Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Voici ma chronique concernant : "LA CONFESSION II"

« LA CONFESSION II »

L'histoire de Christophe

EDITIONS NDB

juillet 2018

185 pages

 

Présentation

 

Quatre ans après le drame de la Confession I, nous retrouvons Christophe qui s'interroge.

Ce roman répond aux interrogations posées dans le premier tome. Le lecteur comprendra bien des choses sur ce qui s'est passé avec le père Antoine et pourquoi Christophe a été emmené si vite du presbytère....

 

 

Mon avis

 

Je remercie Henri LACOMBE de m'avoir permis de lire, en avant-première, son roman « La confession II » et d'avoir ainsi pu retrouver avec grand plaisir certains personnages du premier tome.

 

Comme dans tous les romans d'Henri LACOMBE, j'ai apprécié qu'il répertorie en tout début du livre, les noms des nombreux protagonistes qu'il met en scène, ceci permettant au lecteur de les identifier plus aisément.

 

Je me suis laissée portée par cette histoire intéressante, poignante et fort émouvante. L'écriture est fluide, belle, légère et au fil des mots d'Henri LACOMBE, ponctués d'une pointe d'humour, nous découvrons la vie du Père Antoine et celle de Christophe qui sont des personnages vrais, très attachants tout comme Suzette que j'ai beaucoup aimé également.

 

J'ai donc dévoré ce très beau roman sur les souffrances endurées par les enfants orphelins placés en familles d'accueil ou à la DDASS, les bienfaits des thérapies, les remords et la culpabilité. J'avoue avoir eu, à plusieurs reprises, les yeux humides...

 

J'ai vraiment passé un excellent moment de lecture avec ce roman que je vous recommande vivement.

 

Voir les commentaires

Voici ma chronique concernant : "ARIANE ET JULIETTE"

« ARIANE ET JULIETTE »

Hubert de MAXIMY

PRESSES DE LA CITE

TERRES DE FRANCE

14 juin 2018

368 pages

 

 

Présentation

Ce jour de rentrée 1917, elle est arrivée seule à l'institution Sainte-Jeanne. A bientôt quinze ans, Juliette a dû quitter sa mère, son quartier minier de Saint-Etienne, pour poursuivre ses études. D'emblée, l'adolescente se sait différente de ces jeunes collégiennes « bien nées » qui se vouvoient, elle qui, il y peu, travaillait dans la sueur, la poussière et le charbon au tri de la mine. Pourquoi a-t-elle été inscrite dans cet établissement prestigieux ? « Une chance », a dit sa mère, laconique.

Ariane, en revanche, est heureuse à Sainte-Jeanne, malgré la mort récente de son père au front. Ce deuil, même si elle le mesure mal, va bouleverser sa vie et celle des siens.

L'isolement de l'une, le deuil de l'autre, et la guerre, omniprésente. Au fil des mois, Juliette l'écorchée vive, et Ariane, l'orpheline nantie, s'apprivoisent et se lient d'amitié.

Au-delà de leurs différences, quel lien secret les unit ?

 

L'auteur


Producteur et réalisateur de documentaires, Hubert de MAXIMY a publié aux éditions l'Archipel la trilogie rurale Le bâtard du bois noir, La revanche du bâtard et la fille du bâtard (2088-2011). Il est notamment l'auteur aux Presses de la Cité du Destin d'Honoraire, pris Paul Féval 2011 de la Société des Gens de Lettres, d'Alice la flamboyante, de Pierre, maître de dentelle et d'Olympe.

 

Mon avis


 

Je remercie Presses de la Cité et en particulier Lætitia de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, « Ariane et Juliette », roman d'Hubert de MAXIMY auteur que j'aime beaucoup et dont j'ai lu tous les romans. Je le remercie également vivement pour la très gentille dédicace qui m'a beaucoup touchée.


 

Hubert de MAXIMY nous emporte en 1917 à Saint-Etienne où nous faisons connaissance avec Juliette, une jeune fille âgée de quinze ans, qui doit quitter sa mère, lampiste à la mine, pour rejoindre un prestigieux pensionnat où seuls les enfants issus de familles aisées, sont acceptés. Mais qui va payer les études de Juliette ??


 

Nous suivons le destin de Juliette et de son amie Ariane, les difficultés de la jeune fille pauvre dans cette institution pour riches, au moment de la première guerre mondiale, période où les femmes devaient remplacer, au travail, les hommes partis au front...

