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Résultat pour “comme une aurore dans la brume”

Bonjour aujourd'hui dimanche voici ma chronique concernant : "FLIC SANS FRONTIERES"

« FLIC SANS FRONTIERES »

Philippe MURATET

Editions Le Lys Bleu

9 mai 2018

131 pages

 

Présentation

 

Découvrez le récit authentique de 8 années de policier-coopérant à l'étranger.

Au travers de nombreuses anecdotes, il nous fait découvrir l'expérience de ce travail de policier peu ordinaire au sein de deux polices de deux pays francophones. Après 24 ans de police judiciaire en France, l'auteur a voulu donner un nouveau sens à son métier et est parti exercer à Madagascar puis au Sénégal.

Un témoignage inédit qui plonge le lecteur dans le quotidien d'un agent de police français expatrié !


EXTRAIT

« Comme il est différent d’habiter au milieu de la population locale plutôt que dans une résidence française sécurisée, il est également différent de travailler dans des bureaux de police locaux plutôt que dans le cocon douillet de l’ambassade de France. Ma présence dans ce service de police doit gêner certaines pratiques suspectes. En effet, je constate souvent des allées et venues incessantes de mêmes personnes, des regards qui fuient, mais je ne suis pas là pour tenter de mettre un terme à la corruption locale existante, comme dans la plupart des « services à pouvoir ». Dans ce contexte un peu flou, je trouve un allié précieux en la personne de Lalaina.

Lalaina devient assez vite mon seul copain au sein de la DPJ. Il est commissaire de police et chef de cabinet du DPJ. Il arbore fièrement, dans son bureau vétuste dont le fauteuil n’a que trois pieds stables, une photographie jaunie de son père au milieu d’un groupe d’élèves à l’école des commissaires de police de Saint-Cyr-au-Mont-d’Or (Rhône). La formation y était et y est encore de qualité, contrairement aux écoles de police malgaches aujourd’hui quasiment livrées à elles-mêmes, par manque de crédits alloués. »

L'auteur

Philippe Muratet est un ancien policier et consultant.

Il a commencé son métier d’inspecteur de police au commissariat de Vincennes (1980-1987) avant d’intégrer l’office central pour la répression du banditisme, puis le SRPJ de Toulouse à la division criminelle (1991-2004).


Mais après 24 ans de police judiciaire en France, il a décidé de tracer une autre voie et passe huit années à exercer son métier à Madagascar (2004-2007) puis au Sénégal (2007-2012).

Dans son premier livre, "Flic sans frontières" (2018), il nous fait découvrir l’expérience de ce travail de policier peu ordinaire au sein de deux polices de deux pays francophones.

Depuis 2013, Philippe est consultant en sécurité des personnes et des biens. Il est coordinateur-conseiller d'un projet américain d'aide au développement et à l'organisation de la police en Guinée à Conakry (2017-2018) et conseiller technique Police pour Coginta à Conakry depuis 2019.

Philippe Muratet vit à Saint-Orens-de-Gameville.

page Facebook : https://www.facebook.com/philippe.muratet

 


 

Mon avis

Je remercie Philippe MURATET de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son ouvrage « Flic sans frontières » et ainsi de découvrir sa plume légère et fluide.

 

Après avoir lu avec intérêt la préface fort intéressante rédigée par l'Académicien J.C. Rufin, nous prenons connaissance du parcours professionnel de Philippe MURATET qui, après avoir passé 24 ans à la Police Judiciaire Française, décide de partir exercer, à Madagascar d'abord puis au Sénégal, en qualité de policier coopérant.

 

L'auteur, passionné par son métier, décrit précisément ses fonctions dans ces pays où il découvre des paysages, des cultures, des méthodes de travail, des personnes pauvres mais tellement authentiques avec lesquelles il se liera d'amitié.

 

Philippe MURATET nous fait donc voyager au fil de ses mots dans des contrées lointaines dépaysantes et nous imaginons aisément la faune, la flore et la splendeur des plages désertiques.

 

J'ai bien aimé ce court témoignage, très intéressant et bien écrit avec lequel j'ai passé un bon moment de lecture et que je recommande aux amateurs du genre.

Page FB : https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

 

 

 

 

Voir les commentaires

Bonsoir je partage l'interview que j'ai réalisée ce soir avec Christian LABORIE sur mon groupe FB: lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEUR

Christian LABORIE

 

 

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

  • Notre ami Christian LABORIE a gentiment accepté, récemment, de répondre à mes questions.


