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ANNONCE INTERVIEW ADRIANA KRITTER MARDI 1ER DECEMBRE 18 H SUR MON GROUPE FB

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

 

 

Bonsoir les amis,

 

Ce soir vendredi 27 novembre j'ai réalisé ma 158 ème interview avec un auteur du groupe qui a accepté de se soumettre à mes questions.

 

 

Je vous donne rendez-vous le mardi 1er décembre 2020 à 18 H 00 pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Adriana KRITTER. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Adriana qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

 

 

A mardi.

 

 

 

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INTERVIEW REALISEE CE SOIR AVEC ALAIN ARNAUD SUR MON GROUPE FB

INTERVIEW AUTEUR

Alain ARNAUD

 

JM : - Bonsoir à tous

 

Notre ami Alain ARNAUD a récemment accepté de répondre à mes questions.

 

Je partage donc avec vous cette interview à l'issue de laquelle vous pourrez, si vous le souhaitez, poser vos questions auxquelles Alain répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

 

 

 

JM : - Bonsoir Alain

 

Comment vas-tu ? ? Es-tu prêt à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Alain : Tout va bien, merci Joëlle, surtout lorsqu’il s’agit de parler de livres et de littérature.

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Alain : Je suis un enfant du Sud de la France, plus précisément d’un village au coeur du massif des Maures, entre Saint-Tropez et Hyères-Les-Palmiers, la ville où je vis actuellement. Je me suis ensuite éloigné du village de mon enfance pour des études d’ingénieur en aéronautique puis pour mes activités professionnelles, principalement à l’international, comme diplomate en ambassades de France à l’étranger.

 

 

 

 

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes romans ?

 

Alain : Je viens de publier en juillet 2020 mon troisième roman : “Capitaine au Coeur d’or” chez BoD Editeur. Mes précédents romans sont : “Le festin des lanternes” paru en 2018 et “Le vieux pressoir” publié en 2019, toujours chez BoD.

J’écris des romans contemporains avec une intrigue, des personnages que je m’efforce de rendre attachants, des romans agréables à lire tout en ayant une exigence de style dans mon écriture, avec un peu de poésie dans les descriptions et parfois une touche d’humour. J’aime la beauté des mots, du style et des images.

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en dire quelques mots ?

 

 

Alain : Oui, avec plaisir. Mon nouveau roman en cours d’écriture aura pour titre : “Un balcon en retraite”. Il devrait paraître vers mars/avril 2021. C’est l’histoire d’un jeune retraité veuf qui quitte son Nord natal pour s’installer dans le Sud. Depuis son appartement dans une résidence qui surplombe un domaine agricole, il découvre l’oisiveté et la solitude, son inutilité dans la société. Depuis son balcon, il observe la ferme où surviennent des faits étranges qui vont bousculer son quotidien.

 

 

JM : - Où trouves-tu l'inspiration pour créer les protagonistes de tes écrits ?

 

Alain : Je trouve l’inspiration dans la vie qui m’entoure, mais aussi dans l’imaginaire et les rêves. Peu à peu, une histoire et des personnages s’imposent à moi. Mais en réalité, la création littéraire est le résultat d’une alchimie inexplicable dont l’étincelle est, me semble-t-il, la passion des mots et de l’écriture.

 

 

JM : Tu as écrit de nombreux ouvrages mais plus récemment des romans contemporains et des poèmes. Pourquoi ces choix ?

 

 

Alain : En effet, comme beaucoup d’auteurs, j’ai commencé par la poésie. J’avais publié par le passé quatre recueils de poèmes. Je me suis ensuite éloigné de l’écriture pour me consacrer à mes activités professionnelles très prenantes. Je ne suis revenu à l’écriture littéraire qu’en 2018, une fois libéré de toute contrainte professionnelle, et par le biais du roman dont j’avais écrit autrefois plusieurs manuscrits restés inédits. L’approche par le roman me convient mieux que la poésie pure pour exprimer les sentiments et l’évolution psychologique des personnages, des êtres humains confrontés dans leur vie quotidienne aux obstacles et aux conflits.

 

 

JM : Comment procédes-tu pour écrire (carnets, cahiers, fiches, écriture directe sur l'ordinateur) ?

 

Alain : J’écris directement sur mon ordinateur. Cependant, si je n’ai pas l’angoisse de la page blanche, je ressens le vertige de la création d’un roman, la crainte que l’histoire n’aboutisse pas ou qu’elle ne réponde pas à mes exigences. Pour me prémunir au mieux de ces risques, je prépare un plan structuré de mon roman, je réfléchis par avance aux personnages principaux, tout en gardant une liberté de manoeuvre pour l’imagination qui surgira au cours de la composition du roman. Mais les garde-fous mis en place au départ me rassurent.

 

 

JM : - À quel moment de la journée écris-tu ? Le jour ? La nuit ? Et pendant combien de temps ?

 

Alain : Je privilégie le matin de bonne heure, dans le calme matinal et l’esprit reposé par une nuit de sommeil. J’écris aussi pendant la journée, en plusieurs séquences qui peuvent représenter au total 6 à 8 heures d’écriture par jour.

 

 

JM : Es-tu sensible à la critique littéraire et penses-tu que les blogs, les réseaux sociaux aident les écrivains à promouvoir leurs écrits ?

