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ANNONCE INTERVIEW MICHELLE MAZOUE VENDREDI 25 JUIN - dans la journée- SUR MON GROUPE FB

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

 

Bonjour les amis,

 

Hier LUNDI 21 JUIN 2021 j'ai réalisé ma 212ème interview.

 

Je vous donne rendez-vous le VENDREDI 25 JUIN 2021 (dans la journée) pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Michelle MAZOUE. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Michelle qui y répondra selon ses disponibilités.

 

 

A bientôt.

 

 

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INTERVIEW REALISEE CE JOUR AVEC MELANIE RAFIN AUTEUR SUR MON GROUPE FB

GROUPE LECTEURS – AUTEURS :

LA PASSION DES MOTS

__________

 

 

INTERVIEW AUTEURE

Mélanie RAFIN Auteure

 

 

JM : — Bonjour à tous,

 

  • Notre amie Mélanie RAFIN a gentiment accepté de répondre récemment à mes questions.

 

  • Je partage donc avec vous cet entretien à l’issue duquel vous pourrez, si vous le souhaitez, poser vos questions à Mélanie qui vous répondra selon ses disponibilités.

 

 

 

 

JM : — Bonjour Mélanie

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prête à « subir » mon petit interrogatoire ?

 

Mélanie : Je suis en pleine forme ! J’espère ne pas trop subir. Cet exercice constitue une grande première pour moi et je m’en réjouis.

 

 

JM : — Question habituelle, mais incontournable, peux-tu, tout d’abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Mélanie : Je m’appelle Mélanie. J’ai 36 ans… cet âge où nous sentons la quarantaine se rapprocher dangereusement ! J’habite dans une bourgade perdue de la région la plus belle du monde… la Bretagne bien sûr ! Je suis maman des deux plus beaux garçons de l’univers… comme tout le monde évidemment ! Au départ, je suis enseignante, mais ça, c’était avant !

 

 

 

JM : — Que représente pour toi l’écriture ?

 

Mélanie : L’écriture m’apporte une grosse dose d’évasion. Quand j’écris, j’ai le sentiment de voyager dans un monde à part. Je m’enferme dans ma bulle loin de tout. De plus, j’utilise ma plume pour transmettre mon ressenti profond sur la vie. C’est libérateur de pouvoir coucher sur le papier autant de sentiments. Je crois que l’on a tous eu envie un jour de hurler face aux situations de notre vie quotidienne. Je me sers de mon clavier pour m’exprimer.

 

JM : — Peux-tu nous parler de ton premier roman ?

 

Mélanie : Il s’agit d’une romance feel-good remplie d’humour. Le résumé : La monotonie de son existence entraîne Céline, 34 ans, à replonger dans ses souvenirs d’adolescence. Protégée par son écran, elle décide de contacter ses deux amis des airs, enfants de divorcés comme elle. Ils étaient trois à effectuer des vols bimensuels pour rendre visite à leur père respectif. Que sont devenus Antoine et Julien ? Quelle sera l’issue de cette démarche qui risque de compliquer sa vie bien organisée ?

 

Il m’est difficile de décrire davantage mon roman. Je vais laisser la parole à mes lectrices (oui, je crois que ce sont principalement des femmes !) en vous livrant deux avis :

Mireille : 5 étoiles amplement méritées.
Histoire captivante, de bout en bout très agréable à lire qui raconte le quotidien routinier et ennuyeux de la plupart des femmes qui ont décidé pour un certain temps de rester à la maison pour s’occuper de leur progéniture. Céline a un mari plus épris de sa liberté que de son épouse et de ses deux bambins, jusqu’au jour où tout bascule… Je n’en dis pas plus, lisez-le absolument
❤💜💚💙😍😘.

ClosDanne : Quel que soit notre âge, il me semble que l’on peut s’identifier à l’un ou l’autre des personnages de ce livre. Ils sont tous intéressants à découvrir, avec leurs qualités et leurs défauts. L’écriture nous emporte au fil des pages, nous fait passer de la colère au rire, en passant par beaucoup d’autres émotions.
Une chose est sûre : ce livre se dévore ! Bravo !
Je me réjouis déjà de découvrir un deuxième livre de cette auteure prometteuse !...

 

Je tiens d’ailleurs à remercier toutes mes lectrices tellement merveilleuses qui ont réussi à me faire verser ma petite larme à plusieurs reprises!

 

 

JM : — As-tu d’autres projets d’écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

Mélanie : Au moment où l’interview sera publiée, je pense que mon petit deuxième, « Pour que tu m’aimes un peu » sera sorti. Un petit morceau du résumé : Un chien étrange, un métier étonnant, un petit appartement sous les toits, et des amies aussi noctambules qu’elle, offrent à Estelle, 24 ans, une existence idyllique. Seule ombre à cette vie parfaite : Mathieu. Elle est folle de lui, mais il semble plus intéressé par sa vie étudiante que par sa chère et tendre.

Je suis resté dans un registre similaire au premier. Il s’agit d’une romance feel-good également. J’aime la bonne humeur !

Je travaille actuellement à l’écriture de mon troisième roman… encore une histoire d’amour… mais chut ! Je n’en dis pas plus.

 

JM : — Comment as-tu procédé pour créer les protagonistes de ton ouvrage et connaissais-tu, lorsque tu as commencé à écrire, la fin de l’histoire ou est-ce que tu as improvisé au fil des mots ?

 

Mélanie : La création de mes personnages s’inspire des gens que je côtoie ou que j’ai côtoyés. Je prends les traits de caractère de plusieurs personnes, je mixe le tout et j’obtiens des protagonistes qui correspondent à mon histoire.

Concernant l’histoire, lorsque j’écris j’ai une idée générale du chemin que je veux emprunter, mais je modifie au fil de la rédaction. Je me laisse porté par les personnages.

 

 

JM : — Sauf erreur de ma part, ce roman est une « romance feel-good ». Pourquoi ce choix ? Envisages-tu d’écrire dans un autre genre ?

 

Mélanie : Je suis d’un naturel hyper positif. Je ne me vois pas écrire un autre style pour le moment. Le monde est assez compliqué actuellement. J’aspire à le rendre plus doux le temps d’une lecture. De plus, je crois que je laisse mon côté fleur bleue s’exprimer dans mes écrits.

Dans la vie, je ris beaucoup et j’aime faire rire. J’ai voulu transmettre cela dans mes romans.

 

 

JM : — A qui as-tu confié ton manuscrit en première lecture (amie, membre de ta famille, bêta-lecteur) ?

 

Mélanie : Avec beaucoup d’appréhensions, je l’ai confié à mon mari et ma mère. Je savais qu’ils seraient tous les deux assez honnêtes et sans concessions pour me permettre de revoir mon manuscrit.

Je crois que c’est encore plus difficile de recevoir l’avis de personnes qui me connaissent. J’ai eu l’impression de me mettre mon âme à nue devant eux.

 

 

JM : — Comment as-tu procédé pour faire publier cet ouvrage ?

 

Mélanie : J’ai décidé de publier mes livres en auto-édition. Je voulais conserver mon autonomie. J’ai donc publié via Amazon Kdp.

