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ANNONCE INTERVIEW AUTEURE COLETTE MAJOR VENDREDI 3 AVRIL 18 h SUR MON GROUPE FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS🌹

Bonjour les amis,🙋‍♂️🙋‍♀️📖

Hier lundi 30 mars 2020 j'ai réalisé ma 104 ème interview 💻avec un auteur du groupe 🙋‍♀️📖 qui a accepté de se soumettre à mes questions.

Je vous donne donc rendez-vous le vendredi 3 avril 2020 à 18 H 00 pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Colette Major. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Colette qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités sachant que chez elle, au Québec, il sera, à mon avis, 12 H.

A vendredi.😍

 

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Bonsoir je partage l'interview que j'ai réalisée ce soir avec Laurie STARET sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEURE

Laurie STARET

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

  • Notre amie Laurie STARET a gentiment accepté, récemment, de se soumettre à mes questions.

 

  • Je partage donc avec vous cet entretien à l'issue duquel vous pourrez poser des questions à Laurie qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

 

 

 

JM : - Bonsoir Laurie

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prête à « passer sur le gril » ?

 

Laurie : Bonjour Joëlle et bonjour à toutes et tous, je vais bien, merci, et je suis prête à passer sur le grill 😉

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Laurie : Laurie est mon vrai prénom, j’ai 20 ans + 37 ans d’expérience. Je suis maman de trois enfants et grand-mère d’une princesse. Je suis lectrice depuis que je sais lire, et auteure assidue depuis une dizaine d’années. Je vis à la campagne dans un petit village près de Bourg-en-Bresse (01).

 

 

 

JM : - Que représente pour toi l'écriture ?

 

Laurie : L’écriture est avant tout un plaisir, et aussi un exutoire. J’ai traversé une période très difficile, et de continuer à écrire l’histoire en cours m’a aidé à surmonter la maladie et le deuil.

 

 

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes romans ?

 

Laurie : Il était une fois, (rire) un roman qui devait être unique. Mais lorsque la passion vous prend au cœur et aux tripes, vous imaginez un second tome, puis un troisième, et après un long moment, un quatrième voit le jour. C’est un ami lecteur qui m’a suggéré d’en faire une série nommée « Le Département ». Je précise que ce ne sont pas des suites mais des spin off. Vous pouvez lire les tomes dans l’ordre qui vous plait, même si c’est mieux de commencer par le tome 1.

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

Laurie : Oui j’ai un autre roman en cours, en standby depuis de longs mois, parce que les aléas de la vie sont ainsi, mais ce projet me tient beaucoup à cœur. Je sors de ma zone de confort sur divers plans d’écriture et ça me plait énormément.

 

 

 

 

JM : - Comment procèdes-tu pour créer les protagonistes de tes ouvrages et connais-tu, lorsque tu commences à écrire, la fin de l'histoire ou est-ce que tu improvises au fil des mots ?

 

Laurie : J’ai des scènes en tête, le caractère des personnages, puis je laisse carte blanche à mon imagination. Je prends des notes lorsqu’une idée surgit puis je vois comment intégrer cette idée dans l’histoire. La fin sera forcément joyeuse parce que je hais les histoires qui finissent mal, ou en suspens. La vie réelle n’est pas toujours très gaie, et j’estime qu’un roman doit l’être. J’écris pour que le lecteur s’évade, oublie ces soucis le temps d’un roman, alors ce n’est pas pour lui mettre le moral au ras des pâquerettes à la fin !

 

 

JM : -Si ma mémoire est bonne, tes ouvrages sont des romances contemporaines Pourquoi ce choix ?

 

Laurie : Ta mémoire est parfaite ! J’écris plus exactement du romantic suspense. Je n’ai absolument pas réfléchi, j’écris surtout au feeling. la romance contemporaine s’est imposée naturellement.

 

 

 

 

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement  ?

 

 

Laurie : Je prévois plusieurs séances de dédicaces, dans ma ville et ailleurs, mais je n’ai pas de dates précises pour le moment.

 

 

 

 

JM : - A qui confies-tu tes manuscrits (membre de ta famille, amie, bêta-lecteur) ?

 

Laurie : Les tomes de la série sont écrits depuis plusieurs années et à l’époque ils étaient postés sur wattpad, ce qui m’a donné l’opportunité d’avoir de beaux retours et de faire de très belles rencontres. J’ai un bêta lecteur attitré, mais pas de membres de ma famille.

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier tes ouvrages ?

 

Laurie : J’ai été publiée en maison d’édition en premier lieu. L’expérience n’étant pas concluante, mais m’ayant apporté pas mal sur le plan éditorial, je suis passée à l’autoédition. Ainsi je gère seule comme je veux. Pour le moment, mes romans sont disponibles à la vente et en lecture à la page sur Amazon.

 

 

JM : - Que ressens-tu lorsque tu écris le mot FIN ?

 

Laurie : J’ai toujours un pincement au cœur ! Ce n’est pas évident de clore de longs mois d’amour avec mes personnages, parce que c’est aussi une histoire d’amour entre eux et moi.

 

 

JM : - Quels sont les bons et les mauvais côtés du métier d'auteure ?

 

 

Laurie : Les bons côtés sont que ‘l’on vit dans une autre galaxie’ que notre imagination à le contrôle total. J’aime beaucoup faire des recherches, parce que la cohérence est essentielle pour moi, mais que j’ai l’art de me lancer dans des sujets où je n’y connais rien !! (rires) Je ne dirais pas qu’il y a de mauvais côté parce qu’écrire est un choix parfaitement assumé dans la pleine conscience des contraintes que cela impose ( faire l’impasse sur des heures à cuisiner parce que j’ai trop hâte d’écrire la suite, sur la poussière qui s’accumule, sur la ‘vie de recluse sur son pc’ , et etc) L’étape corrections est le plus ‘pénible’ mais nécessaire bien entendu.