 

Alain : La critique littéraire, les réseaux sociaux et les blogs sont sans conteste des supports d’information utiles et indispensables pour la promotion des écrits. Le bouche à oreille ne suffit plus pour faire connaître un livre. Et les auteurs ont besoin d’être rassurés par la perception de leur ouvrage conçu dans la solitude par leurs lecteurs et lectrices, ainsi que par celle des commentateurs, chroniqueurs et autres journalistes.

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier tes ouvrages ?

 

 

Alain : Je pense que les éditeurs classiques à compte d’éditeurs sont très sélectifs et préfèrent miser sur de jeunes auteurs qu’ils accompagneront longtemps pour les promouvoir et amortir leur investissement. Je suis arrivé tardivement dans le roman et je ne réponds donc pas aux critères ci-dessus. J’ai donc choisi d’emblée une forme autonome d’édition, à savoir l’auto-édition avec BoD (Book on Demand) qui fait un travail de qualité et fait distribuer les livres par SODIS du Groupe Gallimard, et les fait référencer sur les plateformes en ligne. Bien entendu, la diffusion et la promotion des ouvrages reste dans ce cas à la charge de l’auteur, ce qui n’est pas une mince affaire, mais cette formule présente une grande liberté et permet d’éviter les déboires que rencontrent nombre d’auteurs avec leurs éditeurs.

 

 

JM : - Quels sont les auteurs qui t' ont donné l'envie d'écrire ?

 

Alain : J’apprécie la belle littérature qui dure. Mes auteurs préférés sont entre autres Jean GIONO, Marcel CAMUS, JM-G LE CLEZIO, Marguerite DURAS et Julien GRACQ. Parmi les auteurs étrangers, je citerai Graham GREENE, Gabriel GARCIA MARQUEZ et Jorge Luis BORGES.

 

 

JM : Lis-tu ? Quel genre ?

 

 

Alain : Je lis régulièrement, pas autant que je le souhaiterais et je souffre devant ma pile de livres en attente. Je lis surtout des romans et le syle littéraire est pour moi très important.

 

 

 

JM : En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Alain : Jaime voyager, découvrir d’autres civilisations, d’autres manières de vivre. J’apprécie aussi la culture au sens large : theâtre, cinéma, concerts et expositions. Je fais aussi un peu de sport, du jogging.

 

 

JM : - À quelle époque aurais-tu aimé vivre ?

 

Alain : La seconde moitié du vingtième siècle que j’ai connue me convenait très bien.

 

 

JM : - Quel est ton genre de musique préféré et écris-tu en musique ?

 

Alain : J’écoute peu de musique classique et je le regrette. Je n’ai pas reçu cette culture et je suis bien incapable d’écrire de la musique. Par contre, je me délecte à écouter les chanteurs à texte, surtout ceux qui nous ont quitté : Brassens, Brel, Ferré, Reggiani, Barbara, Bachelet…

 

JM : - Peux-tu nous citer ton proverbe préféré ?

 

Alain : C’est celui que je me suis forgé moi-même : “ L’avenir appartient à ceux qui osent. ”

 

JM : - Quel est ton film culte ?

 

Alain : “Le passager de la pluie” avec Marlène Jobert et Charles Bronson.

 

JM : - Quel mot te définit le mieux ?

 

Alain : Persévérance

 

 

JM : - Si tu étais : une fleur, une couleur, un animal, un dessert … tu serais ?

 

Alain : Respectivement : Coquelicot; bleu; cheval ; baba au rhum

 

 

JM : - Es-tu thé ou café ? Vanille ou chocolat ? Mer ou montagne ?

 

Alain : Café ; chocolat ; mer

 

 

JM : Quel est ton endroit préféré, source d'inspiration (pièce de ta maison, région, pays) ?

 

Alain : Je suis à l’aise dans mon bureau, avec une vue sur les toits de la ville, sur la mer au loin ainsi que sur l’île de Porquerolles.

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Alain : Le choix de l’auto-édition me permet de proposer mes livres à un prix très raisonnable, à 10 Euros, soit quasiment au prix du livre de poche, et leur version ebook à moins de 5 Euros.

 

JM : - Merci Alain pour ce très agréable moment passé en ta compagnie.

 

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Alain qui vous répondra, sous ce post.

 

 

 

 

 

Mon site : www.alain-arnaud.fr

 

Ma page Facebook : Alain Arnaud Romancier

ou @alainarnaudromancier

https://www.facebook.com/alainarnaudromancier/posts/1508940492600488?comment_id=1517232341771303

 

Ma chaîne YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCqe9ORtWaSVR6V8ywZ6_PBw

 

INTERVIEW REALISEE CE SOIR AVEC ALAIN ARNAUD SUR MON GROUPE FB

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Bonjour aujourd'hui mardi voici ma chronique concernant : "JOURNAL D'UNE ADO DE 40 ANS"

« JOURNAL D'UNE ADO DE 40 A NS »

Amélie VILMAUD

Auto-Edition

3 février 2020

214 pages

 

 

Présentation

 

Avignon, février 2013 : Juliette va bientôt fêter ses 41 ans. Être quadra n’aura pas été de tout repos, une vraie tornade dans sa vie !! Redevenue une ado de 16 ans, en pleine crise existentielle, elle s’est mise notamment à parler comme les « djeun’s » du jour au lendemain, lol…

Désireuse de faire profiter les futurs quadragénaires de son expérience, elle décide donc au début du livre de leur ouvrir son journal intime rédigé tout au long de son année clé.