 

JM : — Qu’as-tu ressenti lorsque tu as écrit le mot FIN ?

 

Mélanie : Oula ! Un mélange de sentiments : joie, soulagement, appréhension, fierté, excitation… Mais pour ce premier livre, l’appréhension était dominante. Je souffre du syndrome de l’imposteur commun à beaucoup d’auteurs. J’ai eu très peur que mon roman ne plaise pas. C’est sans doute pour cela que je suis extrêmement touchée à chaque commentaire positif !

 

 

JM : — Quels sont les bons et les mauvais côtés du métier d’auteure ?

 

 

Mélanie : Je vois principalement de bons côtés pour le moment. La liberté constitue l’avantage principal. Je n’ai pas de patron pour me dire quoi faire et quand le faire. Je gère mon emploi du temps à ma guise. Par ailleurs, je peux coucher sur le papier tellement de ressentis et d’états d’Âme que ce métier m’apporte bien plus que tous les autres.

Le mauvais côté réside peut-être dans la nécessité de communiquer. Je ne suis pas très vieille, pourtant je ne suis pas du tout intéressée par les réseaux sociaux. J’ai dû apprendre.

 

JM : — Lorsque la situation sanitaire le permettra, envisages-tu d’assister à des séances de dédicaces, de rencontrer tes lecteurs et tes lectrices ?

 

Mélanie : J’en serais ravie même si j’ai toujours peur de ne pas savoir quoi raconter. Je suis naturellement plus douée à l’écrit qu’à l’oral.

 

JM : — En dehors de l’écriture quelles sont tes passions ?

 

Mélanie : Je suis une grande cinéphile. Je dévore aussi énormément de séries. Je vais faire très nian nian mais je suis principalement passionnée par mon rôle de maman. Je ne trouve rien de plus valorisant et passionnant que de contribuer à faire grandir mes petits mecs.

 

JM : — Quelle est ta musique préférée et écris-tu en musique ?

 

Mélanie : J’écris toujours en musique. Je mets mes écouteurs sur mes oreilles. Cela me permet de rester dans ma bulle. J’ai des goûts très éclectiques et je crois que je suis très ringarde. Je suis une grande fan de la chanson française des années 80. Mais si je ne devais citer qu’un seul chanteur, je dirais Damien Rice.

 

 

JM : Quel est ton film ou ta série culte ?

 

Mélanie : Là encore, je suis encore très has-been. J’ai grandi dans les années 90. Je suis donc une inconditionnelle de la série « Friends ».

 

JM : — Quel livre aurais-tu aimé écrire ?

 

Mélanie : Sans hésiter : Harry Potter. Oui c’est très cliché. Mais je suis fasciné par la capacité de JK Rowlings à créer un univers si particulier. Puis, j’avoue que je ne serais pas contre l’idée de rencontrer, ne serait-ce que, le dixième de son succès.

 

 

JM : — Peux-tu nous donner une citation qui t’inspire ?

 

Mélanie : « Une femme qui n’a pas peur des hommes, leur fait peur » — Simone de Beauvoir.

C’est mon côté très féministe qui ressort. Puis, je crois que cette citation me définit très bien.

 

JM : — Quel mot te définit le mieux ?

 

Mélanie : Fascinante ! Non, je plaisante ! Exercice difficile de s’autodéfinir ! Je dirais Passionnée (voire un poil excessive).

 

 

JM : — Si tu étais : une fleur, une couleur, un animal, un dessert : tu serais ?

 

Mélanie : Une fleur : Un tournesol

Une couleur : le rose bien sûr !

Un animal : le carlin (j’en suis complètement dingue même si j’espère avoir un visage un tantinet plus attrayant)

Un dessert : Le mont Blanc (je suis accro à la crème de marrons. Mon postérieur ne me remercie pas !)

 

 

JM : Es-tu mer, montagne ou campagne ? Eté, printemps ou hiver ?

 

Mélanie : En vrai bretonne, je suis une inconditionnelle de la mer et de préférence en été. Même si le climat breton est quasiment identique en toute saison.

 

 

JM : — As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Mélanie : Un grand merci pour cette interview. Je suis touchée que vous ayez fait appel à moi. Aux lectrices et futures lectrices surtout n’hésitez pas à venir échanger avec moi. J’en serais ravie !

 

 

 

JM : — Merci Mélanie pour cet agréable moment passé en ta compagnie.

 

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d’autres questions à Mélanie qui se fera un plaisir de vous répondre sous ce post.

 

 

 

 

https://www.facebook.com/melanie.rafin.12

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui dimanche voici ma chronique concernant : "A L'OMBRE DU MONDE " tome 2

« A L'OMBRE DU MONDE »

Tome 2 – Le Réveil de l'oracle

Eric COSTA et Raquel URENA

Auto-edition

11 février 2021

558 pages

Présentation

 

Une île grecque, un peu avant minuit. Ariane, sa fille et son mari se retrouvent enfin seuls sur la plage féerique de Myrtos.

 

Lorsque la jeune historienne sort de l’eau, et qu’elle cherche les siens en vain, elle croit d’abord à une mauvaise plaisanterie. Mais quand toutes les preuves attestent qu’elle a voyagé seule et n’a jamais eu ni enfant ni mari, il ne reste que deux explications possibles.

 

Soit elle a rêvé sa vie, soit on la lui a effacée.

 

À moins de trois cents kilomètres de là, un homme accède à la plus haute fonction d’une Confrérie occulte. Il va enfin pouvoir se venger…

 

L'auteur

 

Armé de trois ans d'études en narratologie, Eric Costa glisse quelques exemplaires de son roman Aztèques dans sa valise et prend le train pour le salon du livre de Paris en mars 2017.
Il se demande ce qui va bien pouvoir en ressortir. Et pour cause : en tant qu’auteur indépendant, il ne s’est jamais rendu à un tel évènement et ne connaît personne. Que peut-il espérer ?

Malgré ses doutes, il tente sa chance au Speed-Dating Amazon, un concours qui propose de mettre en avant deux romans pour l’année 2017.
À sa grande surprise, les membres et les auteurs Amazon l'accueillent comme l'un des leurs. Encore mieux : son travail acharné et sa foi en l'écriture se voient récompensés par le prix du Jury Amazon KDP !
Aztèques gagne ainsi ses ailes.

Accrochez-vous à vos rêves. Là où il y a une volonté, il y a un chemin.
DÉJÀ PARUS :
The Prison Experiment (thriller sf - trilogie)
Aztèques, roman lauréat du Jury Amazon KDP salon Livres Paris 2017 (roman historique - trilogie)
À l'ombre du monde (thriller historico ésotérique - diptyque)
Réalités Invisibles : recueil de nouvelles fantastiques et étranges.

N'hésitez pas à regarder les vidéos pour en savoir plus !