 

 

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Laurie : Je suis une passionnée de nature, une autodidacte, et une « j’adore essayer de nouvelles activités manuelles » je vais donc me restreindre un peu mais, tricot, point de croix, lecture, bricolage et bullet journal, je viens de découvrir le diamond painting !

 

 

 

JM : - Quelle est ta musique préférée et écris-tu en musique ?

 

Laurie : Je n’ai pas vraiment de musique préférée, là aussi c’est selon le moment et l’envie. Oui j’écris souvent en musique ! c’est inspirant.

 

 

JM : - Quel livre aurais-tu aimé écrire ?

 

Laurie : Les Harry Potter ! Je suis en totale admiration face à l’imagination de JK Rowling

 

 

JM : - Quel livre lu dans ta jeunesse t'a particulièrement marquée ?

 

Laurie : Le tour du monde en 80 jours de Jules Vernes

 

 

JM : - Peux-tu nous donner une citation qui t'inspire ?

 

Laurie : «  Tu es plus forte que tu ne le penses » est ma citation/devise du moment

 

 

JM : - Peux-tu nous donner une de tes qualités, un défaut ?

 

Laurie : Persévérante et têtue !

 

 

JM : - Si tu étais : une fleur, une couleur, un animal, un fruit : tu serais ?

 

Laurie : Je serai une orchidée, j’adore le blanc, j’admire les tigres, et pour le fruit un Kiwi

 

 

 

JM : - As-tu autre chose à ajouter ?

 

Laurie : Merci pour cette interview, et merci à toi aussi pour ta gentillesse ^^ j’ai passé un agréable moment 😊

 

 

 

JM : - Merci Laurie pour cet agréable moment passé en ta compagnie , ta disponibilité et ta gentillesse.

 

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Laurie qui se fera un plaisir de vous répondre sous ce post.

 

 

 

https://www.facebook.com/groups/236932980523039/

 

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Bonjour aujourd'hui samedi voici ma chronique concernant : "L'AVOCAT DES GUEUX"

« L'AVOCAT DES GUEUX »

Christian MARIA

ELIX ENTREPRENDRE EDITIONS

Poche

16 mai 2019

250 pages

 

Présentation

 

Chambéry en l'an 1525.

Le duché de Savoie a revêtu son manteau d'hiver. Le chevalier de Montreil, avocat des pauvres au Conseil résident de justice, songe à trouver une épouse de bonne race qui n'affadisse pas les vertus de sa lignée.


 

Son père, parti à Genève pour tenter de ramener les confédérés dans le giron des Savoie, lui demande de le rejoindre sur les bords du lac Léman. Il lui propose de faire la connaissance d'une belle et noble personne mais une affaire de justice, que l'avocat accepte du bout des lèvres, le retient près de l'Albanne.


 

Comment pourra-t-il défendre les gueux qui ont assassiné un de ses amis et qui lui causent un si grand dégoût ?


 


 

L'auteur


 

Christian MARIA, professeur honoraire, passionné d'art et d'Histoire, vit et écrit à Nice. Il a publié des romans, des polars historiques, des recueils de nouvelles et un livre d'art.


 


 

Mon avis


 

Je remercie ELIX ENTREPRENDRE EDITIONS et en particulier Elisabeth, de m'avoir donné l'opportunité de lire « L'Avocat des gueux », second opus de la saga de polars historiques de Christian MARIA, auteur dont j'ai lu plusieurs ouvrages tant j'aime sa plume fluide et majestueuse.


 

Christian MARIA nous emporte dans le Duché de Savoie au XVIème siècle et nous faisons connaissance avec le Chevalier de Montreil, qui a été nommé avocat des gueux...et qui est à la cherche d'une épouse.


 

Comment va-t-il pouvoir défendre ces personnes du peuple accusées d'avoir causé la mort d'un seigneur faisant partie de ses amis ?


 


 

Au fil des mots de l'auteur nous voyageons dans les massifs de la Chartreuse et des Bauges puis en Suisse.

Grâce aux descriptions précises de Christian MARIA nous imaginons aisément les paysages, les us et coutumes, les mentalités de l'époque ainsi que les traits physiques et psychologiques des protagonistes de son livre.

J'ai apprécié les expressions du Moyen-Age usitées par l'auteur qui permettent de se projeter à cette époque de notre Histoire.


 

J'ai bien aimé ce polar historique très bien écrit et documenté comme tous les livres de cet auteur d'ailleurs, fort intéressant, que j'ai lu pratiquement d'une traite et avec lequel j'ai passé un bon moment de lecture.


 

Je le recommande aux férus d'Histoire et je ne manquerai pas de vous faire part, très prochainement, de mon avis concernant le tome 3 de cette saga.


 


 

Page FB :https://www.facebook.com/joellemarchal74/


 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

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ANNONCE INTERVIEW AUTEURE LAURIE STARET LUNDI 30 MARS 2020 18 H SUR MON GROUPE FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS🌹

Bonjour les amis,🙋‍♀️🙋‍♂️

Ce jour vendredi 27 mars 2020 j'ai réalisé ma 103 ème interview 💻avec un auteur du groupe 🙋‍♀️📖qui a accepté de se soumettre à mes questions.

Je vous donne donc rendez-vous le lundi 30 mars 2020 à 18 H 00 pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Laurie Staret 🙋‍♀️📖. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Laurie qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

A lundi.😍

 

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Bonsoir je partage l'interview que j'ai réalisée ce soir avec Martine MAGNIN sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEURE

Martine MAGNIN

 

JM : - Bonsoir à tous

 

-Notre amie Martine MAGNIN, a accepté, récemment de se soumettre à mes questions.

 

Je partage donc avec vous cet entretien et à l'issue vous pourrez, si vous le souhaitez, poser vos questions à Martine qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

 

 

JM : - Bonsoir Martine

 

⁃ Comment vas-tu ? Es-tu prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Martine : Avec Plaisir, je vais très bien et suis prête !