Je partage donc avec vous l'entretien que nous avons réalisé, à l'issue duquel, vous pourrez, si vous le souhaitez, poser des questions à Christian.

 

 

 

JM : - Bonsoir Christian

 


⁃ Comment allez-vous ? Êtes-vous prêt à « subir mon petit interrogatoire » ?

Christian : Bonsoir Joëlle. Je suis ravi de répondre à vos questions pour les fidèles du groupe. Je vais bien, merci, en cette fin d’année pour le moins un peu perturbée.

 



JM : - Pouvez-vous, tout d'abord, vous présenter afin que nos amis puissent mieux vous connaître ?

Christian : Je suis écrivain depuis maintenant une bonne vingtaine d’années. Mais ma profession était : enseignant. J’étais professeur d’histoire-géographie. Je suis actuellement à la retraite de l’Éducation nationale. J’ai exercé les deux activités pendant quelques années puis je me suis consacré entièrement à l’écriture. Je suis originaire du Nord de la France mais je vis dans les Cévennes, près d’Alès depuis plus de quarante ans. Je suis marié, père de deux enfants et grand-père de cinq petits-enfants.

 


JM : - Pouvez-vous nous parler de vos romans (la liste est longue, je sais !) et en particulier de votre petit dernier : “Les Enfants de Val Fleuri” ?

Christian : À cette date, j’ai écrit 23 romans dont 21 actuellement édités, deux étant prévus pour 2021 et 2022. Dans chacun j’essaie de coller à un événement qui s’est produit dans ma région depuis le milieu du XIXe siècle. Mais j’ai une prédilection pour le XXe siècle, plus proche. D’ailleurs, dans mes derniers romans, j’aborde des périodes qui me sont assez proches. Mais je n’ai pas encore envie d’écrire sur le temps présent. Dans les Enfants de Val Fleuri, paru en avant-première chez France Loisirs, et qui paraîtra en août 2020 aux Presses de la cité (collection Terres de France), j’ai voulu parler de la céramique dans ma région, la faïence d’Uzès et la poterie d’Anduze. Mon principal personnage fait également un séjour à Limoges pour s’initier à la fabrication de la porcelaine, la reine de la céramique. L’action se situe entre 1932 et 1970. C’est l’histoire croisée de deux familles que tout oppose et qui, par leurs enfants, deviennent étroitement liées à travers de multiples péripéties comme j’aime les nouer avant de les dénouer au dernier moment afin de laisser le lecteur en attente de ce qui va se passer, mais jamais sur sa faim.

 


JM : - Avez-vous d'autres projets d'écriture et pouvez-vous nous en dire quelques mots ?

Christian : Depuis Les Enfants de Val Fleuri, j’ai écrit un autre roman dont je peux déjà vous fournir le titre. Il s’agit de « Les Fiancés de l’été » qui comprendra un second volet que je suis en train d’écrire. Les deux, comme je le fais toujours quand il s’agit d’une série, pourront se lire indépendamment l’un de l’autre.


JM : - Où trouvez-vous l'inspiration pour créer les protagonistes de vos écrits ?

Christian : La plupart de mes romans, à une exception près, trouvent leur source d’inspiration dans les Cévennes ou le Languedoc. J’ai abordé autant de thèmes que les Cévennes m’ont offerts. Mais j’aime aussi faire voyager mes personnages, ne pas les cantonner dans leur région d’origine. De même je m’efforce d’élargir mes thèmes afin de ne pas traiter que des thèmes régionaux. Sans pour autant me montrer infidèle à ma région, j’aime que les histoires que je raconte aient un caractère universel, afin qu’elles puissent intéresser tous les lecteurs quel que soit l’endroit où ils habitent. Quant à mes personnages, ils sont toujours de pure fiction. Toutefois, j’aime aussi utiliser des personnages qui ont véritablement existé et qui ont eu un rôle dans l’Histoire de notre pays Ainsi ai-je mis en scène Pasteur, Clémenceau, Marcelin Albert, Hemingway, Capa et plus récemment Albert Camus. J’affectionne de mêler la fiction à la réalité pour donner plus de véracité historique et permettre aux lecteurs de retrouver certains repères dans leurs connaissances.