Restons en contact :
Site de l’auteur : https://costaeric.fr/
Page auteur Facebook : https://www.facebook.com/CostaEric2/
Compte Twitter : https://twitter.com/CostaEric2
Compte Instagram : https://www.instagram.com/ericcosta33/

 

 

 

 

 

Mon avis

 

Je remercie Eric COSTA de m'avoir envoyé, en service de presse, le tome II de son roman « A L'Ombre du monde » . J'ai lu récemment le précédent opus que j'ai beaucoup aimé bien que peu habituée à lire des « Thriller ».

 

A la fin du premier tome, il faut dire que j'étais restée un peu sur ma faim, tant le suspense était grand et j'avais hâte d'en connaître la suite !

 

Ainsi j'ai retrouvé avec plaisir Ariane et Jean à Nice à la recherche de pistes leur permettant de retrouver Edrielle la fille d'Ariane. Parviendront-ils à la retrouver ?

Je ne vous en dirai pas plus et vous laisserai le découvrir par vous-mêmes mais toutefois, après lecture de ce roman, je me demande bien à qui l'on peut vraiment faire confiance...

 

Comme dans le tome 1 les auteurs nous embarquent sur des fausses pistes à un rythme incroyable et il est bien difficile d'arrêter la lecture de ce magnifique ouvrage, tant il est addictif.

 

J'ai beaucoup aimé ce thriller psychologique, ponctué d'ésotérisme, très bien écrit et documenté sur l'Antiquité Grecque, le sociétés secrètes.... que j'ai lu pratiquement d'une traite, qui m'a provoqué des angoisses mais m'a également passionnée.

 

Un grand BRAVO à Eric COSTA et Raquel URENA pour ce très bon moment de lecture qui séduira, j'en suis certaine, les amateurs du genre.

 

Page FB : https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

 


 

 

 

 

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ANNONCE INTERVIEW MELANIE RAFIN LUNDI 21 JUIN -dans la journée- SUR MON GROUPE FB

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

 

Bonjour les amis,

 

Hier VENDREDI 18 JUIN 2021 j'ai réalisé ma 211ème interview.

 

Je vous donne rendez-vous le LUNDI 21 JUIN 2021 (dans la journée) pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Mélanie RAFIN. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Mélanie qui y répondra selon ses disponibilités.

 

 

A bientôt.

 

 

 

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INTERVIEW REALISEE CE JOUR AVEC MELANIE LEBAS SUR MON GROUPE FB

GROUPE LECTEURS – AUTEURS :

LA PASSION DES MOTS

__________

 

 

INTERVIEW AUTEURE

Mélanie LEBAS

 

 

 

JM : - Bonjour à tous

 

 

Notre amie Mélanie LEBAS a accepté, récemment,   de répondre à mes questions.

 

Je partage donc avec vous cette interview, à l'issue de laquelle vous pourrez, si vous le souhaitez, poser vos questions auxquelles Mélanie répondra selon ses disponibilités.

 

 

 

 

JM : - Bonjour Mélanie

 

Comment vas-tu ? Es-tu prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Mélanie :

Bonjour Joelle, oui je suis vraiment très heureuse de participer à cette interview, merci à toi de me l’avoir proposé.

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Mélanie : Alors je m’appelle Mélanie, j’ai 28 ans, je suis ingénieure dans le spatial à Toulouse.

 

 

JM : - Peux-tu nous parler en quelques phrases de ton premier roman ?

 

Mélanie : Dans le Paris de 1940, Clair de Lune raconte l’histoire de Juliette, une talentueuse pianiste. L’hôtel dont sa famille est propriétaire est réquisitionné par la Wehrmacht, et son frère Etienne s’engage dans la Résistance. Il lui demande alors d’espionner un des officiers de l’hôtel, le capitaine Wilhelm von Stein, violoniste émérite. Juliette accepte de partager la scène avec lui et découvre, derrière l’uniforme de l’ennemi, un homme sensible qui n’est pas dénué de charme. Déterminée à aider son frère elle se retrouve déchirée entre sa mission et ses sentiments naissants.

 

 

JM : - Si mes sources sont bonnes ce roman est lauréat du Prix de la Romance 2021 Nouvelles-Plumes/France Loisirs. Comment as-tu réagi lorsque tu as appris cette excellente nouvelle ?

 

Mélanie :D’abord, j’ai ressenti de la surprise, je n’osais pas y croire, ça me tombait dessus d’un coup, puis j’ai vite été submergée par la joie. Voir mon premier roman lauréat du prix de la Romance, je n’aurais jamais pu espérer une si belle récompense, je suis vraiment très heureuse.

 

JM : - Ce premier roman est une “romance historique”. Pourquoi ce choix et envisages-tu d'écrire dans un tout autre registre ?

 

Mélanie : Je suis vraiment passionnée par la période de la 2eme guerre mondiale. Un jour, j’ai eu l’idée de ce roman. Ca me paraissait évident que je voulais raconter cette romance et pas une autre. Ce sont vraiment les personnages qui me sont apparus d’abord, et ensuite j’ai construit l’histoire dans le contexte fascinant du Paris occupé.

J’envisage tout à fait d’écrire dans un autre registre, on verra ce qui me tente !

 

JM : - Comment as-tu procédé pour effectuer tes recherches sur le plan historique ?

 

Mélanie : J’avais de bonnes connaissances de base, et ensuite j’ai fait mes recherches au fil de l’eau. J’ai lu des témoignages, des récits historiques, j’ai regardé des documentaires, et même visité des musées !

 

JM : - A qui as-tu confié ton manuscrit en première lecture (amie, membre de ta famille, bêta-lecteur ) ?

 

Mélanie : D’abord à des amis, ensuite à de la famille et enfin à des bêta-lecteur volontaires

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et peux-tu nous en dire quelques mots ?

 

 

Mélanie : Oui, je suis actuellement sur l’écriture de mon second roman. Egalement une romance historique qui raconte l’histoire d’un fils d’ouvrier et d’une fille de riche patron qui ont des rêves plein la tête et qui tentent de trouver leur place dans la France des années 30.

 

 

 

JM : - Que représente pour toi l'écriture ?

 

Mélanie : Je dirais une parenthèse, une bulle créative. Quand j’écris, je me plonge dans mon histoire, je suis habitée par mes personnages et plus d’autre n’existe, c’est une sensation que j’adore, je m’évade en quelque sorte.

 

 

 

JM : Comment écris-tu (sur des carnets, cahiers, fiches, écriture directe sur l'ordinateur) ?

 

Mélanie : Directement sur l’ordinateur pour beaucoup. Et ça m’arrive de poser des idées à la main sur un carnet.

 

 

 

 

 

JM : -Lorsque la situation sanitaire le permettra, envisages-tu de participer à des séances de dédicaces, de rencontrer tes lecteurs et lectrices ?

 

Mélanie : Oh oui, j’aimerais beaucoup rencontrer des lecteurs. J’adore échanger avec les gens !

 

 

JM : Es-tu sensible à la critique littéraire et penses-tu que les blogs, les réseaux sociaux aident les écrivains à promouvoir leurs écrits ?

 

Mélanie : Je trouve que c’est génial, ça créé des échanges entre auteurs, lecteurs, blogeurs. Pour les auteurs, ça leur offre une visibilité vraiment bonne à prendre et c’est aussi un moyen de créer des communautés.

