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ANNONCE INTERVIEW AUTEURE SOUHIHA AUTEURE VENDREDI 26 JUIN 2020 18 H SUR MON GROUPE FB

💜MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS💜

Bonsoir les amis,💁‍♀️💁‍♂️📖

Ce soir lundi 22 juin 2020 j'ai réalisé ma 132ème interview 💻avec un auteur du groupe 💁‍♀️📖 qui a accepté de se soumettre à mes questions.

Je vous donne rendez-vous le vendredi 26 juin 2020 à 18 H 00 pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Souhila Auteure 💁‍♀️📖 . A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Souhila qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

A vendredi.😍

 

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Bonjour aujourd'hui dimanche voici ma chronique concernant : "MARIE ET LE MARCHAND DE TEMPS"

« MARIE ET LE MARCHAND DE TEMPS »

Chérif ZANANIRI

Editions de BOREE

Collection Roman

28 mai 2020

228 pages

 

 

Présentation

 

 

Marie et Gaston vivent une vie paisible de notables provinciaux. Mais quand un usurpateur vend des faux à Gaston avant d'être assassiné, tout bascule ! Qui donc sème le trouble dans ce petit village ? Marie, très engagée auprès de la cause des suffragettes, n'a que faire de la police et ne va pas attendre qu'on enferme son époux : elle va mener sa propre enquête et démêler cette histoire !

 

Marie parviendra-t-elle à faire innocenter

son époux ?

 

L'auteur

 

Physicien de formation et écrivain vulgarisateur pendant une longue période, Chérif ZANANIRI s'est intéressé aux terroirs Sancerrois et solognot et y a planté les décors de ses romans, souvent liés à des éléments d'histoire : les guerres de Religion, celles de 1870, de 14-18 ou de 39-45. Ainsi, après Pisseur au vent et Léocadie Lepic, marraine de guerre, et bien d'autres romans de terroir comme Le Galoupiot de Sancerre, il présente une énigme historique dont les fondements restent mystérieux, au dire du maire actuel du village ainsi que des descendants de monsieur Eugène Labiche.
 

Mon avis

 

Je remercie les Editions de BOREE et en particulier Virginie de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, « Marie et le marchand de temps », roman de Chérif ZANANIRI, auteur dont j'ai lu pratiquement tous les ouvrages tant j'aime sa plume légère et précise.

 

Chérif ZANANIRI nous emmène à Chartres dans les années 20 où nous faisons connaissance avec Gaston, notaire et son épouse Marie. La vie paisible du couple est menacée le jour où Gaston rencontre un escroc qui lui vend des courriers, soi disant écrits par des personnages célèbres et qui s'avèrent être des faux...

 

L'auteur dresse un très beau portrait de la femme courageuse et déterminée, suffragette engagée qu'est Marie.

Il relate également à merveille les conditions de vie des notables provinciaux à cette époque.

 

L'histoire est intéressante et les nombreux rebondissements tiennent vraiment le lecteur en haleine.

 

J'ai beaucoup aimé cet excellent polar régional que j'ai lu pratiquement d'une traite tant j'avais hâte d'en connaître le dénouement.

 

Un très bon moment de lecture.

 

 

Page FB : https://www.facebook.com/joellemarchal74/
 

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

 

 

 

 

 

 

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ANNONCE INTERVIEW AUTEURE EMMANUELLE FRIEDMANN LUNDI 22 JUIN 2020 18 H SUR MON GROUPE FB

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS💜

Bonsoir les amis,💁‍♀️💁‍♂️📖

Ce soir vendredi 19 juin 2020 j'ai réalisé ma 131 ème interview 💻 avec un auteur du groupe 💁‍♀️📖 qui a accepté de se soumettre à mes questions.

Je vous donne rendez-vous le lundi 22 juin 2020 à 18 H pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Emmanuelle Friedmann 💁‍♀️📖. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Emmanuelle qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

A lundi.😍

 

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INTERVIEW REALISEE CE SOIR AVEC MICHELE DASSAS SUR MON GROUPE FB

INTERVIEW AUTEURE

Michèle DASSAS

 

 

JM : - Bonsoir à tous

 

Notre amie Michèle DASSAS a gentiment accepté, de se soumettre, récemment, à mes questions.

 

 

 

JM : - Bonsoir Michèle

 

Comment allez-vous ? Etes-vous prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Michèle : Oui, bien sûr, avec grand plaisir.

 

 

JM : - Pouvez-vous, tout d'abord, vous présenter afin que nos amis puissent mieux vous connaître ?

 

Michèle : Je suis écrivain depuis plus de vingt ans. J’ai d’abord rédigé des contes et petites nouvelles pour valoriser le patrimoine de ma région. J’habite en Sologne aux confins du Berry. J’ai créé une collection, intitulée « contoguides » : des guides touristiques, avec comme fil conducteur un écrivain régional (George Sand, Alain Fournier, Maurice Genevoix, Colette, etc.), et agrémenté de contes inspirés par les lieux. J’en ai écrit sept. Ensuite, je suis passée aux romans. Le neuvième est en gestation.

 

JM : - Et si vous nous parliez de vos ouvrages ?

