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Bonjour aujourd'hui vendredi voici ma chronique concernant : "LA VIE, L'AMOUR, LES EMMERDES !"

« LA VIE, LES AMOURS, LES EMMERDES ! »

Perrine MARCHE

Auto-Edition

11 novembre 2019

344 pages

 

 

Présentation

 

Laurie et moi fêterons nos vingt-six ans dans quelques jours. L’épreuve que nous avons subie avec Will, il y a treize ans, nous a prouvé que la vie est loin d’être un long fleuve tranquille. Beaucoup d’événements inattendus sont survenus et ont changé le cours de nos existences. Will est-il toujours à mes côtés ? Souvenez-vous, nous nous étions promis de rester ensemble, pour le meilleur et pour le pire, mais nous étions si jeunes !


Je n’ai jamais cessé de croire en mes rêves. Avec le courage et la pugnacité qui me caractérisent, j’ai obtenu bon nombre de satisfactions. Les défis sont monnaie courante, dans mon quotidien. Cependant, celui que je m’apprête à accomplir est de taille : quitter le giron familial. Vais-je y parvenir ? Ma motivation sans borne et ma soif de liberté devraient grandement m’y aider.


Quoi qu’il arrive, je m’efforcerai d’avancer sur le chemin de mon destin, et j’irai cueillir le bonheur là où il est.

 

L'auteure

 

Perrine vit dans le sud de la France. Sportive dans l’âme, passionnée, elle aime la lecture et l’écriture.
Écrire est un besoin, un exutoire qui lui permet de lutter contre l’adversité.

 

Mon avis

 

Je remercie Perrine MARCHE de m'avoir donné l'opportunité de lire « La Vie, les amours, les emmerdes ! », le second tome de « Et Soudain la vie bascule ! », roman que j'ai lu récemment et beaucoup aimé.

 

J'ai ainsi retrouvé avec grand plaisir notre héroïne Maeva qui est maintenant âgée de 26 ans, qui a bien muri mais qui a conservé son caractère impulsif, fort et sa rage de vivre.

 

Maeva décide de quitter le cocon familial pour vivre de ses propres ailes, ce qui s'avère plutôt difficile...

Nous suivons les combats qu'elle doit mener face à son handicap, ses espoirs, ses peurs et partageons ses douleurs. Maeva est lourdement handicapée certes mais elle n'en demeure pas moins une femme qui a le droit d'aimer et d'être aimée. C'est avec beaucoup de pudeur que l'auteure nous raconte l'histoire d'amour de la jeune femme.

 

Perrine MARCHE nous fait prendre conscience des difficultés que rencontrent, au quotidien, les personnes atteintes de handicap, car outre le regard des gens, elles sont dépendantes des autres et doivent lutter pour avoir une vie meilleure et normale.

 

J'ai ressenti beaucoup d'émotions à la lecture de ce second tome que j'ai lu pratiquement d'une traite, tant j'avais hâte d'en connaître le dénouement.

 

J'ai beaucoup aimé ce roman très émouvant, empli d'espoir et d'amour, ponctué d'une touche d'humour qui m'a beaucoup touchée et restera longtemps dans ma mémoire.

Une belle leçon de courage et de vie à découvrir sans hésitation.

Pour ma part, j'attends avec impatience la suite de l'histoire de Maeva qui est vraiment un personnage très attachant.

 

Un très bon moment de lecture.

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

Page FB :  ttps://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui jeudi voici ma chronique concernant : "LES STANTON 2" FRANCES ET SON DUC

« LES STANTON 2 »

Frances et son Duc

Marie LAURENT

GLORIANA EDITIONS

Collection HISTORIA

14 octobre 2019

178 pages

 

 

 

 

Présentation

 

Yorkshire, 1819, Sur le point de rencontrer sa future fiancée, Sebastian Villiers, duc de Maverick n'aurait jamais imaginé être pris pour cible... mais aussi pour quelqu'un d'autre... Et pas n'importe qui, rien de moins qu'un fugitif recherché par toutes les polices. Il pourrait facilement mettre fin au quiproquo si la fiancée en question, Frances Stanton, ne s'était mis en tête de le sauver. Séduit, Sebastian décide de jouer le jeu, au risque de perdre ce qu'il croit déjà lui appartenir.

 

L'auteure

 

Marie Laurent est auteure de nouvelles, de poèmes, de romans historiques

page Facebook: htps://www.facebook.com/pages/Marie-Laurent-Auteur/121703231237553 
 

 

Mon avis

 

Je remercie Marie LAURENT de m'avoir permis de lire, en service de presse, son dernier roman « Les Stanton 2 – Frances et son Duc ». J'ai découvert la plume fluide, précise et majestueuse de cette auteure lors de la lecture de « Les Mariés de Rivière Jaune » et « Les Tribulations d'une princesse vagabonde », romans que j'ai beaucoup aimés.

 

Etant devenue fan de cette auteure et férue de romans historiques, je me suis donc empressée de lire ce roman et je n'ai pas été déçue : un vrai régal ! Bien que n'ayant pas lu « Marquis ou Lord », je me suis sentie de suite happée par l'histoire.

 


 

Marie LAURENT nous emporte dans le Yorkshire en 1819 et nous régale en nous contant l'histoire de Sébastien, duc de Maverick qui est poursuivi, suspecté d'être un fugitif recherché par les polices.. alors qu'il se préparait à rencontrer Frances, sa promise à la résidence des Stanton.

 

Comment se sortira-t-il du quiproquo dans lequel il s'est fourré alors que sa future fiancée tente de le cacher dans ses appartements ? Frances parviendra-t-elle a pardonner Sébastien de lui avoir caché la vérité ?