 

 

JM : - Que penses-tu de l'édition numérique ? (avantages – inconvénients)

 

Mélanie : Pour partir en vacances c’est vraiment le top, et je n’y suis pas opposée. Je pense qu’il y a peu de chance que ça tue le livre papier, parce que encore beaucoup de lecteurs y sont attachés et c’est tant mieux !

 

 

 

JM : - Quels sont tes auteurs préférés ? Et quel est ton dernier coup de coeur ?

 

Mélanie : C’est difficile comme question, je n’ai pas un auteur en particulier en fait. Mon dernier coup de cœur c’est La Horde du Contrevent de AlainDamasio, ce livre m’a vraiment mis une claque !

 

 

 

 

JM : Lis-tu ? Si oui quel genre ?

 

 

Mélanie : Oui, je lis. Je n’appartiens pas à la famille des dévoreurs de livres, mais je lis pas mal. Pour le coup, je lis de tout : romance, fantasy, SF, polars, je n’ai pas un genre fétiche.

 

 

JM : - Quel livre découvert dans ton enfance t'a donné l'envie d'écrire ?

 

Mélanie : Je ne lisais pas beaucoup enfant, c’est venu plus tard chez moi. Par contre, j’ai toujours adoré me raconter des histoires, je jouais à la poupée, aux playmobils pendant des heures ! Plus tard, je me suis mise à écrire des nouvelles, et l’envie d’écrire un roman est partie de là.

 

 

JM : - Quel livre aimerais-tu offrir à un de tes amis ?

 

Mélanie : Mmh, je dirais la Passe-mirroir de Christelle Dabos

 

JM : - A quelle époque aurais-tu aimé vivre ?

 

Mélanie : A une époque où l’homme n’avait encore que très peu d’impact sur la biodiversité de notre magnifique planète ! Et pour le savoir et l’architecture, je dirais du coup : l’Antiquité

 

 

JM : - Quel est ton film, ta série culte ?

 

Mélanie : Titanic, sans hésitation.

En série : Friends

 

 

JM : - Quel genre de musique écoutes-tu et écris-tu en musique ?

 

Mélanie : J’aime la musique acoustique triste. Une voix avec un piano ou une guitare. J’écoute ça pour écrire. Et pour Clair de Lune, j’ai écouté beaucoup de musique classique, car c’est dans l’ambiance du roman.

 

 

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Mélanie : La plongée, le sport, la batterie, les voyages, passer du temps avec mes amis

 

 

 

 

JM : - Quelle est ta citation préférée ?

 

Mélanie : « Ne remets jamais à demain ce que tu peux faire dès aujourd’hui »

 

 

JM : - Si tu étais un fruit, une couleur, une fleur, un animal, un dessert ? Tu serais :

 

Mélanie :

Fruit : la framboise

Couleur : le rouge

Fleur : une tulipe

Animal : une otarie

Dessert : une tarte à la framboise

 

JM : - Si tu devais partir sur une île déserte quel objet incontournable à tes yeux emporterais-tu ?

 

Mélanie :une masque de plongée !

 

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Mélanie : Un grand merci à toi Joelle !

 

 

JM : - Merci Mélanie pour ce très agréable moment passé en ta compagnie.

 

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Mélanie qui y répondra sous ce post.

 

 

 

https://www.facebook.com/melanielebas.auteure

 

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ANNONCE INTERVIEW MELANIE LEBAS VENDREDI 18 JUIN -dans la journée- SUR MON GROUPE FB

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

 

Bonjour les amis,

 

Hier MERCREDI 16 JUIN 2021 j'ai réalisé ma 210ème interview.

 

Je vous donne rendez-vous le VENDREDI 18 JUIN 2021 (dans la journée) pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Mélanie LEBAS. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Mélanie qui y répondra selon ses disponibilités.

 

 

A bientôt.

 

 

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INTERVIEW REALISEE CE JOUR AVEC SOLENE BAKOWSKI SUR MON GROUPE FB

GROUPE FB

LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

 

__________________________________

 

 

INTERVIEW AUTEURE

Solène BAKOWSKI

 

 

 

 

JM : - Bonjour à tous

 

Notre amie Solène BAKOWSKI a récemment accepté de répondre à mes questions.

 

Je partage donc l'entretien que nous avons réalisé. Il n'y aura pas de questions-réponses mais cette interview vous permettra de mieux connaître Solène.

 

 

 

JM : - Bonjour Solène

 

⁃ Comment vas-tu ? Es-tu prête à répondre à mon petit interrogatoire  ?

 

Solène : Bonjour Joëlle, et merci pour cette invitation. Je suis prête à répondre à toutes tes questions.

 

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Solène :

  • J'ai 39 ans, j'habite à Paris avec mon mari et ma fille. J'ai publié à ce jour 6 romans dont le dernier, Rue du rendez-Vous, est paru en mai 2021 aux éditions Plon. Jusqu'à présent, on me cataloguait plutôt en littérature noire. J'opère une sorte de virage avec ce nouveau texte.

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes ouvrages ?

 

Solène : Ce sont des ouvrages qui ont pour point commun de mettre en balance l'ombre et la lumière. Le pire y côtoie le meilleur, le courage succède à la lâcheté. Comme dans la vie en somme. Je me méfie de ceux qu'on nous présente comme des héros, j'aime les fêlures, les gens cabossés. Nous le sommes d'ailleurs tous un peu, non ? Ce qui m'intéresse, c'est de gratter derrière le vernis des personnages.

 

 

JM : - Où peut-on trouver tes livres ? A combien d'exemplaires ont-ils été imprimés ?

 

Solène : Mes livres sont disponibles dans toutes les librairies. Il ne faut pas hésiter à passer commande s'ils ne sont pas en rayon.

Pour être honnête, j'ignore le nombre d'exemplaires imprimés. J'avoue que ces histoires de chiffre me dépassent un peu ;)

 

 

JM : - Ton dernier livre « Rue du rendez-vous » est sorti le 20 mai dernier. Peux-tu, pour nos amis, résumer en quelques phrases ce roman ?

 

Solène : Avec grand plaisir.

Ce soir-là, Alice Beausoleil quitte la boulangerie où elle travaille pour rentrer chez elle. Mais une grève inopinée des transports la pousse à s’engager, sous des trombes d’eau, dans la rue du Rendez-Vous. Dans ce quartier voué à la destruction et aux bulldozers, Marcel, un ancien bottier de quatre-vingt-sept ans, vit terré dans son vieil atelier. Il n’a ouvert sa porte à personne depuis vingt-cinq ans.

La jeune femme trempée toque à sa vitre. Est-ce parce que ses yeux disent le contraire du sourire qu’elle affiche, ou bien parce qu’il est seul depuis trop longtemps ? Toujours est-il que Marcel consent à lui offrir un abri.

À cet instant, tous deux ignorent que la vie leur a donné rendez-vous. De leur rencontre naîtra la certitude que la vie résiste toujours, même au milieu des ruines.

 

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en dire quelques mots ?