 

Michèle : Mes romans ne se passent jamais dans une période contemporaine. J’ai une prédilection pour la fin du XIXème siècle et le début du XXème. J’ai fait une exception dans « la demoiselle du téléphone », où j’ai ressuscité la ville de mon enfance : Gien. L’intrigue se passe entre 1960 et 1963, mais je ne suis pas allée plus avant dans le monde actuel…

Dernièrement, je me suis attachée à des destins de femmes : l’actrice Madeleine Sologne dans « Une gloire pour deux », la pionnière des avocates, Jeanne Chauvin dans « Femme de robe » et la seule véritable élève de Renoir dans : « À la lumière de Renoir » qui vient de paraître.

 

 

JM : - Avez-vous d'autres projets d'écriture et souhaitez-vous nous en dire quelques mots ?

 

 

Michèle : Oui, je travaille actuellement sur le destin d’une femme née esclave et qui a terminé sa vie à Monaco, en grande dame. Ce roman, comme tous les autres, mêle fiction et réalité historique. J’adore faire des recherches préalables, un peu comme un travail de détective.

 

 

 

JM : - Où trouvez-vous l'inspiration pour créer les protagonistes de vos livres ? Improvisez-vous ou connaissez-vous la fin de vos histoires avant d'en commencer l'écriture ?

 

Michèle : J’ai d’abord une idée qui me vient, un désir. Et je cherche en ce sens dans la littérature, dans l’histoire, et toute la trame commence à se former dans ma tête. Avant de commencer à écrire, je rédige le squelette de mon roman et je connais déjà la fin, bien sûr. Ensuite, je construis un plan et je commence à rédiger. Tout au long de ce travail de rédaction, je vais continuer à enquêter, faire des recherches historiques, afin de coller au mieux à la réalité.

 

 

 

JM : Comment procédez-vous pour écrire vos romans (carnets, cahiers, fiches, écriture directe sur l'ordinateur) ?

 

Michèle : J’écris directement sur l’ordinateur, ensuite j’imprime. Je relis, je corrige, j’ajoute des annotations sur les feuilles imprimées. Quand je n’ai pas d’ordinateur avec moi (dans le train ou ailleurs), je prends des notes sur un bout de papier.

 

 

 

 

JM : - Quand écrivez-vous (la nuit, le jour) pendant combien d'heures ?

En combien de temps écrivez-vous un roman ?

 

 

Michèle : J’écris essentiellement le matin, dans ma cuisine très claire qui donne sur les bois, durant deux ou trois heures, ou une heure seulement, et pas forcément tous les jours. La rédaction d’un roman me prend une année environ, parfois plus, parfois moins.

 

 

JM : - Vos livres sont des romans historiques, des biographies romancées relatant des parcours de femmes mais je crois savoir que vous avez également écrit des contes, des nouvelles et des contoguides. Pourquoi ces choix et envisagez-vous d'écrire dans un autre genre ?

 

Michèle :

J’adore tout ce qui touche au passé, j’aime l’Histoire et les histoires. J’aime la beauté de la nature. Le présent et le futur ne m’intéressent pas vraiment, pas pour l’instant du moins. Je n’ai pas fini d’explorer ma période préférée qui me rassure, car elle est passée.

 

 

 

JM : - Si ma mémoire est bonne, vous avez obtenu de nombreux prix pour vos ouvrages et le dernier (1er prix concours Arts et Lettres de France en 2018) décerné pour “Femmes de robe”. Pouvez-vous nous conter comment vous avez vécu ces aventures ?

 

Michèle : J’ai toujours beaucoup aimé les examens, les concours. J’étais, bien sûr, à chaque fois ravie de remporter le prix. Je vois cela comme un encouragement à continuer.

 

JM : - L'écriture de tels livres nécessite de nombreuses recherches. Comment procédez-vous pour ce faire ?

 

Michèle : Cela dépend de l’ouvrage. Pour « Femme de robe », la presse d’époque a tellement parlé d’elle que j’ai trouvé une mine de renseignements dans les journaux. À chaque fois, je me déplace sur les lieux pour « sentir l’atmosphère ». Pour « Une gloire pour deux », ce sont des membres de la famille de Madeleine Sologne qui m’ont principalement fourni des renseignements. Pour « À la lumière de Renoir », je me suis appuyée sur des écrits de Jeanne Baudot, de Julie Manet, de Jean Renoir, de Jean Griot, et des témoignages, etc..

 

 

JM : -Avez-vous des séances de dédicaces prévues prochainement et où ?

 

Michèle : Tout est vraiment bouleversé. Toutes mes dates ont été annulées. Je serai présente au salon du livre de Cosne les 17/18/19 septembre.

 

 

 

 

JM : - A qui confiez-vous vos manuscrits en première lecture (amie, membre de votre famille, bêta lecteur) ? Qui réalise les couvertures de vos livres ?

 

Michèle : Je confie mes livres à des amis, à l’une de mes filles, à ma mère et je recueille les premières impressions. Je tiens compte de leurs observations. Les couvertures de mes livres sont réalisées par l’éditeur.

 

JM : - Comment avez-vous procédé pour faire publier vos ouvrages ?