 

J'ai ADORE cette romance historique très bien écrite et fort divertissante, comme tous les ouvrages de cette auteure d'ailleurs.

 

Les personnages sont hauts en couleur, extrêmement bien décrits ce qui les rend authentiques et attachants. L'histoire est originale et rythmée.

 

Un excellent moment de lecture.

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

Page FB : https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui mardi voici ma chronique concernant : "LA PETITE ROBE BLEUE"

« LA PETITE ROBE BLEUE »

Marie-Chantal GUILMIN

RAMSAY EDITIONS

20 octobre 2019

343 pages

 

Présentation

 

Qui est cette Lolita qui hante la petite Léa depuis l’enfance ? Une amie virtuelle, disent les uns, une âme, disent les autres. Au fil de ses jeunes années, la petite Audoise Léa Tindal va se lier avec cette secrète étrangère venue d’on ne sait où. La vérité viendra doucement, un assassinat au bord de l’étang de Thau dans l’Hérault en 1970 dont l’enquête s’était terminée sur un non-lieu, une amitié indéfectible, un gendarme qui rouvre l’enquête avec une arme fatale, l’ADN.

 

Le meurtrier, s’il est encore en vie, va-t-il encore échapper à la loi ? Une histoire où se mêlent le policier et le paranormal. Une enquête qui va réunir de nombreux protagonistes, toujours prêts à démêler le faux du vrai. Les âmes, les esprits, sont-ils vraiment parmi nous ? Un billet pour un embarquement immédiat dans un monde où l’étrange et le réel sont intimement liés.

 

L'auteure

 

Marie-Chantal GUILMIN, écrivain, journaliste, née dans le Tarn, a obtenu plusieurs prix littéraires. La Médaille d'honneur internationale pour la mémoire de la Shoah lui a été remise pour son livre « Elsa Z » par le chasseur de nazis, Serge Klarsfeld. « La petite robe bleue » est son 7ème livre.

 

Elle est passionnée d'histoire et de philosophie. Et a été rédactrice en chef du quotidien La Montagne Noire.

 

 

Mon avis

 

Je remercie RAMSAY EDITIONS et en particulier Christophe de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse « La Petite robe bleue », roman de Marie-Chantal GUILMIN et ainsi de découvrir la plume fluide et légère de cette auteure.

 

Marie-Chantal GUILMIN nous présente Léa, une petite fille qui vit dans l'Aude avec sa famille et se rend tous les ans dans l'Hérault pour passer des vacances avec ses cousins.

 

Mais il y a également Lolita qui hante notre héroïne depuis quelques années.. Qui est-elle : une amie imaginaire ou une âme errante qui revient sur les lieux d'un crime dont elle aurait été victime cinquante ans plus tôt ? Léa est-elle atteinte de folie ?

A la lecture de cet ouvrage, nous nous posons beaucoup de questions ….

 

Marie-Chantal GUILMIN nous offre une histoire intéressante, au suspense bien mené et aux rebondissements qui tiennent le lecteur vraiment en haleine jusqu'aux dernières pages.


Elle nous fait ainsi voyager, au fil de ses mots, de l'Aude à l'Hérault et les paysages défilent devant nos yeux.

 

Bien que peu habituée à lire des thrillers, j'ai aimé ce roman mystérieux, bien écrit, mêlant enquête policière au paranormal, que j'ai lu pratiquement d'une traite tant j'avais hâte d'en connaître le dénouement.

 

Un bon moment de lecture.

 

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

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ANNONCE INTERVIEW AUTEURE MARTINE PILATE VENDREDI 10 JANVIER 18H SUR MON GROUPE FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

 

 

Bonjour les amis,

 

Hier lundi 6 janvier 2020 j'ai réalisé ma 82ème interview avec un auteur du groupe qui a accepté de se soumettre à mes questions.

 

Je vous donne donc rendez-vous le vendredi 10 janvier 2020 à 18 H 00 pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Martine PILATE. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Martine qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

 

A vendredi.

 

 

 

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Bonsoir je partage l'interview que j'ai réalisée ce soir avec Christian LABORIE sur mon groupe FB: lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEUR

Christian LABORIE

 

 

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

  • Notre ami Christian LABORIE a gentiment accepté, récemment, de répondre à mes questions.


Je partage donc avec vous l'entretien que nous avons réalisé, à l'issue duquel, vous pourrez, si vous le souhaitez, poser des questions à Christian.

 

 

 

JM : - Bonsoir Christian

 


⁃ Comment allez-vous ? Êtes-vous prêt à « subir mon petit interrogatoire » ?

Christian : Bonsoir Joëlle. Je suis ravi de répondre à vos questions pour les fidèles du groupe. Je vais bien, merci, en cette fin d’année pour le moins un peu perturbée.

 



JM : - Pouvez-vous, tout d'abord, vous présenter afin que nos amis puissent mieux vous connaître ?

Christian : Je suis écrivain depuis maintenant une bonne vingtaine d’années. Mais ma profession était : enseignant. J’étais professeur d’histoire-géographie. Je suis actuellement à la retraite de l’Éducation nationale. J’ai exercé les deux activités pendant quelques années puis je me suis consacré entièrement à l’écriture. Je suis originaire du Nord de la France mais je vis dans les Cévennes, près d’Alès depuis plus de quarante ans. Je suis marié, père de deux enfants et grand-père de cinq petits-enfants.

 


JM : - Pouvez-vous nous parler de vos romans (la liste est longue, je sais !) et en particulier de votre petit dernier : “Les Enfants de Val Fleuri” ?