Les personnages de Juliette et Ariane sont très attachantes et touchantes. L'écriture est fluide et élégante, les secrets fort bien gardés, l'histoire intéressante et émouvante.


 

J'ai ADORE ce très beau roman sur l'amitié, la famille et ses secrets, les différences de classes sociales, que j'ai lu pratiquement d'une traite ne pouvant me résoudre à le quitter, tant j'avais hâte d'en connaître le dénouement et dont j'ai refermé la dernière page à regret.. 

Excellent moment de lecture !

 

Voir les commentaires

Bonjour aujourd'hui samedi voici ma chronique concernant : "ORAGE A L'OYAT DES DUNES"

« ORAGE A L'OYAT DES DUNES »

Isabelle BERGI

2018

140 pages

 

Présentation

 

Décidément, Antoine n'apprécie pas les vacances qu'il doit passer avec sa femme et ses amis. Pourtant tout démarrait bien : le Finistère leur ouvrait les bras. Mais Antoine, ronchon par nature, n'a pas les vacances dont il a rêvé : aussi va t-il s'employer à gâcher leur séjour ?

 

L'ambiance risque rapidement de devenir orageuse à l'0yat des dunes, des conflits vont nécessairement surgir et les secrets vont éclater au grand jour. L'amour et l'amitié résisteront-ils à cette tempête ?

 

L'auteure

 

Isabelle BERGI, enseignante de formation, très sensible aux relations humaines, aime dresser des portraits de Monsieur et Madame Tout le monde. Elle s'est délectée dans cet ouvrage à en peindre quelques-uns. Comprendre pourquoi et comment chacun réagit devant une situation peut éviter, parfois, bien des conflits.

 

Mon avis

 

Je remercie Isabelle BERGI de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, « Orage à l'Oyat des dunes ».

 

L'auteure nous fait partager les aventures d'Antoine et Gabrielle pendant leurs vacances à l'Oyat des dunes dans le Finistère, en compagnie de leurs amis Anna et Simon, Laurianne et Paul. La cohabitation est toutefois assez difficile du fait des caractères fort opposés des uns et des autres.... Comment vont se passer ces vacances ??

 

Les personnages sont attachants et très bien décrits que l'on a l'impression de les voir et de les connaître ; ils sont simples et pourraient être nos amis !

 

J'ai bien aimé ce roman léger et très bien écrit, ponctué d'une touche d'humour, où secrets et conflits sont au programme.

 

J'ai dévoré cet ouvrage très divertissant en une soirée tant il est agréable à lire, rafraîchissant et il faut dire que je voulais absolument en connaître le dénouement !

 

Très bon moment de lecture.

 

 

 

 

Voir les commentaires

Bonjour aujourd'hui vendredi voici l'avis de mon petit fils RAPHAEL 9 ANS sur "DRAGONOU LE GENTIL DRAGON"

« DRAGONOU LE GENTIL DRAGON »

Conte

Crickete JIMINI

8 pages (format A 4)

 

 

 

 

Crickete JIMINI nous a donné, à plusieurs reprises sur mon groupe de lectures FB, le lien de son site où l'on peut télécharger gratuitement des contes pour enfants.

 

https://l.facebook.com/l.php?u=http%3A%2F%2Flivres-contes-c.jimini.hippocampus-info.com%2Fpage3.html&h=AT2TeBKXGUlhep1R7JyYSEls7s5sB3eqDJTIKglz9S1i6zTXYarsC6RDmbb5AAegEb1uBH-XQyaFXVYus3M5OjV6lk1UMsS1XQZ8MfvKg8CEUMNWMCOlXWSpL8CzXVjdhg

 

J'avais lu pendant les vacances de Pâques « Dragonou le gentil dragon » à mon petit fils Raphaël âgé de 9 ans et il a voulu le relire tout seul hier afin de nous donner son avis, voici ce qu'il a écrit :

 

« C'est l'histoire d'un dragon et d'une souris. Ils sont seuls dans un château, ils s'ennuyent. Dragonou voudrait avoir des amis.

 

J'ai bien aimé ce conte. Dragonou est un gentil dragon et j'aurais bien aimé que cette histoire soit plus longue ».