 

 

JM : - Si ma mémoire est bonne tous vos romans sont des sagas familiales, des romans régionaux. Pouvez-vous nous donner la raison de ce choix ?

Christian : je n’ai pas choisi d’écrire ce type de roman. Lorsque j’ai écrit L’Arbre à pain, j’ai vraiment trouvé ma voie. Les Cévennes m’ont inspiré. Enseignant l’Histoire et la géographie, je pense que c’est assez naturellement que je me suis orienté vers ce type de roman populaire où le proche passé et le cadre géographique ont une grande importance. Mais, comme je l’ai dit plus haut, j’essaie de dépasser les frontières de ma région afin d’intéresser le lecteur à ce qui se passe également ailleurs. Quant au genre, la saga, effectivement j’affectionne ces grandes histoires de famille où plusieurs générations se succèdent. Je ne sais pas écrire « court », c’est un genre que je ne maîtrise pas. Aussi la saga me convient-elle parfaitement. Elle me donne du temps - là c’est l’historien qui ressort ! La saga me permet de faire évoluer mes personnages, de montrer les liens qui unissent les générations. En réalité la saga c’est la vie. Je n’ai pas d’autre prétention que d’entraîner mes lecteurs dans de belles histoires qui racontent la vie des gens.

 

JM : - A qui confiez-vous la lecture de vos manuscrits (personne de votre famille, ami, bêta-lecteur) ?

 

Christian : Je vais vous décevoir : à personne d’autre qu’à mon éditrice. J’estime que, tant que mon roman n’est pas achevé, il demeure une part de moi-même et je sais qu’il n’est pas parfait. Donc je ne veux pas présenter à autrui quelque chose qui mérite encore d’être amélioré. À ma femme, j’apprécie beaucoup de lui offrir mon petit dernier quand celui-ci est paru, j’aime lui offrir mon livre comme un cadeau. Aussi attend-elle le jour de sa parution pour le découvrir. Ce n’est pas une question de méfiance, mais, je l’avoue, d’amour-propre pour la chose achevée.

 

JM : - Comment avez-vous procédé pour faire publier vos ouvrages ? Qui réalise la couverture de vos livres ?

 

Christian : Pour me faire publier la première fois, j’ai fait comme tout le monde je suppose : j’ai envoyé mon manuscrit à un éditeur, que l’on m’avait conseillé par ailleurs. Un mois plus tard, je signais mon premier contrat. Je n’ai pas navigué entre de multiples éditeurs. Je suis resté dix ans aux Éditions De Borée, qui m’avaient fait une très belle place dans leur équipe. Puis j’ai estimé que pour progresser encore, il me fallait passer à un stade supérieur et me frotter aux grandes maisons d’édition parisiennes. Depuis 2012, j’ai intégré l’équipe des écrivains des Presse de la Cité et je ne le regrette absolument pas. Je suis quelqu’un de fidèle. Je n’ai nullement l’intention de chercher ailleurs ce qui me contente aujourd’hui. Pour votre deuxième question : les couvertures de nos romans sont proposées par quelqu’un de la maison, nous pouvons proposer de chercher autre chose, mais je reconnais qu’en cette matière, la personne qui fait le travail d’adapter la couverture au texte que nous avons écrit vise toujours très bien.

 

 

JM : - Que pensez-vous de l'édition numérique ?

 

Christian : C’est incontournable à l’heure des tablettes. Mais je regrette que, sous cette forme, la rémunération des auteurs ne soit pas la même que pour le livre papier. Lorsque tous les livres seront disponibles uniquement en numérique – ce que je ne souhaite pas -, si rien ne change en ce domaine, il y aura de moins en moins d’écrivain. Savez-vous que pour un livre papier, l’auteur ne reçoit que 1€50 en moyenne et 50 centimes sur un livre de poche ? Faites le calcul pour obtenir le SMIC ! Beaucoup d’écrivains ne le gagnent pas. Et je fulmine quand j’entends dire que les écrivains écrivent pour le plaisir – certes, heureusement ! –, comme si ce problème était un faux problème !


JM : Comment faites-vous pour écrire vos romans (carnets, cahiers, fiches, écriture directe sur l'ordinateur) ?

Christian : Depuis dix romans, j’écris directement sur l’ordinateur. Auparavant j’étais attaché à la plume et au papier. Mais il faut s’adapter aux outils modernes dont nous disposons. L’écran ne me bloque plus. C’est plus facile au demeurant de se corriger sans raturer, de bouger les mots de place etc.