Christian : À cette date, j’ai écrit 23 romans dont 21 actuellement édités, deux étant prévus pour 2021 et 2022. Dans chacun j’essaie de coller à un événement qui s’est produit dans ma région depuis le milieu du XIXe siècle. Mais j’ai une prédilection pour le XXe siècle, plus proche. D’ailleurs, dans mes derniers romans, j’aborde des périodes qui me sont assez proches. Mais je n’ai pas encore envie d’écrire sur le temps présent. Dans les Enfants de Val Fleuri, paru en avant-première chez France Loisirs, et qui paraîtra en août 2020 aux Presses de la cité (collection Terres de France), j’ai voulu parler de la céramique dans ma région, la faïence d’Uzès et la poterie d’Anduze. Mon principal personnage fait également un séjour à Limoges pour s’initier à la fabrication de la porcelaine, la reine de la céramique. L’action se situe entre 1932 et 1970. C’est l’histoire croisée de deux familles que tout oppose et qui, par leurs enfants, deviennent étroitement liées à travers de multiples péripéties comme j’aime les nouer avant de les dénouer au dernier moment afin de laisser le lecteur en attente de ce qui va se passer, mais jamais sur sa faim.

 


JM : - Avez-vous d'autres projets d'écriture et pouvez-vous nous en dire quelques mots ?

Christian : Depuis Les Enfants de Val Fleuri, j’ai écrit un autre roman dont je peux déjà vous fournir le titre. Il s’agit de « Les Fiancés de l’été » qui comprendra un second volet que je suis en train d’écrire. Les deux, comme je le fais toujours quand il s’agit d’une série, pourront se lire indépendamment l’un de l’autre.


JM : - Où trouvez-vous l'inspiration pour créer les protagonistes de vos écrits ?

Christian : La plupart de mes romans, à une exception près, trouvent leur source d’inspiration dans les Cévennes ou le Languedoc. J’ai abordé autant de thèmes que les Cévennes m’ont offerts. Mais j’aime aussi faire voyager mes personnages, ne pas les cantonner dans leur région d’origine. De même je m’efforce d’élargir mes thèmes afin de ne pas traiter que des thèmes régionaux. Sans pour autant me montrer infidèle à ma région, j’aime que les histoires que je raconte aient un caractère universel, afin qu’elles puissent intéresser tous les lecteurs quel que soit l’endroit où ils habitent. Quant à mes personnages, ils sont toujours de pure fiction. Toutefois, j’aime aussi utiliser des personnages qui ont véritablement existé et qui ont eu un rôle dans l’Histoire de notre pays Ainsi ai-je mis en scène Pasteur, Clémenceau, Marcelin Albert, Hemingway, Capa et plus récemment Albert Camus. J’affectionne de mêler la fiction à la réalité pour donner plus de véracité historique et permettre aux lecteurs de retrouver certains repères dans leurs connaissances.

 

 

JM : - Si ma mémoire est bonne tous vos romans sont des sagas familiales, des romans régionaux. Pouvez-vous nous donner la raison de ce choix ?

Christian : je n’ai pas choisi d’écrire ce type de roman. Lorsque j’ai écrit L’Arbre à pain, j’ai vraiment trouvé ma voie. Les Cévennes m’ont inspiré. Enseignant l’Histoire et la géographie, je pense que c’est assez naturellement que je me suis orienté vers ce type de roman populaire où le proche passé et le cadre géographique ont une grande importance. Mais, comme je l’ai dit plus haut, j’essaie de dépasser les frontières de ma région afin d’intéresser le lecteur à ce qui se passe également ailleurs. Quant au genre, la saga, effectivement j’affectionne ces grandes histoires de famille où plusieurs générations se succèdent. Je ne sais pas écrire « court », c’est un genre que je ne maîtrise pas. Aussi la saga me convient-elle parfaitement. Elle me donne du temps - là c’est l’historien qui ressort ! La saga me permet de faire évoluer mes personnages, de montrer les liens qui unissent les générations. En réalité la saga c’est la vie. Je n’ai pas d’autre prétention que d’entraîner mes lecteurs dans de belles histoires qui racontent la vie des gens.

 

JM : - A qui confiez-vous la lecture de vos manuscrits (personne de votre famille, ami, bêta-lecteur) ?

 

Christian : Je vais vous décevoir : à personne d’autre qu’à mon éditrice. J’estime que, tant que mon roman n’est pas achevé, il demeure une part de moi-même et je sais qu’il n’est pas parfait. Donc je ne veux pas présenter à autrui quelque chose qui mérite encore d’être amélioré. À ma femme, j’apprécie beaucoup de lui offrir mon petit dernier quand celui-ci est paru, j’aime lui offrir mon livre comme un cadeau. Aussi attend-elle le jour de sa parution pour le découvrir. Ce n’est pas une question de méfiance, mais, je l’avoue, d’amour-propre pour la chose achevée.

 

JM : - Comment avez-vous procédé pour faire publier vos ouvrages ? Qui réalise la couverture de vos livres ?

 

Christian : Pour me faire publier la première fois, j’ai fait comme tout le monde je suppose : j’ai envoyé mon manuscrit à un éditeur, que l’on m’avait conseillé par ailleurs. Un mois plus tard, je signais mon premier contrat. Je n’ai pas navigué entre de multiples éditeurs. Je suis resté dix ans aux Éditions De Borée, qui m’avaient fait une très belle place dans leur équipe. Puis j’ai estimé que pour progresser encore, il me fallait passer à un stade supérieur et me frotter aux grandes maisons d’édition parisiennes. Depuis 2012, j’ai intégré l’équipe des écrivains des Presse de la Cité et je ne le regrette absolument pas. Je suis quelqu’un de fidèle. Je n’ai nullement l’intention de chercher ailleurs ce qui me contente aujourd’hui. Pour votre deuxième question : les couvertures de nos romans sont proposées par quelqu’un de la maison, nous pouvons proposer de chercher autre chose, mais je reconnais qu’en cette matière, la personne qui fait le travail d’adapter la couverture au texte que nous avons écrit vise toujours très bien.