 

Merci Crickete - RAPHAEL

 

Voir les commentaires

Bonsoir à tous voici l'interview que j'ai réalisée ce soir sur mon groupe de lectures : lecteurs-auteurs : la passion des mots - avec Suzanne de ARRIBA

INTERVIEW AUTEUR

Suzanne de ARRIBA
lundi 25 juin à 18 h (différé)

 

JM : - Bonsoir à tous

 

Je vous ai parlé sur ces pages de Suzanne de ARRIBA que je compte depuis plusieurs années parmi mes fidèles amies et dont j'ai lu pratiquement tous les ouvrages. Suzanne a gentiment accepté  de se soumettre récemment à mes questions.

Je partage donc avec vous cette interview à l'issue de laquelle vous pourrez, si vous le souhaitez, poser vos questions auxquelles Suzanne répondra en différé du fait d'un problème d'ordinateur.

 

 

 

JM : - Bonsoir Suzanne

 

Comment allez-vous ? Etes-vous prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Suzanne : Tout à fait prête.

 

 

JM : - Pouvez-vous, tout d'abord, vous présenter afin que nos amis puissent mieux vous connaître ?

 

Suzanne : C'est un peu difficile de se présenter objectivement. Je peux dire que j'ai toujours aimé écrire, mes premières histoires ont été gribouillées à sept ans… mais je ne pensais pas en faire mon métier-passion. Car je suis "professionnelle", sociétaire de la société des gens de lettres de France et de la Sofia, ainsi que membre de l'Arald (écrivains en Auvergne Rhône-Alpes) Je suis née sur le coteau rhodanien, au bord du Rhône, aînée de cinq enfants, ma famille : paysans et ouvriers. Je rêvais de faire de la bande dessinée mais c'est l'écriture qui m'a happée. J'ai fait une carrière dans la presse féminine, et après mes soixante ans j'ai arrêté pour me consacrer à mes romans, sauf pour la revue "les Veillées" où je collabore régulièrement. Il m'arrive de publier sous mon nom de fille, Cécile Berthier.

 

 

 

JM : - Pouvez-vous nous parler de vos romans (la liste est longue je sais !) et en particulier de votre petit dernier : « Un ange égaré sur la terre » ?

 

Suzanne :

Mes romans ont pour cadre le monde rural, en principe. J'aime écrire des sagas. J'écris aussi du "policier" rural, un brin humoristique, sous un pseudonyme: Mary Alistair. C'est en fait une série, commencée il y a 25 ans. Mon "ange égaré sur la terre" est un enfant, un peu plus lent que les autres, et qui a été renié par son géniteur. Un enfant qui voudrait que tout le monde soit heureux autour de lui. Le décor : une oliveraie, des collines, dans le Lubéron.

 

 

JM : - Avez-vous d'autres projets d'écriture et pouvez-vous nous en dire quelques mots ?

 

 

Suzanne :

Oui, j'ai toujours un ou deux romans en cours, parfois trois, car me diversifier me repose, curieusement. Travailler une heure sur chaque tous les jours est une habitude qui me va bien. Bien sûr, ces romans qui sont pas toujours menés de front ont leur rythme propre. Un au brouillon, c'est à dire, le premier jet. Un autre a travailler comme un artisan travaille son bois ou un sculpteur remodèle son oeuvre, encore et encore. Et le plus facile, la relecture d'un troisième. Je ne peux donc pas dire combien de temps il me faut pour écrire un roman, en fait plusieurs années. Je viens de terminer une suite à "une famille du coteau" et "les trois fleurs", qui relate l'histoire de la famille Ogier et de ses descendants. Et bien entendu j'ai commencé autre chose, mais là, top secret, je suis superstitieuse et tant que mon texte est en projet je n'en parle pas. Parfois j'opère une grande coupure pour écrire mes chroniques et nouvelles qui paraissent dans la revue "les Veillées des Chaumières".

 

 

JM : - Comment avez-vous procédé pour publier vos livres ?

 

Suzanne : J'ai envoyé des manuscrits aux éditeurs.

 

 

 

 

JM : -Avez-vous des séances de dédicaces prévues prochainement et où ?

 

Suzanne : Je suis en train d'y réfléchir pour choisir. J'en fais très peu à présent, car je fatigue. Mes livres se vendent sans moi. Mais j'aime le contact, ne croyez pas le contraire et je réponds à mes lecteurs par internet ou courrier.

 

 

 

JM : - Quand écrivez-vous ? Le jour ? La nuit ? Pendant combien d'heures ?