 

Solène : Je suis en train de commencer l'écriture d'un nouveau roman. Il me tient très à cœur, tellement à cœur que la peur de me tromper m'a empêchée d'écrire pendant de longs mois. Il m'a fallu du temps pour trouver le meilleur angle. Mais je crois que je le tiens enfin, je suis contente. Comme quoi, chaque nouveau texte est une aventure. Roman après roman, les doutes sont les mêmes : et si je n'étais plus capable d'écrire ? Et si je n'avais plus rien à dire ?

  •  

JM : - Que représente pour toi l'écriture ?

 

Solène : L'écriture représente une grande partie de ma vie. Je suis devant mon ordinateur plusieurs heures par jour et, quand je n'y suis pas, je ne cesse d'écrire dans ma tête et de penser à mes personnages, même la nuit. L'histoire que je suis en train de fabriquer ne me quitte pas jusqu'à ce qu'elle soit terminée.

  •  L'écriture m'apaise et me grise en même temps. Il y a des moments magiques où, au cours de l'écriture, l'imagination s'embrase et s'envole littéralement. Ma respiration s'accélère (d'après mon mari) et je suis littéralement projetée au cœur de l'action, un peu comme en transe. Durant ces quelques minutes, je peux pleurer, rire, je vibre, je suis un autre, je suis ailleurs. C'est assez rare mais lorsque ça se produit, c'est prodigieux. Je me demande si, au fond, je n'écris pas uniquement pour ressentir cette sensation.

 

JM : - Où trouves-tu l'inspiration pour créer les protagonistes de tes romans ?

 

Solène : Dans la vraie vie ! La réalité regorge de trésors, il n'y a souvent pas besoin de chercher loin pour trouver de merveilleux personnages.

 

JM : - Sauf erreur de ma part, tu as écrit des romans plutôt noirs, genre « Polar - thriller ». Envisages-tu d'écrire dans un autre registre ?

 

 

Solène : C'est justement ce que je te disais un peu plus haut. Si jusqu'alors mes romans étaient au rayon noir des librairies, j'amorce avec Rue du Rendez-Vous une sorte de virage. Je n'ai pas foncièrement changé de style mais j'ai l'impression qu'être rangée en littérature générale m'offre des perspectives plus grandes, un espace de liberté plus vaste.

  •  

 

JM : Comment écris-tu (carnets, cahiers, fiches, écriture directe sur l'ordinateur) ?

 

Solène : Je prends beaucoup de note à la main, sur un cahier d'écolier. Mais le gros de l'écriture se fait sur ordinateur. Je ne fais pas de fiches ni de plans détaillés. J'ai essayé, mais force est de constater que cette manière de procéder ne fonctionne pas pour moi. J'ai besoin de liberté, j'ai besoin d'être surprise par ce que propose mes personnages en cours de route. C'est ce qui rend à mes yeux l'exercice intéressant.

 

 

 JM : - Que ressens-tu lorsque tu écris le mot FIN ?

 

Solène : Je suis envahie par des sentiments ambivalents. Je suis à la fois triste de quitter mes personnages et soulagée d'être parvenue à les mener au bout du chemin.

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier tes livres ?

 

Solène : Je dois admettre que j'ai eu beaucoup de chance. J'ai publié en autoédition Un sac qui, par la magie du bouche à oreille, a rencontré un lectorat assez vaste. C'est grâce aux lecteurs, à leurs merveilleux retours de lecture, que mon roman a attiré l'oeil de la personne qui est devenue par la suite mon éditrice. Je suis très fière de dire que ce sont les lecteurs qui m'ont portée en librairie. C'est à eux que je dois cette merveilleuse aventure. Je leur en suis extrêmement reconnaissante.

 

JM : -Lorsque la situation sanitaire le permettra, envisages-tu de participer à des séances de dédicaces, de rencontrer tes lecteurs et lectrices ? Que ressens-tu à ces occasions ?

 

Solène : Ces rencontres sont toujours très riches et très réconfortantes. Les gens sont en général d'une incroyable bienveillance. J'ai eu la chance de participer à beaucoup de salons et de séances de dédicaces avant la pandémie et j'avoue que cela me manque beaucoup. On y reçoit beaucoup d'amour. Mais, hauts les cœurs, les événements reprennent peu à peu, il me tarde !

  •  

JM : - A qui confies-tu la première lecture de tes manuscrits (ami, membre de ta famille, bêta-lecteur) ?

 

Solène : Aujourd'hui, c'est mon agent, Lilas Seewald, qui lit mes textes en premier. On échange énormément en amont de l'écriture et au cours de celle-ci. Son regard m'est très précieux.

 

JM : Es-tu sensible à la critique littéraire et penses-tu que les blogs, les réseaux sociaux aident les écrivains à promouvoir leurs écrits ?

 

Solène : Bien sûr que je suis sensible à la critique littéraire. Chaque chronique est un cadeau.

Les blogs et les réseaux sociaux sont devenus indispensables, ils sont très prescripteurs.

 

 

 

 

JM : - A quel moment écris-tu (le jour, la nuit...) ? Et pendant combien d'heures ? En combien de temps écris-tu un ouvrage ?

 

Solène : J'écris le matin, entre trois et quatre heures.

Il me faut entre 6 et 9 mois pour écrire un roman mais il faut parfois des années pour qu'un texte émerge d'une idée.

 

 

 

JM : - Que penses-tu de l'édition numérique ? (avantages – inconvénients)

 

Solène : Je viens de l'édition numérique. J'en pense beaucoup de bien. Mais l'un des dangers, c'est qu'il n'y a pas de garde-fous. Je crois que cela ne peut fonctionner que si l'auteur accepte de s'entourer de gens de confiance, dont c'est le métier. Je parle tant de la forme (mise en page, corrections ortho-syntaxiques, couverture) que du fond.

 

 

 

JM : - Quels sont les auteurs qui t'ont donné l'envie d'écrire ?

 

Solène : J'ai pensé à écrire dès que j'ai su tenir un stylo. Je crois que c'est d'abord l'amour des mots qui m'a poussée à écrire. À six ans, j'écrivais de la poésie ; à sept, j'inventais des pièces de théâtre ; à neuf, je créais un petit journal dans mon école et y rédigeais des articles. En parallèle, au fil de ces années, j'ai découvert Le petit prince de St Exupéry, que j'ai appris presque par cœur. Et puis, avec le collège, j'ai lu Oscar Wilde, George Sand, Pagnol. Au lycée, là encore, j'ai découvert des trésors. Aujourd'hui, je dirais que l'auteur qui m'inspire le plus est Romain Gary. Je l'ai découvert tardivement et je dois admettre qu'il me subjugue.

 

 

JM : - Quel conseil souhaiterais-tu donner à un lecteur qui désire devenir écrivain ?

 

Solène : De lire, d'y croire, d'avoir envie et d'être tenace.

 

 

JM : - Si mes sources sont bonnes, « Parfois on tombe » a remporté le Prix de la Chapelle-Montreuil en 2015 , «Un Sac », le Prix Amazon auto-édition également en 2015 et « Une Bonne intention », le Prix Le Géant du Polar en 2018.