 

 

JM : - Que pensez-vous de l'édition numérique ?

 

Christian : C’est incontournable à l’heure des tablettes. Mais je regrette que, sous cette forme, la rémunération des auteurs ne soit pas la même que pour le livre papier. Lorsque tous les livres seront disponibles uniquement en numérique – ce que je ne souhaite pas -, si rien ne change en ce domaine, il y aura de moins en moins d’écrivain. Savez-vous que pour un livre papier, l’auteur ne reçoit que 1€50 en moyenne et 50 centimes sur un livre de poche ? Faites le calcul pour obtenir le SMIC ! Beaucoup d’écrivains ne le gagnent pas. Et je fulmine quand j’entends dire que les écrivains écrivent pour le plaisir – certes, heureusement ! –, comme si ce problème était un faux problème !


JM : Comment faites-vous pour écrire vos romans (carnets, cahiers, fiches, écriture directe sur l'ordinateur) ?

Christian : Depuis dix romans, j’écris directement sur l’ordinateur. Auparavant j’étais attaché à la plume et au papier. Mais il faut s’adapter aux outils modernes dont nous disposons. L’écran ne me bloque plus. C’est plus facile au demeurant de se corriger sans raturer, de bouger les mots de place etc.

JM : - À quel moment de la journée écrivez-vous ? Le jour ? La nuit ? Et pendant combien de temps ?

Christian : Je ne suis pas un oiseau de nuit ! Je dors plutôt bien, je n’ai pas d’insomnie. La nuit est donc pour moi salutaire pour régénérer mes neurones !! Quand je me mets au travail, j’apprécie d’avoir devant moi une plage de quatre heures. Comme le matin, j’ai toujours quelque chose à faire, j’écris donc l’après-midi environ cinq jours par semaine.

 


JM : - Vous avez noué un lien très fort avec vos lecteurs et vos lectrices, pouvez-vous nous en parler ?

Christian : Je suis étonné de la force de ce lien. Et je m’ébahis encore que tant de monde ait pu me découvrir et m’apprécier. C’est pour moi, le plus beau cadeau qu’on puisse me faire que de venir me voir au cours d’un salon ou d’une séance de dédicaces. Ce lien s’est tissé petit à petit. Il s’est trouvé que les histoires que j’écris en toute simplicité ont plu rapidement. Quand les gens me disent que ce qu’ils apprécient dans mes romans est la simplicité de lecture, je le prends pour un réel compliment de leur part, mais pour que l’écriture soit simple, c’est-à-dire à la portée de tous, cela nécessite du travail en amont. La simplicité et l’authenticité sont les deux critères qui guident mon écriture, qui ont permis sans doute de créer ce lien avec mes lecteurs

 


JM : -Avez-vous des séances de dédicaces prévues prochainement et où ?

Christian : je viens en ce 21 décembre de terminer mes séances de dédicaces en librairie. Je serai néanmoins dans les boutiques France Loisirs en janvier-février : le 11 janvier à Alès, le 18 à Orange et le 1er février à Nîmes toujours de 14 à 17h. Quant aux salons, je les reprends au printemps.


JM : Êtes-vous sensible à la critique littéraire et pensez-vous que les blogs, les réseaux sociaux aident les écrivains à promouvoir leurs écrits ?

Christian : Je suis très attaché à la critique littéraire, elle est une forme de liberté d’expression. Sensible, bien sûr, autant quand elle est favorable que lorsqu’elle est moins gentille. On progresse toujours d’entendre ou de lire les impressions des lecteurs ou commentateurs. En ce domaine les blogs et les réseaux sociaux sont d’excellents vecteurs pour diffuser nos ouvrages. Ils touchent de très nombreux lecteurs et plus rapidement que ne le font les journaux ou magasines. Dans ce domaine, vous constaterez que la littérature régionale, pour la définir ainsi, n’a jamais l’honneur des médias. Nous, les auteurs dits régionaux, subissons un véritable ostracisme de la part des chaines de télévision, radio et autres journaux bien-pensants. Comme si ce que nous écrivons n’était pas de la littérature !

 

JM : - Quels sont les auteurs qui vous ont donné l'envie d'écrire ?

Christian : Quand j’étais jeune, j’aimais beaucoup, Zola, Maupassant, Dumas, George Sand et surtout Stendal. Mais ils n’ont pas déclenché en moi l’envie d’écrire. En revanche les auteurs de l’École de Brive ainsi que Christian Signol m’ont tracé ma voie. Je leur dois beaucoup.
 

 

 


JM : - Quels conseils donneriez-vous aux lecteurs qui souhaiteraient devenir écrivains ?

Christian : d’abord écrire s’ils en ont envie sans se persuader de parvenir à être édité. Écrire pour le plaisir avant tout. Chercher à sortir des sentiers battus. Trouver son propre style. Éviter d’écrire sa vie, l’autobiographie n’intéresse pas les éditeurs, sauf cas exceptionnels. Ensuite, franchir le pas, envoyer son manuscrit à plusieurs éditeurs en toute connaissance de leur ligne éditoriale. Contacter un écrivain pour connaître les écueils à éviter. Savoir que les chances d’être édité sont minimes, ce qui ne doit pas être source de découragement, mais raison de rester humble et réaliste.

