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Bonjour aujourd'hui samedi voici ma chronique concernant : "GAILLAND, PERE ET FILS"

« GAILLAND, PERE ET FILS »

Gérard GLATT

PRESSES DE LA CITE

TERRES DE FRANCE

6 mai 2021

398 pages

 

 

Présentation

 

Tout l'amour d'un père pour son fils à la jeunesse foudroyée à la suite d'un accident de voiture. Entre Savoie et Bretagne, un roman bouleversant sur le puissant lien filial.

Chaque jour, sous les yeux de Chris, se déploie la beauté immuable de la chaîne des Aravis.


Un matin qu'il observe ses montagnes à la longue-vue, la vision d'un corps suspendu au-dessus du vide le renvoie brutalement à son passé.
Juillet 1990. Ils étaient six copains qui fêtaient à Chamonix la fin de leur année d'études. La conduite folle dans les lacets. L'accident. Lui seul touché de plein fouet. Des jambes devenues inertes, inutiles, une vie atomisée...
C'est son père qui, dans un flot d'amour, accompagne le rescapé, tente de lui reconstruire pierre par pierre sa jeunesse perdue. Mais il ne peut s'empêcher de penser aux amis de son fils unique qui l'ont rayé de leur existence. Cette vie pleine de promesses à laquelle Chris avait droit lui aussi, n'est-ce pas eux qui la lui ont volée ?


Entre Savoie et Bretagne, un suspense poignant sur la puissance du lien filial.


 

L'auteur

Gérard Glatt est né en 1944, à Montgeron, quelques semaines avant la Libération.


Ses premiers bonheurs, c’est la maladie qui les lui offre, à sept ans, quand une mauvaise pleurésie le cloue au lit pendant des mois : il découvre la lecture. Pendant ses études secondaires à Paris, Gérard Glatt a pour professeurs l'écrivain Jean Markale, spécialiste de la littérature celtique, et René Khawam, orientaliste renommé et traducteur des Mille et Une Nuits.  Il rencontre également Roger Vrigny – l'année où celui-ci reçoit le prix Femina – et Jacques Brenner, éditeur chez Julliard. L'un et l'autre l'encouragent à poursuivre ses débuts littéraires. Quelques années plus tard, entré dans l'administration des Finances, il fait la connaissance de Pierre Silvain, sans doute l'une des plus fines plumes contemporaines, qui le soutient à son tour. En 1977, il publie son premier roman, Holçarté, chez Calmann-Lévy. Auteur d'une dizaine d'ouvrages (romans, poésies, livres pour la jeunesse), Gérard Glatt ne se consacre aujourd'hui qu'à l'écriture. Il partage son temps entre la région parisienne et la Bretagne et tient activement un site : www.gerard-glatt.net.


 


 

Mon avis

Je remercie les Editions PRESSES DE LA CITE et en particulier Marie-Jeanne de m'avoir permis de lire, en service de presse, « Gailland, père et fils », roman de Gérard GLATT, auteur dont j'ai lu tous les ouvrages tant j'aime sa plume fluide et précise.


 

Gérard GLATT nous fait voyager entre Haute-Savoie et Bretagne. Nous sommes en 2018 et nous découvrons Chris, la cinquantaine qui, dans son fauteuil roulant, regarde avec ses jumelles la chaîne des Aravis, montagne Haut-Savoyarde. Il aperçoit alors le corps sans vie d'un homme.. Mais qui est-il ?


 

Les souvenirs de l'accident de voiture dont il fut victime en juillet 1990 après une soirée arrosée entre amis, lui reviennent. Ses amis ont eu la chance de ne pas avoir de séquelles mais Chris a perdu l'usage de ses jambes.


 

L'auteur nous conte le combat du père de Chris qui ne pouvant accepter que son fils ne puisse remarcher sans que justice soit faite, entreprend des recherches pour retrouver les six amis qui ont lâchement abandonné son fils après l'accident.


 

Gérard GLATT nous offre un magnifique roman sur le lien filial. Comme à son habitude, il décrit à merveille les paysages de Haute-Savoie et de Bretagne, régions qu'il connaît fort bien. Il en est de même pour les protagonistes de son roman qu'il sait rendre authentiques. J'ai beaucoup aimé Odile, la douce maman de Chris.


 

L'intrigue est intéressante et le suspense bien mené tient vraiment le lecteur en haleine. Certains pans mystérieux se dévoilent tout doucement à la lecture des carnets écrits par Gailland père lorsque son fils était à l'hôpital.


 

Gérard GLATT aborde avec brio divers thèmes tels que l'amour filial, le désir de vengeance, le pardon, le handicap, les secrets..

J'ai ADORE cet ouvrage bouleversant, un peu noir certes mais tellement émouvant que je l'ai lu d'une traite et refermé à regret.


 

Un très bon moment de lecture que je recommande aux amateurs du genre.