 

 

Suzanne : Lorsque j'étais jeune et que j'avais des enfants à élever, il m'arrivait de travailler quelques heures la nuit en plus des heures de classe. À présent, à mon âge, 70 et quelques printemps, je me ménage et ne travaille que le matin, deux à trois heures. L'après-midi je me repose, je marche avec mon compagnon ou joue de la guitare.

 

 

JM : - Quels sont les auteurs qui vous ont donné l'envie d'écrire ?

 

Suzanne :

Il y en a plusieurs. Mais le romancier qui m'a marquée c'est Bernard Clavel. Je me sentais proche de lui par mes origines et mon amour du Rhône. J'ai eu la chance de le rencontrer et de recevoir de lui une carte représentant "les fruits de l'hiver", avec des mots m'encourageant à persévérer car à l'époque je n'avais encore publié que des feuilletons sur des revues. Dans un autre régistre, c'est l'écrivain russe Gorki. "Ses universités", il les avait faites dans la rue, au contact du peuple dont il était très proche. Je me suis sentie, moi aussi, par mon milieu, mes racines, ma façon de penser, très près de cet écrivain, même si je n'en ai pas "bavé" comme lui pour survivre. (sourire !)

 

 

 

JM : - Quel est votre plus beau souvenir d'auteur ?

 

Suzanne : Quand une lectrice m'a dit textuellement : "je subissais une rééducation difficile après une intervention. Comme récompense, chaque jour, je m'autorisais plusieurs pages de votre livre "Le val aux Iris" (dans sa première édition)

 

 

 

JM : - Quels conseils donneriez-vous aux lecteurs qui souhaiteraient devenir écrivains ?

 

 

Suzanne :

De travailler encore et encore, d'être très sévère avec soi-même, de ne pas hésiter à recommencer un texte boiteux, mais aussi de garder l'espoir de publier, de ne pas se décourager quand les éditeurs retournent les manuscrits. Et, bien sûr, de prendre du plaisir, qui va de pair avec la souffrance, car écrire peut être aussi par moments une souffrance.

 

 

 

JM : - Quel est votre endroit favori et votre animal préféré ?

 

Suzanne :

J'ai de l'empathie pour tous les animaux, mais j'aime les chiens et les chats, car ces derniers sont des compagnons idéals pour un écrivain. Mon endroit favori ? Partout où il y a de la nature, de la vie. Mais s'il faut préciser j'adore le minuscule village d'Arzay, dans l'Isère, où a grandi mon père.

 

 

JM : - Etes-vous thé ou café ? Vanille ou chocolat ?

 

Suzanne : Café décaféiné, sinon je ne dors pas. Vanille ET chocolat.

 

 

 

JM : - Avez-vous quelque chose d'autre à ajouter ?

 

Suzanne : Juste, que j'aime communiquer avec mes lecteurs, partager des émotions avec eux, et s'ils passent un bon moment grâce à mes livres, je suis ravie. Si, en plus, je peux faire passer une valeur humaniste, alors c'est le top du top, mais ce n'est pas toujours…

 

 

 

JM : - Merci Suzanne de ARRIBA pour cet agréable moment passé en votre compagnie.

 

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Suzanne qui se fera un plaisir de vous répondre en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

 

 

 

 

 

Voir les commentaires

Bonsoir, voici mon avis concernant : "GAYANE L'ARMENIENNE, LES PELERINS DE LA VIE" livre 2

« GAYANE L'ARMENIENNE,

LES PELERINS DE LA VIE »

Livre 2

Chérif ZANANIRI

Auto-Edité

1er mai 2018

319 pages

 

 

Présentation

 

Nous retrouvons nos héros à la suite de la traversée de la Turquie et de la fuite vers la France. L'installation est difficile, l'apprentissage de la langue, la recherche d'un toit, puis d'un travail. Enfin, l'épanouissement dans l'amour. Gaya trouve une épaule pour protéger et plus d'un cœur pour aimer. Elle devient chef d'entreprise et ne peut rester les bras croisés lorsque la France entre en guerre, elle est enrôlée chez les partisans. Encore une nouvelle aventure pour prouver à qui en douterait, qu'installés en France, quoique sans papier à leur arrivée, apatrides, les Arméniens s'impliquent dans les affaires du pays qui les a accueillis et deviennent plus Français que ceux qui se disent de souche.