 


JM : Lisez-vous et quel genre ?

Christian : je lis modérément car je « ME » lis beaucoup par le fait que j’écris ! Mais je lis tous les jours et ai toujours un livre en cours. J’aime tous les genres avec une prédilection pour les romans régionaux, vous vous en seriez douté ! Ainsi que les thrillers et autres romans à suspens.

JM : - Quels sont vos endroits préférés (pièce de votre habitation, région de France, pays) ?

Christian : j’écris dans une pièce de ma maison des Cévennes que j’ai dédiée à mon activité. Ce n’est pas mon bureau, mais un endroit à l’étage où, par les fenêtres, je peux m’évader dans la nature. J’ai le privilège d’habiter sur une colline en bordure de forêt et, parfois, j’entends les sangliers dévaster mon terrain ! Depuis deux ans j’ai aussi élu domicile en Haute-Savoie, dans un petit village où je passe mes vacances depuis plus de trente ans. J’y ai acquis un pied-à-terre et y poursuit mes écritures tout en contemplation avec les paysages alpins qui m’entourent.


JM : En dehors de l'écriture quelles sont vos passions ?

Christian : je n’ai pas d’autres passions que l’écriture. Une passion dévore votre temps. Je n’ai pas assez de temps pour en avoir plusieurs. En revanche j’ai d’autres activités plus ponctuelles. Disons que je me maintiens en forme physique. À mon âge, et étant donné la sédentarité engendrée par le fait d’écrire plusieurs heures par jour, il est nécessaire de se bouger.

JM : - À quelle époque auriez-vous aimé vivre ?

Christian : dans les deux décennies 1920 et 1930. Elles sont riches en grands événements sans être encore troublées par la guerre. Mais j’avoue que vu la période de paix que nous vivons depuis plus de 70ans, je suis très heureux de vivre à notre époque.

 

JM : - Quel est votre proverbe préféré ?

 

Christian : je n’en ai pas.

JM : - Êtes-vous thé ou café ? Vanille ou chocolat ? Mer ou montagne ?

Christian : café, je n’aime vraiment pas le thé sauf quand il est parfumé au citron ou à la menthe. Mais pour moi le petit café du milieu de la matinée et de l’après déjeuner est une vrai rituel. Je suis chocolat, surtout avec le café après le repas de midi. Et je suis assurément montagne. Je m’ennuie à la mer.

 

JM : - Si vous deviez organiser un dîner littéraire qui inviteriez-vous à votre table ?

 

Christian : mon éditrice avec qui j’entretiens de vraies relations d’amitié. Ainsi que des amis écrivains, ceux qui ne se prennent pas au sérieux (je ne citerai pas de noms pour ne vexer personne). Enfin tous les lecteurs qui en manifesteraient l’envie (mais cela ferait peut-être trop de monde, non ?)

 


JM : - Si vous étiez une couleur, un fruit, un animal : vous seriez ?

Christian : bleu, pêche, chat.

JM : - Avez-vous quelque chose à ajouter ?

Christian : je crois avoir été très bavard. Mais n’oubliez pas que je suis un auteur de saga !! Je terminerai donc en remerciant une fois de plus tous mes lecteurs pour leur fidélité et je profite de ces lignes pour m’excuser auprès d’eux si je ne réponds pas systématiquement à tous leurs messages de sympathie sur Internet. J’avoue que je ne suis pas pendu sur Face Book et autres réseaux sociaux. Quand j’ai terminé mes 4 à 5 heures d’écriture, je n’ai qu’une envie, me changer les idées. Mais qu’ils sachent que je les lis et que j’apprécie énormément leurs marques de gentillesse. Merci à tous.

 

 

 


JM : - Merci Christian LABORIE pour ce très agréable moment passé en votre compagnie, votre gentillesse et votre disponibilité.

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Christian qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

 

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Bonjour aujourd'hui lundi voici ma chronique concernant : "LE TEMPS DES BATARDS"

« LE TEMPS DES BATARDS »

Sophie FAVROLT

EDITIONS MAIA

18 juin 2019

310 pages

 

 

Présentation

 

Pia a quinze ans. Après avoir été chassée de Florence et de Toscane en même temps que les Médicis, la voilà installée à Venise. Avide de vivre enfin en dehors de l’emprise de Cosimo dei Medici, elle s’apprête à devenir citoyenne de la Sérénissime. Mais le Destin n’a que faire de la sagesse de Pia !


Accompagnée de Gio, un jeune batelier de la Lagune, Pia est forcée de fuir à nouveau sur les routes. Rêvant d’un royaume bien à elle, elle part en quête de ses origines dans les montagnes autrichiennes, avant de revenir en Italie. Mêlée au conflit qui oppose, en Romagne, le duc de Milan et le pape de Rome, elle est fascinée par les condottieri, chefs mercenaires qui mènent cette guerre. En rejoignant leurs rangs, elle tente elle aussi de se tailler un domaine à la pointe de l’épée. Mais le cœur a des raisons…

 

L'auteure

 

Sophie Favrolt est née en 1971 et, depuis son plus jeune âge, elle rêve d’Italie. Roman policier ou roman historique, tous ses livres s’inspirent d’une façon ou d’une autre de cette fascination. Les aventures de Pia sont un cycle sur lequel elle travaille avec passion depuis dix ans, en parallèle de son métier d’historienne d’art dans les musées parisiens.


 

 

Mon avis

 

Je remercie Sophie FAVROLT pour l'envoi en service de presse de son roman « Le Temps des bâtards – La Gonfalonière tome 2 » ainsi que pour la très gentille dédicace qui m'a beaucoup touchée.

