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ANNONCE INTERVIEW MARIE MENEGUZZO et BRUNO AUBERT, auteurs et responsables Editions L'ARBRE MONDE lundi 8 juin 18 h sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS💜

Bonsoir les amis,💁‍♂️💁‍♀️

Ce soir vendredi 5 juin 2020 j'ai réalisé ma 126 ème interview 💻avec un auteur du groupe 💁‍♀️📖 qui a accepté de se soumettre à mes questions.

Je vous donne donc rendez-vous le lundi 8 juin 2020 à 18h pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Marie Meneguzzo et Bruno Aubert auteurs et responsables des Editions L'Arbre Monde. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Marie et Bruno qui y répondront tous deux en direct.

A LUNDI 😍

 

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Je partage l'interview que j'ai réalisée ce soir avec Lyliane MOSCA, sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEURE

Lyliane MOSCA

 

 

 

JM : - Bonsoir à tous

 

  • Notre amie Lyliane MOSCA a gentiment accepté de se soumettre, récemment, à mes questions.

 

Je partage donc cet entretien, à l'issue duquel vous pourrez, si vous le souhaitez, poser des questions à Lyliane qui y répondra plus tard en fonction de ses disponibilités.

 

 

 

JM : - Bonsoir Lyliane

 

⁃ Comment vas-tu ? Es-tu prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Lyliane : Avec plaisir.

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Lyliane : Je suis retraitée depuis une dizaine d'année et veuve depuis 17 ans. Je vis seule avec mon chien et mon chat. Mais j'ai la chance d'avoir un fils et une fille, et trois petits fils. Après avoir travaillé en entreprise en qualité de secrétaire de direction, j'ai intégré le journal l'Est Eclair, tout d'abord comme pigiste puis comme journaliste. Je vis près de la ville de Troyes et je continue d'animer la rubrique « livres », tous les dimanches dans l'Est Eclair. Je couvre aussi quelques spectacles, notamment le théâtre.

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes romans ?

 

Lyliane :

 

J'ai écrit une douzaine de romans. Les premiers sont parus chez Deborée et depuis cinq ans, je suis éditée aux Presses de la Cité. Mes romans font revivre la région où je vis, c'est à dire la Champagne, (ou la Bourgogne, tout près) à travers un métier, un site, des personnages ou une page d'histoire.

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et peux-tu nous en dire quelques mots ?

 

Lyliane : J'ai toujours des projets d'écriture. Le dernier roman « La demoiselle à l'éventail » à paraître le 18 juin traite de l'absence (une disparition), de la différence, et de la reconversion des agriculteurs... L'intrigue se passe entre Menton et Langres ville de Haute Marne. 800 kilomètres séparent les deux personnages principaux. Il y a aussi, bien évidemment, toute une partie romanesque. J'attache beaucoup d'importance à la psychologie des personnages. Parallèlement, j'écris aussi, avec un historien coauteur, un roman historique sur « Les dames du Temple ». Et mon prochain roman à paraître (en 2021) aux Presses de la Cité évoquera les nourrices du Morvan. Ces jeunes mamans qui, pour gagner de l'argent, partaient à Paris allaiter les enfants des familles aisées en laissant leur propre bébé à la mère ou la soeur. (Fin du 19e siècle)

 

 

 

JM : - Où trouves-tu l'inspiration pour créer les protagonistes de tes écrits ? Improvises-tu ou connais-tu la fin avant de commencer l'écriture ?

 

Lyliane : J'ai toujours un fil conducteur mais je ne sais jamais comment ça va finir... Tout vient au fur et à mesure. Je trouve l'inspiration n'importe où. Un personnage peut m'inspirer (comme Gabrielle), ou un lieu ou un événement. Je m'intéresse aux gens et à leur histoire. J'ai la chance d'avoir beaucoup d'imagination

 

 

JM : Si ma mémoire est bonne, tu as écrit un roman régional et une biographie romancée qui parlent pour l'un de musique et pour l'autre de peinture. Peux-tu nous donner la raison de ces choix ?

 

Lyliane : J'ai écrit plusieurs romans dits régionaux. Le dernier « La promesse de Bois joli », parle de musique en effet mais aussi de l'art du vitrail, et d'un événement tragique qui s'est déroulé dans mon village à la fin de la guerre.

Pour « La vie rêvée de Gabrielle » j'ai été inspirée par cette jeune Champenoise qui a vécu une grande partie de sa vie dans le sillage des Renoir. Son profil m'intéressait et son petit neveu m'a fourni tous les renseignements.

J'aime distiller l'art dans mes histoires. La musique, la peinture, la sculpture... C'est ce qui embellit la vie. L'art console de tout.

 

 

JM : Comment procèdes-tu pour écrire tes romans (carnets, cahiers, fiches, écriture directe sur l'ordinateur) ?

 

Lyliane : Je prends quelques notes et écris directement sur l'ordi.

 

 

JM : - À quel moment de la journée écris-tu ? ? Le jour ? La nuit ? Et pendant combien de temps ?