En recherche d’emploi et d’elle-même, mais fidèle à sa nature optimiste et volontaire, elle a refusé net de se laisser abattre et a élaboré un plan d’attaque fondé sur douze principes destinés à chacun des mois de ce cap important : organiser une «méga teuf », devenir une « connected people », prendre davantage soin d’elle, tromper son mari pour redynamiser son couple, opérer un grand ménage par le vide, partir en vacances perso, etc. jusqu’au dernier, où elle sera complètement heureuse et épanouie !


 

L'auteure

 

Amélie VILMAUD est née le 17 juillet 1972 à Clichy et a grandi à Paris. Elle vit actuellement en Provence, où elle est divorcée et mère de deux jeunes garçons.


Diplômée d’une École de Commerce, elle a travaillé dans divers domaines tels que la communication, le secrétariat technique et l’assistanat commercial.


Lors d’une pause professionnelle, elle a choisi de se consacrer entièrement à l’écriture.

 

 

Mon avis

 

Je remercie Amélie VILMAUD de m'avoir permis de lire, en service de presse, son roman « Journal d'une ado de 40 ans ». Le titre, la jolie couverture et le résumé fort alléchant m'ont de suite interpellée. Je remercie également Amélie pour la très gentille dédicace qui m'a beaucoup touchée.

 

L'auteure présente le journal de son héroïne, Juliette jeune quadra, mariée, mère de deux garçons, à la recherche d'un emploi.

 

Nous suivons donc les tribulations de cette jeune femme, drôle, pétillante, optimiste, imprévisible parfois, qui est en pleine crise de la quarantaine et ressemble plutôt à une ado de 16 ans, employant des mots de « djeun's ». A ce sujet je remercie Amélie d'avoir eu l'excellente idée de traduire, en bas de page, le vocabulaire employé par Juliette car la mamie que je suis aurait eu du mal à tout comprendre !

 

Les citations littéraires insérées sous chaque principe énoncé par Juliette, ajoutent un plus à ce récit dont la lecture procure un moment de bonne humeur et de détente.

 

J'ai bien aimé ce feel-good original, empli d'humour et d'espoir que j'ai lu d'une traite.

 

Bonne lecture.

 

 

 

Page FB :https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

 

 

 

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et voici ma seconde chronique concernant : "LE TESTAMENT D'ADRIEN"

« LE TESTAMENT D'ADRIEN »

Gilbert BORDES

PRESSES DE LA CITE

TERRES DE FRANCE

15 octobre 2020

267 pages

 

Présentation

 

Après un long exil forcé, Pablo retrouve le ciel bleu et les paysages de son enfance, entre garrigue et montagnes provençales. Rares sont ceux qui voient son retour d'un bon œil.


N'est-il pas le fils adoptif d'Adrien, surnommé " le Fada ", cet homme à la vie pleine d'ombres et de drames, qui avait pour le village de trop ambitieux desseins ? Convoqué pour l'ouverture du testament d'Adrien, Pablo hérite d'une jolie fortune. Et des dernières volontés du défunt, lequel a enterré avec lui un terrible secret.


Pourquoi, depuis l'arrivée de Pablo, les grandes orgues résonnent-elles dans la vieille chapelle désaffectée ? Pourquoi Gaëlle, qu'il n'a jamais cessé d'aimer, le fuit-elle ?

 

Pablo saura-t-il dissiper les rancœurs au sein du village et reconquérir le cœur brisé de Gaëlle ?


 

L'auteur

Né en Corrèze, Gilbert Bordes a été instituteur puis journaliste et est aujourd’hui luthier et écrivain.
Membre de la Nouvelle Ecole de Brive, il est l’auteur d’une cinquantaine de romans.Il a obtenu le prix RTL Grand Public pour La Nuit des hulottes et le prix Maison de la Presse pour Le Porteur de destins Il a publié aux Presses de la Cité Le Cri du goéland, Le Barrage -dans la collection Trésors de France -, Chante rossignol, La Belle Main et La Garçonne.


 

Mon avis

 

Je remercie les Editions PRESSES DE LA CITE et en particulier Marie-Jeanne de m'avoir permis de lire, en service de presse, « Le Testament d'Adrien « , roman de Gilbert BORDES.

L'auteur nous emporte dans un village de Haute-Provence et nous conte l'histoire de Pablo, trentenaire qui, après vingt années passées en Espagne, rentre au pays.

En effet, suite au décès d'Adrien dit « Le fada », Pablo est convoqué par le notaire au sujet de l'héritage que son père adoptif lui aurait laissé à condition qu'il respecte ses dernières volontés.


 

Le jeune homme ne semble pas être le bienvenu au village mais il retrouve avec plaisir le hameau de son enfance et Gaëlle son amour de jeunesse. Rien ne semble avoir changé depuis son départ pas même les mentalités, les rumeurs et les rancœurs et les désirs de vengeance des villageois...


 

L'auteur décrit avec précision les paysages, la beauté de la nature et au fil de ses mots, l'on entend également la musique émanant de l'orgue de la chapelle abandonnée.


 

L'histoire est intéressante, mystérieuse à souhait et les nombreux rebondissements tiennent le lecteur en haleine jusqu'au dénouement.


 

J'ai bien aimé ce roman régional très bien écrit, agréable à lire et avec lequel j'ai passé un très bon moment de lecture.