Qu'as-tu ressenti lors de ces remises de prix ?

 

Solène : J'ai ressenti beaucoup de fierté et de reconnaissance.

 

JM : Lis-tu ? Si oui quel genre ?

 

 

Solène : Je lis énormément et tous les genres.

 

JM : - Quel est ton dernier coup de cœur littéraire ?

 

Solène : L'embaumeur d'Isabelle Duquesnoy. Une merveille d'écriture, d'humour et d'histoire. Bref, une merveille tout court !

 

JM : - Que préfères-tu : écrire ou lire ?

 

Solène : C'est une question difficile. Je dirais que ça dépend des moments.

 

JM : - Quel genre de musique écoutes-tu ? Ecris-tu en musique ?

 

Solène : J'ai des goûts musicaux très éclectiques et j'adapte ce que j'écoute en fonction de ce que j'écris. Ce qui répond à ta question : j'écris en musique, cela offre un soutien à mon imagination. En revanche, je relis dans le silence complet et à voix haute. J'ai besoin d'entendre le rythme, la musicalité de la phrase.

 

JM : - Quel est ton film ou ta série culte ?

 

Solène : Je pourrais revoir Jean de Florette et Manon des Sources (version 1986 avec Gérard Depardieu et Daniel Auteuil) indéfiniment sans me lasser.

 

JM : - A quelle époque aurais-tu aimé vivre ?

 

Solène : Toutes, sans exception. J'aimerais pouvoir voyager dans le temps, je suis curieuse.

 

 

 

JM : - Si tu devais partir sur une île déserte quel objet incontournable à tes yeux emporterais-tu ?

 

 

Solène : Une baguette magique.

 

 

 

JM : En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Solène : Je confesse que l'écriture, chez moi, laisse peu de place au reste...

 

 

JM : - Quelle est ta citation préférée ?

 

Solène : « Il y souvent plus de choses naufragées au fond d'une âme qu'au fond de la mer » de Victor Hugo.

 

 JM : - Quel mot te définit le mieux ?

 

Solène : C'est une question difficile qu'il faudrait poser à ceux qui me connaissent ;)

 

 

 

JM : - Si tu étais un fruit, une couleur, une fleur, un animal, un dessert ? Tu serais :

 

Solène : Si j'étais un animal, je serais un écureuil.

Si j'étais une couleur, je me situerais quelque part entre le marron doré et l'orange. J'aime les couleurs chaudes ;)

 

 

JM : - Merci Solène pour ce très agréable moment passé en ta compagnie.

 

 

Vous pouvez me retrouver sous nom sur Facebook , Instagram, Twitter ou, encore, sur

http://solene-bakowski.com/

 

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ANNONCE INTERVIEW SOLENE BAKOWSKI MERCREDI 16 JUIN -dans la journée - SUR MON GROUPE FB

ANNONCE INTERVIEW SOLENE BAKOWSKI MERCREDI 16 JUIN -dans la journée - SUR MON GROUPE FB

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

 

Bonjour les amis,

 

Hier LUNDI 14 JUIN 2021 j'ai réalisé ma 209ème interview.

 

Je vous donne rendez-vous le MERCREDI 16 JUIN 2021 (dans la journée) pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Solène Bakowski. Il n'y aura pas de questions/réponses mais cet échange vous permettra de mieux connaître Solène.

 

A bientôt.

 

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Bonjour aujourd'hui lundi voici ma chronique concernant : "JEANNE COURAGE"

« JEANNE COURAGE »

Marie de PALET

Editions de BOREE

6 mai 2021

336 pages

 

 

Présentation

 

 

Victime d’une tentative de viol, Jeanne Grison est renvoyée. Jeanne et Julien, témoin de la scène, quittent alors Blachères pour Uzès où Jeanne occupe un emploi de domestique. Elle entre ensuite au service d’un notaire de Mende avant de retrouver Julien à Blachères, qu’elle épouse et dont elle a un fils, André. En parallèle, Blachères se trouve bousculé par un assassinat et une agression. Julien est arrêté et envoyé en prison sans preuve. Il est libéré après quelques mois mais le doute s’est instillé dans la tête des villageois… Combien d’autres attaques avant que l’on démasque le coupable ?

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Extrait

 

« Si tu voulais, on pourrait être heureux ensemble. »

- Tu dois te demander ce que je viens faire chez foi ?

- Vous cherchez une servante ? fit Jeanne qui s'en était doutée dès qu'elle l'avait vu entrer.

- Pas exactement répondit Julien en levant les yeux. J'aimerais mieux une femme...

- Une femme !

- Oui. Je sais que c'est un peu cavalier de te demander ça comme ça, mais il y a longtemps que Je pense à toi... Je dirais même que je n'ai jamais oublié la jeune fille... Tout le long du chemin jusqu'à Uzès, j'ai pu constater que tu étais courageuse et gentille. Mais tu n'étais qu'une gamine, et moi un vieux à tes yeux... Puis tu as trouvé du travail et je t'ai laissée tranquille. Mais tu es seule et je suis seul. Je ne suis pas riche, mais on pourrait vivre sans soucis...

L'auteure

 

Marie de Palet est née à Mende, en Lozère, en 1934. Elle y poursuit ses études pour devenir institutrice. Un jour lui vient l'envie d'écrire la vie de sa grand-mère, puis, au fil de la plume, elle se met à raconter une toute autre histoire : ce fut son tout premier roman.


Sa notoriété s’est développée à l’heure de la retraite, lorsqu’elle a abandonné son stylo rouge d’institutrice pour sa plume d’écrivain. Lozérienne de racines et de cœur, elle met en scène sa province d'origine dans ses livres, dans lesquels elle dévoile sa connaissance intime du monde paysan d'autrefois. Un succès mérité jamais démenti.


Mon avis

Je remercie les Editions de BOREE et en particulier Virginie de m'avoir permis de lire, en service de presse, « Jeanne courage », roman de Marie de PALET, auteure dont j'ai lu pratiquement tous les ouvrages tant j'aime sa plume magnifique.

 

Marie de PALET nous emporte au XIXème siècle à Blachères en Lozère où nous faisons connaissance avec Jeanne. Celle-ci se fait agresser par Nicolas, un ami de son patron mais heureusement elle est sauvée par Julien.

Afin de fuir les rumeurs des villageois, Jeanne part en ville, à Uzès chez sa tante. Trouvera-t-elle enfin le bonheur ?

 

Nous découvrons le destin de cette jeune fille qui comme le titre du livre l'indique, est courageuse et va devoir affronter de nombreuses épreuves.

L'histoire est intéressante pleine de rebondissements et de suspense.

 

L'auteure aborde avec brio la vie paysanne, les différences de classes sociales, les calomnies en milieu rural où tout le monde se connaît, la vie difficile des femmes à cette époque.

 

J'ai bien aimé ce beau roman régional, facile à lire et qui séduira les amateurs du genre.

 

Bonne lecture.