Page FB :https://www.facebook.com/joellemarchal74/


 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com


 


 


 


 

 

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ANNONCE INTERVIEW FREDERIQUE HESPEL A. LUNDI 7 JUIN 2021 -dans la journée- SUR MON GROUPE FB

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

 

Bonjour les amis,

 

Hier VENDREDI 4 JUIN 2021 j'ai réalisé ma 206ème interview.

 

Je vous donne rendez-vous le lundi 7 JUIN 2021 (dans la journée) pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Frédérique HESPEL. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Frédérique qui y répondra selon ses disponibilités.

 

 

A bientôt.

 

 

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INTERVIEW REALISEE CE JOUR AVEC SYLVIANE BLIN A SUR MON GROUPE FB

INTERVIEW AUTEURE

Sylviane BLIN Auteure

 

 

JM : - Bonjour à tous,

 

Notre amie Sylviane BLIN a accepté de répondre, récemment, à mes questions.

 

A l'issue vous pourrez, si vous le souhaitez, poser vos questions à Sylviane qui y répondra en direct ou plus tard en fonction de ses disponibilités.

 

JM : - Bonsoir Sylviane

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prête à « passer sur mon gentil gril » ?

 

Sylviane :

Bonsoir Joëlle, je vais très bien et je suis prête à passer sur ton gentil gril avec un immense plaisir !

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Sylviane :

Parler de moi est toujours un exercice difficile, c’est pourquoi je vais aller à l’essentiel. Je vis dans les hauts de France (dans l’Oise normande plus précisément). Dans la vie, j’exerce la profession de comptable, mais de façon sporadique.

Courant 2018, lorsque j’ai appris que la société dans laquelle je travaillais depuis plusieurs années allait fermer, j’ai pris la décision de ne plus me lier définitivement à une entreprise. Une décision mûrement réfléchie car je souhaitais disposer de plus de temps pour écrire d’une part et je sentais que la stabilité en entreprise n’était plus vraiment faite pour moi (au bout d’un moment j’ai les pieds qui s’engourdissent 😊).

La crise sanitaire qui a débuté en mars 2020 et qui perdure, n’a fait que me conforter dans mes choix. Je regarde la vie sous un autre angle à présent et préfère me consacrer à ce qui est le plus important à mes yeux : l’écriture.

 

Toutefois, j’ai besoin de temps à autre de rompre la solitude de l’auteur et retrouver une vie sociale, voir des visages, m’imprégner de nouveaux environnements, c’est important pour moi et… Mon inspiration.

 

 

 

JM : - Que représente pour toi l'écriture ?

 

Sylviane :

Pour reprendre mes propres termes : Elle m’inspire une forme de paix que rien ne peut égaler. Toutes les étapes de la construction d’un roman sont des moments passionnants faits d’instants de doute et d’émerveillement. J’ai parfois la sensation que mon stylo (ou bien mon clavier) est une sorte de baguette magique. Dans notre vie, si nous commettons des erreurs, si nous faisons de mauvais choix, nous ne pouvons plus revenir en arrière. Ce qui est fait est fait. Avec l’écriture nous avons cette faculté de jouer avec le temps, de gommer les ratures, effacer les erreurs et par conséquent, changer le passé de nos protagonistes. Notre plume possède même le pouvoir de chasser la brume. C’est une sorte de toute puissance. Mieux encore, donner vie à des personnages tout droit sortis de notre imagination, raconter leurs histoires et rendre heureux les lecteurs parce qu’ils ont passé un bon moment de lecture est l’ultime récompense.

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes romans ?

 

Sylviane :

Je pense que pour ce genre de chose, un auteur ne peut être objectif ! C’est avant tout le lecteur qui en parle le mieux. Si tu me le permets je vais donc leur laisser la parole avec ces quelques retours de lecture :

 

Les couleurs de la nuit :

« Énorme coup de cœur pour cette lecture, même le mot coup de cœur n'est pas assez fort pour représenter mon ressenti sur cette lecture. Ce que je peux vous dire, c'est que j'ai pleuré ma vie, avec cette lecture, oui des moments tristes, mais surtout la beauté pure de cet amour. Une histoire pleinement à la hauteur de Love Story, une histoire qui m'a littéralement gardé captive jusqu'à la fin. L'auteure nous enveloppe dans un nuage de mystères, elle nous offre des personnages hors de l'ordinaire, attachants surtout. Elle nous entraîne dans un suspense assez incroyable et termine le tout avec une fin qui nous jette par terre et en larmes. »

 

Léa et Paterson – Cornwand

« Depuis la saga Harry Potter, je ne m'étais jamais replongée dans une lecture côtoyant l'univers de la magie au sens propre du terme : magie blanche et noire, créatures fantastiques (fées, farfadets…. J'ai renoué avec plaisir avec ce genre grâce à Cornwand. J'ai apprécié chaque description de ce monde inconnu qu'est Cornwand et les mystères entourant Léa et Paterson. La plume est fluide, élégante et très agréable, un vrai bonheur que de la lire. J'attends la suite avec impatience ! »

 