 

Bien que n'ayant pas lu le tome 1 de ce roman, je me suis de suite sentie happée par l'histoire de Pia.

 

 

Nous sommes en 1430, Pia a obtenu son émancipation de tutelle des Médicis et nous découvrons les aventures qu'elle vivra, à un rythme effréné.

Sophie FAVROLT nous fait voyager, au fil de ses mots, dans le temps, d'Italie à la Suisse. Nous suivons notre héroïne dans des palais princiers, sur des champs de batailles et même jusqu'au fin fond d'un cachot..

 

J'ai beaucoup aimé Pia qui est une jeune femme forte, courageuse, têtue, passionnée et déterminée à retrouver à tout prix ses origines. L'histoire est intéressante, écrite dans un langage châtié qui peut surprendre le lecteur mais qui est tout à fait à sa place dans le contexte historique qu'est la Renaissance Italienne.

 

J'ai lu ce beau roman historique romancé, mêlant amour et aventures, pratiquement d'une traite et refermé à regret mais en me consolant, car je pense que l'auteure va très prochainement écrire, si ce n'est déjà fait, la suite des aventures de Pia du fait qu'à la fin de l'ouvrage figurent les mots « A suivre... ».

 

Un très bon moment de lecture.

 

 


 


 


 

 

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Bonjour aujourd'hui dimanche voici ma chronique concernant : "UN POGNON DE DINGUE"

« UN POGNON DE DINGUE »

Christian GOEMAERE

ETIDTIONS RAMSAY

20 octobre 2019

234 pages

 

Présentation

 

Projetés à l’âge adulte au cœur de la vie politique française et de ses financements occultes, trois enfants d’origine et de culture différentes, mais aux destins singuliers, mettent à l’épreuve une amitié d’autant plus forte qu’elle paraissait improbable.


Leurs aventures les conduiront des eaux turquoises de l’archipel du Vanuatu, petite république, mais grand paradis fiscal, à Catane au cœur de la Sicile mafieuse et de ses violences et enfin au sein des très chics et feutrés arrondissements parisiens où de sourdes, mais violentes rivalités politiques agitent le microcosme. Leur amitié résistera-t-elle aux trajectoires imposées par les intrigues de la vie politique ?


Thriller haletant, «Un pognon de dingue» oscille sans cesse entre fiction et réalité, personnages imaginaires ou figures historiques et nous dévoile les mécanismes, les turpitudes et les dérapages financiers liés à la conquête du pouvoir.

 

L'auteur

 

Tour à tour vendeur de produits cosmétiques pour coiffeurs dans la pampa argentine, président d’un tribunal indigène dans l’une des dernières colonies françaises du Pacifique, Christian Goemaere a ensuite mené une carrière de cadre dirigeant dans l’industrie agro-alimentaire, en France et à l’étranger. Parallèlement à ses activités professionnelles, il a exercé plusieurs mandats électifs locaux, dont la fonction de maire de Pontlevoy, petite commune rurale située aux confins de la Sologne. Mais c’est finalement au cœur même de la Sologne, là où sont ses racines, qu’il situe et signe son premier roman publié en 2015, Du sang sur le cachemire aux éditions MARIVOLE. Préalablement à sa parution son manuscrit avait été distingué en 2014, sous le titre Tea for two par le jury du Prix du quai des orfévres, rentrant dans la sélection finale désignant le lauréat.

 

 

Mon avis

 

Je remercie les Editions RAMSAY et en particulier Christophe de m'avoir permis de lire, en service de presse, « Un Pognon de dingue », roman de Christian GOEMAERE.

 

Bien que peu habituée à lire des thrillers et qui plus est, traitant de politique ceci du fait de mes anciennes fonctions, j'ai tout de même été intriguée par le titre et le résumé de cet ouvrage.

 

L'auteur nous présente tout d'abord les trois principaux personnages de son livre : Benjamin Tagada, dit Benjie, d'origine Kanake, Tino Maggiore dit Nino, Sicilien et enfin Louis de Fourgeat, le « bourge » parisien. C'est en 1957 à Port Vila aux Nouvelles Hébrides que ces trois jeunes garçons que tout oppose vont se rencontrer au collège et se lier d'une amitié forte et durable.

 

Leurs études terminées, chacun poursuivra sa route personnelle et professionnelle et les imprévus de la vie leur permettront de se retrouver trente ans plus tard à Paris...

 

J'ai lu avec plaisir ce court thriller intéressant, bien écrit, ponctué d'une touche d'humour, qui sent tout de même le vécu..., mêlant amitié, paradis fiscaux et magouilles au destin exceptionnel de trois amis, le tout décrit avec précision et habileté.

 

Un bon moment de lecture qui ravira, j'en suis certaine, les amateurs du genre.

 

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

Page FB : https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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ANNONCE INTERVIEW AUTEUR CHRISTIAN LABORIE LUNDI 6 JANVIER 18 H SUR MON GROUPE FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

✍️MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS✍️📖📖

Bonjour les amis,🙋‍♀️💁‍♂️

Aujourd'hui samedi 4 janvier 2020 j'ai réalisé ma 81ème interview 💻 avec un auteur du groupe 🙋‍♀️📖qui a accepté de se soumettre à mes questions.

Je vous donne donc rendez-vous le lundi 6 janvier 2020 à 18 H 00 pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Christian Laborie 💁‍♂️📖📖. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Christian qui y répondra selon ses disponibilités.😍

A lundi.😎

 

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Bonsoir je partage l'interview que j'ai réalisée ce soir avec Nelly TOPSCHER sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

GROUPE LECTEURS – AUTEURS :

LA PASSION DES MOTS

__________

 

 

INTERVIEW AUTEURE

Nelly TOPSCHER

 

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

  • Nelly TOPSCHER a gentiment accepté de répondre, récemment, à mes questions.

