeaux qu’on me fait, et je relis parfois quelques grands classiques en prenant le risque d’être déçu du souvenir que j’en avais.

 

JM : - Quels sont vos endroits préférés, source d'inspiration (pièce de votre maison, région de France, pays) ?

 

Georges-Patrick : Ma région préférée reste le sud de la France, notamment l’Occitanie dont je comprends à peu près le patois même si je ne le parle pas. Historien ruraliste, mes recherches ayant porté sur les campagnes ariégeoises aux XVIIIe et XIXe siècles, les sociétés rurales m’inspirent toujours. Je me sens bien à la campagne et le monde paysan m’est proche. Dans nombre de mes romans, on retrouve la salle, lieu d’existence des familles qui vivaient à pot et feu commun. Qu’elle soit ariégeoise ou corrézienne, le cantou en reste l’élément moteur. Cette pièce m’a toujours beaucoup inspiré. Toutefois, dans plusieurs de mes romans, je m’évade vers des destinations plus lointaines, puisées dans mes souvenirs de voyages. Ainsi j’ai entraîné mes lecteurs en Angleterre, aux Etats-Unis, au Canada, en Pologne, en Afrique du Nord, en Italie...

 

JM : En dehors de l'écriture quelles sont vos passions ?

 

Georges-Patrick : Historien des campagnes, le jardin est pour moi un vrai bonheur et je m’émerveille toujours des changements qu’on y observe au gré des saisons. Jardiner m’apporte délassement mental et physique, paix de l’âme et satisfaction de voir la nature récompenser mon travail. Cultiver mon jardin me permet aussi de satisfaire mon goût pour les produits authentiques et naturels qui participent à la réussite d’une bonne cuisine.

 

JM : - À quelle époque auriez-vous aimé vivre ?

 

Georges-Patrick : L’historien que je suis aurait apprécié les années de la fin du XIXe et début du XXe, de cette Belle Epoque d’avant 1914 où le progrès portait l’humanité vers l’espérance. On pouvait alors nourrir des idéaux auxquels aujourd’hui on ne croit plus.

 

JM : - Quelle est votre proverbe préféré ?

 

Georges-Patrick : A cœur vaillant rien d’impossible

 

 

JM : Quel mot vous définit le mieux ?

 

Georges-Patrick : Persévérance

 

JM : - Vous partez sur une île déserte : quel objet incontournable à vos yeux, emporterez-vous ?

 

Georges-Patrick : Un livre assez universel pour me donner patience et force.

 

JM – Si vous deviez organiser un dîner littéraire. Quelles personnes souhaiteriez-vous convier à votre table ?

 

Georges-Patrick : Les auteurs qui sont mes amis et avec qui j’ai du plaisir à partager et à échanger nourritures terrestres et littéraires.

 

JM : - Etes-vous thé ou café ? Vanille ou chocolat ? Mer, montagne ou campagne ?

 

Georges-Patrick : Café, chocolat, plutôt campagne, orientation moyenne montagne mais j’aime aussi la mer.

 

JM : - Si vous étiez une odeur, une couleur, un animal : vous seriez...

 

Georges-Patrick : La menthe poivrée. Le vert. Un dauphin.

 

JM : - Avez-vous quelque chose à ajouter ?

 

Georges-Patrick : Je formulerais un vœu : En ces temps où chacun souffre de l’isolement, puissions-nous, nous les écrivains, vite retrouver ces salons du livre où nous avons le plaisir d’échanger avec nos lecteurs.

 

 

JM : - Merci Georges-Patrick pour ce très agréable moment passé en votre compagnie. 

 

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Georges-Patrick qui vous répondra avec plaisir sous ce post.

 

https://www.facebook.com/georgespatrick.gleize

 

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Bonjour aujourd'hui dimanche voici ma chronique concernant : "QUAND LES FOUGERES JAUNIRONT"

« QUAND LES FOUGERES JAUNIRONT »

Christine PEZET-GREVET

Auto-Edition

Novembre 2020

340 pages

 

Présentation

 

Une petite maison de pêcheur aux volets bleus, au bout de l'Ile Tudy, dans le Finistère des années 1930.

 

Ouvrière dans une sardinerie, Léna a élevé seule ses cinq enfants. Dans cette Bretagne pauvre et meurtrie par la rudesse de la vie, elle leur a donné le goût de la liberté.

La mer souvent cruelle, l'interdiction de parler leur langue maternelle, le bruit des bottes dans les rues du village, l'accueil des réfugiés espagnols fuyant le régime de Franco, ont motivé sa volonté.