 

Divers Avis

 

 

« Beau récit avec une héroïne centenaire, attachante et vive comme une adolescente, espiègle, lumineuse »

 

« Un excellent livre qui montre l'atmosphère intimiste de la tragédie Arménienne encore trop méconnue de nos jours, et toujours niée par le principal coupable : la Turquie ! »

 

« On lit le récit, sans en perdre une ligne, comme lorsqu'après avoir vidé son verre d'un délicieux nectar, on s'apprête à en lécher l'intérieur pour recueillir jusqu'au dernier atome. »

 

« … Le bonheur, l'amour et la joie apportent la poésie... Superbe ».

 

 

L'auteur

 

 

Chérif ZANANIRI s'est toujours intéressé aux récits qui s'appuient sur des éléments de l'Histoire : locale au départ, générale et mondiale par la suite. Il en est à son douzième roman. A la lecture de ses romans, on apprécie l'authenticité et la vivacité de l'écriture, on reconnaît un plaisir de plume et une voix propre.

 

Mon avis

 

Je remercie Chérif ZANANIRI de m'avoir permis de lire, en service de presse, son roman « Gayané l'Arménienne, Les pèlerins de la vie » - livre 2.

 

Après avoir lu « L'Arménie, un passé sans sépulture » de cet auteur, j'ai retrouvé avec grand plaisir Gaya et les membres de sa famille à leur arrivée en France.

 

 

Gaya nous raconte sa vie d'enfant, d'adolescente puis de jeune femme. Au fil des mots de l'auteur nous découvrons les difficultés rencontrées par le peuple Arménien pour s'intégrer en France, la volonté de ces personnes qui ont gardé tout de même espoir et étaient prêtes à servir et défendre le pays qui les avait accueillies.

 

Gaya est un personnage très attachant qui, bien que vieillissant, reste une battante, toujours espiègle et forte, courageuse et déterminée.

 

Certains passages décrits par l'auteur, relatant des situations que notre héroïne et ses amis Résistants, ont vécues sont durs à lire mais reflètent tellement la triste réalité de cette période de notre Histoire...

 

J'ai beaucoup aimé ce deuxième opus qui rend un hommage bien mérité ,  mais peu connu , aux Arméniens qui ont beaucoup souffert et j'ai ainsi découvert leur histoire, au travers de celle de Gaya, et ce avec beaucoup d'intérêt et d'émotion...

 

Bonne lecture !

 

 

 

 

Voir les commentaires

Bonjour à tous aujourd'hui dimanche voici ma chronique concernant : "L'INCONNU DE SANDY COVE"

« L'INCONNU DE SANDY COVE »

Sylvie OUELLETTE

EDITIONS DE BOREE

Vents d'Histoire

14 juin 2018

352 pages

 

Présentation

 

Après avoir épousé Randolph Nesbitt, un attaché d'ambassade et passé plus de vingt ans en Europe, Elise Robichaud rentre en terre natale de Nouvelle-Ecosse, portant en elle un lourd secret.

En visite chez une amie, elle revoit Jérôme, un inconnu muet, amputé des deux jambes et à l'esprit demeuré, qu'on avait jadis recueilli sur une plage par un matin froid et brumeux. Surprise de constater qu'elle l'avait oublié après tout ce temps, Elise est surtout consternée par le manque d'ardeur de ses congénères à vouloir éclaircir le mystère qui entoure toujours le pauvre homme. Cherchant à redonner un sens à sa propre vie, Elise décide de se lancer dans une enquête visant à rendre à Jérôme son véritable nom, son histoire et sa dignité. Mais cette aventure ne sera pas de tout repos puisqu'elle se heurte rapidement au scepticisme et au fatalisme des gens de sa communauté. Saura-t-elle mener à bien cette mission qu'elle s'est fixée et ainsi se retrouver elle-même ?

 

L'auteure

 

Auteure touche-à-tout, Sylvie OUELLETTE est la preuve vivante que la vie est trop courte pour se cantonner dans un seul genre. En parallèle d'une carrière en communication scientifique, sa vie d'écrivaine a démarré à Londres, où elle a d'abord publié des romans érotiques. Puis de la littérature générale. Plusieurs de ses titres seront traduits en anglais : Showtime, Le Secret du docteur Barry (succès de libraire en France). Elle rédige également des publications scientifiques... Sylvie écrit.

 

Mon avis

 

Je remercie les Editions DE BOREE et en particulier Virginie de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, « L'inconnu de Sandy Cove », roman de Sylvie OUELLETTE, auteure dont j'avais découvert la plume fluide et élégante lors de la lecture de « Le Secret du docteur Barry », livre que j'ai adoré.