 

Page FB :https://www.facebook.com/joellemarchal74/

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com


 

 

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Bonsoir aujourd'hui lundi voici ma chronique concernant : "UNE NUIT EN JUIN"

« UNE NUIT EN JUIN »

Georges-Patrick GLEIZE

Editions de BOREE

TERRE DE POCHE

8 octobre 2020

315 pages

 

Présentation

 

Que s’est-il passé cette nuit de juin 1943 dans la montagne ? Engagés dans la Résistance contre la volonté de leur père, Pierre et Roger Barrès faisaient passer des fugitifs de l’autre côté des Pyrénées. Jusqu’au drame : un couple de Juifs abattu et détroussé, Roger disparu sans laisser de traces, les soupçons des villageois, et pour Pierre une question lancinante restée sans réponse : son frère était-il un traître, un criminel sans scrupule ou la victime d’une sombre machination ?


Vingt-cinq ans plus tard, alors que Pierre s’apprête à faire descendre comme chaque automne son troupeau de l’estive vers sa ferme de La Renardière à Dorres près de Font-Romeu, il apprend que Roger aurait été aperçu dans le pays et le passé resurgit…


Des balcons de la Cerdagne aux vallées de l’Ariège, Georges-Patrick Gleize revisite cette époque trouble de l’Occupation où l’héroïsme des uns   n’avait d’égal que l’attentisme et la noirceur des autres.

 

 

L'auteur

 

Georges-Patrick Gleize est un écrivain français né à Paris le 20 février 1952.
Originaire d’une vieille famille ariégeoise, Georges-Patrick Gleize suit des études secondaires au lycée Pierre de Fermat à Toulouse et poursuit des études supérieures d’histoire qui le conduisent à un DEA d'histoire méridionale. Professeur d'histoire, spécialiste des sociétés rurales du sud de la France, sa carrière le conduit à enseigner successivement en lycée à Aiguillon en Lot et Garonne, à Dunkerque puis à Guéret où il anime un B.T.S tourisme avant de revenir vivre en Ariège en 1991.
Après des publications professionnelles sur le tourisme vert et une biographie sur Charles De Gaulle, il se tourne vers la littérature et publie un premier roman, Le Temps en héritage, paru chez Albin Michel en 2002 et édité en livre de poche en 2005. En s'appuyant sur sa connaissance des sociétés rurales, il publie à partir de cette date aux Éditions Albin Michel un roman d'histoire chaque année en prenant pour cadre les Pyrénées : Le Chemin de Peyreblanque en 2003 (Livre de poche, décembre 2006), La Vie en plus en 2005 (Éditions De Borée, Terre de poche 2007). Après un triptyque consacré à la mémoire des hommes, il commence en 2006 une nouvelle thématique consacrée aux luttes d’espérance avec Le Forgeron de la liberté (Éditions De Borée, Terre de poche 2008), un roman d'histoire sur la Commune de Paris et le vignoble d'Ariège Albin Michel puis Un brin d'espérance en 2007, une œuvre consacrée à l'épopée des paysans ouvriers du textile puis en 2008 " Le sentier des Pastelliers " sur la réintroduction du pastel, cette plante magique dont l'or couvrait jadis les collines du Lauragais assurant la prospérité du « Pays de Cocagne ». En 2009, il débute avec Le destin de Marthe Rivière, un roman du grand sud plein de couleurs et de passions, une autre thématique, celle des vies marquées par le souffle de l'histoire qui bouleverse les destins tracés.Fidèle à cette thématique, en 2010, Georges-Patrick Gleize fait paraître " L'Auberge des Myrtilles ", une œuvre qui plonge les lecteurs à l'époque de l'occupation, au cœur des mystères de la Résistance. Tout en continuant d’exercer son métier d’enseignant, à se passionner pour la géopolitique, Georges-Patrick Gleize consacre l’essentiel de son temps libre à sa passion de l’écriture.

 

Source : Wikipedia


 

 

Mon avis

 

Je remercie les Editions de BOREE et en particulier Virginie de m'avoir permis de lire, en service de presse, « Une Nuit en juin », roman de Georges-Patrick GLEIZE dont j'ai lu un grand nombre d'ouvrages tant j'aime sa plume fluide et précise.

 

Georges-Patrick GLEIZE nous emmène en 1970 dans les Pyrénées où nous faisons connaissance avec Pierre qui, comme chaque automne, s'apprête à faire descendre son troupeau des estives vers sa ferme.

 

Il apprend qu'un homme ressemblant fortement à son frère Roger disparu depuis juin 1943, aurait été vu à Font-Romeu.. Les souvenirs lui reviennent alors en mémoire..

 

L'auteur nous conte l'histoire dramatique de ces deux frères qui furent séparés pendant la Seconde Guerre Mondiale et décrit à merveille les traits psychologiques des protagonistes de son roman les rendant vrais et attachants. Il en est de même pour les paysages des Pyrénées, région que l'auteur connaît bien.

 

L'histoire est prenante et le suspense bien mené tient le lecteur vraiment en haleine jusqu'aux dernières lignes.

 

J'ai bien aimé ce roman régional mêlant l'Histoire de notre pays à celle d'une famille de fermiers que les villageois considéraient comme des déserteurs. Il rend aussi hommage aux résistants qui, en cette période ô combien troublée, ont œuvré dans l'ombre, courageusement et bien souvent au péril de leur vie.

 

Un très bon moment de lecture qui séduira les amateurs du genre.

 

Page FB :https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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ANNONCE INTERVIEW ALAIN ARNAUD VENDREDI 27 NOVEMBRE 18 H SUR MON GROUPE fb

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

 

 

Bonsoir les amis,

 

Ce soir vendredi 20 novembre j'ai réalisé ma 157 ème interview avec un auteur du groupe qui a accepté de se soumettre à mes questions.