En exaltant la beauté de la nature et les bonheurs simples du quotidien, les membres de sa famille nous entraînent de 1930 à 2020, dans un voyage passionnant au cœur de l'âme humaine.

 

 

 

L'auteure

 

Retraitée de l'enseignement, Christine PEZET-GREVET vit entre la Sologne et la Bretagne. Après Si tu sais lire entre les lignes et Les Racines renouvelées, elle publie ici son troisième roman.

 

 

Mon avis

 

Je remercie Christine PEZET-GREVET de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son roman « Quand les fougères jauniront ». Je la remercie également pour la gentille dédicace et la jolie carte qui accompagnait ce livre.

 

J'ai découvert la très belle plume de cette auteure lors de la lecture de « Les racines renouvelées », roman que j'ai beaucoup aimé.

 

Le très jolie couverture et le titre m'ont de suite interpellée.

C'est dans un genre différent que Christine nous emporte en Bretagne et nous conte le destin de Léna et de sa famille s'étalant de 1930 à 2020.

 

L'auteure décrit à merveille les protagonistes de son roman, les rendant authentiques et attachants ainsi que les paysages, les monuments, les légendes de Bretagne, de Sologne et d'Espagne, nous faisant voyager au fil de ses si jolis mots.

 

J'ai beaucoup aimé ce très beau roman, apaisant, empli d'espoir, que j'ai lu d'une traite et refermé à regret. 

 

A découvrir sans hésitation afin de passer un bon moment de détente et d'évasion.

 

 

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Bonsoir aujourd'hui samedi voici ma première chronique de l'année 2021 : "MONTSEGUR LA NUIT QUI JAMAIS NE FINIT"

« MONTSEGUR »

La nuit qui jamais ne finit

Martine MOREL-BOTTA

Auto-Edition

14 décembre 2020

476 pages

 

 

Présentation

 

Inexpugnable sur son piton rocheux, le castrum de Raymond de Péreille défie les deux plus grandes puissances de son temps. Le pape voit en lui « l'hydre du diable ». Siège de l'Église cathare, il doit être détruit. Le roi de France s'irrite de son rôle actif dans la résistance à l'occupation française. Unis pour mieux l'abattre, ils lèvent contre lui une armée qui le coupe du monde. Pour les gens de Montségur, commence, alors, une lutte désespérée.

 

 

L'auteure

 

Martine Morel-Botta est née en 1961 à Paris. Elle vit aujourd'hui en Ile de France, dans les Hauts-de-Seine.
Professeur d'histoire-Géographie, elle a publié plusieurs articles dans la Revue "Les Temps médiévaux" (revue aujourd'hui disparue).
Passionnée d'Histoire et de Littérature, elle écrit, pour son plaisir, depuis près de trente ans, des romans historiques. Sa période de prédilection : le Moyen-Age.

 

 

 

Mon avis

 

Je remercie Martine MOREL-BOTTA de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son roman « Montségur la nuit qui jamais ne finit » et ainsi de découvrir sa plume légère et précise. Je remercie également Martine pour la très gentille dédicace qui m'a beaucoup touchée.

 

Bien que n'ayant pas lu les précédents opus de cette série -

L'Ordalie et Le lion, le lys et la croix - je me suis de suite sentie happer par les mots de l'auteure et j'ai lu avec grand plaisir cette histoire passionnante, se déroulant en Occitanie, au Moyen Age, période de l'Histoire que j'aime beaucoup. Je pense que cet ouvrage peut se lire indépendamment.

 

Martine MOREL-BOTTA nous emporte au XIIIème siècle et en mêlant l'Histoire à la fiction, elle nous fait voyager dans le temps.

J'ai ainsi découvert un pan de l'Histoire de la région Occitanie que je ne connaissais pas  sur la croisade des Albigeois et la chute de l'Eglise Cathare.

 

J'ai beaucoup aimé ce roman historique extrêmement bien écrit et documenté qui m'a tenue en haleine jusqu'aux dernières lignes et que j'ai lu en deux soirées tant il m'intéressait.

 

Toutefois j'ose espérer que Martine écrira très vite une suite à ce récit que je ne manquerai pas de lire.

 

Un très bon moment de lecture que je recommande aux férus d'Histoire.

 

 

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BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2021 A TOUS LES ABONNES DE MON BLOG

 

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BLOG EN PAUSE BONNE FIN D'ANNEEE ET A L'ANNEE PROCHAINE

 

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MON BILAN ANNEE 2020

VOICI VENU LE TEMPS DE FAIRE
MON BILAN DE LECTURES DE L'ANNEE 2020
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194 LIVRES LUS (156 SERVICES DE PRESSE + 4 romans lus avis négatif donc pas de chronique + 34 romans achetés ou reçus en cadeau et lus pour le plaisir avec ou sans chronique..)
 