 

La très jolie couverture et le résumé fort alléchant m'ont de suite interpellée.

Sylvie OUELLETTE conte l'histoire d'Elise, jeune femme charmante, qui après avoir épousé Randolph, attaché d'ambassade et séjourné vingt ans en Europe, rentre seule dans son village natal en Nouvelle-Ecosse.

 

Dès qu'Elise rencontre « Jérôme », mystérieux infirme, muet et amputé des jambes, chez une amie, elle n'a de cesse de découvrir les origines de cet homme et de percer le mystère lié à son abandon sur une plage trente ans plus tôt...

 

L'auteure nous offre un total dépaysement en nous plongeant au XIXème siècle au Québec dans une intrigue rondement menée, tirée de plus d'une légende ayant existé mais quelque peu romancée, décrivant à merveille la vie dans les villages et les mentalités à cette époque.

 

L'écriture est belle et l'histoire captivante et l'on se prend à vouloir à tout prix, comme Elise, connaître la vérité sur cet inconnu...

 

J'ai beaucoup aimé ce roman historique mêlant mystère et amour que j'ai dévoré d'une traite ne pouvant me résoudre à le refermer tant j'avais hâte d'en connaître le dénouement au demeurant fort surprenant..



Excellent moment de lecture !

 

Voir les commentaires

Bonsoir voici ma chronique concernant : "FEUE MADAME EDDY"

« FEUE MADAME EDDY »

(Nouvelle)

Adriana KRITTER

AMAZON

 

Présentation

 

Un homme à la main leste, 
Une jeune épouse malheureuse,
Le passé qui resurgit et qui met le feu aux poudres...
Une nouvelle courte et percutante !

 

L'auteure

 

« Mon destin d'auteur a été scellé le jour de mes huit ans, lorsqu’au lieu de la poupée que j’avais commandée, mes parents m'ont offert une machine à écrire. C’est sur son clavier récalcitrant que j’ai écrit mon premier texte. J’ai oublié ce qu’il racontait, la machine à écrire a rendu l’âme mais la passion était née : imaginer des situations cocasses ou remplies d’émotion, donner vie à des personnages auxquels on aime s’attacher, multiplier les péripéties, assaisonner d’une pointe d’humour... 
Dans mes romans, j'aime donner la parole à celles et ceux qui n'ont pas voix au chapitre; surtout à "celles", d'ailleurs : une adolescente condamnée au bannissement, une femme victime de violences et qui cherche à s'en sortir... 


J'aime les histoires dont les héros sont des héroïnes qui se découvrent fortes et courageuses et qui se battent pour forger leur destin ! 


J’espère, chères lectrices et chers lecteurs, que mes histoires sauront vous tenir en haleine ! » (sources Amazon)

 


 

Mon avis

 

Adriana KRITTER nous a proposé hier, lors de sa présentation sur mon groupe, de télécharger gratuitement sur AMAZON son livre « Feue Madame Eddy » ce que j'ai immédiatement fait et je la remercie pour sa générosité.

 

Je viens de lire cette nouvelle très bien écrite, fort agréable à lire et dont l'histoire est très émouvante.

 

J'ai découvert ainsi avec grand plaisir le style vif et précis de cette auteure dont je lirai assurément d'autres ouvrages !

 

Bonne lecture.

 

Voir les commentaires

Bonjour aujourd'hui samedi voici ma chronique concernant : "TROP BELLE POUR MOURIR"

« TROP BELLE POUR MOURIR »

Olivia JONES

Auto-Edité

20 mars 2018

355 pages

Présentation

 

Une jeune fille de vingt ans, Morgane, disparaît en Bretagne sans laisser de traces, au milieu des années 60.


Quarante ans plus tard, Laura, jeune veuve perturbée par des cauchemars récurrents, reçoit en héritage la maison dans laquelle Morgane a vécu. Contre l’avis de sa mère, elle décide de s’y installer. Cette maison recèle bien des mystères que la jeune femme s’efforcera de résoudre. 
Au fil des mois, un lien inexplicable se tisse entre Laura et la jeune disparue.
Qu’ont-elles en commun ? Pourquoi les cauchemars de Laura se sont-ils intensifiés depuis son installation dans la magnifique chaumière ? Et que cache Jeanne, la mère de la jeune veuve ? 


Les réponses dévoileront un secret déchirant, dont personne ne sortira indemne.
 