 

Page FB : https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

 

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INTERVIEW REALISEE CE JOUR AVEC GUILLEMETTE DE LA BORIE SUR MON GROUPE FB

GROUPE LECTEURS – AUTEURS :
LA PASSION DES MOTS
__________

 
INTERVIEW AUTEURE
Guillemette de la BORIE

 
JM : - Bonjour à tous

 
 Notre amie Guillemette de la BORIE  a accepté, récemment, de répondre à mes questions.

 
 Je partage donc avec vous cet entretien à l'issue duquel, Guillemette répondra selon ses disponibilités. 
JM : - Bonsoir  Guillemette

 
⁃ Comment vas-tu ? Es-tu prête à « subir mon petit          interrogatoire » ?

 
Guillemette : bien sûr ! C’est un tel plaisir de parler de sa passion...

 
JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 
Guillemette :  j’ai eu plusieurs de métiers dans ma vie, prof d’histoire(s), journaliste, pour les enfants puis les adultes, auteur de guides d’éducation, de contes pour les enfants...Donc toujours en lien avec l’histoire et les mots, mais je ne m’en suis rendue compte qu’après ! 
J’ai beaucoup voyagé, parce que j’ai passé toute mon enfance à l’étranger, notamment en Afrique. Et puis j’y suis revenue adulte pour enseigner. Récemment, j’ai passé plusieurs années à Rome, quelle chance ! 
Une autre caractéristique ? J’aime vivre avec des enfants, même si c’est absolument incompatible avec l’écriture. Et je suis très très gâtée, car j’ai dix petits-enfants dans ma vie. Ce n’est pas un secret, puisque je leur dédicace souvent mes livres, et qu’ils sont coupables de beaucoup de mes retards. 
J’aurais peut-être dû commencer par dire que je suis née à Belvès, une jolie petite ville médiévale du Périgord, et que si j’ai commencé à écrire des romans de terroir, c’est qu’il me fallait une bonne excuse pour y retourner ! Faire des recherches documentaires, interroger les Anciens, apprendre un (tout petit) peu d’occitan, observer, ressentir...

 
JM : - Peux-tu nous parler de tes livres ?


 
Guillemette : Plus que “auteure” ou "écrivaine", j’aime bien me définir comme “raconteuse d’histoires”, que ce soit des histoires vraies ou imaginaires, mais qui parlent du vrai. J’ai du bonheur à transmettre, et je trouve cela important. Vous savez bien, il faut des racines pour développer ses ailes ! 
C’est de cela dont je parle, en particulier dans les romans dits “du terroir”, mais qui racontent la vie tout court, à toutes les époques. J’aime bien mettre en scène plusieurs générations, montrer ce qu’elles se transmettent entre elles, parfois sans même le savoir. Et comme je suis un peu prof, je m’appuie sur une documentation la plus riche et exacte possible. Il faut me pardonner mes “petits cours” sur les sujets qui me tiennent à coeur ! La vigne et le vin par exemple, ou bien l’architecture des maisons...

 
JM : - Si ma mémoire est bonne, tu as écrit des biographies, des livres pour enfants et adolescents, des romans du terroir.. Pourquoi ces choix variés ? Envisages-tu d'écrire dans un tout autre registre ?
Guillemette : j’ai écrit aussi des articles, des nouvelles, des guides d’éducation, fait des traductions, et même des dossiers de presse pour un petit festival de musique dont je m’occupe dans ma région. Des reportages radio aussi. Je me suis essayé au scénario, sans succès jusqu’ici. Ce sont toujours des mots, ces outils magiques pour communiquer et transmettre, des informations et des émotions, ou les deux ensemble. Je suis preneuse de tout autre registre ?





 
JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en dire quelques mots ?


 
Guillemette : oh mais oui ! Je suis immergée en ce moment dans les aventures incroyables des tableaux du Louvre pendant la dernière guerre : ils ont quitté Paris avant l’arrivée des Allemands, se sont arrêtés à Chambord, ont continué leur fuite jusqu’à Montauban, puis ont été dispersés dans des dizaines de maisons, châteaux, granges disséminés le long de la vallée de la Dordogne. 
Après le premier confinement, quand on avait droit à 100 km autour de chez soi, j’ai commencé ma documentation en “frappant à la porte” de certains lieux qui les avaient accueillis. Eh bien, il y avait des habitants qui avaient vécu cela dans leur jeunesse, s’en rappelaient, et m’ont raconté ! Une expérience formidable ! A paraître à la fin de 2021. 


 
JM : -Lorsque la situation sanitaire le permettra, penses-tu assister à des séances de dédicaces ?

 
Guillemette : Bien sûr, je suis très disponible ! 

 
JM : - Quel est ton plus beau souvenir lors d'une rencontre avec tes lecteurs ?

 
Guillemette : quand une lectrice ( ce n’est jamais arrivé avec un lecteur ???) me parle d’un de mes personnages en me disant, “Ensuite, il va surement faire ceci”, ou bien “il a pensé cela”.  Cela veut dire que le personnage vit sa propre vie, en-dehors des pages du livre, en-dehors de moi ! C’est une grande émotion. 

 
JM : - Es-tu sensible à la critique littéraire et penses-tu que les blogs, les réseaux sociaux aident les auteurs à promouvoir leurs écrits ?

 
Guillemette : J’aime beaucoup savoir ce que les autres pensent et ressentent sur un livre que j’ai aimé. Alors si je peux lire ce que des dizaines de lecteurs pensent, je suis contente. Je suis toujours stupéfaite de voir comment les avis, les ressentis peuvent être différents ! C’est la richesse des blogs. Une nouvelle façon de se retrouver autour d’un livre, comme si on bavardait en bibliothèque…
La critique sur mes livres à moi ? C’est très important ! Souvent, je trouve que le critique qui critique a raison : ce qu’il dit, je le sentais sans avoir mis le doigt, ou plutôt le mot dessus. Donc je peux y travailler. Et s’il n’a pas compris ce que je voulais faire passer, cela ne me fait pas plaisir, évidemment, mais me donne plutôt envie d’ y arriver, ailleurs et autrement. 



 
JM : - Quand écris-tu (la nuit, le jour) et pendant combien d'heures ? En combien de temps écris-tu un ouvrage ?

 
 Guillemette : J’écris comme un diesel ! Il me faut beaucoup de temps pour entrer dans la peau d’un univers, d’un personnage, d’une époque. Je traîne, j’accumule la doc, je vais sur place, je cherche à décrire un détail qui n’a aucune importance. Et puis au bout de quelques jours (si tout va bien !) j’y suis ! Et là je ne m’arrête plus, j’y pense tout le temps, j’écris le matin ce que j’ai mis en forme la nuit, j’en oublie l’heure.  Evidemment, c’est quand le moteur est bien en route  que la vraie vie m’oblige à m’arrêter !
J’écris aussi comme un tournesol, c’est-à-dire en cherchant la lumière et la chaleur. Alors je déplace mon ordinateur partout, selon la course du soleil, tout près du feu de cheminée, de la fenêtre ou du radiateur…
Enfin, je travaille comme un oignon: je repasse dix fois sur les mêmes phrases, en rajoutant une couche de détails, d’adjectifs à chaque fois. Quelquefois, je l’épluche ensuite pour la retrouver brute, et plus juste.  
Il me faut plus de deux ans pour écrire un livre: je fais beaucoup de recherches de documentation ; le temps de l’écriture elle-même doit représenter un an à temps super plein ? Mais ça ne marche pas comme ça, cf ci-dessus !  