 

 

JM : - Tout d'abord, question basique mais incontournable : qui es-tu ? Que faisais-tu avant de te lancer dans l'écriture ?

 

 

Martine : Je suis fille, petite fille, nièce et sœur d’écrivains ; et même avant de me lancer dans l’écriture de mes propres livres, j’écrivais déjà pour les autres, dans mon métier de responsable d’une agence de communication.

 

 

JM : - En quelques mots, peux-tu nous présenter tes romans ?

 

Martine : Ce n’est pas évident de présenter mes romans parce qu’ils suivent mes états d’âme, mes envies et l’air du temps et que j’en change régulièrement. Je suis passée des récits-témoignages à la fiction en passant par des essais et je suis même en ce moment en train de travailler sur un dictionnaire un peu particulier. Je passionnée de philosophie, de sociologie et de sémantique, l’humain est au cœur de mes préoccupations. Je lis dans le désordre des textes de tous styles et j’écris pareillement dans tous ces registres.

 

 

 

JM : - Si ma mémoire est bonne tu as écris des polars, témoignages, romans policiers. Pourquoi ces choix ?

 

 

Martine : J’ai des moments qui me poussent à parler de choses sérieuses et réelles, d’autres plus intrigantes ou totalement fictives. Ma passion pour Gustav Klimt m’a incitée récemment à écrire une fiction aussi délirante qu’onirique inspirée par ses œuvres. J’aime cette liberté d’écrire et ne me limite à aucun genre littéraire défini.

 

 

JM : - As-tu des idées concernant un prochain livre ? Quels thèmes te tiennent à cœur et d'où part l'idée d'un roman ?

 

 

Martine : Je travaille actuellement sur un dictionnaire, une fiction et deux essais. Le dictionnaire concerne la mode et les vêtements, thème que je connais bien et cela me permet d’aborder le sujet de façon un peu originale. La fiction en cours brasse les émotions liées à la vie et à la mort sans pathos, mais dans un registre émotionnel fort. Quant aux essais, l’un concerne le Doute, vu sur le plan psycho-rigolo et le deuxième le sujet controversé du milieu complexe et redoutable de l’édition… no comment.

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier tes livres ?

 

Martine : Comme tout le monde parce que je n’ai pas voulu – à tort ou à raison – me servir des contacts de la famille. J’ai donc commencé timidement avec des petits éditeurs et les galères ne m’ont pas été épargnées. Peu à peu, j’ai abrité mes écrits chez des éditeurs un peu plus compétents et sérieux, et n’ayant pas accepté d’avoir des relations amoureuses avec les différents présidents de la République ou autres personnalités médiatiques, je galère encore et les portes des grands éditeurs restent closes. Ecrivant des textes aussi différents les uns que les autres, mes éditeurs – au nombre de six - le sont aussi. Ce n’est pas très confortable, mais c’est ainsi.

 

 

JM : - Ecrire est-ce pour toi une passion ou un métier ?

 

Martine : Les deux de manière très imbriquées. Je ne pense pas avoir un talent remarquable, mais écrire pour moi un exercice très sérieux. C’est une passion vitale qui représente aussi beaucoup de travail, de folie, et de minutie. Je suis très exigeante par rapport à la qualité des textes que je propose et je les reprends un nombre incalculable de fois. Il faut que la musique, l’émotion, et les mots me plaisent à moi aussi avant d’être proposé aux lecteurs.

 

 

JM : - Dans ta prime enfance avais-tu déjà envie de devenir écrivain ?

 

Martine : Oui, à coup sûr. J’inventais chaque jour avec ma grand-mère de nombreuses histoires folles et j’ai écrit à dix ans une pièce radiophonique reprise par Jean Nohain « la princesse qui cassait tout »

 

 

JM : - Quels sont les auteurs qui t'ont donné l'envie d'écrire ?

 

Martine : Oh, là, là ! Tous depuis Saint Exupéry quand j’étais petite, et des dizaines de merveilleux auteurs à l’âge adulte… la liste est longue : Umberto Eco, Gabriel Garcia Marquez, Simone de Beauvoir, Simone Signoret, Fred Vargas, Dona Leone, Henning Mankell, Marguerite Duras, Alexandra David-Neel, Kafka, Boris Cyrulnik, Kenneth Wight, Vladimir Nabokov, John Irving… Je ne sais plus ma mémoire des noms est imparfaite.

 

 

JM : - Quel livre emporterais-tu sur une île déserte ?

 

Martine : Cent ans de solitude, sans hésiter.

 

 

JM : - Quand tu étais petite, quels livres ont marqué ton enfance puis ton adolescence ?

 

Martine : Saint Exupéry, Le Petit Prince et tous les contes et légendes écrits par ma grand-mères qu’elle testait sur moi !

 

 

JM : - Quel est ton proverbe préféré ?

 

Martine : Il y en a plusieurs.

  • Jamais un jour sans une ligne.

  • Méfiez-vous du premier mouvement, c’est le bon.

Et juste pour rire :

  • Il ne sert à rien d’être inutile si on n’arrive pas à être nuisible (NB : ce n’est pas mon credo personnel !)

 

JM : - Quel mot te définit le mieux ?

 

Martine : Le doute ou l’optimiste, je ne sais pas, je doute !

 

JM : - Es-tu thé, café ? Quel est ton péché mignon ?

 

Martine : Thé citron et macarons café et un nouveau livre !

 

 

JM : - Quel est ton plus grand rêve ?

 

Martine : banalement, que tous mes enfants soient heureux, c’est le principal pour moi

 

 

JM : - Souhaites-tu ajouter quelque chose ?

 

Martine : Merci de m’avoir donné l’occasion de parler de moi et de mes mots et toute ma tendresse pour tous.

 

 

JM : - Merci Martine pour cet agréable moment passé en ta compagnie.