Léa et Paterson – Le jeteur de sorts

« Quel grand bonheur de retrouver ces personnages, que j’ai adoré dans le premier tome, et bien ce deuxième tome, encore plus, ce qui fait que je peux dire que c’est un coup de cœur pour moi. Que dire, Sylviane Blin dose bien le mélange de fantaisie, de drame et y incorpore même un brin d’humour, ce qui est excellent. Une écriture rythmée et fluide, à tel point que l’on arrive à la fin sans vraiment s’en rendre compte. J’adore les personnages qui sont colorés, distrayants et très attachants. Pour les amateurs de fantaisie, vous serez comblés, pour ceux qui le sont moins, une excellente lecture pour vous initier au genre fantaisie. Une merveille de roman qui ne demande qu’à se laisser lire, et vous embarquer dans cette histoire ou Léa et Paterson, accompagnés de leurs amis, sauront vous faire vivre de belles heures de lecture. N’hésitez pas, quand je vous dis que c’est un coup de cœur, et bien, je ne me trompe pas sur celui-là... Une histoire que je vais me rappeler, ça, c’est certain. »

 

 

JM : - Sauf erreur de ma part, tes deux premiers romans sont de la « fantasy » et ton dernier une « romance à suspense ». Pourquoi ces choix et envisages-tu d'écrire dans un genre différent ?

 

Sylviane :

Effectivement, concernant mes deux premiers romans, mon choix s’est porté sur la Fantasy. Dans ce genre de littérature, on peut tout se permettre et laisser libre cours à notre imagination, sans restriction. C’est un peu ce côté fun qui m’a séduit. Mais plus que cela, le fait de devoir créer un univers était pour moi exaltant. Je dois avouer que j’ai gardé une âme d’enfant et que je n’ai eu aucun mal à écrire ces deux premiers opus.

 

Quant à mon dernier roman, c’est un défi que je me suis lancé. Je voulais, au travers de mes mots, faire vibrer les lecteurs avec les émotions. C’est visiblement un pari gagné car j’ai réussi à en faire pleurer quelques-unes et quelques-uns (c’est un point positif en littérature). Je souhaitais également m’adresser à un lectorat beaucoup plus large et construire une histoire plus profonde, empreinte de tragédie.

 

J’aimerais un jour me lancer dans le feel-good. J’ai déjà quelques idées en tête pour l’histoire et surtout beaucoup de notes pour les dialogues. Affaire à suivre !!!

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

Sylviane :

Oui, je dois écrire le tome 3 de ma trilogie Fantasy. J’ai également d’autres projets, mais tout est encore flou dans ma tête et à l’heure actuelle, il m’est difficile d’en parler. Je fonctionne avec des flashs pour savoir de quel côté me diriger. À titre d’exemple, lorsque j’ai commencé à écrire « les couleurs de la nuit » je m’orientais vers un thriller psychologique et tout s’est métamorphosé au fil de l’écriture. Au final, ce roman est devenu une romance à suspens avec une petite pointe de fantastique.

 

 

JM : - Comment écris-tu (carnets, cahiers, directement sur l'ordinateur) ?

 

Sylviane :

J’écris dans un premier temps sur un cahier avant de saisir les mots sur mon ordinateur. J’aime le contact du stylo sur le papier.

 

 

JM : -Lorsque la situation sanitaire le permettra, envisages-tu d'assister à des séances de dédicaces, de rencontrer tes lecteurs et lectrices ?

 

Sylviane :

J’aimerais énormément. Malheureusement, financièrement c’est impossible pour moi à l’heure actuelle. Généralement les stands sont payants et d’après ce que j’ai pu comprendre assez onéreux. C’est aussi le revers de la médaille de l’indépendance, contrairement aux auteurs édités qui eux, n’ont aucun frais à leur charge.

 

 

JM : - Que penses-tu de l'édition numérique ?

 

Sylviane :

En tant que lectrice, c’est ce qui me convient le mieux.

 

JM : - A qui confies-tu la première lecture de tes manuscrits (ami, membre de ta famille, bêta-lecteur) et qui réalise les couvertures de tes livres ?

 

Sylviane :

Mis à part mon conjoint et mon fils, je n’ai plus de famille. Malheureusement pour moi, ils ne sont pas du tout addicts à la lecture. C’est donc à une amie que je confie la première lecture. Pour mon dernier roman, j’ai également fait appel à deux bêta lecteurs renommés sur FB et j’ai souhaité avoir également une bêta pro.

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire éditer tes romans ?

 

Sylviane :

J’ai fait le choix de l’autoédition. À aucun moment je n’ai envisagé d’envoyer mes manuscrits chez un éditeur, sans doute parce qu’une fois le roman écrit, j’avais hâte de le publier d’une part et d’autre part, je souhaitais garder mon indépendance.

 

 

JM : - Penses-tu que les réseaux sociaux, les blogs permettent aux auteurs de promouvoir leurs écrits ?