Je vous donne rendez-vous le vendredi 27 novembre 2020 à 18 H 00 pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Alain ARNAUD. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Alain qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

 

 

A vendredi.

 

 

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INTERVIEW REALISEE CE SOIR AVEC CLAIRE BERTIN SUR MON GROUPE FB

INTERVIEW AUTEURE

Claire BERTIN

 

JM : - Bonsoir à tous

 

    ⁃    Notre amie Claire BERTIN a gentiment accepté, de se soumettre, récemment,   à mes questions.


 

JM : - Bonsoir  Claire

 

    ⁃ Comment vas-tu ? Es-tu prête à « subir mon petit           interrogatoire » ?

 

Claire : Coucou Joëlle! Avec grand plaisir, merci pour ton invitation ! 

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Claire : Je suis une Auteure bretonne de 3 romans : Une duologie, 20 ans… Tomes 1 et 2, ainsi que Du soleil sur ma vie, mon petit dernier, sorti le 1er juillet. Sinon, en dehors de la sphère littéraire, j'ai un merveilleux mari, Aurélien, et trois enfants, Arthur, Alexandre et Rose. J'adore le soleil, le thé, les livres, les animaux et passer des moments entre amis. 

 

 

JM : - Tu as une vie de famille et professionnelle bien remplies.. comment fais-tu pour concilier tout cela ?

 

Claire : Honnêtement, je ne sais pas !! ? Il doit y avoir un espace temps particulier chez moi car ça le fait ! Je n'écris pas de façon régulière, par contre une fois lancée dans l'écriture d'un roman, ce sont des mois passés dans ma bulle dès que j'ai du temps. 




 

 

 


 

JM : - Et si tu nous parlais de tes  romans ?

 

Claire : Comme je le disais plus haut, il y a trois romans, mais deux histoires. Je vais commencer par 20 ans… la première histoire en deux tomes que j'ai écrite. Une histoire inspirée de personnages réels et de faits fictifs. Trois étudiantes bretonnes en tourisme nous livrent leurs aventures. Un roman frais et léger qui plaît autant aux adultes un peu nostalgiques qu'aux ados qui s'y projettent. Mon deuxième roman, Du soleil sur ma vie est également une belle histoire d'amitié née de ma participation aux prix télé loisirs du roman de l'été 2020, sur la plateforme Fyctia. J'ai la fierté d'être arrivée en finale. Cette fois, mes héroïnes sont des trentenaires qui ont des vies professionnelles très remplies. Un soir, sur un coup de tête, elles prennent une décision qui va changer leur vie. C'est un roman qui touche et fait rire mes lecteurs, ça tombe bien, c'est le but !! 

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

Claire : Oui, j'ai mon quatrième roman en tête. Il ne me reste plus qu'à l'écrire !! ? Sortie prévue au printemps 2021!


 

JM : - Où trouves-tu l'inspiration pour créer les protagonistes de tes livres ? Improvises-tu ou connais-tu la fin de tes histoires avant d'en commencer l'écriture ?

 

Claire : Alors, pour 20 ans… LeLes trois héroïnes étaient inspirées de personnes réelles, donc imaginer leurs personnalités n'a pas été un problème. Et les personnages secondaires, imaginés de toutes pièces, sont arrivés tout naturellement. Lors de l'écriture, je savais où j'allais, par contre, mes personnages m'ont réservé plein de surprises et m'ont forcée à modifier pas mal de choses initialement prévues. 

Pour Du soleil sur ma vie, je me suis laissée porter, j'ai découvert mes personnages au fur et à mesure que j'écrivais leur histoire. C'était une écriture très spontanée, je n'ai fait que suivre Anne et Gaby. Et j'avoue qu'étant moi-même une personne spontanée et impulsive, ce type d'écriture me correspond très bien !! 

 

 

 

JM : - T'arrrive-t-il de t'attacher à tes personnages et certains te ressemblent-ils ?

 

Claire : oui, totalement ! Je rêve d'eux la nuit, je ris et pleure avec eux, je culpabilise dès que je leur fais vivre une épreuve… C

C'est une relation presque fusionnelle. 

Dans 20 ans…, l'un des personnages était inspiré de ma propre personnalité, celle que j'avais au même âge. Une jeune fille pleine de rêves mais peu sûre d'elle. 

Certains lecteurs pensent m'avoir reconnue sous les traits d'Anne, dans Du soleil sur ma vie. Effectivement, il y a beaucoup de ressemblances, pour être vraiment dans l'empathie avec nos personnages, il me semble inévitable de leur donner un petit peu de nous-même 

 

M : Comment procédes-tu pour écrire tes romans (carnets, cahiers, fiches, écriture directe sur l'ordinateur) ?

 

Claire : J'écris directement sur ordinateur, mais j'ai toujours des carnets à proximité pour noter mes idées quand elles viennent. Des bouts de dialogues, des anecdotes, des impressions… 



 

JM : - Quand écris-tu (la nuit, le jour)  pendant combien d'heures ? Est-ce que parfois tu passes des nuits blanches ? En combien de temps écris-tu un roman ?

 

Claire : C'est variable! Je ne suis pas une grosse dormeuse donc beaucoup de passages sont écrits de nuit. Mais il m'arrive d'écrire aussi en journée dès que je suis seule. Je mets la musique et c'est parti ! Et en voiture, sur les longs trajets, quand mon mari est au volant, j'écris ! Le trajet passe plus vite et la route m'inspire grâce aux paysages traversés ! 