 

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Martine qui y répondra sous ce post.

 

 

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui vendredi voici ma chronique concernant "LES BERGES DU MARAIS - tome 2 : la révoltée"

« LES BERGES DU MARAIS »

Tome 2 La Révoltée

Laetitia MONTOU

PUBLIBOOK

6 juillet 2016

242 pages

 

 

Présentation

 

« Cette nuit du mois de mai était claire ; la pleine lune brillait de sa plus belle parure or pâle et scintillait pour ses visiteurs. Ils étaient au rendez-vous d'ailleurs, silhouettes fantomatiques se confondant avec les arbres, les arbustes et les haies : ils avançaient dispersés à travers la forêt, silencieux et sur leurs gardes.

Parfois, les branches moins entrelacées et enserrées laissaient filtrer un rayon de l'astre nocturne et on pouvait apercevoir en une fraction de seconde des visages masqués aux yeux étrangement brillants, aux membres crispés et pourtant se mouvant avec une agilité précieuse dans ce dédale émeraude. Ces êtres noctambules s'avançaient prudemment jusqu'à la lisière de la forêt. Là, ils stoppèrent tous et leurs yeux se fixèrent sur une vision merveilleuse. À environ 350 pieds, trônait un prince des ténèbres. »

En janvier 1790, fuyant Paris, Laetitia revient sur Angoulême où elle retrouve sa famille. Il lui faudra chercher et sauver son frère Matthieu et sa sur Camille. En quête perpétuelle, nourrie d'idéaux révolutionnaires, il faudra à la jeune femme prendre en main son propre destin... Épaulée d'une galerie de personnages hauts en couleur, l'héroïne des « Berges du Marais » traverse l'Histoire et les tragédies, mûrit, se cherche, se perd et se trouve enfin, au fil d'une épopée pleine de souffle digne des plus grands romans d'aventures.

 

L'auteure

 

Laetitia Montou est un pseudonyme mais je ressemble à mon héroïne!

Je suis née en 1961 en Charente.
Après des études de droit à Pau, je vis au Mans depuis 1988.
Je suis passionnée d'histoire particulièrement de la Révolution Française: cet amour m'a été transmis par mes professeurs d'histoire au collège (à qui j'ai dédié mon premier tome).

J'ai toujours écrit ; Les Berges du Marais ont été rédigés entre l'âge de 16 à 24 ans.
De 2016 à 2018 j'ai écrit le tome 3 : plus historique... peut être moins romanesque.


Après plusieurs deuils, je me suis décidée à publier en février 2015, pour laisser ma petite trace...

Un policier, un livre d'anticipation, un livre de psycho-généalogie ainsi que le tome 4 des Berges sont en cours...

Retrouvez mes personnages sur mon blog :
http://www.laetitia-montou.com/
hhtp://. lesbergesdumarais.com

et sur Facebook:
https://www.facebook.com/Lesbergesdumarais/

 

Mon avis

 

Je remercie Laetitia MONTOU de m'avoir donné l'opportunité de lire le second opus de sa saga historique « Les Berges du Marais » - La Révoltée.

 

Ayant lu récemment le premier tome j'avais vraiment hâte de connaître la suite du destin de Laetitia et de retrouver les protagonistes de cette très belle saga historique.

 

Nous sommes donc en 1790. Notre héroïne retourne dans son village natal afin de retrouver ses proches mais ses parents ont du fuir vers Angoulême et elle découvre qu'ils ont beaucoup changé depuis son départ pour Paris.

L'auteure nous conte les aventures que Laetitia vivra durant cette période très mouvementée de notre Histoire. Nous la suivons et découvrons ses rencontres avec Lucile et Camille Desmoulins, Robespière ... Nous assistons à son combat de révoltée. Il faut dire que notre héroïne est devenue une jeune femme très courageuse, éprise de liberté et de justice. Nous découvrons les prémices de son histoire d'amour avec Guillaume d'Oransti... Au fil des mots de l'auteure nous ressentons ses peurs, ses joies, ses sentiments, ses craintes, ses espoirs..

 

J'ai beaucoup aimé ce second opus très bien écrit et documenté qui mêle amour, aventures à l'Histoire et dont les multiples rebondissements tiennent le lecteur vraiment en haleine.

 

La férue d'Histoire que je suis n'a pu qu'être séduite par cet ouvrage dont j'ai tourné les pages à une vitesse grand V tant j'avais hâte d'en connaître le dénouement et je le recommande aux amateurs du genre.

 

Je lirai très vite le tome 3 et ne manquerai pas de vous en parler, dès que possible, sur ces pages.

 

Un très bon moment de lecture.

 

Page FB : https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

 

 

 

 

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui mercredi je vous propose ma chronique concernant : "COLLIERS DE NOUILLES"

« COLLIERS DE NOUILLES »

Martine MAGNIN

JDH EDITIONS

Magnitudes

25 janvier 2020

176 pages

 

Présentation

 

Maman : nom féminin. Terme affectueux par lequel une personne désigne et appelle sa mère.

 

C'est la définition pratique, commune et banale connue de tous. Et pourtant, dans ce simple mot, maman, souvent le premier mot prononcé dans la vie, il y a toute la complexité de l'humain.

 

Quoi de plus complexes que les rapports entre un enfant et sa mère ? Tant de sentiments contradictoires se chahutent dans cette relation. Tant de vécus. Tant de non-dits. Tant de questions qui parfois ne trouvent pas de réponses.

 

Nos mères ne sont pas toutes semblables. Elles ont aussi leurs propres histoires, leurs plaies et leurs bosses. Et aussi leurs propres mères...

 

Le déni, l'exigence abusive, la possessivité, la victimisation, la substitution, le chantage affectif ou la démission s'invitent parfois à un bal où les enfants dansent en pleurant.