 

Sylviane :

En ce qui me concerne, oui, car la plupart de mes lecteurs se trouvent sur Facebook. Cependant, il faut bien se l’avouer la promotion ne dépasse pas les frontières des réseaux. Pour pouvoir atteindre un lectorat plus large, il faut que le roman soit inclus dans une campagne de promotion Amazon. Or, seuls les romans ayant atteint les 50 commentaires avec une bonne moyenne ont une chance d’être proposés en « offre éclair » ou bien « offre du mois » et là, c’est l’envolée assurée. Force est de constater que long est le chemin pour y parvenir, hélas !

 

JM : Lis-tu et quel genre ?

 

Sylviane :

Je ne suis absolument pas sélective et j’aime tous les genres. Il faut simplement que la 4e de couverture m’appelle.

 

JM : - Quel ouvrage lu dans ton enfance t'a particulièrement touchée ?

 

Sylviane :

La poupée sanglante de Gaston Leroux (mais je devais avoir 12 ou 13 ans, peut-être même plus)

 

JM : - Quels sont les auteurs que tu apprécies (dans le passé et dans le présent)?

 

Sylviane : Guy des Cars, Stefen Sweig et encore bien d’autres.

 

JM : - Quand écris-tu : le jour, la nuit ? Pendant combien d'heures ?

 

Sylviane :

J’écris davantage le soir, avec une lumière tamisée. Il m’arrive également, lorsque le temps s’y prête, de m’installer sur ma terrasse dans la soirée. J’aime cette ambiance, lorsque le soleil se couche et que l’obscurité envahit peu à peu le paysage. C’est une source d’inspiration pour moi. Je suis un oiseau de nuit et par conséquent, il m’arrive d’écrire jusqu’au petit matin.

 

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Sylviane:

La lecture, observer la nature (principalement les oiseaux), visiter des châteaux, écouter le vent, la mer, observer la Voie lactée les soirs d’été dans un transat.

 

JM : - Y a-t-il dans tes livres, des personnages qui te touchent et auxquels tu t'identifies ?

 

Sylviane :

Je me suis facilement identifiée à Emily, le personnage de mon dernier roman « Les couleurs de la nuit » surtout lorsque j’ai écrit le premier chapitre. J’avoue que ce sont mes propres ressentiments que j’ai couchés sur mon carnet. Sans avoir été malheureuse durant mon enfance j’étais malgré tout l’enfant non désirée, l’accident. Ce fardeau on le porte en soi et sur son dos tout au long de sa vie. Cela a fait naître en moi une sorte de timidité existentielle, un sentiment de ne jamais être à ma place et un manque de confiance en moi persistant. J’ai longtemps lutté contre ça et puis un jour j’ai décidé de jeter la clé.

 

JM : - Quel est ton endroit préféré, source d'inspiration (pièce de ta maison, région, pays)

 

Sylviane :

L’hiver, je m’installe devant la cheminée et l’été sur ma terrasse.

 

JM : - Si tu étais : une couleur, un animal, un dessert : tu serais ?

 

Sylviane :

Un animal : Le chat

J’ai son côté sauvage, méfiant, observateur et une tendance à l’isolement quelquefois. Il me faut un certain temps avant de m’adapter à un nouvel environnement. Une fois rassurée, j’accorde facilement ma confiance, mais jamais deux fois aux personnes qui me déçoivent de quelque manière que ce soit (chat échaudé craint l’eau froide !!!)

 

Une couleur : Le violet

Comme l’améthyste, ma pierre précieuse fétiche.

 

Un dessert :

La charlotte aux fraises, tout simplement parce que j’en raffole !

 

 

JM : - Si tu devais partir sur une île déserte, quel objet indispensable à tes yeux emporterais-tu ?

 

Sylviane :

Voilà la question piège, Joëlle !!!! Mes lunettes (plutôt mes lentilles) sans elles, je ne vois rien 😊

 

 

JM : - Quel mot te définit le mieux ?

 

Sylviane :

discrète et mystérieuse (c’est souvent ainsi que les gens me perçoivent)

 

 

JM : - Quel est ton proverbe préféré ?

 

Sylviane :

« L’imagination est plus importante que la connaissance. L’imagination est le langage de l’âme. Faites attention à votre imagination et vous découvrirez tout ce dont vous avez besoin pour être épanoui » - A. Einsten

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

Sylviane :

J’aimerais dans un premier temps te remercier pour ce moment passé sur ton gentil gril. Je souhaiterais également remercier tous les membres de ce groupe, certains me connaissent d’autres pas. Toujours est-il que nous avons toutes et tous une passion en commun, celles des mots. Nous écrivons, vous nous lisez, c’est merveilleux. Votre soutien est plus qu’important !! En ce qui me concerne, il m’aide à raconter de nouvelles histoires, me donne la force de combattre cette peur irrationnelle que je ressens à chaque publication et me permet de continuer d’être portée par ce rêve qu’est l’écriture. Un grand merci à vous toutes et tous, d’être là, à nos côtés –

Je vous embrasse et prenez soin de vous !