 

Lyliane : Tous les après-midis. Parfois le matin. Mais très régulièrement. Trois ou quatre heures.

 

 

JM : - Tu as noué un lien très fort avec tes lecteurs et lectrices, peux-tu nous en parler ?

 

Lyliane : C'est toujours un partage qui me fait chaud au coeur. Un encouragement. Une envie de continuer pour prendre du plaisir et en apporter. Ils me disent que je les fais rêver... Quel privilège ! C'est ma récompense.

 

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement  et où ?

 

Lyliane : Tout a été décalé à cause du virus. Je les indiquerai sur face book au fur et à mesure.

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier tes ouvrages ?


Lyliane : J'ai envoyé un manuscrit et bingo...

 

 

JM : Es-tu sensible à la critique littéraire et penses-tu que les blogs, les réseaux sociaux aident les écrivains à promouvoir leurs écrits ?

 

Lyliane : Qui n'y est pas sensible ? En effet les blogs et autres réseaux sociaux sont précieux pour les écrivains. Je les consulte régulièrement pour mon usage personnel.

 

JM : - Quels sont les auteurs qui t'ont donné l'envie d'écrire ?

 

Lyliane : J'ai commencé par lire la Comtesse de Ségur... et je n'ai plus arrêté. Tolstoï, Stendhal, Maupassant, Flaubert, Troyat, Sand, Daudet etc. Ils m'ont tous donné envie d'écrire. J'ai l'impression que j'ai l'écriture en moi depuis toujours.

 

 

JM : - Quels conseils peux-tu donner aux lecteurs qui veulent devenir écrivains ?

 

Lyliane : Il faut essayer...

 

 

JM : Lis-tu et quel genre ?

 

Lyliane : Je lis de tout. Romans régionaux, romans historiques, essais, biographies historiques, romans actuels, polars à l'occasion... Pour ma chronique hebdomadaire et pour mon plaisir !

 

 

JM : - Quels sont tes endroits préférés ( pièce de ta maison, région de France, pays) ?

 

Lyliane : J'écris dans mon salon car il est lumineux et donne sur mon jardin. Ma région de prédilection est la Bretagne. Le pays étranger qui m'est cher : l'Italie.

 

 

JM : En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Lyliane : La musique et le théâtre. Je suis comédienne amateur depuis 40 ans ! J'aime aussi les voyages (courts), les animaux et jardiner un peu.

 

 

JM : - À quelle époque aurais-tu aimé vivre ?

 

Lyliane : la mienne. Je suis une femme du baby boom...

 

 

JM : - Quelle est ta citation préférée ?

 

Lyliane ; Le bonheur est parfois une bénédiction, mais le plus souvent c'est une conquête (Paulo Coelho)

 

 

JM : Quel mot te définit le mieux ?

 

Lyliane : sensibilité

 

 

 

JM : - Es-tu thé ou café ? Vanille ou chocolat ? Mer ou montagne ?

 

Lyliane : Thé. Chocolat. Mer, mer, mer... Bretagne...

 

 

 

JM : - Si tu étais une odeur, une couleur, une fleur, un animal : tu serais...

 

Lyliane :

Le chèvrefeuille. Le bleu. La pivoine. Chien ou chat (je ne peux pas choisir)

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Lyliane : Juste vous remercier et remercier ceux qui me lisent.

 

 

 

JM : - Merci Lyliane pour ce très agréable moment passé en ta compagnie, ta gentillesse et ta disponibilité.

 

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Lyliane qui va vous répondra avec plaisir sous ce post.

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui vendredi voici ma chronique concernant :A LA LUMIERE DE RENOIR"

« A LA LUMIERE DE RENOIR »

Michèle DASSAS

RAMSAY Editions

10 mars 2020

301 pages

 

Présentation

 

Élève, muse, amie, complice : voici ce que fut Jeanne Baudot pour Renoir pendant plus de vingt-six ans. Elle vouait au maître une admiration sans bornes que la passion commune pour la nature et ses beautés exacerbait. Que de moments précieux et joyeux partagèrent-ils ! Dès son plus jeune âge, évoluant au cœur de la sphère privilégiée d'intellectuels, d'artistes et de collectionneurs parisiens de la Belle Epoque, cousine de Paul Gallimard, amie des petites Manet, de Degas, Mallarmé, Maillol, Maurice Denis, Valéry et de tant d'autres, Jeanne ne pouvait que succomber à l'appel de l'Art.
La peinture l'ensorcela. A la lumière de Renoir tente de percer le secret de cette folle passion aux vertus rédemptrices.

 

"Grâce à la peinture, j'ai éprouvé dans ma vie des émotions et des joies esthétiques qui m'élevèrent dans le royaume de la Beauté pure et m'immunisèrent contre tant d'atteintes terrestres.", dira-t-elle dans ses souvenirs.

Préface de Jean-Marie ROUART de l'Académie Française.