 

Michèle : J’ai eu la chance, dès mon premier ouvrage, de trouver un éditeur local que je n’ai jamais quitté. Les éditions CPE sont devenues les éditions Marivole et maintenant Ramsay. J’ai, également, été éditée en Suisse (contoguide sur Charlie Chaplin à Vevey/Montreux)

 

 

JM : - Quels sont les auteurs qui vous ont donné l'envie d'écrire ?

 

Michèle : Les auteurs classiques de la fin du XIXème siècle et du début XXème. Je préfère lire des textes bien écrits dans notre belle langue française. J’ai une grande admiration pour le style de Colette. Parmi les contemporains, j’aime celui de Jean-Philippe Toussaint.

 

 

JM : Lisez-vous et quel genre de lecture ?

 

 

Michèle : Je lis très peu ou plutôt je lis beaucoup de documents et de livres historiques, ayant un rapport avec mon travail. Donc, je picore çà et là des informations. Je lis rarement les romans des autres.

 

 

JM : En dehors de l'écriture quelles sont vos passions ?

 

Michèle : J’aime peindre (je barbouille des toiles de couleurs très gaies, mais je n’ai aucun talent, c’est par plaisir). J’éprouve également beaucoup de plaisir à tondre et jardiner, pour que tout soit joli et agréable à regarder, pour que mes enfants et petits-enfants puissent en profiter.

 

 

JM : - Quels conseils donneriez-vous aux lecteurs qui souhaitent devenir écrivains ?

 

 

Michèle : C’est difficile de donner des conseils dans ce domaine. Je pense que l’écriture vient comme un besoin, une pulsion. Coucher sur le papier des histoires ou des pensées qui nous animent, c’est un peu une sorte d’accouchement (coucher-accoucher). Il faut se lancer, il faut commencer par un bout.

 

JM : - Quel est votre endroit préféré (pièce de votre maison, une région, un pays) ?

 

Michèle : Comme je l’ai dit plus haut, c’est ma cuisine très ensoleillée, mais je peux écrire ailleurs. Il me faut le calme et un bel environnement.

 

 

JM : - Avez-vous des animaux de compagnie ?

 

 

Michèle : Non et je n’en désire pas. Je veux être libre, ne pas avoir de chaînes. J’ai des animaux de compagnie sauvages (les sangliers, les lièvres, les chevreuils) dont je n’ai pas la charge, cela me suffit.

 

 

JM : - Quel est votre film culte et quel genre de musique écoutez-vous ?

Ecrivez-vous en musique ?

 

Michèle : Mon film culte ? la trilogie de Pagnol, mais j’adore regarder des comédies comme Papy fait de la résistance.

J’écoute très peu de musique. Je crois même que la musique me dérange dans mon écriture. J’aime Chopin, Mozart, Haendel, Sati, etc. et les chansons des années 70/80/90 que j’écoute sur nostalgie (uniquement en voiture). La mélodie est importante.

 

 

JM : - Quel mot vous définit le mieux ?

 

Michèle : la curiosité

 

 

JM : - Quelle est votre odeur préférée, votre couleur ?

 

Michèle : l’odeur de l’églantine. Ma couleur préférée : je crois que je n’en ai pas, car j’aime les couleurs vives, mais je porte beaucoup de noir.

 

JM : - Quel proverbe vous vient de suite à l'esprit ?

 

Michèle : À toute chose malheur est bon.

 

JM : - Si vous deviez partir sur une île déserte quel objet, indispensable à vos yeux, emporteriez-vous ?

 

 

Michèle : Un gros cahier et un crayon (mais cela fait deux objets, alors un livre, et dans ce cas-là la Bible, une occasion de la lire enfin !)

 

JM : - Avez-vous quelque chose à ajouter ?

 

Michèle : Juste un grand merci pour ce questionnaire complet.

 

 

JM : - Merci Michèle DASSAS pour ce très agréable moment passé en votre compagnie, votre disponibilité et votre gentillesse.

 

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Michèle qui vous répondra avec plaisir, sous ce post.

 

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui vendredi voici ma chronique concernant : "ATROPOS OU LE FIL DE LA VIE"

« ATROPOS OU LE FIL DE LA VIE »

Rose MORVAN

15 mai 2020

Auto-Edition

197 pages

 

 

Présentation

 

 

Atropos, dans la mythologie grecque, est la plus implacable des trois déesses du destin.



Paris, 1983. Thibaut et Guenièvre travaillent dans la même banque. Ils n’avaient pas vraiment d’atomes crochus et pourtant, dès l’instant où il la croise, il est subjugué par sa beauté. C’est le coup de foudre pour lui. Elle, d’abord méfiante, ne résiste pas longtemps au charme de ce jeune homme fantasque et fougueux. C’est l’amour fou, comme on le voit dans les films, et leur bonheur semble éternel. Mais Atropos rôde dans l’ombre, prête à couper un fil.

 

L'auteure

 

Rose Morvan écrit depuis son adolescence, mais elle a franchi le cap de l'édition en 2014, seulement. Dans ses tiroirs, dorment encore des histoires rédigées dans des cahiers, et depuis elle ne peut plus s'arrêter.
Très attachée à sa Bretagne, - dont une partie coule dans ses veines -, à ses tempêtes, à son histoires et à ses légendes, elle situe l'intrigue de certains de ses romans dans cette région. Elle trace surtout des portraits de femmes qui se battent pour s'imposer, vivre leurs envies, et leurs amours, être heureuses tout simplement.
Qu'il s'agisse de contemporain, de l'historique, ou bien de l'érotique et du conte, Rose Morvan, amoureuse de la langue et de la littérature françaises, travaille les mots, leurs sonorités pour qu'ils enchantent les lecteurs.