 

JM : - Sauf erreur de ma part, tous tes romans sont des “feel-good”. Pourquoi ce choix ?

 

Claire : Je ne les écris pas en me disant que ce seront des feel good. C'est une fois de plus quelque chose qui vient naturellement car mon objectif, dans la vie et aussi dans l'écriture, est de rendre les gens heureux, de leur faire du bien. Si on me met dans cette catégorie, c'est que je fais le job alors ça me va !! 

 

JM :- Envisages-tu d'écrire dans un autre genre ?

 

Claire : Je ne sais pas, on verra où le vent porte ma plume !! 


 

 

JM : - A qui confies-tu tes manuscrits en première lecture (membre de ta famille, bêta lecteur) ? Qui réalise les couvertures de tes livres ?

 

Claire : Mon mari, et un petit groupe d'amis lisent au fur et à mesure que les chapitres sortent. Une fois que l'histoire est bouclée, elle part chez des bêta lecteurs et enfin, elle passe à la correction avant d'être lancée. 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier tes ouvrages ?

 

Claire : J'ai tout auto édité grâce à la plateforme Amazon. J'aime cette liberté totale de l'auto édition et ça fonctionne très bien pour moi ? même si c'est un boulot énorme de tout gérer. C'est vraiment un deuxième métier. 

 

JM : - Quels sont les auteurs qui t'ont donné l'envie d'écrire ?

 

Claire : Je suis une fervente lectrice de Virginie Grimaldi. Elle sait toujours comment nous toucher et faire passer des messages très forts avec douceur et humour. J'aime beaucoup Joël Dicker, Dan Brown, Karine Giebel, Bernard Werber, J. K Rowling… J'ai des goûts très éclectiques ! 

 

JM : Lis-tu ? Quel genre ?

 

Claire : J'aime les histoires qui touchent, qui ont un vrai message. Mais je lis aussi beaucoup de thrillers, de policiers… Et puis les Harry Potter, lus et relus, mais dont on ne se lasse pas. Mes enfants sont tombés dans le chaudron et ont cette même passion pour les aventures de cet apprenti sorcier ?

 

JM : En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Claire : j'adore lire et créer. Que ça soit par le dessin, par des loisirs créatifs, la photo, la fabrication de bijoux… J

J'ai besoin de créer pour m'épanouir et être bien. Sinon, j'adore les séries, Netflix est mon meilleur ami. Je chante beaucoup, surtout dans ma voiture, fenêtres fermées, j'adore m'egosiller sur mes play-lists ! 

JM : - Quel est ton proverbe préféré ?

 

 

Claire :Aide-toi et le Ciel t'aidera. 

 

 

JM : - Quel est ton  endroit favori (pièce de ta maison, une région, un pays) ?

 

Claire : Mon jardin, je m'y sens super bien. Et sinon, les endroits où la nature envoie de fortes vibrations. Mer, montagne… J'aime les paysages grandioses où les éléments peuvent se déchaîner ! 

 

 

JM : - Quel est ton péché mignon ?

 

Claire : Je ne mange plus de viande depuis 3 ans… Mais en bonne bretonne, je ne peux pas résister à une galette saucisse deux ou trois fois dans l'année ! 

 

JM : - Quel est ton film culte et quel genre de musique écoutes-tu ?

 

Claire :Amelie Poulain, un film unique qui me rend heureuse et qui me touche en plein cœur. Pour la musique, j'adore Lynda Lemay, Clarika, John Butler, mais j'adore également écouter du classique. Je peux écouter le Lac des cygnes en boucle ! 

 

JM : - Si tu étais une fleur, une odeur, une couleur, un animal........ tu serais ?

 

Claire : Une fleur : un iris, une odeur : la terre mouillée après la pluie en été, une couleur : le doré, un animal : Ficelle, mon chat ?

 

JM : - Si tu devais partir sur une île déserte quel objet, indispensable à tes yeux, emporterais-tu ?

 

Claire : Mon téléphone (oui, je suis légèrement addict!) 

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Claire : merci Joëlle et bisous à tous ceux qui m'ont lue?￰゚リリ

 

JM : - Merci Claire pour ce très agréable moment passé en ta compagnie, ta disponibilité et ta gentillesse.

 

Les amis, vous avez la parole :  vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Claire qui vous répondra avec plaisir, sous ce post.

 

 

 

 

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Et voici ma seconde chronique concernant : "LE GRAND ART DES PETITES ESCROQUERIES"

« LE GRAND ART DES PETITES ESCROQUERIES »

Sophie ENDELYS

EDITIONS PRESSES DE LA CITE

1er octobre 2020

327 pages

 

Présentation

 

 

Juillet 1989. Julia James est victime d’un terrible accident de voiture. La talentueuse journaliste, qui peinait sur son livre Le Grand Art des petites escroqueries, avait loué une dépendance sur la propriété de la Fondation Saint-Just – une école qui propose des stages révolutionnaires de développement personnel – pour l’été afin d’y achever son manuscrit.


Avril 2010. Sa fille, Clémence, reçoit un colis contenant 502 dessins réalisés par Julia, qui est morte en 1999 – dix ans après son décès officiel –, au couvent de la Sainte-Charité, non loin de la Fondation.