 

JM : - Merci Sylviane pour ce très agréable moment passé en ta compagnie.

 

Merci à toi Joëlle, infiniment !

 

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Sylviane qui se fera un plaisir de vous répondre sous ce post.

 

 

 

 

(7) Sylviane BLIN - Auteur | Facebook

 

Sylviane Blin Auteur (@sylvianeblinauteur) • Photos et vidéos Instagram

 

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Bonjour aujourd'hui jeudi voici ma chronique concernant : "CHEVEUX AUX VENTS" tome 2 - Les indomptées

« CHEVEUX AUX VENTS »

Tome 2 – Les indomptées

Garance SOLVEG

Editions EX AEQUO

Collection Hors-d'Elles

10 mars 2021

251 pages

 

Présentation

 

Comment recommencer à vivre quand on a subi le pire ? Une justice est-elle possible lorsque tous semblent se ranger du côté des bourreaux ?

 

Sept ans ont passé depuis le lynchage des femmes de Staven. Salomé n'a rien oublié, rien pardonné.

 

Epaulée par Sorani et Shayn, ses avocats, elle s'est juré d'obtenir la condamnation de ses agresseurs. Elle s'apprête à témoigner contre eux. Seule.

 

Les autres femmes ont renoncé, rejetées par leurs propres familles, terrorisées par les menaces de représailles. Alma elle-même a tourné le dos à un passé innommable et ne vit plus que dans l'ombre de son mari.

 

La loi du silence règne à Staven et le redoutable Seht, devenu l'homme de pouvoir de la ville, bénéficie de mystérieuses protections.

 

A la veille du procès, le combat paraît perdu d'avance... Mais celles que l'on croit brisées pourraient bien faire preuve d'une force insoupçonnée.

 

Descente aux enfers puis renaissance, le deuxième volet de Cheveux aux vents est un livre bouleversant sur l'amour et la mort, la justice et la vengeance, la déchéance et la rédemption.

 

L'auteure

 

Garance Solveg a décidé de devenir écrivain depuis sa plus tendre enfance : ça lui est tombé dessus quand elle avait 6 ans et ne l'a plus lâchée ! Après quelques années de blocage, elle pousse enfin la porte d'un atelier d'écriture.


Jonglant avec un emploi du temps bien rempli, elle commence alors à rédiger sa saga féministe en 2 tomes, "Cheveux aux vents". Son ouvrage fait partie des finalistes du Mazarine Book Day 2019, avant d'être publié par les éditions Ex Æquo.


Garance Solveg partage aujourd'hui sa vie entre sa famille, son activité de juriste et sa passion pour l'écriture. Elle a fondé le blog littéraire https://revesdecriture.com/ dans lequel elle partage des techniques et des conseils pour aider les auteurs débutants à aller au bout de leur projet de roman.
Retrouvez toute l'actualité de Garance sur Facebook : https://www.facebook.com/garance.solveg.7
Garance se fera un plaisir de vous répondre si vous la contactez via son blog https://revesdecriture.com/

 

Mon avis

 

Je remercie Garance SOLVEG de m'avoir adressé, en service de presse, le second tome de « Cheveux aux vents » Les indomptées. J'ai lu et ADORE le premier opus et j'avais hâte de connaître la suite des aventures de Salomé et d'Alma et de retrouver la plume fluide et addictive de Garance.

 

Ainsi nous retrouvons nos héroïnes qui sont de vraies guerrières et ne peuvent pardonner les agresseurs des femmes de Staven. Elles sont volontaires et se battent afin d'obtenir leur vengeance mais ceci n'est pas facile en ce monde où les hommes sont protégés et les femmes si peu considérées..

Nous assistons donc à leur combat et au procès houleux pour que justice soit faite.

 

L'histoire est belle, l'intrigue bien menée et les nombreux rebondissements tiennent le lecteur en haleine jusqu'au dénouememt.

 

Garance nous offre un ouvrage vraiment émouvant, dur et tendre à la fois, empli d'amour et d'amitié. Elle dresse finement le portrait de femmes fortes, déterminées, combattantes, belles dans tous les sens du terme. Certaines sont devenues mères. Elles ont toutes connu la descente aux enfers et aspirent à la renaissance.

 

Comme ce fut le cas pour le précédent tome, j'ai ADORE découvrir celui-ci. Il faut dire que lire les mots de Garance est un réel plaisir. Cet ouvrage est également pour moi un COUP DE COEUR et je le recommande aux amateurs du genre.

 

 

Je lirai assurément d'autres livres de cette auteure.

 

Un excellent moment de lecture.

 

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ANNONCE INTERVIEW SYLVIANE BLIN A VENDREDI 4 JUIN -dans la journée- SUR MON GROUPE FB

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

Bonjour les amis,

Ce jour MERCREDI 2 JUIN 2021  j'ai réalisé ma 205ème interview.

Je vous donne rendez-vous le  VENDREDI 4 JUIN 2021 (dans la journée) pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Sylviane BLIN. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Sylviane qui y répondra selon ses disponibilités.