 

Martine Magnin offre avec talent au lecteur un livre témoignage constitué d'une série de portraits sincères et intimes. Livrés sans décorum. Elle ne juge pas. Avec l'infinie tendresse et l'humour qui caractérisent ses écrits, elle nous entraîne à la rencontre de certains spécimens maternels assez redoutables. Nous comprenons pas à pas que ces femmes ont fait ce qu'elles ont pu, avec leurs limites et leurs fragilités.

 

L'auteur ne s'interpose pas. Elle vous invite simplement à briser le tabou de la maltraitance des mères envers leurs enfants. A en parler. A y réfléchir. Un livre fort. A lire absolument.

L'auteure

 

Quelques mots sur ma personne : Passionnée de philosophie, de psychologie et de sémantique. Après une carrière dans la Communication et les Relations Presse, puis le commerce des Antiquités, je laisse s’exprimer mon goût pour l’écriture. L'humain est au cœur de mes écrits.

Petite fille, fille, nièce, et sœur d’écrivains édités et reconnus chacun dans un secteur d’écriture très différent. Mariée, mère, grand-mère, je partage ma vie entre Paris et la Provence, avec une nette préférence pour cette dernière.

 

Mon avis

 

Je remercie JDH Editions de m'avoir permis de lire, en service de presse, « Colliers de nouilles », roman de Martine MAGNIN et ainsi de découvrir la plume fluide et précise de cette auteure.

 

La jolie couverture enfantine et le titre m'ont de suite interpellée. En effet qui d'entre nous n'a pas offert ou reçu un collier de nouilles pour la fête des mamans ?

 

J'ai donc lu avec beaucoup d'intérêt la préface très intéressante d'Anne-Catherine Sabas, psychanalyste et psychothérapeute.

 

Martine MAGNIN nous offre quinze portraits de « mères », tous différents mais tellement vrais. Ainsi nous découvrons des mères abusives, excessives, cruelles, parfaites, alcooliques, maltraitantes, autoritaires.... dans lesquelles certaines d'entre nous pourraient se reconnaître ou bien leur faire penser à leur mère ou à l'une de leurs amies...

 

L'auteure n'apporte pas de jugement sur ces différents types de mères mais nous invite à réfléchir, en lisant ces courts textes très bien écrits, ponctués d'une touche d'humour qu'elle agrémente par des citations philosophiques, sur le sujet des relations mère-enfant.

 

J'ai beaucoup aimé cet ouvrage tendre et dur à la fois selon les récits, qui se lit très facilement et qui incite l'être humain à mieux comprendre et ne pas juger « la mère », cette personne qui nous a donné la vie mais qui n'a peut être pas su la gérer comme elle aurait du le faire mais également, que nul n'est à l'abri de reproduire le même schéma sur son propre enfant..

 

A méditer..

 

Bonne lecture.

 

 

Page FB :https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecrise74.over-blog.com

 

 

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ANNONCE INTERVIEW AUTEURE MARTINE MAGNIN VENDREDI 27 MARS 18 H SUR MON GROUPE FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS🌹

Bonjour les amis,🙋‍♀️🙋‍♂️

Hier lundi 23 mars 2020 j'ai réalisé ma 102 ème interview 💻 avec un auteur du groupe 🙋‍♀️📖 qui a accepté de se soumettre à mes questions.

Je vous donne donc rendez-vous le vendredi 27 mars 2020 à 18 H 00 pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Martine Magnin 🙋‍♀️📖. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Martine qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.😀

A vendredi.😍

 

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Bonsoir je partage l'interview que j'ai réalisée ce soir avec Corine VALADE sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEURE

Corine VALADE

 

 

 

JM : - Bonsoir à tous

 

Notre amie Corine VALADE a gentiment accepté de se soumettre, récemment, à mes questions.

 

Je partage cet entretien, à l'issue duquel, vous pourrez, si vous le souhaitez, poser des questions à Corine qui y répondra en direct ou plus tard en fonction de ses disponibilités.

 

 

 

JM : - Bonsoir Corine

 

⁃ Comment vas-tu ? Es-tu prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Corine : Bonjour Joëlle et bonjour à toutes et à tous,

Je suis ravie de partager ce moment privilégié avec vous !

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Corine : J’écris depuis que je suis toute petite. J’ai commencé par une histoire tirée de celle du vilain petit canard ! Les enfants sont très sensibles aux injustices ; ils ont chacun leur façon d’exprimer leur ressenti. Personnellement, je l’ai toujours fait en prose ou en vers.

 

JM : - J'ai cru comprendre que tu es Présidente d'une Association Culturelle, que tu animes des cafés littéraires et organises des manifestations autour du théâtre et de la lecture. Peux-tu nous parler de toutes tes activités ?

 

Corine : Je suis curieuse et gourmande de tout ce qui touche à l’art, à l’histoire… et j’ai de l’intérêt pour les autres. Notre association culturelle a été créée pour que les gens de notre village et ceux des alentours puissent se rencontrer et débattre autour de la lecture et du théâtre. Nous sommes plusieurs bénévoles à œuvrer vaillamment ! J’en profite pour saluer tous les bénévoles d’ici et d’ailleurs qui donnent de la profondeur au mot « humanisme ». Nous organisons depuis 11 ans un festival «  Théâtre et résonances » avec un centre culturel voisin.

Pour me garder un petit coin de paradis dans le monde des enfants, j’écris des spectacles de marionnettes. J’essaie d’amener ce formidable public à réfléchir sur des sujets de société. Je sillonne les écoles, les centres de loisirs et les centre-sociaux avec mon castelet. J’adore entendre les cris de surprise des enfants, leurs éclats de rire et leurs questionnements… Ils ont un regard lucide sur le monde de demain. Je fais aussi de la peinture, souvent inspirée du Street Art. Le langage de la rue m’interpelle. Je fais partie du conseil municipal depuis 2008 en tant que conseillère puis adjointe aux affaires culturelles.

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes romans ?