 

 

L'auteure


Michèle Dassas est romancière.
Après avoir obtenu son baccalauréat, elle suit des cours à l’École des Cadres de Neuilly pour y devenir assistante de direction trilingue.
Pour se perfectionner en allemand, elle part travailler en Allemagne chez Bosch puis dans la filiale autrichienne Elektro Diesel à Vienne.
Elle se marie, travaille deux ans dans un Cabinet de Brevets et Inventions à Paris. Son époux, médecin généraliste, s’installe à Argent-sur-Sauldre (Cher).
Après la naissance de leur troisième fille, Michèle Dassas décide de reprendre ses études et se rend régulièrement à la faculté d’Orléans où elle obtient une maîtrise d’Anglais et une Licence de Langues Étrangères Appliquées (anglais – allemand).
Elle conçoit et programme ensuite plusieurs logiciels qui seront publiés et primés au concours Innovalangues.
Parallèlement, elle s’engage dans la vie publique et devient conseillère municipale, puis adjointe au Tourisme et à la Culture à Argent-sur-Sauldre.
Michèle Dassas a par ailleurs remporté le 1er prix du Concours littéraire "Les Enfants du Grand Meaulnes" en octobre 2013 pour son texte D’une rive à l’autre.
site de l'auteure:http://michele.dassas.com/


Mon avis

 

Je remercie Michèle DASSAS de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son roman « A La lumière de Renoir ». J'ai découvert la très belle plume de cette auteure lors de la lecture de « Femme de robe », roman que j'ai beaucoup aimé.

 

Etant passionnée par l’impressionnisme et en particulier par les œuvres de Renoir, je n'ai pu qu'être séduite par les si jolis mots de l'auteure.

 

Michèle DASSAS nous transporte au XIXème siècle et nous conte le destin de Jeanne Baudot, artiste peintre qui fut l'élève, la muse et l'amie d'Auguste Renoir.

 

Nous découvrons donc une jeune fille puis une femme libre, joyeuse, charmante et avant-gardiste pour cette époque qui, bien que issue d'un milieu aisé, ne souhaite pas se marier et ne vit que pour la peinture.

 

L'histoire est passionnante, l'écriture fluide et majestueuse et l'on se surprend à tourner les pages à une vitesse grand V tant le sujet est intéressant.

 

Michèle DASSAS décrit avec moult détails les traits tant physiques que psychologiques des protagonistes de son ouvrage, les rendant authentiques, attachants et nous permettant de mieux les connaître. Il en est de même pour les peintures dont nous imaginons aisément les sublimes couleurs : un vrai régal...

 

J'ai beaucoup aimé cette biographie romancée, très bien écrite et documentée sur le plan culturel et en particulier sur l'impressionnisme qui m'a vraiment captivée et que j'ai quittée à regret.

 

Un excellent moment de lecture.

 

Page FB :https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

 

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Bonjour aujourd'hui mercredi voici ma chronique concernant "Nos Peines indicibles"

« NOS PEINES INDICIBLES »

Marjorie LEVASSEUR

Auto-Edition

22 mai 2020

312 pages

 

 

Présentation

 

Il est des blessures qu’on préfère taire parce que trop douloureuses, des silences qui se font assourdissants et des fossés qui se creusent pour devenir des abîmes…


Léna était une adolescente qui avait tout pour être heureuse… en apparence. Une apparence qu’elle a voulu conserver pour sa mère, ses amis, jusqu’à ce que sa peine devienne si insupportable qu’elle ne puisse plus faire semblant et finisse par commettre l’irréparable.


Agathe est infirmière scolaire et vient de s’installer à Grenoble avec sa fille pour prendre un nouveau départ, panser ses plaies et oublier la fin désastreuse de son mariage avec Thomas.


En arrivant dans le lycée où a eu lieu le drame, la jeune femme ignore totalement dans quelle mesure son existence s’en trouvera bouleversée. De surprises en déceptions, de rencontres en révélations, rien ne sera plus jamais pareil.
Pour Agathe, comme pour les proches de Léna, il y aura un AVANT et un APRÈS…

 

L'auteure


Marjorie Levasseur est une auteure auto-édité qui vit en Bourgogne.
De formation juridique, elle est devenue aide-soignante après une reconversion professionnelle sur le tard.
Ce sont les différentes anecdotes entendues dans son métier qui lui ont inspiré son premier roman, Une parenthèse dans ta vie..., bientôt suivi d'Il n'y a pas d'ombre sans lumière qui en est la suite.

Bibliovore impénitente, c'est à force de lecture que l'envie d'écriture s'est imposée d'elle-même dans sa vie.
 

 

Mon avis

 

Je remercie « LA VOIE DE CALIOPE » et en particulier Emma de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, le dernier roman de Marjorie LEVASSEUR : « Nos Peines indicibles ».

Nous faisons connaissance avec Agathe, infirmière scolaire en instance de divorce qui vit avec sa fille Lily dont elle partage la garde avec Thomas, son ex-mari.

Agathe apprend qu'un drame a eu lieu, il a quelques années, dans le lycée où elle exerce depuis peu. Elle décide de découvrir les causes de cet événement tragique que, ni les élèves ni les professeurs, ne semblent vouloir évoquer.