A bientôt.
 

 

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Seconde chronique du jour concernant : "FAUTES D'AMOUR"

« FAUTES D'AMOUR »

Béatrice BOURRIER

Editions Lucien SOUNY

Le chant des pays

25 avril 2021

231 pages

 

Présentation

 

Quand l’une trouve l’amour et connaît le bonheur de la maternité, l’autre conclut un mariage de raison. Ni heureuse ni comblée, mais riche, Julienne se fait un devoir de soutenir ses vieux parents et sa sœur cadette, poursuivis par la misère. Or la vie se charge de rebattre les cartes et entraîne les deux filles, qui avaient tant d’affection l’une pour l’autre, dans une confrontation impitoyable pour défendre leur famille… Mais laquelle, celle de sang ou celle de cœur ? Les affrontements sont encore plus violents lorsqu’ils opposent des gens qui s’aiment.


Dans cette histoire aussi juste que touchante, Béatrice Bourrier continue à explorer et à disséquer les thèmes qui lui sont chers : les liens familiaux, les aspirations à la résilience et au pardon... La sagesse et la générosité peuvent-elles nous sauver des inévitables tragédies humaines ?

 

 

L'auteure

 

Beatrice BOURRIER est l'auteure de nombreux romans publiés aux Editions Lucien Souny, dont Le Pacte de sel ; Au Défaut de l'épaule, Le Berger et son étoile.

 

 

Mon avis

 

Je remercie Béatrice BOURRIER de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son dernier roman « Fautes d'amour ». J'ai découvert la très jolie plume de cette auteure lors de la lecture de « Le Pacte de sel », ouvrage que j'ai beaucoup aimé. Je la remercie également pour sa confiance et la très gentille dédicace qui m'a beaucoup touchée.

 

La très jolie couverture, le titre et le résumé fort alléchant, m'ont de suite interpellée et je me suis sentie de suite emportée par les si jolis mots de Béatrice.

 

L'auteure nous emmène dans l'Hérault et nous conte les destins opposés de deux sœurs Emilie et Julienne : l'une a fait un mariage de raison, elle a une vie aisée mais n'a pas connu les joies de la maternité et l'autre, mène une existence simple, pas facile mais riche d'amour avec son époux et ses enfants.

 

C'est avec son don habituel que Béatrice BOURRIER dépeint les paysages des Cévennes, le métier de potier, les traits tant physiques que psychologiques des protagonistes de son ouvrage les rendant authentiques, attachants pour certains, détestables pour d'autres..

 

Elle nous offre un magnifique roman de femmes, captivant, émouvant, dur et tendre à la fois, mêlant l'Histoire de notre pays pendant la Première Guerre Mondiale à celle d'une famille déchirée par l'injustice de la vie mais liée par le sang.

 

J'ai ADORE ce roman régional historique que j'ai lu d'une traite ne pouvant me résoudre à le refermer tant il me passionnait et que j'ai quitté à regret.

 

MERCI Béatrice pour cet excellent moment de lecture qui fut pour moi un COUP DE COEUR.

 

 

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Bonjour aujourd'hui mercredi voici ma chronique concernant : "LIANN, L'ENFANT FAUNE"

« LIANN, L'ENFANT FAUNE »

Suzanne MAX et Alain BENOIST

Editions EX AEQUO

Collection Saute-mouton

10 septembre 2018

53 pages

 

Présentation

 

Tout au fond de la forêt, à l'abri du regard des humains, vit le mystérieux peuple des faunes. Et parmi eux, Liann, l'enfant faune.


Curieux et épris de liberté, Liann décide un jour de quitter sa forêt pour explorer le monde et découvrir la civilisation des hommes. Dans cette première aventure de la série (qui comporte deux autres tomes) il connaîtra l'amitié mais devra aussi surmonter bien des dangers: capturé, mis en cage et emmené à la ville, pourra-t-il un jour revoir sa famille?


A travers ce petit personnage, les auteurs abordent en douceur des questions comme le respect de tous les êtres vivants et l'acceptation des différences.

 

Avec les deux tomes suivants, Liann et la forêt menacée, et Liann et le bâton de pluie, parus aux éditons Ex AEQUO, ils délivrent également un message en faveur de la nature et de la biodiversité.

 

 

L'auteure

 

D'abord enseignante, Suzanne MAX se tourne désormais vers l'écriture avec la série des aventures de Liann, riche en péripéties et en émotions. Provençale d'origine, elle vit depuis quelques années dans le sud-ouest.

 

Originaire des Ardennes, Alain BENOIST partage son temps entre Paris et la Nièvre. Il travaille dans le dessin animé depuis plusieurs années. Le personnage de Liann est pour lui l'occasion d'évoquer des sujets qui le touchent : l'environnement ou le respect des différences.

 

 

Mon avis

 

Je remercie Suzanne MAX de m'avoir envoyé, en service de presse, « Liann, l'enfant Faune », roman jeunesse que j'ai lu ce week-end à ma petite-fille Sarah âgée de 6 ans.