 

Corine : Tous abordent des sujets forts au niveau social. La base historique me demande entre 12 et 18 mois de recherches. Je veux comprendre pourquoi certains évènements ont contribué à changer le monde et j’aime surtout restituer ce que j’ai appris sous forme romancée. Au fur et à mesure de mes investigations, le roman se construit dans ma tête. Des personnages fictifs viennent se greffer aux personnalités connues du grand public. J’ai le sentiment que c’est une façon d’amener le lecteur à devenir un acteur majeur de l’Histoire.

Bibliographie :

L’arbre des oublis ed. De Borée Roman sur les enfants Réunionnais dits de la Creuse. Prix des Ozoir’Elles des plumes de Seine et Marne 2019.

 

L’audace d’une étoile ed De Borée. Biographie romancée de Mauricia de Thiers - femme d’exception qui fut artiste de cirque, amie des grands peintres de la première moitié du 20eme siècle tels Picasso, Chagall, Valadon, Utrillo. Elue maire d’une commune de Seine et Marne en 1945.

 

Léopoldine ed. De Borée – Sur les services de santé en 14/18 et les mutins de la Courtine. Prix du roman historique 2017

 

Victoire – Les peintres cartonniers sur fond de IIIeme République, d’affaire Dreyfus. Ed. De Borée.

 

Le printemps d’Aurélien ed. De Borée. La Commune de Paris, les lissiers de la tapisserie.

 

Gueules cassées et alors ! réédition De Borée. Histoire des l’association des abîmées de la Tête et de la Face de 14/18 romancée.

 

Mémoire en images Moussy le Neuf, Moussy le Vieux et le domaine des Gueules Cassées - Ed Sutton

 

Le son du violon qui pleure - Publibook Après la mort de son mari, Hélène doit réapprendre à vivre… sur fond de guerre en ex-Yougoslavie. Roman épuisé

 

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et peux-tu nous en dire quelques mots ?

 

Corine : Dans ma tête, ça fourmille d’idées ! Le prochain roman aborde la vie dans un camp d’internement politique en France durant la deuxième guerre mondiale. Il parle aussi d’un pan méconnu du STO : les femmes requises. Il s’agit d’un texte à deux voix sur deux époques : un vieil homme raconte son histoire pour aider une jeune fille à se reconstruire. J’ai parfois l’impression d’écrire deux romans ! L’exercice est périlleux mais réellement passionnant.

 

JM : - Où trouves-tu l'inspiration pour créer les protagonistes de tes écrits ? Improvises-tu ou connais-tu la fin avant de commencer l'écriture ?

 

Corine : Dès que je choisis un thème principal, je collecte des témoignages, je rencontre des historiens, je visite des lieux. Je puise dans l’Histoire quelques noms connus en fonction de leurs rôles et progressivement mes personnages fictifs prennent vie. Le synopsis évolue et je ne connais jamais la fin du roman avant… disons, la moitié du livre ?! En effet, même si je l’imagine, je ne suis pas seule maitre à bord. Mes personnages ont leur mot à dire. Ils font de la résistance et m’obligent parfois à modifier mon récit !

 

 

JM : Dans un grand nombre de tes romans, si ma mémoire est bonne, tu mets très souvent à l'honneur les femmes. Peux-tu nous donner la raison de ce choix ?

 

Corine : Elles furent trop longtemps les oubliées de l’histoire, œuvrant dans l’ombre des hommes. Aujourd’hui encore, elles restent fragilisées par ce passé qui leur colle à la peau.

 

JM : - Tes ouvrages sont des romans historiques romancés mais inspirés pour la plupart de faits réels. Comme procèdes-tu pour faire tes recherches ?

 

Corine : Je commence toujours par dégrossir le ou les sujets choisis sur internet puis je commande des livres historiques ou romancés abordant les différentes questions. Je croise les informations, souvent contradictoires ! Je rencontre un maximum de personnes pour collecter des témoignages et je prends contact avec des historiens pour être certaine d’avoir acquis la connaissance nécessaire pour écrire mon roman.

 

 

JM : Comment écris-tu sur des carnets, cahiers, fiches, écriture directe sur l'ordinateur ?

 

Corine : Je prends beaucoup de notes sur des feuilles, des post-it, des cahiers… tout ce qui me tombe sous la main ! Mon bureau déborde joyeusement de papiers, de documents et de livres ! Par contre, j’écris mes romans directement sur l’ordinateur. Cela simplifie les corrections puis les envois de « manuscrits » !

 

 

JM : - À quel moment de la journée écris-tu ? ? Le jour ? La nuit ? Et pendant combien de temps ?

 

Corine : C’est très variable car mon emploi du temps est chargé. J’attends que le manque se fasse vraiment sentir. Alors, je préviens tout le monde et j’entre dans une autre dimension : celle de l’écriture !

 

 

JM : - Tu as noué un lien très fort avec tes lecteurs et lectrices, peux-tu nous en parler ?

 

Corine : Ce sont des liens très particuliers, un savant mélange d’amitié naissante, de respect mutuel, avec une distance à peine perceptible… comme une main hésitante qui se tend pour caresser la joue et qui s’abaisse juste avant, par timidité ou pour garder en soi l’envie de prolonger ce geste à peine ébauché.

 

 

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement  et où ?

 

Corine : 1er mars au salon de l’histoire à Levallois Perret-92 / 7 et 8 mars au salon des Elles à la Rochelle/ 18 mars 2020 avec conférence à la médiathèque de Felletin-23 / 22 mars au salon de Sainte Feyre-23… puis d’autres encore à suivre sur ma page FB !

 

 

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier tes ouvrages ? Qui réalise les couvertures de tes livres ?


Corine : Mon tout premier roman a été publié sur le net : à l’époque, publibook avait le vent en poupe ! Pour le second, j’ai cherché quels étaient les éditeurs qui correspondaient le mieux à mon style et au genre de mes écrits. J’ai été reçue par les éditions De Borée et j’y suis restée !