Dont 35 COUPS DE COEUR :
Un Matin ordinaire –
Les Héritiers de Castel Dark T 3 – JC
Les Stanton 2 –
Le Vélo rouge –
Poldark (trilogie) - Winston Graham ( )
L'Ombre de Rose May –
La Femme d'un Dieu –
Le Ciel de Darjeeling – Nicole Vosseler ( )
Les Berges du Marais T1-2-3 –
La Lettre d'amour interdite – Lucinda RILEY
Le Dernier salut de l'Amazone –
La Cuisinière – Mary Beth KEANE
Le Pacte de sel –
L'Appel du loup –
Le Baiser de Gustav –
Le Confort de l'autruche –
L'Ile de la Mangrove – Sarah LARK (
L'Envol du papillon –
Sucre Amer –
Le Roi d'angoisse –
Dies Irae –
Déviation Nord –
Un été d'espérances –
Tête de paille – Gérard
L'Héritière du Lotus rose – Kate McALISTAIR ( )
Nous étions trois –
L'Orpheline des sœurs de la Charité –
Le sourire d'un ange –
Coeurs en miettes –
D'Une pierre deux coups –
Qu'Importe le chemin –
Les Amours tourmentées d'Hortense –
Le Noël explosif d'Hortense -
Le Défi d'Apolline –
AU-Dela des collines –

.

 

84 INTERVIEWS Auteurs et Responsables de ME
6 BETA-LECTURES
21 CONCOURS.
 
Et un grand nombre d'échanges très intéressants et sympathiques avec vous mes amis, lecteurs, auteurs, chroniqueurs, responsables de maisons d'éditions, que je remercie du fond du coeur.
Bonne fin d'année à tous et toutes.

 

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Bonjour aujourd'hui samedi voici ma chronique concernant : "LES CHEVALIERS DES HIGHLANDS"

« LES CHEVALIERS DES HIGHLANDS »

Monica McCARTY

FRANCE LOISIRS

Octobre 2020

1120 pages

 

Présentation

 

Tome 1, Le chef ; Tome 2, Le faucon ; Tome 3, La vigie

 

Comte de Carrick et seigneur d'Annandale, Robert Bruce revendique le trône d'Ecosse après la mort de William Wallace. Or, pour vaincre les Anglais, il lui faut des mercenaires d'élite. Des Highlanders prêts à se battre pour sa cause. Comme Tor MacLeod, force de la nature, dévoué à son clan. Erik MacSorley, marin d'élite de la garde secrète de Bruce. Ou encore Arthur Campbell, surnommé la Vigie pour ses talents d'éclaireur. Les trois premiers tomes des Chevaliers des Highlands sont ici réunis en un volume.

A réserver aux adultes.

 

L'auteure

 

Depuis son enfance, Monica McCarty dévore tous les livres qui lui tombent sous la main. Elle commence par la littérature jeunesse qu'elle trouve dans sa chambre, puis entame la bibliothèque de sa mère. Cette dernière lui offre rapidement une multitude de livres de romance qui deviennent la nouvelle passion de Monica. Elle lit tous les livres de romance qu'elle peut trouver, puis pendant son adolescence, découvre les grands classiques de la littérature. Elle étudie les sciences politiques et la littérature à l'université, puis rejoint une école de droit. Après quelques années, ayant fondé une famille et ses enfants ayant grandi, elle décide d'écrire des livres. Passionnée depuis des années par l'Écosse médiévale, elle se consacre au genre des Highlanders avec des séries à succès comme Les MacLeods, Le clan Campbell ou Les Chevaliers des Highlands. --Ce texte fait référence à l'édition paperback.

 

Mon avis

Je viens de lire «Les Chevaliers des Highlands » tomes 1 2 et 3 de Monica McCARTY et j'ai ainsi découvert la plume fluide et précise de cette auteure.

La passionnée de romances historiques se déroulant en Ecosse au XIVème siècle n'a pu qu'être séduite par cet ouvrage.

L'auteure décrit à merveille les personnages de son roman qui sont hauts en couleur, attachants, beaux dans tous les sens du terme. Nos héros, des guerriers musclés, forts et redoutables, tombent toutefois sous le charme de certaines jeunes filles timides mais fort attirantes..

C'est donc en mettant une jolie touche très érotique aux récits des combats que Monica McCARTY nous conte la guerre des clans des chevaliers des Highlands, le tout se déroulant dans des paysages magnifiques et nous fait vraiment voyager par ses mots.

Je recommande ce livre aux amateurs du genre qui comme moi passeront un très bon moment de lecture.

 

 

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