 

Voici ses impressions : « Il est trop bien ce livre mamie ! J'aime bien Liann ! ».

 

Pour ma part, je dirai que ce petit ouvrage destiné aux enfants entre 7 et 11 ans est plein de rebondissements et que de nombreuses émotions sont palpables au cours de la lecture.

Effectivement Liann est un petit personnage curieux, surprenant et fort attachant. Toutefois il n'écoute pas les recommandations de son papa et sort de la forêt où il vit pour découvrir le monde. Nous découvrons ses aventures, ses rencontres au fil des mots de Suzanne MAX et des très jolies illustrations en couleur et en noir et blanc d'Alain BENOIST qui permettent aux jeunes enfants d'imaginer et mieux comprendre l'histoire.

 

Ce joli conte aborde divers thèmes tels que l'amitié, le respect des autres, des animaux et de la nature, les différences.

 

Je suis certaine que ma petite fille lira elle-même cet ouvrage très intéressant, dès l'année prochaine lorsqu'elle sera au CP. Elle l'a d'ailleurs laissé dans sa bibliothèque chez mamie !

 

Voici un très beau récit, ponctué d'une touche de magie, que je vous recommande d'offrir à vos enfants ou petits-enfants et avec lequel ils passeront, comme Sarah, un très beau moment de lecture.

 

Page FB : https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

 

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INTERVIEW REALISEE CE JOUR AVEC LAURE MANEL SUR MON GROUPE FB

GROUPE LECTEURS – AUTEURS :

LA PASSION DES MOTS

__________

 

 

INTERVIEW AUTEURE

Laure MANEL

 

 

JM : - Bonjour à tous,

 

  • Notre amie Laure MANEL a récemment accepté de répondre à mes questions.

 

Je partage donc cette interview toutefois il n'y aura pas de questions/réponses mais cet échange vous permettra de mieux connaître cette auteure.

 

 

 

JM : - Bonjour Laure

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prête à « passer sur mon gentil gril » ?

 

Laure : Bonjour Joëlle. Je vais très bien. Je suis prête !

 

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Laure : J’ai 42 ans, je vis dans le Maine-et-Loire (à la campagne), j’ai un fils de 16 ans. J’ai été enseignante et directrice d’école dans le premier degré jusqu’en août 2018. Depuis j’ai la chance de me consacrer à l’écriture.

 

 

 

JM : - Que représente pour toi l'écriture ?

 

Laure. : L’écriture fait partie de ma vie depuis que je sais tenir un stylo. Il me semble que j’ai toujours su m’exprimer mieux à l’écrit qu’à l’oral. C’est un besoin, une façon de penser la vie, de réfléchir. Et c’est le meilleur vecteur, quand on aime raconter des histoires…

 

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes romans ?

 

 

Laure : Ils sont au nombre de sept pour l’instant. J’en ai d’abord publié trois en autoédition entre 2015 et fin 2016 (« Histoire d’@ », « L’embarras du choix » puis « La délicatesse du homard »). C’est le troisième qui m’a ouvert les portes de l’édition traditionnel, fort de son succès en numérique. Depuis, les deux premiers ont aussi été publiés en librairie. Et j’en ai écrit quatre nouveaux : « La mélancolie du kangourou » et sa suite (« Le sourire des fées »), « L’ivresse des libellules » et « Le craquant de la nougatine », mon dernier paru le 22 avril dernier.

 

 

JM : -Sauf erreur de ma part, tu as écrit un roman « jeunesse » et tous tes autres livres sont des romans d'amour « feel good » . Pourquoi ce choix et envisages-tu d'écrire dans un genre différent ?

 

Laure : En effet, même si je ne trouve pas que tous mes romans soient « feel-good » (ex : « L’embarras du choix). Ce terme est d’ailleurs très « fourre-tout ». Certes mes romans sont optimistes (je crois moi-même très fort en la résilience) et se terminent le plus souvent « bien ». L’amour y a une vraie place (comme dans nos vies). Néanmoins, j’aborde aussi des thèmes difficiles qui me tiennent à cœur (maladie, deuil, sujets « éthiques »…).

 

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

Laure : Oui. Je travaille actuellement sur mon recueil de textes « La (toute) dernière fois » que j’avais autoédité en novembre 2017 et qui sortira en janvier 2022 en format poche. Je suis en phase de maturation sur mon roman qui sortira en avril 2022. Et il devrait y avoir une petite surprise qui se glissera d’ici la fin de l’année.

 

 

JM : - Comment écris tu (sur carnets, cahiers, directement sur l'ordinateur) ? A quel moment le fais-tu (le jour, la nuit ) ?

 

Laure : J’écris sur mon clavier d’ordinateur, avec mes notes à côté (documents imprimés tels que fiches personnages, trame, etc). Je travaille pendant la journée.

 

 

 

 

JM : -Lorsque la situation sanitaire le permettra, envisages-tu d'assister à des séances de dédicaces, de rencontrer tes lecteurs et lectrices ?
 