Les premières de couv, voilà un sujet sensible ! Format, image, résumé doivent entrer dans une ligne éditoriale stricte. Néanmoins, on peut toujours demander d’avoir un regard sur la photo choisie et la 4eme de couv.

 

JM : Es-tu sensible à la critique littéraire et penses-tu que les blogs, les réseaux sociaux aident les écrivains à promouvoir leurs écrits ?

 

Corine : Vaste sujet ! Je vais essayer de faire court.

Je suis extrêmement sensible à la critique littéraire. Quand on passe des heures avec nos personnages à faire « vivre » des pages d’écriture, à se jouer du destin de chacun, comment peut-il en être autrement ?! Les avis éclairés des lecteurs donnent une tendance sur la qualité de notre ouvrage. Les points négatifs doivent servir à nous améliorer et les points positifs, à nous élever. Mais toujours, restons humbles… côté auteurs et côté lecteurs.

Un peu de simplicité et beaucoup de respect ne nuisent pas ! Je m’explique : si les réseaux sociaux sont aujourd’hui incontournables, il y a parfois des dérapages qui peuvent s’avérer dangereux et contre-productifs. Donner un avis est un droit légitime, je dirai même un devoir ! Mais vomir des insanités, sans façon. Gérer un blog ou une page FB demande une vigilance de tous les instants pour éviter d’éventuels débordements.

J’adhère volontiers aux groupes qui partagent avec sincérité des critiques étayées sur leurs lectures. Je trouve audacieux et formidable ces blogs qui se créent pour rendre la littérature vivante et expressive ! Les blogueurs disposent d’un vaste espace de liberté qu’ils ouvrent aux auteurs. Je crois sincèrement que c’est une chance de promouvoir ainsi nos ouvrages. Il serait dommage, voire dommageable de ne pas en profiter. Certes, on ne peut pas plaire à tout le monde mais il est toujours intéressant de vivre ensemble des aventures livresques ! Tous les voyages comportent des risques… mais c’est le sens même de la vie, n’est-ce pas ?!

 

JM : - Quels sont les auteurs qui t'ont donné l'envie d'écrire ?

 

Corine : Il y en a beaucoup car j’ai toujours été une grande lectrice ! Spontanément, je vais citer Michel Peyramaure et Jean Anglade en regrettant déjà de ne pas avoir parlé des autres…

 

 

 

JM : - Quels conseils peux-tu donner aux lecteurs qui veulent devenir écrivains ?

 

Corine : Il faut accepter d’être habité par cette passion dévorante et ne pas avoir peur de la somme de travail que cela représente, d’autant que chaque étape du livre est une épreuve, une remise en question pafois stressante mais le jeu en vaut la chandelle ! J’ose aussi parler finances car il faut avouer qu’au niveau matériel, le bât blesse. En effet, les dividendes reçus (quand il y en a) ne font pas bouillir la marmite. L’écriture vient souvent en plus d’un quotidien familial à assurer, d’un job à conserver… On peut aussi avoir un immense succès et ne vivre que de son écriture mais il y a peu d’élus.

 

 

JM : Lis-tu et quel genre ?

 

Corine : Je lis souvent les livres de mes confrères De Borée, par amitié et par goût. Il est également important de bien connaitre les choix de la ligne éditoriale de son éditeur. Sinon, je suis très éclectique dans mes lectures. J’aime les romans historiques, ceux qui interrogent sur l’état de notre monde, les biographies, les histoires un peu déjantées, certains polars mais jamais de thrillers car je ferai forcément des cauchemars. Pourtant, j’ai un faible pour leurs auteurs que je trouve toujours sympathiques et plein d’humour ! J’ai promis d’essayer mais j’ai du mal et j’espère sincèrement qu’ils me pardonneront !…

 

 

JM : - Quels sont tes endroits préférés ( pièce de ta maison, région de France, pays) ?

 

Corine : La Creuse ! J’y puise ma force vive. Je vais régulièrement me ressourcer dans ma maison de famille, située dans un tout petit village où l’essence de l’essentiel prend toute sa signification.

 

 

JM : En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Corine : Tout me passionne !!! Si un projet me plait, je m’enflamme très vite… mais il faut faire des choix car le temps n’est pas extensible.

 

 

 

JM : - Si tu écrivais le livre de ta vie quel titre lui donnerais-tu ?

 

Corine : Je n’écrirai pas le livre de ma vie.

 

 

JM : - À quelle époque aurais-tu aimé vivre ?

 

Corine : La mienne me convient. Je vis l’instant présent. Ceci dit, j’ai quand même la chance d’être un peu magicienne puisque je remonte allègrement les aiguilles des horloges dans mes romans !

 

JM : - Quelle est ton proverbe préféré ?

 

Corine : Une phrase que je répète souvent : Une démocratie que l’on croit établie est une démocratie en danger.

 

JM : Quel mot te définit le mieux ?

 

Corine : Peut-être la sincérité…

 

 

JM : - Si tu devais partir sur une île déserte, quel objet incontournable à tes yeux, emporterais-tu ?

 

Corine : Joker ! Je ne veux pas partir sur île déserte ! Par contre, j’ai besoin de m’isoler régulièrement. J’emporte alors de quoi lire et écrire. D’ailleurs, j’ai toujours un livre dans mon sac, au cas où !!!

 

JM : - Es-tu thé ou café ? Vanille ou chocolat ? Mer ou montagne ?

 

Corine : Il est possible de tout prendre ?!!!

 

 

JM : - Si tu étais une odeur, une couleur, un animal : tu serais...

 

Corine : Un chèvrefeuille… rouge !

 

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Corine : Il ne faut jamais me demander si j’ encore des choses à dire car c’est toujours oui !