 

 

Dans ce roman choral, l'auteure donne la parole aux protagonistes de son livre nous permettant de mieux les connaître et de partager leurs sentiments. Elle a vraiment le don de captiver le lecteur qui se sent de suite happé par ses mots et tente de trouver l'énigme liée à la disparition de Léa, pense avoir percé le mystère, mais en fait il n'en est rien....

 

Marjorie LEVASSEUR aborde avec douceur et pudeur différents thèmes d'actualité tels que l'amour, le divorce, l'amitié, l'adolescence, l'anorexie, les relations parents-enfants, le suicide, les secrets.., sujets qui ne peuvent que nous toucher.

 

J'ai beaucoup aimé ce roman contemporain émouvant, très bien écrit, aux multiples rebondissements et au suspense bien mené, qui m'a tenue en haleine jusqu'au dénouement et que j'ai lu pratiquement d'une traite tant il me tardait d'en connaître le dénouement.

 

Un excellent moment de lecture.

 

 

Page FB :https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 


 

 

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ANNONCE INTERVIEW AUTEURE LYLIANE MOSCA VENDREDI 5 JUIN 18 H SUR MON GROUPE FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS💜

Bonjour les amis,💁‍♂️💁‍♀️

Ce soir mardi 2 juin 2020 j'ai réalisé ma 125ème ème interview 💻avec un auteur du groupe 💁‍♀️📖 qui a accepté de se soumettre à mes questions.

Je vous donne donc rendez-vous le vendredi 5 juin 2020 à 18 H 00 pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Lyliane Mosca 💁‍♀️📖.. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Lyliane qui y répondra PLUS TARD étant indisponible ce soir là.

A vendredi😍

 

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Bonsoir je partage l'interview que j'ai réalisée ce soir avec Florence THOLOZAN sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEURE

Florence THOLOZAN

 

 

JM : - Bonsoir à tous

 

Notre amie Florence THOLOZAN a gentiment accepté, de se soumettre, récemment, à mes questions.

 

Je partage donc cet entretien à l'issue duquel vous pourrez, si vous le souhaitez, poser des questions à Florence qui y répondra, en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

 

 

 

JM : - Bonsoir Florence

 

Comment vas-tu ? Es-tu prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Florence : Bonsoir Joëlle ! Merci à toi de m’accueillir pour cette petite interview. Allons-y !

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Florence : Bonsoir à tous ! Je vis dans les proches environs de Montpellier. J’ai fait des études de psychologie clinique et j’enseigne dans l’Hérault. J’ai trois enfants et un chat. Du plus loin que je me souvienne, j’ai toujours eu l’amour des mots. La Chinoise du tableau est mon premier roman. Il vient de paraître en librairie aux Editions M+.

 

 

 

 

JM : - Et si tu nous parlais de ton premier roman “La Chinoise du tableau” ?

 

Florence : J’ai toujours présumé qu’au moment précis où l’on rencontre quelqu’un, on sait déjà de manière diffuse ce qui adviendra de la relation. Et l’émotion qu’engendre ce regard initial est à la hauteur de l’importance que prendra cette personne.

Et si comme Mélisende et Guillaume vous découvriez un étrange tableau ? Un tableau sur le point de bouleverser votre vie ?

Au second plan derrière une jeune Chinoise, se tiendrait un couple qui ressemblerait en tout point au vôtre. À un detail près: les personnages représentés sur la toile seraient bien plus âgés.

Une curiosité irresistible vous entraînerait alors jusqu’en Chine, à la recherché de la chinoise du tableau.

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

 

Florence : Publier un roman est une aventure formidable. On donne à lire.un récit que l’on a créé. J’ai envie de profiter de cet instant exceptionnel, de le savourer pleinement, et d’accompagner La Chinoise du tableau dans ses premiers pas vers ses lecteurs.

Il faut avoir l’esprit libre pour créer. Chaque chose en son temps. Je n’ai donc pas d’autres projets concrets pour l’instant.

 

JM : - Où as-tu trouvé l'inspiration pour créer les protagonistes de ton livre ? As-tu improvisé ou connaissais-tu la fin de l'histoire avant d'en commencer l'écriture ?

 

Florence : À l’origine de ce roman, il y a une grande passion pour l’Asie et la Chine en particulier. L’histoire s’est imposée d’elle-même, sans aucun plan. Je me suis laissée entraînée par ma plume et mon imagination débordante. Je ne savais pas comment l’histoire se finirait. Aux trois quarts du récit, la fin m’est apparue comme une évidence et j’ai commencé à stucturer le texte de manière à ménager une attente, un certain suspense chez le lecteur. Certains passages et personnages comportent des éléments personnels, notament sur l’histoire familiale, celle de mes grands-parents. Cela reste tout de même anecdotique dans le déroulement de l’intrigue. Ce sont des détails, des digressions parfois, qui étoffent l’écriture. Seuls les proches peuvent les distinguer. C’est l’occasion de leur adresser quelques clins d’oeil, de leur transmettre quelque chose.

 

JM : - T'arrrive-t-il de t'attacher à tes personnages et certains te ressemblent-ils ?