Ce qui définit le mieux Rose Morvan ? Scribo ergo sum, j'écris donc je suis.

 

 

Mon avis

 

Je remercie Rose MORVAN de m'avoir permis de lire, en service de presse, son dernier roman « Atropos ». Etant une fan inconditionnelle de cette auteure dont j'ai lu pratiquement tous les ouvrages, j'ai retrouvé avec grand plaisir sa plume légère et majestueuse.

 

Bien que je préfère les romans historiques, lorsque Rose m'a proposé ce SP je n'ai pas hésité une seule seconde et me suis de suite plongée dans cette belle histoire..

 

Nous sommes à Paris dans les années 80 et assistons à la rencontre entre Thibaut et Guenièvre qui travaillent tous deux dans la même banque.

C'est le coup de foudre entre les jeunes gens mais parviendront-ils à vivre leur belle histoire d'amour ?

 

Dans un genre différent de ses précédents romans, Rose MORVAN nous offre une jolie romance moderne et simple, tout en tendresse et emplie d'émotions, sur les hasards du destin.

 

J'ai beaucoup aimé cet ouvrage très bien écrit, un peu trop court à mon goût, que j'ai lu d'une traite tant j'avais hâte d'en connaître le dénouement et refermé à regret.

 

Un très bon moment de lecture qui séduira, j'en suis certaine, les amateurs du genre.

 

 

 

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INTERVIEW REALISEE HIER SOIR AVEC AMELIE VILMAUD SUR MON GROUPE FB

INTERVIEW AUTEURE

Amélie VILMAUD

 

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

  • Notre amie Amélie VILMAUD a gentiment accepté de répondre récemment à mes questions.

 

  • Je partage donc avec vous cet entretien à l'issue duquel Amélie vous répondra en direct ou plus tard en fonction de ses disponibilités.

 

 

JM : - Bonsoir Amélie

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prête à « passer sur le gril » ?

 

Amélie : bonsoir Joelle et l’ensemble du groupe ! Un grand merci déjà pour l’opportunité de cet interview. Je vais bien, malgré la période difficile que nous avons tous traversée et qui n’est pas encore terminée. En tant qu’auteure, j’ai pu continuer à travailler et à m’occuper de la promotion de mon roman. Si je suis prête à « passer sur le grill » ? Bien volontiers, je répondrai à toutes les questions avec sincérité.

 

JM : - Question habituelle mais incontournable : peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Amélie : mon vrai prénom est Magali. Je suis née le 17 juillet 1972 à Clichy et j’ai grandi à Paris. Mes parents étant drômois, j’ai ensuite habité à Valence, où j’ai obtenu un bac. littéraire Lettres/Langues (latin/grec) avant de m’orienter vers une École de Commerce à Aix-en-Provence.

C’est après avoir travaillé dans divers domaines tels que la communication, le secrétariat technique et l’assistanat commercial que j’ai choisi de me consacrer entièrement à l’écriture à la fin de l’année 2019, donc tout récemment. Pari osé mais j’aime écrire et l’on peut dire que je suis « tombée » dans les mots (rires), car à 1 an je griffonnais déjà sur les dictionnaires de ma mère, traductrice littéraire.

Le déclic a été la sélection de mon roman « Journal d’une ado de 40 ans » pour la deuxième édition de l’Autre Festival d’Avignon en février dernier.

Je vis aujourd’hui en Provence, je suis divorcée et mère de deux jeunes garçons.

 

JM : - Que représente pour toi l'écriture ?

 

Amélie : une transmission ; le récit de mon livre étant basé sur mon vécu mêlé à de la fiction, j’ai choisi la forme d’un journal intime.

 

JM : - Peux-tu nous parler de ton premier roman ?

 

Amélie : « Journal d’une ado de 40 ans » se veut un roman feel-good et de développement personnel, car l’on y suit l’évolution de l’héroïne durant toute l’année de ses 40 ans. Redevenue une ado de 16 ans en pleine crise existentielle, celle-ci se met à parler comme les « d’jeuns » du jour au lendemain, lol. Plus de 200 mots ado enrichissent le livre (avec leur traduction sinon nombre de lecteurs se retrouveraient en terre inconnue _ rires). En recherche d’emploi et d’elle-même, mais fidèle à sa nature optimiste et volontaire, Juliette décide de mettre en place 12 principes (un par mois), afin de traverser au mieux la crise de la quarantaine. C’est un livre qui donne la pêche, plus profond que ce qu’il en a l’air !

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

Amélie : oui, j’ai en tête la suite des péripéties de mon héroïne dans un second tome qui s’appellera « Journal d’une presque quinqua ».

J’écris parallèlement des nouvelles sur les beaux et difficiles moments de la vie _ genre complètement différent _ dont je souhaite faire un recueil « Et d’ombres et de lumières ».

 

JM : - Comment as-tu procédé pour créer les protagonistes de ton livre et connaissais-tu, lorsque tu as commencé à l'écrire, la fin de l'histoire ou est-ce que tu as improvisé au fil des mots ?