Pourquoi le père de Clémence lui a-t-il fait croire à la mort de sa mère ? Quel rôle ont joué l’avocat Maxence Saint-Just et Marius, l’édi­teur de sa mère ? Son grand-père lunetier, qui l’a élevée, savait-il ? Et, surtout, qu’avait donc découvert Julia à Groumenville ?

 

L'auteure

 

Née à Paris, et installée actuellement en Normandie, Sophie Endelys a été juge au tribunal de grande instance de Paris et mène une carrière de magistrat tout en se consacrant à l'écriture.
Elle a publié trois romans, Du gypse, du plomb et une légère odeur de fraise (Fayard, 2003), Diététique et balle perdue (Plon, 2007) et La Brodeuse des ombres (Denoël, 2013). Elle a aussi raconté ce qu'est le quotidien d'un juge dans Salle des pas perdus (Plon, 2012).

 

Mon avis

 

Je remercie les Editions PRESSES DE LA CITE et en particulier Marie-Jeanne de m'avoir permis de lire, en service de presse, « Le Grand art des petites escroqueries », roman de Sophie ENDELYS.

 

Je ne vois pas grand chose à ajouter pour vous présenter cet ouvrage ; tout étant relaté sur la quatrième de couverture.

 

Dans cet ouvrage quelque peu complexe, l'auteure dresse une analyse fine sur le mensonge, la tromperie et la manipulation en mêlant à l'intrigue une touche de suspense.

 

Ce thriller ésotérique est bien écrit. Toutefois, n'étant pas adepte de ce genre de lecture, j'ai rencontré quelques difficultés à adhérer à l'histoire et j'ai donc du reprendre le récit plusieurs fois au début afin de le comprendre.

 

Malgré tout, je suis certaine que ce livre séduira les amateurs du genre.

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui mercredi voici ma chronique concernant : "L"OR ET LE FER"

« L'OR ET LE FER »

NathalieTHOMAS-VERNEY

LIVIO EDITIONS

12 octobre 2020

352 pages

 

 

Présentation

 

  • Ferronnier ! Ouvre ta maudite grille !


Dorian de Grare ne se doutait pas de l’importance de ses paroles lorsque, le 1er thermidor de l’an II, il quitte son château du Pré pour Paris dans le but de sauver son cousin Enguerrand de l’échafaud.


Nous sommes en 1794, au cœur de la Révolution française. La Terreur est à son apogée et, après l’exécution de Danton, Robespierre règne en maître sur le Comité de Salut Public.


Aël de Kergoët, jeune ferronnier, se voit proposer un travail exceptionnel en cette époque : la conception et la réalisation d’un portail en fer forgé d’une splendeur inégalée qui devra durer éternellement et marquer la puissance et la richesse du propriétaire du château du Pré, « château blanc flottant sur un lac ». Le jeune homme y fera une rencontre qui bouleversera sa vie : Dorian de Grare.


Libertin et débauché, Dorian fréquente les maisons closes parisiennes et sa beauté n’a d’égale que sa cruauté. Fils d’un aristocrate décédé avant la Révolution, Dorian n’a jamais accepté le remariage de sa mère avec le républicain Jean Beaujouan, à qui il doit cependant d’avoir pu conserver ses terres et son château. Un jour cependant, son chemin croise celui d’Alwena, jeune fille pauvre qui fuit la misère de sa Bretagne natale et la guerre entre chouans et armée Républicaine.


Jour après jour, tandis que la splendide grille s’élève dans des conditions tragiques et inexplicables, à une époque troublée, Aël et Dorian, aux origines pourtant si discordantes, parviendront à construire une amitié indestructible comme l’Or et le Fer.

 

 

L'auteure

 

 

Chef d’entreprise depuis bientôt dix ans, Nathalie Thomas-Verney est aussi une passionnée de littérature et voue une grande admiration à Guy de Maupassant.

Son premier roman, « L’Exil », premier tome d’une saga intitulée « Chroniques Adaniennes », sort en 2016. La même année, au mois de novembre, elle remporte le concours d’écriture du château de La Motte Tilly avec sa nouvelle intitulée « Le Dernier Chant du Rossignol ». Encouragée par les membres du jury, elle décide de se consacrer à l’écriture du roman. Celui-ci, sorti en avril 2018, sera primé au concours international des Arts Littéraires en 2019.

En mai 2019, un second roman voit le jour : “Destins Interdits”. Ce roman s’inspire d’une citation de William Shakespear : “il n’y a pas de mal qui ne passe pas au bien”. “Destins Interdits” recevra la mention d’honneur du jury au Golden Aster Book 2019 à Rome.

En 2020, Nathalie décide de clore ses Chroniques Adaniennes avec le Livre 2 “Le Retour du Roi-Dragon”, tout en travaillant sur son roman historique “L’Or et le Fer”.

 

 

 

Mon avis

 

 

Je remercie NathalieTHOMAS-VERNEY de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son dernier roman « L'Or et le fer ». J'ai découvert la plume légère et majestueuse de cette auteure lors de la lecture de ses deux précédents ouvrages « Le Dernier chant du rossignol » et « Destins Interdits » que j'ai beaucoup aimés. Je remercie également Nathalie pour la très gentille dédicace qui m'a beaucoup touchée.

 

L'auteure nous transporte en 1794 à Paris et donne la parole à Aël un jeune ferronnier Breton. Celui-ci nous conte son arrivée dans la capitale en compagnie de son père. Tous deux travaillent le fer pour survivre en cette période ô combien tourmentée qu'est la Révolution Française..