 

Florence : Au début j’ai créé mes personnages de toute pièce. C’est d’ailleurs un sentiment de liberté très grisant ! Puis peu à peu, au fil des pages, les personnages ont pris une relative autonomie. Et je me suis attachée à eux. Ils existent maintenant dans mon esprit et dans celui des lecteurs. S’ils ont quelques resemblances que ce soit avec des personnes réelles, ce n’est que pure coïncidence !

 

JM : Comment procédes-tu pour écrire (carnets, cahiers, fiches, écriture directe sur l'ordinateur) ?

 

Florence : J’écris directement sur mon ordinateur, dans le calme de la maison. Lorsque je ne suis pas chez moi, j’ai toujours un carnet pour noter les idées qui me viennent. Il m’arrive souvent de m’arrêter en chemin, quand je suis en voiture, pour noter une idée avant qu’elle ne s’échappe.

 

 

 

JM : - Quand écris-tu (la nuit, le jour) pendant combien d'heures ? Est-ce que parfois tu passes des nuits blanches ? En combien de temps écris-tu un roman ?

 

 

Florence : J’écris le plus souvent le soir, quand rien ne pourra m’interrompre. C’est très difficile pour moi de m’arrêter quand j’écris, voire douloureux. Je ne commence que lorsque je sais que j’ai au moins deux ou trois heures devant moi. Jamais de nuits blanches, car le sommeil finit toujours par m’emporter, mais je me couche tard.

Il m’a fallu plus d’une année pour écrire La Chinoise du tableau. Tout autant pour les nombreuses relectures, corrections et réécritures.

 

 

 

 

JM : - Ce premier roman est un roman contemporain romantique. Pourquoi ce choix et envisages-tu d'écrire dans un autre genre ?

 

Florence : J’ai toujours trouvé magnifique, la rencontre amoureuse. Je veux dire par là, les belles rencontres, dans le sens de la rencontre avec l’Autre, de sentiments purs et profonds. J’avais envie de raconter cette Rencontre. Une telle communion d’âme frôle la magie, l’indiscible, le fantastique. Tout le long du roman, les personnages évoluent sur un fil ténu entre la réalité et le fantastique. J’aime ouvrir les portes de l’imaginaire, faire quelques entorses à la réalité. Je ne sais pas si je resterai dans ce genre ou pas. L’inspiration est quelque chose que l’on ne maîtrise pas.

 

JM : - Si ma mémoire est bonne, tu as obtenu la seconde place du Prix du livre romantique. Pourrais-tu nous parler de cette expérience ?

 

Florence : J’ai envoyé mon manuscrit lors d’un appel à textes lancé par les Editions Charleston pour concourir au Prix du livre romantique 2019 avec un contrat d’édition à la clef pour le lauréat. Quelques mois plus tard, les Editions Charleston m’ont contactée pour me dire que mon roman La Chinoise du tableau était retenu parmi cinq finalistes. Un jury composé d’auteurs, libraires, journalistes … a délibéré et m’a attribué la troisième place. Cette aventure m’a apporté une certaine reconnaissance. Marc Duteil, mon éditeur, m’a remarquée suite à cette mise en avant.

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement et où ?

 

Florence : J’ai été présente au salon Paroles d’auteur(e)s de Saint Clément de rivière (34) au cours duquel La Chinoise du tableau a été recompensé par le Prix de Paroles d’auteur(e)s de Saint Clément, le 1er février dernier. Auparavant j’ai dédicacé mon livre à l’Espace Culturel St Aunès (34), au Domaine St Clément - cave à vin (34), au Salon du livre de Vailhauquès (34), à la librairie Siloé Montpellier en mars et à l’Espace culturel d’Intermarché St Gely du Fesc (34). J’attends des réponses, notamment pour la Comédie du Livre de Montpellier et La Foire du Livre de Brive et des librairies de Montpellier et Nîmes. Je serai présente au Casino de l’Aube Rouge de Castelnau Le Lez (34) le 23 mai.

 

JM : - A qui as-tu confié ton manuscrit en première lecture (amie, membre de ta famille, bêta lecteur) ? Qui a réalisé la couverture de ton ouvrage ?

 

Florence : J’ai tout d’abord confié mon manuscrit à mes plus proches, parents et amis. Ensuite je l’ai fait lire à des amis auteurs. J’ai réalisé moi-même le dessin de la couverture à l’époque où je pensais m’auto-éditer. Mon éditeur a voulu le garder et l’a confié à son infographiste qui a apporté quelques modifications et lui a donné un rendu plus professionnel.

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier ce roman ?

 

Florence : J’ai d’abord envoyé mon manuscrit par voie postale aux grandes maisons d’éditions. Puis j’ai participé au Concours des Editions Charleston dont je vous ai déjà parlé. Mon éditeur m’a remarquée sur les réseaux sociaux et m’a contactée.

 

JM : - Que penses-tu de l'édition numérique ?