  • Je partage donc cet entretien à l'issue duquel vous pourrez, si vous le souhaitez, poser des questions à Nelly.

 

 

 

JM : - Bonsoir Nelly

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prête à « passer sur le gril » ?

 

Nelly : Plus que prête !

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Nelly : Nelly, 45 ans, mariée et juriste de métier. Ce dernier élément a son importance, car d’une part, j’adore mon métier et que d’une autre part le Droit a toujours été une passion qui a une certaine place dans plusieurs de mes romans.

 

 

 

 

JM : - Que représente pour toi l'écriture ?

 

Nelly : Une échappatoire, une forme d’équilibre et une passion dévorante.

 

 

 

 

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes ouvrages ?

 

Nelly : J’écris des romances qui comportent souvent un côté dramatique. J’aime jouer sur le côté drame et noir, car cela permet de creuser les émotions des personnages. Et comme j’aime aussi m’essayer à autre chose j’ai pris le pari fou d’écrire un thriller qui sortira dans quelques jours.

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

Nelly : Plusieurs romans sont déjà prêts et sont en cours de finalisation. Me reste à réfléchir à leur date de sortie avec mon éditrice. J’ai toujours des tas de projets. Je pense revenir à l’écriture d’un thriller très vite. On m’a donné deux idées et à ce jour je ne sais pas encore laquelle choisir.

 

 

 

 

JM : - Comment procèdes-tu pour créer les protagonistes de tes ouvrages et connais-tu, lorsque tu commences à écrire, la fin de l'histoire ou est-ce que tu improvises au fil des mots ?

 

Nelly : J’ai souvent rêvé de la plupart de mes personnages. Seul Alexis , le flic de Retour vers l’Amour existe bel t bien et en tous points comme je l’ai décrit.

Si j’ai la trame générale, il y a toujours ce moment où mes personnages prennent les rênes. Au début j’essayais de les remettre dans le droit chemin, mais j’ai décidé de les laisser faire. Après tout ne sont-ils pas les mieux placés pour savoir comment doit finir leur histoire ?!!

Il n’y a que sur le thriller où j’ai été obligé de faire un plan pour l’intrigue, mais niveau ressenti des personnages j’ai laissé faire Gabriel, Émilie et toute la clique !.

J’ai souvent l’impression que mes personnages sont vrais, qu’ils existent vraiment.

 

 

 

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement  ?

 

 

Nelly : Le 25 janvier au Cultura de la Défense, le 18 avril au Cultura de Rouen, les 2 en duo avec Christian Guillerme.

 

 

 

 

JM : - À qui confies-tu tes manuscrits (membre de ta famille, bêta-lecteur) ?

 

Nelly : À mes bêta qui découvrent l’histoire chapitre par chapitre. J’ai opté pour des bêta qui savent me conseiller et me secouer si besoin, car je doute énormément de moi.

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier tes ouvrages ?

 

Nelly : Je n’ai jamais pensé à me faire publier. C’est mon bêta de référence qui m’a poussée à essayer. Et j’ai assez vite trouvé une maison d’édition.

 

 

 

 

JM : - Penses-tu que les réseaux sociaux, les blogs aident les auteurs à promouvoir leurs écrits ?

 

Nelly : Cela me semble incontournable de nos jours. Il est loin le temps des écrivains qu’on ne voyait jamais. Aujourd’hui il faut compter avec les réseaux pour assurer une véritable promotion. Et faire connaître son roman va aussi avec l’envie des lecteurs de mieux connaître celui ou celle qui se cache derrière une plume.

 

JM : - Que ressens-tu lorsque tu écris le mot FIN ?

 

Nelly : C’est le coup de blues assuré. Quitter des personnages avec qui je passe des mois est toujours un cap difficile.

 

 

JM : - Quels sont les bons et les mauvais côtés du métier d'auteure ?

 

 

Nelly : Les rencontres que l’ont fait entre auteurs et bien sûr avec lecteurs sont des moments précieux. C’est du moins le côté que je préfère. L’aspect le plus difficile est je pense, pas pour moi mais pour mon entourage proche. L’écriture est une passion dévorante, qui peut devenir obsessionnelle. Garder un équilibre est donc primordial.

 

 

JM : Lis-tu ? Quel genre ?

 

Nelly : Je lis énormément, surtout des thrillers et romans noirs.

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Nelly : La lecture donc, la randonnée et passer du temps avec mes proches et amis.

 

 

 

JM : - Quelle est ta musique préférée et écris-tu en musique ?

 

Nelly : Je n’écoute que du Metal. Écrire des scènes d’amour, travailler des émotions sur ce type de musique est vraiment top.

 

 

JM : - Quel livre aurais-tu aimé écrire ?

 

Nelly : Madame Bovary de Flaubert

 

 

JM : - Quel livre lu pendant ton enfance t'a profondément marquée  ?

 

Nelly : Le petit prince de Saint Exupéry

 

 

JM : - Quels sont tes auteurs préférés (contemporains ou anciens) ?

 

Nelly : Maxime Chattam, Franck Thilliez, Cédric sire, Christian Guillerme pour ne citer que des auteurs de thrillers.

 

 

JM : - Peux-tu nous donner une citation qui t'inspire ?

 

Nelly : « La vraie valeur d'un homme réside, non dans ce qu'il a, mais dans ce qu'il est ». (Oscar Wilde)

 

 

 

JM : - Quel mot te définit le mieux ?