J’adore cette phrase de Nicolas Bouvier, écrivain voyageur qui a rejoint depuis longtemps les étoiles : «  On ne voyage pas pour se garnir d'exotisme et d'anecdotes comme un sapin de Noël, mais pour que la route vous plume, vous rince, vous essore, vous rende comme ces serviettes élimées par les lessives qu'on vous tend avec un éclat de savon dans les bordels. » C’est parfois ce que je ressens avec l’écriture !!!

A la fin d’un manuscrit, lorsque je m’applique à noter le mot « fin » je reste quelques secondes perplexe, puis je passe à un état euphorique de courte durée car le doute, latent, revient : - «  Ai-je fait le maximum pour que ce roman soit juste ? »

 

Et voilà ! Vous avez tout lu ? Quel courage car je suis une grande « bavarde » ! Je vous remercie de tout cœur pour votre attention. L’écoute est si rare aujourd’hui… aussi, sachez que je reste à la vôtre.

Je vous souhaite  d’incroyables voyages au pays des mots …  

 

 

 

JM : - Merci Corine pour ce très agréable moment passé en ta compagnie, ta gentillesse et ta disponibilité.

 

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Corine qui va vous répondra sous ce post.

 

 

 

https://www.facebook.com/corine.valade

 

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Bonjour aujourd'hui lundi voici ma chronique concernant : "LES BERGES DU MARAIS - tome 1 : LA PAYSANNE"

« LES BERGES DU MARAIS »

tome 1 : La paysanne

Laetitia MONTOU

PUBLIBOOK

20 août 2015

233 pages

 

 

Présentation

 

« Laetitia regardait toujours cet homme, si bien qu'en exécutant à son tour sa courte génuflexion, elle leva les yeux pour ne pas arrêter de fixer l'inconnu. Celui-ci fronça quelque peu les sourcils, mais son visage demeura froid et imperturbable, les yeux aussi méprisants que tout à l'heure. Laetitia se surprit à détester cet homme sans le connaître : il avait violé son intimité et détaillait les personnes avec un air supérieur et méprisant. Mais malgré tout cela, elle le haïssait surtout car elle ne pouvait détacher ses yeux de son visage : il exerçait sur elle une véritable fascination. » À seize ans, Laetitia quitte les siens en Angoumois pour rejoindre Paris où une tante inconnue prendra en charge la suite de son éducation. La capitale : son effervescence, ses mystères, sa violence aussi et les hommes rencontrés, qu'ils s'avèrent amis, soupirants ou individus plus insaisissables... et les femmes qui investissent la scène politique... De quoi révéler le tempérament de Laetitia qui réclame très rapidement son indépendance et sa liberté de penser... et le contexte s'y prête, car Paris fait alors sa Révolution. Traversant les couches de la société française de l'époque, jalonné de luttes, de tempêtes, de bouleversements, peuplé par les figures fortes de la Révolution, Les Berges du marais esquisse encore et surtout le portrait d'une jeune femme de tête et de cœur, assoiffée d'absolu et passionnée, à la trajectoire périlleuse et hors du commun.

 

L'auteure

 

Laetitia Montou est un pseudonyme mais je ressemble à mon héroïne!
Je suis née en 1961 en Charente.
Après des études de droit à Pau, je vis au Mans depuis 1988.
Je suis passionnée d'histoire particulièrement de la Révolution Française: cet amour m'a été transmis par mes professeurs d'histoire au collège (à qui j'ai dédié mon premier tome).

J'ai toujours écrit ; Les Berges du Marais ont été rédigés entre l'âge de 16 à 24 ans.
De 2016 à 2018 j'ai écrit le tome 3 : plus historique... peut être moins romanesque.

Après plusieurs deuils, je me suis décidée à publier en février 2015, pour laisser ma petite trace...
Un policier, un livre d'anticipation, un livre de psycho-généalogie ainsi que le tome 4 des Berges sont en cours...
Retrouvez mes personnages sur mon blog :
http://www.laetitia-montou.com/
hhtp://. lesbergesdumarais.com
et sur Facebook:
https://www.facebook.com/Lesbergesdumarais/

 

 

Mon avis

 

Je remercie Laetitia MONTOU de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, « Les berges du Marais – tome 1 : La paysanne » et ainsi de découvrir sa plume légère, fluide et majestueuse.

 

L'auteure nous transporte en 1788 où nous faisons connaissance avec Laetitia, jeune paysanne Angoumoise âgée de 16 ans, contrainte de quitter ses parents qui ne peuvent subvenir aux besoins de tous leurs enfants et de se rendre à Paris chez sa tante, Cécile de la Pinsolle.

 

Au fils des jolis mots de l'auteure, nous voyageons dans la diligence et assistons à sa rencontre plutôt mouvementée avec Pierre et Paul deux révolutionnaires, de Yann le cocher, de Guillaume d'Oransti et d'Aurore sa cousine qui prêtant être sa demi-sœur.. mais qu'en est-il vraiment ?

 

L'auteure décrit à merveille les paysages, les traits tant physiques que psychologiques des protagonistes de son roman les rendant authentiques, pour certains attachants, pour d'autres détestables mais je vous laisserai le découvrir par vous-mêmes..

L'auteure nous rappelle un pan très mouvementé de notre Histoire en évoquant la richesse des nantis face à la pauvreté du peuple à cette époque, l'ouverture des Etats Généraux, la prise de la Bastille : la Révolution Française..

 

J'ai beaucoup aimé ce premier opus très bien écrit et documenté tant sur le plan historique que régional dont les nombreux rebondissements tiennent vraiment le lecteur en haleine et que j'ai lu pratiquement d'une traite. Je recommande vivement cette trilogie aux lecteurs qui, comme moi, sont férus d'Histoire.

 

Est-il utile de vous dire que j'ai hâte de lire la suite du destin de Laetitia dont je vous parlerai très vite sur ces pages ?

 

Un très bon moment de lecture.

 

 

Page FB :https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 



 

 

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