 

Florence : Personnellement je préfère lire en version papier, pour l’objet en lui-même, sa texture, l’odeur des pages, la couverture… J’ai tout de même eu ma première liseuse à Noël. Ce sera un gain de place dans la valise cet été !

 

JM : - Quels sont les auteurs qui t'ont donné l'envie d'écrire ?

 

Florence : C’est après avoir refermé Le Rideau déchiré de Jody Picoult que je me suis lancée. La narration au présent ainsi que l’avancée de l’intrigue au fur et à mesure des confidences des personnages .m’ont séduite.

Les romans de Carlos Ruiz Zafon, Haruki Murakami, Bernard Werber pour ne citer qu’eux, m’ont incitée à entrouvrir mon récit à l’imaginaire.

 

 

 

 

 

 

JM : Lis-tu ? Quel genre ?

 

 

Florence : Je lis beaucoup (sauf en ce moment car je consacre tout mon temps libre à la sortie de mon livre), surtout de la litterature générale blanche. Parfois des thrillers psychologiques. Je varie les styles .J’ai mes périodes. Je suis curieuse de tout. Je lis les livres de mes amis auteurs, rencontrés dans des groupes littéraires et à l’occasion de salons du livre.

 

JM : - Quel livre lu dans ta prime enfance t'a particulièrement touchée ?

 

Florence : Le Petit Prince d’Antoine de Saint Exupery

 

JM : En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Florence : Passer du temps avec ma famille et mes amis, lire, voyager. Je me passionne pour l’Asie. Je suis amatrice de thé, j’ai d’ailleurs une “cave” à thé particulièrement bien fournie ! Mon préféré est le Matcha préparé dans les règles de l’art avec un petit fouet en bamboo et du lait. J’adore les chats, chanter, rire et danser. Méditer aussi, nager et me rendre à ma séance de pilâtes le samedi matin. J’aime la vie, les gens, je suis épicurienne, gourmande, curieuse, avide de découvrir le monde, d’appendre et transmettre.

 

JM : - Peux-tu nous donner ton proverbe préféré ?

 

Florence : La force ne vient pas des capacités physiques, mais d'une volonté invincible. (Gandhi)

 

JM : - Quel est ton endroit favori (pièce de ta maison, une région, un pays) ?

 

Florence : Puisqu’il ne faut en citer qu’un je dirais Fuseta dans l’Algarve, Sud du Portugal. C’est à cet endroit que je pense lorsque j’ai besoin de me relaxer. Je ferme les yeux, j’entends les vagues, les mouettes, je sens l’odeur des sardines grillées et la chaleur du soleil sur ma peau.

 

JM : - As-tu un péché mignon ?

 

Florence : La gourmandise !

 

JM : - Quel est ton film culte et quel genre de musique écoutes-tu ? Ecris-tu en musique ?

 

Florence : Un film que j’affectionne particulièrement: Le disours d’un roi. avec Colin Firth.

J’ai des goûts musicaux très variés, avec une préférence pour la chanson française.

J’ai besoin de silence pour écrire.

 

 

JM : - Si tu devais partir sur une île déserte quel objet, indispensable à tes yeux, emporterais-tu ?

 

 

Florence : Un album photo des personnes qui me sont chères.

 

 

JM : - Quel mot te définit le mieux ?

 

Florence : Optimiste

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Florence : Je voudrais te remercier, Joëlle, de m’accorder cette interview. Merci infiniment d’aider les auteurs à se faire connaître.

 

 

JM : - Merci Florence THOLOZAN pour ce très agréable moment passé en ta compagnie, ta disponibilité et ta gentillesse.

 

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Florence qui vous répondra avec plaisir sous ce post.

 

https://www.facebook.com/florencetholozan.auteur_

 

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Bonsoir je partage l'interview que j'ai réalisée ce soir avec Marjorie BRIDEL sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEURE

Marjorie BRIDEL

 

 

 

JM : - Bonsoir à tous

 

Notre amie Marjorie BRIDEL a gentiment accepté, récemment, de se soumettre à mes questions.

 

Je partage donc avec vous l'interview que j'ai réalisée avec Marjorie, à l'issue de laquelle, vous pourrez, si vous le souhaitez, poser des questions auxquelles elle répondra PLUS TARD selon ses disponibilités.

 

 

 

JM : - Bonsoir Marjorie

 

Comment vas-tu ? Es-tu prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Marjorie : Bonsoir Joëlle. Je vais bien et toi ? Oui, avec plaisir !

 

 

JM : - Question habituelle mais incontournable : peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Marjorie : J’ai 21 ans. J’ai commencé à lire avec des livres d’images j’avais trois ans et j’ai commencé à écrire à mes six ans. Cela a toujours fait partie de moi. Issue d’une famille où on lit et on écrit beaucoup ce n’était pas vraiment surprenant. Depuis novembre 2019, je suis correspondante de presse locale pour le Dauphiné Libéré. C’était un moyen de découvrir un autre style d’écriture que je ne connaissais pas encore.

 

 

 

JM : - Peux-tu nous parler de ton premier roman ?