 

Nelly : Loyauté

 

JM : - Si tu devais partir sur une île déserte, quel objet indispensable à tes yeux, emporterais-tu ?

 

Nelly : Un roman

 

 

JM : - Si tu étais : une fleur, une couleur, un animal : tu serais ?

 

Nelly : Une pivoine, le noir, un tigre.

 

 

 

JM : - As-tu autre chose à ajouter ?

 

Nelly: J’attends vos questions avec grande impatience.

 

 

 

JM : - Merci Nelly pour cet agréable moment passé en ta compagnie , ta disponibilité et ta gentillesse.

 

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Nelly qui se fera un plaisir de vous répondre en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

 

 

 

 

Ma page auteure

 

https://www.facebook.com/Nelly-Topscher-auteure-1804397102960257/?ref=bookmarks

 

Mon mur perso qui regroupe aussi mes infos

 

https://www.facebook.com/Nellytopscher

 

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Bonsoir aujourd'hui vendredi je vous invite à découvrir ma chronique concernant : "UNE BAGUE, UNE BOITE ET DE L'ESPOIR"

« UNE BAGUE, UNE BOITE ET DE L'ESPOIR »

Angie LE GAC

Auto-Edition

7 décembre 2019

60 pages

 

Présentation

 

Tabitha, une fillette de dix ans, vit dans les sous-sols d'une gare avec d'autres survivants du Gros Truc, un bouleversement mondial. Un jour, pour honorer la promesse de ramener Husky, un rat animal de compagnie à sa vieille amie, elle est contrainte de quitter la gare et se retrouve perdue à l'extérieur. Sa rencontre avec les Sauvages va bouleverser sa vision du monde et redonner des couleurs à son monde.

 

 

L'auteure

 

« J’ai 47 ans, je vis dans un petit village près de Marseille. Je travaille à être heureuse mais je suis mal payée.
Je lis beaucoup, je bois du café ( en réalité du cappuccino de chez nescafé et je suis même pas subventionnée pour le citer) je fume ( des Royale Menthol Green), je cultive des tomates bio et des courgettes (mais l’an prochain je me mets au Tabac !).
Suivant la saison, je regarde passer les mouettes, les hirondelles, les canards sauvages ou le héron. J’habite au bord de la rivière.
Je glande sur Facebook, je Tweette ( c’est très récent), je joue à des gentils jeux vidéos bien abrutissants.
Je consomme anxiolytiques et anti-dépresseurs (pour contrer les effets du café et de la clope) et j’ai même un anti-cholestérol.
Je suis accro au chocolat et au gingembre confit, et au chocolat au gingembre confit.
J’aime la mer (de près), les bateaux (de loin).
J’aime l’humour, noir ou en couleur.
J’ai plein de phobies, de vraies phobies handicapantes : le dentiste, les hôpitaux, les autoroutes, les escaliers, les ascenseurs, les avions, les grands espaces et les tout petits, la montagne. (Oui je connais Monk, on est de la même famille)
Ma première histoire d’amour avec la littérature m’est tombée dessus à 7 ans, c’était la série Alice de Caroline Quine.
Vous en savez presque autant sur moi que mes amis, pour le reste, demandez et je vous répondrai.

Auteur de "Coming out" et "A.D.N", "la Panne et Autres Désagréments..." et de "Close Up" suite de Coming out, d'"Une Coccinelle dans le Coeur" et quelques autres.
Depuis 2017, j'organise un salon de littérature LGBT, à Auriol (13), intitulé Des Livres et Des Hommes et participé à l'écriture de plusieurs recueils de nouvelles au profit de l'association Le Refuge. » Amazon

 

 

Mon avis

 

Je remercie Angie LE GAC de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son dernier roman « Une Bague, une boîte et de l'espoir ». J'ai découvert la plume fluide et précise de cette auteure lors de la lecture de « Une Coccinelle dans le coeur », roman que j'ai beaucoup aimé.

 

 

Bien qu'étant d'un genre très différent de ses précédents romans, j'ai été de suite interpellée par les mots d'Angie qui nous offre une dystopie s'adressant aux jeunes mais également aux adultes. La jolie couverture et les illustrations qu'elle a eu la bonne idée d'insérer au texte, m'ont vraiment séduite.

 

Angie LE GAC nous conte l'histoire de Tabitha, petite fille âgée de 10 ans qui vit seule depuis « le gros truc » et le décès de sa nanie, dans le sous-sol d'une gare. Notre héroïne rencontre Amélie, une veille dame écrivain qui porte un chapeau et possède un rat prénommé Husky. On imagine ainsi qu'il pourrait s'agir d'Amélie Nothomb... C'est en voulant rattraper l'animal que Tabitha se retrouve à l'extérieur et qu'elle va vivre des aventures que je vous laisserai découvrir par vous-mêmes.. Mais à quoi vont servir la bague et la boîte ?

 

 

Bien que peu adepte des romans d'anticipation, j'ai pris plaisir à lire celui-ci qui invite à la réflexion quant aux conséquences du réchauffement climatique et aux mauvaises habitudes des humains en matière d'écologie.

 

L'histoire est belle, originale, émouvante, bien écrite, ponctuée d'une touche de poésie et emplie d'espoir. Elle incite à prendre conscience de la valeur des richesses naturelles de notre terre qu'il faut à tout prix sauvegarder et aux qualités humaines parfois méconnues.

 

Un très bon moment de lecture que je partagerai bientôt avec mon petit fils Raphaël qui va avoir 11 ans et sera, j'en suis certaine, très réceptif et intéressé par le sujet.

 

 

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