 

Nous faisons ensuite connaissance avec Jean Beaujouan, Républicain qui, en épousant la veuve du Comte de Grare, jouit du Château du Pré où il vit avec Pétronille de Grare et Dorian, le fils de cette dernière. Le jeune homme, hautain, cruel et libertin, profite de son pouvoir de séduction et de la belle vie.

 

Dans le même temps, Alwena une jeune Bretonne se trouve dans une forêt lorsqu'elle entend une mystérieuse chanson parlant de château, de chevalier, de lac, d'or et de fer...

 

Aël et son père parviendront-ils à réaliser le portail en fer forgé destiné à traverser les temps que le beau-père de Dorian leur a commandé ?

 

 

NathalieTHOMAS-VERNEY nous offre un très beau roman qui mêle l'Histoire à celle d'hommes et de femmes, riches ou pauvres, ayant vécu à Paris pendant la Révolution. Ainsi, nous découvrons certains pans de la vie privée de Danton et de Robespierre que le jeune Dorian fréquente lors de soirées parisiennes..

 

J'ai bien aimé cet ouvrage, empli de poésie, très bien écrit et documenté sur le plan historique qui fait référence au précédent roman de l'auteure « Destins Interdits ».

 

Je l'ai lu d'une traite tant j'avais hâte d'en connaître le dénouement fort surprenant et vous laisserai découvrir par vous-mêmes cette jolie histoire d'amour et d'amitié !

 

Bonne lecture.

 

 

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Et voici ma troisième chronique concernant : "QU"IMPORTE LE CHEMIN"

« QU 'IMPORTE LE CHEMIN »

Martine MAGNIN

FAUVES Editions

2 octobre 2020

216 pages

 

Présentation

 

« À nous, parents inquiets et ignorants, la recherche fébrile dans les dictionnaires médicaux, le décryptage impossible des graphiques d’électro-encéphalogrammes et l’interprétation plus que hasardeuse des - bilans biologiques. Le regard froid et technique des médecins blasés, leur arrogance expérimentée, hautaine et fuyante. De l’autre côté, la maladresse et l’extrême compassion des amis et de la famille n’arrangeaient rien. Leur compassion maladroite et pesante nous hérissait, on s’empêchait de les repousser avec brusquerie, ce n’était pas le moment de parler ou de partager, c’était juste le moment de comprendre et de se battre. C’était le moment de crier en silence. » - - Un jour, en rentrant de vacances, Alexandre, 8 ans, fait une crise. Panique générale. La vie bien ordonnée de sa mère s’effondre.

 

Qu’importe le chemin retrace le combat à contre-courant d’une mère et de son fils. Diagnostiqué épileptique, Alexandre sera un petit garçon fragile et sensible, puis un jeune homme en proie à de lourdes addictions qui lui feront connaître les tourments de la rue et la violence de l’enfermement psychiatrique. Sa mère sera présente à chaque instant. Sans jamais céder au désespoir ni au fatalisme, Martine Magnin livre un témoignage poignant et sincère sur l’amour d’une mère face à un enfant en dérive."

 

L'auteure

 

Martine MAGNIN est l'auteure de plusieurs ouvrages, parmi lesquels Le Confort de l'autruche et A l'ombre des saules en pleurs, parus aux mêmes éditions.

 

 

Mon avis

 

Je remercie Martine MAGNIN de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, « Qu'importe le chemin ». Je remercie également Martine pour sa confiance et pour la très gentille dédicace qui m'a beaucoup touchée et qui reprenait cette très jolie phrase : « Qu'importe le chemin, on récolte toujours ce que l'on S'AIME... »

 

Etant fan inconditionnelle de cette auteure dont j'ai lu tous les ouvrages, j'ai retrouvé avec plaisir sa plume fluide et précise.
 

A la lecture de la préface rédigée par le Dr Marcel Lascar, créateur du réseau SOS Médecins, nous comprenons que l'auteure va nous ouvrir les portes de sa vie privée par ce témoignage sur la maladie de son fils Alex.

 

Martine est divorcée. Elle élève seule ses deux enfants Alex 8 ans et Lola 2 ans ½ quand, au retour d'un séjour avec Paul son père, Alex fait une crise d'épilepsie. Le verdict est tombé la vie ne sera plus la même pour cette famille et surtout pour Martine qui se sent impuissante coupable même face à cette maladie incurable et à la descente aux enfers de son enfant qui, en grandissant fera un grand nombre d' erreurs..

 

Que d'angoisses, de peurs, de stress dans les hôpitaux, de douleurs face à la maladie et l'agressivité de son enfant....

Bien qu'énergique et courageuse, Martine va mener un combat de tous les jours. A la limite parfois de baisser les bras mais sans cesse poussée par l'espoir, cette maman va réagir et positiver malgré les drames que la vie lui impose.

Elle se doit de trouver l'énergie nécessaire pour s'occuper de sa fille et de poursuivre l'activité qu'elle a créée avec ses fidèles amies qui seront pour elle une bénédiction du ciel et une bouffée d'oxygène.

 

J'ai ADORE ce récit poignant, émouvant, bouleversant, triste, très bien écrit, avec les mots de Martine certes mais aussi avec son cœur, qui est une ode à l'amour filial et à l'amitié.

 

J'ai refermé ce livre, les yeux embués et certaine qu'il restera longtemps dans ma mémoire.

Je rajouterai BRAVO et MERCI Martine d'être la belle personne que tu es..

 

Un excellent moment de lecture.

 

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