 

Marjorie : J’ai écrit mon premier roman j’étais très jeune. C’est une histoire assez enfantine, je n’avais pas à l’époque la maturité nécessaire pour faire un long roman qui sorte vraiment de l’ordinaire. Il s’agit d’une histoire d’amour qui a lieu au sein d’un refuge animalier. Très engagée dans la cause animale, c’était un moyen pour moi de les défendre à travers ce petit roman.

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en dire quelques mots ?

 

 

Marjorie : La « suite » d’Idylle au cœur des animaux est actuellement en corrections et devrait être publié d’ici la fin de l’année. Je dis suite car j’ai repris les personnages et cela se passe toujours dans un refuge animalier. Etant aujourd’hui adulte, ayant fait plus de bénévolat et en sachant beaucoup plus de choses sur le fonctionnement d’un refuge animalier et d’une clinique vétérinaire, c’est pour moi l’occasion d’en parler davantage et mieux que ce que j’avais pu le faire à mes onze ans. Je n’en fais pas une encyclopédie non plus, c’est romancé. Il s’agit d’une famille unie et soudée qui s’épanouie entourée d’animaux et en essayant de les aider du mieux que possible.

Pendant que celui-ci est en correction, j’ai repris l’écriture d’un roman que j’avais commencé il y a cinq ans. Il s’agit d’un hommage à un ami décédé très jeune. Le roman était pratiquement terminé mais je n’arrivais pas à écrire la fin que je voulais plus joyeuse que le reste du livre. N’ayant jusque-là pas réussi moi-même à panser mes plaies et à faire mon deuil, il m’était alors impossible de l’écrire. Les années ont passé, le temps a fait son œuvre et je me sens aujourd’hui plus capable de terminer ce roman qui me tient particulièrement à cœur.

En parallèle, j’ai également été contactée par une dame que je connais qui a perdu la vue suite à une erreur médicale et qui souhaite écrire son histoire. Elle me donne donc toutes les informations, je lui pose les questions nécessaires. Et, j’écrirai sa biographie.

J’ai beaucoup de projets et ne suis pas prête de m’arrêter.

 

 

 

JM : - Que représente pour toi l'écriture ?

 

Marjorie : L’écriture est un moyen de m’évader, de voyager, de me libérer. J’ai toujours été très solitaire. Mais grâce à l’écriture je n’ai jamais été seule. Elle a toujours été un peu comme une alliée, toujours présente.

 

 

JM : - Où as-tu trouvé l'inspiration pour créer les protagonistes de ton roman ?

 

Marjorie : Je m’inspire de ce qui m’entoure, ce que je connais, cela vient assez naturellement. Je dirais qu’il y a une petite part de moi dans chaque personnage principal.

 

 

 

JM : - Ce premier livre que tu as écrit à l'âge de 16 ans, si mes sources sont bonnes, est un roman d'amour. Pourquoi ce choix ? Envisages-tu d'écrire dans un autre genre ?

 

Marjorie : Je l’ai écrit à l’âge de 11 ans et il a été publié à mes 13 ans. J’étais une enfant rêveuse, je ne lisais que des romans d’amour et ne regardais que des films romantiques. C’est ce qui à ce moment-là m’inspirait le plus. Oui, j’envisage d’écrire d’autres genres. Pour ceux à venir, il y a un roman engagé dans la cause animale, un roman sur le deuil et un roman biographique.

 

 

 

 

JM : Comment procédes-tu pour écrire (carnets, cahiers, fiches, écriture directe sur l'ordinateur) ?

 

Marjorie : Pour mon premier et mon second roman (à paraître) j’ai écrit directement sur l’ordinateur et après j’imprimais le tout et je faisais mes corrections et mes rajouts sur papier. Par contre, pour le troisième et les prochains, j’écris sur des feuilles avant de retaper le tout à l’ordinateur. C’est plus facile si j’ai une idée qui me vient d’attraper mon tas de feuilles et de rajouter, que d’allumer mon ordinateur (qui est un ancêtre et rame beaucoup avant de s’allumer).

 

 

JM : - A qui as-tu confié la première lecture de ton manuscrit (amie, membre de ta famille, bêta-lecteur) ?

 

Marjorie : La première lecture est toujours confiée à ma sœur. Elle a toujours été une alliée dans ma vie, m’a toujours soutenue. Mais je sais qu’elle est capable d’être juste et ne pas me dire « tout est parfait » simplement pour me faire plaisir. Si elle considère que tel paragraphe n’est pas assez développé, est moins bon que le reste, elle me le dira. Ensuite ce sont mes parents. Et après mon professeur de français de cinquième qui a toujours suivi de près ce que je fais.

 

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement et où ?

 

Marjorie : Mon premier roman étant sorti il y a longtemps, je n’ai pas de séances de dédicaces. Il y aura des dates de prévues sans doute lors de la publication de mon second roman mais pour le moment je n’en sais pas plus.

 

 

JM : Es-tu sensible à la critique littéraire et penses-tu que les blogs, les réseaux sociaux aident les écrivains à promouvoir leurs écrits ?