 

Amélie : certains personnages comme l’héroïne et les membres de sa famille sont directement inspirés de mon vécu. D’autres sont tirés de mon imagination. L’histoire s’est mise en place d’elle-même, structurée par trimestres et si je me suis laissée porter par le fil du récit, la fin se voulait heureuse puisque Juliette parvient à être totalement elle-même.

 

JM : - Ton roman est un feel-good empli d'humour. Pourquoi ce choix ?

 

Amélie : cette crise du milieu de vie touche beaucoup de personnes. Non sans réalisme, j’ai choisi de la traiter sous forme de comédie. De plus, mon style d’écriture est de lui-même humoristique, ce que j’ai découvert puisqu’il s’agit de mon premier livre (rires). La phrase d’accroche pourrait être « Re ado à 40 ans, le pied, mais attention turbulences » !!

 

 

 

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement ou plus tard ?

 

Amélie : je devais être présente au Salon de l’autoédition et de la littérature indépendante « Les indés du livre » le 30 mai dernier à Lyon. Mais compte tenu des événements, celui-ci a eu lieu en ligne : https://idl-lyon.fr/ . Vous pouvez vous procurer mon livre dans la librairie (Catégorie Histoires hors du temps) https://ecritureplurielle.fr/librairie/journal-dune-ado-de-40-ans/

Il se pourrait également que je participe à une séance de dédicaces dans le magasin Cultura d’Avignon. Seulement là encore l’actualité ne le permet pas pour le moment.

 

JM : - Quand écris-tu (la nuit, le jour) et pendant combien d'heures ?

 

Amélie : pour l’écriture de « Journal d’une ado de 40 ans », lors d’une pause professionnelle, je m’y suis attelée quotidiennement avec environ 8h de travail comme une journée de bureau.

 

JM : - A qui confies-tu tes manuscrits (amie, membre de ta famille, bêta-lecteur) ?

 

Amélie : vous allez rire, Joelle, mais nouvelle dans le métier je ne connaissais même pas l’existence des bêta-lecteurs ! Ma mère a lu le premier jet. J’ai ensuite retravaillé seule le manuscrit sans filet !!

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier ton ouvrage ?

 

Amélie : jeune auteure, j’ai choisi pour l’instant l’autoédition. Mais je ne désespère pas de le faire éditer dans une maison d’édition. Je suis en train de les sélectionner en fonction de leur ligne éditoriale. C’est une tâche à temps complet que de s’occuper de l’envol de son premier roman.

 

JM : - Qu'as-tu ressenti lorsque tu as écrit le mot FIN ?

 

Amélie : un soulagement au bout de 9 mois d’écriture, de la joie et de l’étonnement d’avoir réussi à mener à bien ce projet.

 

 

 

JM : - Quels sont les bons et les mauvais côtés du métier d'auteure ?

 

Amélie : les bons côtés sont la liberté d’élaborer une histoire, de créer des personnages et de les faire exister. Ce sont également les nombreux commentaires, les témoignages reçus _ auxquels je m’attache à répondre personnellement sur la page FB consacrée à mon livre _ et les premiers retours de lecture, une grande fierté ! Je suis vraiment heureuse que « Journal d’une ado de 40 ans » parle à autant de femmes et qu’elles se reconnaissent dans les ressentis et les questionnements de Juliette.

Quant aux mauvais côtés, c’est un métier qui isole puisque l’on travaille seul chez soi (j’étais habituée auparavant à la vie en entreprise) et sédentaire ! Il est donc nécessaire de continuer à avoir une vie sociale et de pratiquer une activité physique, ce qui n’est pas mon fort (rires). Il va falloir que je m’y mette.

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Amélie : la photo, la décoration, la culture, le tourisme, la gastronomie, la nature et les randonnées.

 

JM : - Lis-tu ? Quel genre ?

 

Amélie : j’ai lu énormément de romans. Aujourd’hui, je suis davantage portée sur des livres de développement personnel et des revues féminines dans lesquelles je puise mon inspiration.

 

JM : - Quelle est ta musique préférée et écris-tu en musique ?

 

Amélie : je n’écris pas en musique mais avec le chant des oiseaux, la fenêtre ouverte. Sinon j’écoute des groupes et des morceaux variés… Queen, Gloria Gaynor (I Will Survive), The Cranberries, Leonard Cohen (Hallelujah), Black (Wonderful Life), Coldplay, Ed Sheeran, John Lennon (Imagine), Florent Pagny (Là où je t’emmènerai), Marc Lavoine, Calogero (On fait comme si)…

 

JM : - Quel livre aurais-tu aimé écrire ?

 

Amélie : des romans comme ceux de Danielle Steel que j’ai dévorés, et quelle carrière !!

 

JM : - Si tu devais organiser un dîner littéraire qui aimerais-tu convier à ta table ?

 

Amélie : un dîner un peu spécial puisque j’aimerais y retrouver Jean d’Ormesson, des auteurs classiques tels que Zola et Maupassant et des auteurs contemporains comme Catherine Pancol ou Marc Lévy.

 

JM : - Peux-tu nous donner une citation qui t'inspire ?