 

 

Laure : Oui, bien sûr. J’ai d’ailleurs pas mal de dates de posées, malgré l’annulation de la plupart des salons (n’hésitez pas à consulter mon site internet pour les connaître : www.laure-manel.com)

 

 

 

 

JM : - Que penses-tu de l'édition numérique ?

 

Laure : C’est elle qui m’a permis de me faire connaître, je n’en pense donc que du bien. Plus sérieusement, elle a des avantages pour les lecteurs (faible encombrement, coût moindre, possibilité d’agrandir la police…). Cela dit, personnellement, je préfère lire en papier ou en audio.

 

 

 

JM : - A qui confies-tu la première lecture de tes manuscrits (amie, membre de ta famille, bêta-lecteur) et qui réalise les couvertures de tes livres ?

 

Laure : Je la confie à mon éditrice. C’est mon éditeur qui s’occupe des couvertures, en faisant appel à des graphistes.

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire éditer tes romans ?

 

Laure : Je suis passée par l’autoédition numérique sur Kindle.

 

 

JM : - Penses-tu que les réseaux sociaux, les blogs permettent aux auteurs de promouvoir leurs écrits ?

 

Laure : Oui, bien sûr. C’est important et nécessaire pour se faire connaître. Néanmoins ce n’est pas facile (on est une goutte d’eau dans l’océan, au début)… et il faut veiller à ne pas trop envahir les groupes de lecteurs avec des posts (c’est inutile voire contre-productif, selon moi)

 

 

JM : Lis-tu et quel genre ?

 

Laure : Bien sûr. Un peu de tout, sauf la SF et la fantasy.

 

 

JM : - Quel roman, lu dans ton enfance, t'a particulièrement marquée ?

 

Laure : La série des « Etalon noir » : j’ai lu chaque tome plusieurs fois. C’est ce qui m’a donné le goût de la lecture.

 

JM : - Quels sont les auteurs que tu apprécies (dans le passé et dans le présent )?

 

Laure : J’aime les classiques (notamment les auteurs français du XIXe) et les auteurs contemporains. J’ai des goûts assez éclectiques et mes études de lettres m’ont obligée à lire des auteurs que je n’aurais pas lus par moi-même. Dans les auteurs actuels, je peux citer David Foenkinos, Tatiana de Rosnay, E-E Schmitt, Valérie Perrin…

 

 

JM : - Pour tes romans, improvises-tu au fil de l'histoire ou connais-tu déjà la fin avant d'en commencer l'écriture ?

 

Laure : En général, j’en connais la trame de façon assez précise (ordre des scènes, etc). Pour le dernier, je n’avais que les nœuds dramatiques, et je ne savais pas comment il allait se terminer alors que j’en étais aux trois quarts de l’écriture : j’ai choisi de me laisser porter par mes personnages et par l’histoire qu’ils voulaient pour eux.

 

JM : - Y a-t-il dans tes livres, des personnages qui te touchent et auxquels tu t'identifies ?

 

Laure : Oui, bien sûr. Parfois ils sont une voix pour exprimer ce en quoi je crois ou un écho de ce qui peut m’interroger… Parfois, pendant l’écriture, je suis tellement « eux » que j’éprouve tout ce qu’ils éprouvent.

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Laure : J’aime beaucoup la nature, la marche à pied, la Bretagne, la photo, la gastronomie, les chevaux… (liste non exhaustive)

 

 

JM : - Quel est ton plus grand rêve ?

 

Laure : Une maison face à la mer (j’ai accompli tous les autres)

 

 

 

JM : - Quel est ton endroit préféré (pièce de ta maison, ville, région, pays)

 

 

Laure : La Bretagne !

 

 

 

 

JM : - Si tu étais : une couleur, un animal, un dessert : tu serais ?

 

Laure : Je serai le bleu, un oiseau de mer, une brioche perdue au caramel au beurre salé

 

JM : - Si tu étais le personnage d'un roman qui serais-tu ?

 

Laure : Madame de Mortsauf

 

JM : - Si tu écrivais tes mémoires quel en serait le titre ?

 

Laure : « Ma résilience »

 

 

JM : - Quel mot te définit le mieux ?

 

Laure : « Vie »

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Laure : Merci beaucoup pour cette itw ! A bientôt dans la vraie vie, peut-être ?

 

 

JM : - Merci Laure pour ce très agréable moment passé en ta compagnie.

 

 

 

 

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ANNONCEE INTERVIEW LAURE MANEL MERCREDI 2 JUIN -dans la journée- SUR MON GROUPE FB

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS
Bonjour les amis,
Hier LUNDI 31 MAI 2021 j'ai réalisé ma 204ème interview.
Je vous donne rendez-vous le MERCREDI 2 JUIN 2021 (dans la journée) pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Laure Manel. Il n'y aura pas de questions/réponses mais cet échange vous permettra de mieux connaître Laure.
A bientôt.

 

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