 

Marjorie : J’apprécie la critique littéraire du moment qu’elle est fondée et argumentée. Elle permet d’avancer et c’est toujours utile d’avoir d’autres avis. Selon moi, oui les blogs et les réseaux sociaux aident les écrivains à promouvoir leurs écrits. Déjà parce qu’entre deux romans, ils permettent de garder contact avec les lecteurs et les tenir en haleine jusqu’à la publication. Je trouve important ce contact. Et en plus parce qu’il permet à d’autres lecteurs de s’intéresser et découvrir ce que l’on fait.

 

 

JM : - Que penses-tu de l'édition numérique ? (avantages – inconvénients)

 

Marjorie : J’aime beaucoup le papier et je ne lis pas en numérique, j’ai besoin de tourner les pages et je sais que je suis loin d’être la seule. Néanmoins, nombreux sont ceux qui apprécient de lire sur des liseuses. C’est notamment pratique lors de voyages. Cela prend toujours moins de place que de partir comme je le fais avec plus de livres que de vêtements dans les valises.

 

 

JM : - Quels sont les auteurs qui t'ont donné l'envie d'écrire ?

 

Marjorie : J’ai commencé à écrire j’avais six ans et très honnêtement je ne sais pas qui m’a donné l’envie d’écrire. Par contre j’ai le souvenir d’écrire à cette époque que des chansons et des poèmes. Donc je suppose que ce sont les poésies que j’apprenais à l’école et que je récitais sans cesse à la maison qui m’ont plu et m’ont donné envie de jouer à mon tour avec les mots.

 

 

 

JM : Lis-tu ? Si oui quel genre ?

 

 

Marjorie : Je lis énormément et je lis de tout. Autant des thrillers psychologiques, médicaux, que des histoires vraies, des romans d’amour, du théâtre, des recueils de poèmes, de la philosophie... A partir du moment où il y a des pages et que cela se lit, cela me convient.

 

 

 

 

 

JM : - A quelle époque aurais-tu aimé vivre ?

 

Marjorie : J’aurais bien aimé vivre à l’époque de la petite maison dans la prairie. J’ai toute la série et je l’ai regardée plusieurs fois. La vie était plus difficile mais ils savaient se contenter de ce qu’ils avaient. Tout le monde se connaissait ou presque, et tous s’entraidaient. Cette entraide on l’a beaucoup perdu de nos jours et je trouve cela dommage. L’un des épisodes s’appelle « L’homme le plus riche du village ». En réalité il fait parti des plus pauvres en terme d’argent. Par contre en terme d’amour, il est de loin le plus riche. Et je trouve cela magnifique.

 

 

 

JM : En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Marjorie : Je suis également passionnée par la lecture, la nature et l’environnement.

 

JM : - Quel est ton genre de musique ? Ecris-tu en musique ?

 

Marjorie : J’écoute quasiment que du français et que des musiques à texte (Saez, Lynda Lemay…). Il peut ne pas y avoir de mélodie du tout, tant qu’il y a des paroles avec un sens profond, j’apprécie. J’écris en musique mais essentiellement des musiques en anglais par contre. Sinon je me perds dans les paroles, j’écoute et je suis absorbée par autre chose que mes écrits et ce n’est pas productif. Et étant donné que je suis nulle en anglais, je ne comprends absolument rien, je peux donc rester concentrée sur ce que j’écris.

 

 

JM : - Quel est ton film ou série culte ?

 

Marjorie : La petite maison dans la prairie pour tout ce que les personnages représentent. L’entraide, la capacité à se contenter de ce qu’ils ont, pas de jugement sur autrui sur des choses futiles…

 

 

 

JM : - Quel est ton proverbe favori ?

 

Marjorie : Mon proverbe favori est de Jane Austen. « Qui sourit n’est pas toujours heureux, il y a des larmes dans le cœur qui n’atteignent pas les yeux. »

 

 

JM : - Si tu devais partir sur une île déserte, quel objet incontournable à tes yeux, emporterais-tu ?

 

Marjorie : Un livre, c’est certain. C’est toujours la première chose que je prends où que j’aille.

 

 

JM : - Quel mot te définit le mieux ?

 

Marjorie : Je dirai souriante. J’ai toujours le sourire aux lèvres et tout le monde me fait le constat que je n’arrête jamais de sourire.

 

 

JM : - Si tu étais un fruit, une couleur, une fleur, un animal ? Tu serais :

 

Marjorie : Si j’étais un fruit je serai une pêche, parce que je suis dynamique et que j’ai toujours la pêche. Si j’étais une couleur je serais le gris, une nuance de blanc et de noir. Si j’étais une fleur, je serai une rose bleue, parce que j’aime beaucoup cette fleur. Si j’étais un animal je serai le loup, tantôt solitaire, tantôt en meute.

 

 

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Marjorie : Non je n’ai rien de plus à ajouter. Merci beaucoup pour ton temps et ton interview. Ça a été un plaisir de répondre à tes questions.

 

 

JM : - Merci Marjorie pour ce très agréable moment passé en ta compagnie.

 

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Marjorie qui y répondra sous ce post.

 

 

 

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