 

Amélie :

« La persévérance,

c’est ce qui rend l’impossible possible,

Le possible probable,

Et le probable réalisé ».

 

JM : - Quel mot te définit le mieux ?

 

Amélie : la détermination.

 

JM : - Si tu étais : une fleur, une couleur, un animal : tu serais ?

 

Amélie : une rose ancienne (Pierre de Ronsard).

 

JM : - Es-tu mer, montagne ou campagne ?

 

Amélie : les trois ! (rires). La mer hors saison pour prendre un bon bol d’air, la montagne l’été (la chaleur et moi ça fait deux !! La canicule en Provence est éprouvante) et la campagne, où j’habite.

 

JM : - As-tu autre chose à ajouter ?

 

Amélie : je souhaite vous remercier, Joelle, de m’avoir acceptée dans votre groupe et c’est sincère vous féliciter de votre rigueur (vos publications quotidiennes) et votre professionnalisme (le nombre d’interviews réalisés).

 

 

JM : - Merci Amélie pour cet agréable moment passé en ta compagnie , ta disponibilité et ta gentillesse.

 

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Amélie qui se fera un plaisir de vous répondre sous ce post.

 

 

 

https://www.facebook.com/amelie.vilmaud

(pour mieux connaître ma personnalité)

 

https://www.facebook.com/Roman-Feel-Good-La-crise-de-la-quarantaine-Avec-réalisme-et-humour-111104007155973/

(page professionnelle)

 

 

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Bonjour aujourd'hui mardi voici ma chronique : "LA DEMOISELLE A L'EVENTAIL"

« LA DEMOISELLE A L'EVENTAIL »

Lyliane MOSCA

PRESSES DE LA CITE

TERRES DE FRANCE

18 juin 2020

300 pages

 

 

Présentation

 

A vingt-trois ans, Raffaele a des rêves plein la tête, le cœur généreux et une passion pour la photographie. Depuis la mort de sa mère, elle a dû mettre ses aspirations de côté pour veiller sur ses frères et sœurs. Mais le destin lui offre la chance de rencontrer son écrivain préféré, Sacha Aubanel, de passage à Menton. Celui-ci, attiré par le mélange de fragilité et de fraîcheur de la jeune fille, lui propose de le guider dans la cité. Moments enchantés pour l’un et l’autre : elle est sous le charme ; lui aussi, mais son coeur est déjà pris. Et puis Sacha vit loin, à la lisière du pays franc-comtois, dans une nature secrète qui l’inspire et adoucit tant bien que mal le manque de son frère, disparu mystérieusement.


Mais, si le chemin vers le bonheur est semé d’embûches, sinon de cruelles vérités, la demoiselle du Sud et l’homme du Nord savent qu’il en vaut la peine...

 

 

L'auteure

 


Lyliane Mosca a passé son enfance à Ancy dans l'Yonne. Diplômée d'un bac littéraire, elle s’installe dans l'Aube en 1965. Après une vingtaine d'années passées au sein de différentes entreprises, elle change de voie devient pigiste puis journaliste pour L'Est-Eclair.


Aujourd'hui, Lyliane Mosca se partage entre ses chroniques littéraires, le théâtre, le bénévolat et bien sûr l’écriture. Auteur d’une dizaine de romans dont Une femme en mauve remarqué et préfacé par Philippe Besson, Les Gens de Laborde, Prix du Conseil Général de l’Aube en 2010, elle se distingue par un goût pour le romanesque ; d’une écriture vive et contemporaine, elle est passée maître dans l’analyse des sentiments les plus intimes.

 

 

Mon avis

 

Je remercie PRESSES DE LA CITE et en particulier Marie-Jeanne de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, le dernier roman de Lyliane MOSCA « La Demoiselle à l'éventail ». J'ai ainsi pu retrouver la très belle plume de cette auteure dont j'ai lu un grand nombre d'ouvrages.

 

La très jolie couverture et le résumé fort alléchant m'ont de suite interpellée.

 

 

Lyliane MOSCA nous emporte à Menton où nous faisons connaissance avec Raffaelle, jolie jeune fille qui, depuis la mort de sa mère, s'occupe de ses frères et sœurs. Sur la plage, elle rencontre Sacha, un écrivain venu du Nord, auteur que Raffaelle aime beaucoup. Celui-ci lui demande de lui servir de guide pendant son séjour dans le Sud et une certaine attirance semble s'opérer entre ces deux êtres que tout oppose.

 

L'auteure nous conte donc le destin de cette jeune fille, ses rêves, ses amours, ses expériences professionnelles et les épreuves qu'elle devra surmonter tout au long de son existence pour enfin trouver l'amour de sa vie..

 

Les personnages sont vrais, émouvants et au fil des mots de l'auteure, nous avons l'impression de les connaître..et de ressentir leurs émotions.

 

J'ai beaucoup aimé ce beau roman d'amour très bien écrit, mêlant divers thèmes tels que le deuil, la famille, l'homosexualité, les secrets..., aux multiples rebondissements qui m'ont tenue en haleine et que j'ai dégusté tout doucement puis refermé à regret.

 

Un excellent moment de lecture.