 

Mon avis

 

Je remercie Olivia JONES de m'avoir permis de lire, en service de presse, son roman « Trop belle pour mourir » et de découvrir ainsi sa belle plume fluide et légère.

 

Olivia JONES nous transporte tout d'abord en 1960 en Bretagne, région peuplée de légendes puis à notre époque où nous découvrons Laura, jeune veuve qui, suite au décès de sa cousine Marie, reçoit en héritage une chaumière située à Quiberon. Elle décide de la rénover afin d'y vivre et de refaire sa vie loin de sa mère, Jeanne, avec laquelle elle entretient des relations conflictuelles et qui semble cacher un lourd secret.. La maison est-elle hantée ?? Qui est à l'origine de la disparition de Morgane et de plusieurs membres de la famille ?

 

 

Dès les premières lignes je me suis sentie happée par cette histoire intéressante, mystérieuse, aux multiples rebondissements tenant ainsi le lecteur constamment en haleine. Le suspense est bien mené, les secrets de famille dévoilés avec parcimonie par l'auteure et éclairés lors de la lecture du journal de la cousine Marie.

 

Je n'ai pu me résoudre à refermer ce roman très addictif que j'ai dévoré pratiquement d'une traite, tant j'avais hâte d'en connaître le dénouement ! Je vous le recommande vivement si, vous aimez les thrillers, les belles histoires d'amour, le mystère et la Bretagne, région qu'Olivia JONES décrit à merveille.

 

Bonne lecture !

 


 

Voir les commentaires

Bonjour à tous aujourd'hui jeudi je vous propose ma chronique concernant : "LE SOUVENIR QUE J'EN GARDE AU COEUR", ouvrage de Jean-François CARENCO, Grand serviteur de l'Etat dont j'ai eu l'honneur et la chance d'être l'assistante pendant plusieurs années...

« LE SOUVENIR QUE J'EN GARDE AU COEUR »

Jean-François CARENCO

Editions TALAIA

2018

119 pages

Présentation

 

Recueil de 200 textes et citations contre l'obscurantisme.

 

L'auteur

 

Jean-François CARENCO a la République au cœur ! Il a effectué une grande partie de sa carrière dans le corps préfectoral, notamment en Outre-Mer -Nouvelle-Calédonie, Saint-Pierre-et-Miquelon, Guadeloupe) puis comme préfet de Rhône-Alpes et préfet de Paris, préfet de Région Ile-de-France, après avoir été longtemps directeur de cabinet du ministre d'Etat Jean-Louis Borloo.

 

Il avait débuté à Montpellier auprès de Georges Frêche en qualité de directeur du District – l'ancêtre de la Métropole – et est resté lié à cette ville dans laquelle il a toujours sa résidence principale.

 

Très attaché à la diversité culturelle, il a, dans tous ses postes, promu une certaine idée de la culture et a pu ainsi rencontrer de très nombreux artistes et écrivains. C'est leur fréquentation qui l'a amené à rassembler ce qu'il a glané tout au long de ses lectures. Il s'intéresse de plus en plus aux affaires culturelles : il est administrateur de l'Opéra de Lyon, du « 104 » à Paris et des Ateliers Médicis à Clichy-Montfermeil. Dans sa jeunesse, il avait co-écrit un livre intitulé « L'espérance occitane ».

 

Mon avis

 

Je remercie Jean-François CARENCO de m'avoir donné l'opportunité de découvrir, en service de presse, son livre « Le souvenir que j'en garde au cœur ».

 

Cet ouvrage composé de douze chapitres aborde différents thèmes : la révolution, la fraternité, la Nation, la Résistance, les religions, la vie, le beau, l'amour, la culture, le rire etc...

 

Dans ce recueil, Jean-François CARENCO nous offre un florilège de textes, de citations, de poèmes contre l'obscurantisme d'hier et d'aujourd'hui. Il les présente tout simplement certes mais donne ainsi au lecteur l'envie de découvrir ou de retrouver de très beaux écrits touchants, émouvants qui ont marqué leur vie.

 

La passionnée des mots que je suis n'a pu qu'apprécier ceux de l'auteur, ce grand serviteur de l'Etat, ponctués d'une touche d'humour et emplis de tant d'humanisme... J'ai lu avec grand plaisir cet ouvrage qui m'a permis de laisser vagabonder mon imagination et avec lequel j'ai passé un excellent moment de lecture.

 

 

Voir les commentaires

1 2 3 > >>