 
JM : - A qui confies-tu tes manuscrits en première lecture (amie, membre de ta famille, bêta lecteurs) ?

 
Guillemette : j’ai une amie formidable, qui écrit des livres aussi, très différents (des récits, mais pas de fiction) et d’une manière plus rigoureuse que moi. Donc, elle voit tout ce qui ne va pas dans mes livres, et moi je vois ce qui ne va pas dans les siens.  Nous avons fait le pacte d’être méchantes l’une envers l’autre: il faut oser se dire les choses si on veut les améliorer. Quelquefois c’est vraiment dur...mais toujours utile ! Au bout de vingt ans, on n’est toujours pas fâchées ! 
j’ai aussi un fils qui détecte les erreurs de chronologie (enfin maman, tu crois qu’il peut partir à la guerre à 5 ans ?) et un mari qui sonne l’alerte quand il trouve que les hommes ne sont pas assez consistants dans mes histoires...

 
JM : -  Où trouves-tu l'inspiration pour créer les protagonistes de tes livres ? Improvises-tu ou est-ce que tu connais la fin de tes histoires avant d'en commencer l'écriture ?

 
Guillemette : l’inspiration, elle est dans la vie ! J’adore observer ce qui se passe dans la rue, un café (du temps où…) le bus, au marché...Ensuite, je touille, j’essaie des mélanges, je transpose dans une autre époque, j’imagine ce qu’ils ou elles feraient si...Quand je commence à les aimer, j’ai totalement oublié totalement les “modèles” de départ. 
Ensuite, ce sont les protagonistes qui m’entraînent, et je ne sais pas très bien où au début. Ce qui m’oblige souvent à recommencer d’écrire le roman de façon plus structurée, quand eux, ils ont fini leur vie !

 
JM : - Quel est ton plus grand rêve ?

 
Guillemette : j’aimerais beaucoup qu’un de mes romans devienne un scénario et un film !  Et aussi, je voudrais écrire la biographie d’une femme de notre temps, vivante, dont personne n’a jamais encore sondé la vie. Je la cherche depuis longtemps...à bon entendeur ? 



 
JM : - Quels sont les auteurs qui t'ont donné l'envie d'écrire ?

 
Guillemette : Les raconteurs d’histoire, de sagas au long cours …. C’est encore vrai aujourd’hui: je viens de finir le troisième tome des Cazalet 
(Elisabeth Howard) : les personnalités de femmes et d’enfant y sont si vivantes que cela me donne envie d’entrer en conversation avec elles !

 
JM : - Quels conseils donnerais-tu à des lecteurs qui souhaitent se lancer dans l'écriture ?

 
Guillemette : se lancer justement ! Commencer à aligner des mots, voir où cela mène, choisir de décrire quelqu’un ou quelque chose, un sentiment, jouer avec les phrases,l e plaisir d’approcher ce que l’on veut dire. Il sera toujours temps de construire après, quand on sait ce que l’on veut dire...Enfin, c’est comme cela que je fais, mais ce n’est pas le plus rapide !




 
JM : - Lis-tu ? Si oui quel genre ?

 
Guillemette : quand je suis en période d’écriture, je ne lis que sur mon sujet (et la PAL est haute!) Sinon, les univers se bousculent dans ma tête, je n’arrive plus à me concentrer. 
En-dehors, je lis beaucoup, mais je ne m’oblige pas à finir un livre qui ne m’accroche pas. Alors, mon adorable bibliothécaire me voit souvent...J’aime qu’on me donne des conseils, qu’on m’offre un livre, j’aime les récits historiques autant que les intrigues contemporaines, la psychologie m’intéresse, les biographies aussi. Je n’aime pas lire dans des livres de poche, j’aime relire plusieurs fois des textes, j’aime la littérature étrangère qui me déplace malgré moi, etc...etc...Je continue encore ? 




 
JM : - Si tu devais organiser un dîner littéraire qui convierais-tu à ta table ?

 
Guillemette : oh non, je serais bien trop intimidée ! Est-ce que je peux m’installer en petite souris sous la table, pour écouter parler toutes ces contemporaines qui nous parlent de nous, à travers des histoires très différentes ? Françoise Sagan, Delphine de Vigan, Alice Ferney...Je ne veux pas citer, il y en a tellement, et j’oublierais la plus importante !



 
JM : - Quel est  ton endroit préféré, source d'inspiration (pièce de ta maison – ville - région – pays) ?

 
Guillemette : le Périgord bien sûr ! Peut-être parce que j’y reviens toujours...Mais je suis tombée tour à tour amoureuse de l’Italie, de l’Inde, du Sahel...


 
JM : - Si tu étais une fleur, un dessert, un personnage de roman tu serais ? 


 
Guillemette :Je choisis le camélia, pour ses fleurs rondes et rouges, pas parfaites du tout mais si parfumées. 
je choisis une galette bretonne, pour son mélange de sucré et de salé. 
Enfin je choisis Ludivine, une héroïne des Gens de Mogador, vieux roman oublié, pour sa longévité d’un siècle, et tout ce qu’elle a vu et compris dans sa vie ! 


 
JM : - As-tu des animaux de compagnie ?

 
Guillemette : j’habite chez un couple de ravissantes palombes, qui acceptent que je passe de temps en temps dans le jardin...
Je n’ai plus de chien, et à chaque fois que je marche, il me manque...je voudrais être accompagnée. Du coup, j’en mets plein dans mes livres. J’entretiens avec les chats des relations plus distantes...

 
JM : - Quel est ton proverbe préféré ?

 
Guillemette : Jamais plus toujours ?  La vie quoi ...


 
JM : - Aimes-tu le cinéma ? Quel est ton film culte ?

 
Guillemette : En ce moment le cinéma, le vrai, celui qu’on partage avec des amis pour en parler après, s’apercevoir qu’on n’a pas vu et compris la même chose, hum...
Je suis en train de découvrir les séries, avec beaucoup de retard ( la faute aux périodes d’écriture, cf ci-dessus !)  Des voix différentes, des univers remarquablement décrits, des constructions millimétrées...Il y a des choses formidables ! Et les confinements m’ont permis de revoir de grands classiques, les Sautet, les Lelouch...Intéressant de voir comme cela a vieilli, comme nous sommes entrés dans un autre monde !  

 
JM : - Peux-tu nous donner une de tes qualités ? Un défaut ?

 
Guillemette : une qualité: j’aime les gens…
un défaut: je ne suis pas du tout rigoureuse...Et je n’aime pas beaucoup cet exercice ! Si on parlait des autres ? 

 
JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 
Guillemette : je suis surtout prête à répondre à toutes les questions :)!


 
JM : - Merci Guillemette de la BORIE pour cet agréable moment passé en ta compagnie.

 
Les amis, vous avez la parole :  vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à  Guillemette qui y répondra sous ce post.


 

 

 

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