 

Page FB : https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

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ANNONCE INTERVIEW AUTEURE MICHELE DASSAS VENDREDI 19 JUIN 2020 18 H SUR MON GROUPE FB

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS💜

Bonsoir les amis,💁‍♂️💁‍♀️📖

Ce soir lundi 15 juin 2020 j'ai réalisé ma 130 ème interview 💻avec un auteur 💁‍♀️📖du groupe qui a accepté de se soumettre à mes questions.

Je vous donne rendez-vous le vendredi 19 juin 2020 à 18 H 00 pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Michèle Dassas 💁‍♀️📖. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Michèle qui y répondra PLUS TARD n'étant pas disponible ce soir là.

A VENDREDI.😍

 

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INTERVIEW REALISEE CE JOUR AVEC ANITA BERCHENKO, Directrice Générale - Editrice " Les Editions du 38 "sur mon groupe FB

INTERVIEW Anita BERCHENKO

Directrice Générale - Éditrice « Les Éditions du 38 »

 

Anita BERCHENKO a gentiment accepté, récemment, de se soumettre à mes questions et je partage donc cet entretien sous ce post.

 

 

 

Bonjour Anita,

 

JM : - Comment allez-vous ?

 

Anita : Bonjour Joëlle, je vais très bien, merci.

 

 

JM : - Tout d'abord, pouvez-vous vous présenter afin que nos amis puissent mieux vous connaître ?

 

Anita : Je suis donc éditrice, j’ai fondé en 2015 la maison d’édition Les Éditions du 38. Je suis une grande lectrice, et j’ai toujours évolué au milieu des livres t de l’écriture.

 

JM  : - Et si vous nous présentiez également votre maison d'édition ?

 

Anita : Les Éditions du 38, c’est un maison d’édition de Fiction francophone et généraliste, avec des collections tournées vers la littérature de genre, les romans policiers, les thrillers, les littératures de l’imaginaire (Science-Fiction, Fantasy, Fantastique), les romans historiques, et la fiction contemporaine (littérature blanche). Nous publions tous nos titres en numérique, et les lecteurs peuvent télécharger nos titres sur toutes les librairies en ligne, et nous publions aussi en version papier, en impression à la demande, ce qui veut dire que nos titres peuvent être commandés dans les librairies physiques (mais aussi en ligne ou sur notre site internet).

 

 

 

 

JM : - Quelles sont les missions d'un éditeur et comment se déroule une journée type aux Éditions du 38 ?

 

Anita : Les missions d’un éditeur, outre le fait de construire un catalogue en lien avec la ligne éditoriale de la maison (pour le 38 la littérature de genre et grand public), sont multiples. Accompagner les auteurs dans la correction et l’optimisation de leurs manuscrits, concevoir la couverture, les maquettes. Et ensuite rendre disponible à l’achat le roman publié, en faire la promotion, le présenter sur le site internet et sur les réseaux sociaux, le proposer à des prix littéraires, etc.

 

 

JM : - Combien avez-vous de collaborateurs et quelles sont les tâches qui leur sont confiées ?

 

Anita : Nous sommes actuellement 4 au 38. Je suis en charge de la sélection des manuscrits, du travail avec les auteurs, et des liens avec les différents prestataires et intervenants. Nous avons un correcteur, qui donc prend en charge la phase de correction des manuscrits, une graphiste qui réalise les couvertures et la plupart des maquettes, et une assistante de direction en charge de l’administratif et d’une partie de la communication. À cela s’ajoutent à l’équipe deux directeurs de collection, spécifiquement pour la SF et la Fantasy.

 

 

 

JM : - Sur quels critères retenez-vous les manuscrits à publier et combien de textes lisez-vous par mois ?

 

Anita : Je lis 2 à 3 textes par semaine, en fonction de leur taille. Pour la sélection des manuscrits, les critères essentiels sont la qualité de l’écriture (style, construction des phrases, orthographe) et la qualité de l’intrigue.

 

 

JM : - Comment choisissez-vous vos auteurs et quelles relations entretenez-vous avec eux ?

 

Anita : On choisit en général d’abord un texte avant de choisir un auteur 😉 mais quand un auteur a su me séduire avec son texte, généralement la collaboration se poursuit, et chacun de ses nouveaux projets a toute sa place au 38. Les relations que j’entretiens avec mes auteurs sont bonnes, et avec certains.nes elles sont même excellentes, nous avons noué une véritable amitié. C’est important pour un auteur de se savoir entouré, reconnu, respecté et encouragé par son éditeur, et j’essaie de jouer tous ces rôles du mieux que je le peux. J’ai beaucoup d’admiration pour mes auteurs.

 

 

JM : - Comment avez-vous constitué votre comité de lecture ?

 

Anita : Le comité de lecture est réduit aux collaborateurs de la maison, il ne me paraît pas forcément opportun de constituer un comité avec de trop nombreux lecteurs. Nous avons l’habitude, en quelques pages lues, de nous rendre compte du potentiel ou non d’un texte, et de prendre une décision en fonction.

 

 

 

JM : - Dans le cas où des chroniqueurs, blogueurs seraient intéressés par les ouvrages de votre maison d'édition, comment doivent-ils procéder pour présenter leur candidature ?

 

Anita : Nous sommes justement en train de réorganiser nos services de presse, et il va y avoir un onglet spécial sur le site internet. Nous ne proposons que des services de presse numériques, cela ne changera pas, mais il y aura quelques conditions à respecter pour pouvoir obtenir des SP. Je vous engage à aller voir d’ici quelques jours sur le site pour en savoir plus.

 

 

 

 

JM : - Lisez-vous et quel genre ?

 

Anita : Je suis en effet une grande lectrice, avec des goûts très éclectiques. En ce moment je lis beaucoup de romans policiers (j’adore les nordiques) et de Science-Fiction, mais j’aime aussi les romans historiques, la Fantasy, et je lis aussi beaucoup d’auteurs classiques.

 

 

JM : - Quel a été votre dernier coup de cœur littéraire ?

 

 

Anita : Grossir le ciel, de Franck Bouisse. J’ai trouvé ce roman absolument sublime, et l’écriture de Franck Bouisse magnifique, poétique et dure en même temps, sans concession, avec beaucoup de tendresse pour ses personnages.

 

JM : - Quel est votre plus beau souvenir de rencontres lors d'un salon du livre ?

 

Anita : Nous faisons peu de salons du livre, et à chaque fois, les meilleurs souvenirs sont dans les moments partagés avec les auteurs et les lecteurs qui viennent à notre rencontre.

 

JM : - Pensez-vous que le livre papier a encore de l'avenir ou que l'édition numérique va bientôt le détrôner ?

 

Anita : Je ne suis pas du tout dans ce schéma où les livres, papier et numériques, seraient en concurrence, et l’un devant forcément anéantir l’autre pour continuer d’exister.

Pour moi, papier et numérique, ce sont deux formats différents, on n’a pas forcément à choisir l’un au détriment de l’autre, on peut tout à fait lire en papier, puis en vacances emporter une liseuse pour lire en numérique, ou lire sur son smartphone ou sa tablette, voire son ordinateur, sans pour autant renoncer à lire en papier. C’est comme le poche et le grand format, on achète parfois l’un, parfois l’autre.

Les deux formats, papier et numérique, vont continuer à coexister tant que les lecteurs continueront à lire.

 

 

JM : - En dehors de la littérature quelles sont vos passions ?

 

Anita : J’aime beaucoup les randonnées en montagne, et d’une manière générale j’aime beaucoup marcher dans la nature. J’aime aussi les vieilles pierres, visiter des châteaux, abbayes, villes médiévales, jardins anciens.

 

JM : - Quel est votre proverbe préféré ?

 

Anita : « Il n’y a que celui qui ne fait rien qui ne se trompe jamais »

 

 

JM : - Si vous étiez une fleur, un fruit, une couleur, un animal : vous seriez ?

 

Anita :

une fleur : orchidée

Un fruit : cerise

Une couleur : bleu

Un animal : chat

 

 

JM : - Êtes-vous mer ou montagne ?

 

Anita : j’aime autant les deux, la mer hors saison, et la montagne l’été

 

JM : - Avez-vous quelque chose à ajouter ?

 

Anita : Je vous remercie pour cette interview qui était très plaisante.

 

 

JM : - Anita, je vous remercie vivement d'avoir bien voulu m'accorder cette interview ainsi que pour votre extrême gentillesse et votre disponibilité.

https://www.facebook.com/editionsdu38/

 

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Bonjour aujourd'hui samedi voici mon avis sur "CARNET TOUT NATURELLEMENT" Daniel BRUGES

CARNET

« TOUT NATURELLEMENT »

Daniel BRUGES

EDITIONS DE BOREE

28 Mai 2020

120 pages

Broché – Grand format

dimensions : 13,0 cm X 18,5 cm X 1, 0 cm

poids : 0,166 kg

Prix : 9,95 €

 

 

 

Présentation

 

• Un carnet élégant faisant rimer aquarelles et papeterie soignée

Papier ivoiré avec lignage fin et élastique pour maintenir le bloc

Alternance de séries de pages de notes et de double pages illustrées

 

Auteur :

 Daniel Brugès est un amoureux de son terroir. Avec plus de 30 ouvrages à son actif, romans, poésie, livres pour enfants, études historiques et ethnographiques, carnets de voyage et de cuisine, recueils d'aquarelles... et son dernier succès, Secrets de nature, paru en 2019, il met tout son talent d'écrivain mais aussi d'illustrateur reconnu pour immortaliser " ses hautes terres " d'Auvergne, le patrimoine et la nature.


 

Mon avis


 

Je remercie Virginie, Editions de BOREE de m'avoir gentiment envoyé le carnet de notes « Tout Naturellement », réalisé par Daniel BRUGES.

En feuilletant ce très joli bloc, j'ai de suite remarqué qu'il est de belle facture, pratique du fait que, n'étant pas trop grand, il tient aisément dans un sac à mains ce qui permet ainsi d'inscrire des notes au fil des pensées.


 

Ce carnet fermant à l'aide d'un élastique, est composé de pages blanches et de pages où sont représentées des aquarelles reproduisant diverses espèces de la faune et de la flore des campagnes Françaises le tout agrémenté de texte. BRAVO à Daniel BRUGES pour cette réalisation très originale et agréable pour les yeux.


 

Je vous recommande ce très bel ouvrage de carterie pour faire un cadeau ou tout simplement pour votre plaisir !


 

Page FB :https://www.facebook.com/joellemarchal74/


 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com



 

 

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