JM : - À quel moment de la journée écrivez-vous ? Le jour ? La nuit ? Et pendant combien de temps ?

Christian : Je ne suis pas un oiseau de nuit ! Je dors plutôt bien, je n’ai pas d’insomnie. La nuit est donc pour moi salutaire pour régénérer mes neurones !! Quand je me mets au travail, j’apprécie d’avoir devant moi une plage de quatre heures. Comme le matin, j’ai toujours quelque chose à faire, j’écris donc l’après-midi environ cinq jours par semaine.

 


JM : - Vous avez noué un lien très fort avec vos lecteurs et vos lectrices, pouvez-vous nous en parler ?

Christian : Je suis étonné de la force de ce lien. Et je m’ébahis encore que tant de monde ait pu me découvrir et m’apprécier. C’est pour moi, le plus beau cadeau qu’on puisse me faire que de venir me voir au cours d’un salon ou d’une séance de dédicaces. Ce lien s’est tissé petit à petit. Il s’est trouvé que les histoires que j’écris en toute simplicité ont plu rapidement. Quand les gens me disent que ce qu’ils apprécient dans mes romans est la simplicité de lecture, je le prends pour un réel compliment de leur part, mais pour que l’écriture soit simple, c’est-à-dire à la portée de tous, cela nécessite du travail en amont. La simplicité et l’authenticité sont les deux critères qui guident mon écriture, qui ont permis sans doute de créer ce lien avec mes lecteurs

 


JM : -Avez-vous des séances de dédicaces prévues prochainement et où ?

Christian : je viens en ce 21 décembre de terminer mes séances de dédicaces en librairie. Je serai néanmoins dans les boutiques France Loisirs en janvier-février : le 11 janvier à Alès, le 18 à Orange et le 1er février à Nîmes toujours de 14 à 17h. Quant aux salons, je les reprends au printemps.


JM : Êtes-vous sensible à la critique littéraire et pensez-vous que les blogs, les réseaux sociaux aident les écrivains à promouvoir leurs écrits ?

Christian : Je suis très attaché à la critique littéraire, elle est une forme de liberté d’expression. Sensible, bien sûr, autant quand elle est favorable que lorsqu’elle est moins gentille. On progresse toujours d’entendre ou de lire les impressions des lecteurs ou commentateurs. En ce domaine les blogs et les réseaux sociaux sont d’excellents vecteurs pour diffuser nos ouvrages. Ils touchent de très nombreux lecteurs et plus rapidement que ne le font les journaux ou magasines. Dans ce domaine, vous constaterez que la littérature régionale, pour la définir ainsi, n’a jamais l’honneur des médias. Nous, les auteurs dits régionaux, subissons un véritable ostracisme de la part des chaines de télévision, radio et autres journaux bien-pensants. Comme si ce que nous écrivons n’était pas de la littérature !

 

JM : - Quels sont les auteurs qui vous ont donné l'envie d'écrire ?

Christian : Quand j’étais jeune, j’aimais beaucoup, Zola, Maupassant, Dumas, George Sand et surtout Stendal. Mais ils n’ont pas déclenché en moi l’envie d’écrire. En revanche les auteurs de l’École de Brive ainsi que Christian Signol m’ont tracé ma voie. Je leur dois beaucoup.
 

 

 


JM : - Quels conseils donneriez-vous aux lecteurs qui souhaiteraient devenir écrivains ?

Christian : d’abord écrire s’ils en ont envie sans se persuader de parvenir à être édité. Écrire pour le plaisir avant tout. Chercher à sortir des sentiers battus. Trouver son propre style. Éviter d’écrire sa vie, l’autobiographie n’intéresse pas les éditeurs, sauf cas exceptionnels. Ensuite, franchir le pas, envoyer son manuscrit à plusieurs éditeurs en toute connaissance de leur ligne éditoriale. Contacter un écrivain pour connaître les écueils à éviter. Savoir que les chances d’être édité sont minimes, ce qui ne doit pas être source de découragement, mais raison de rester humble et réaliste.

 


JM : Lisez-vous et quel genre ?

Christian : je lis modérément car je « ME » lis beaucoup par le fait que j’écris ! Mais je lis tous les jours et ai toujours un livre en cours. J’aime tous les genres avec une prédilection pour les romans régionaux, vous vous en seriez douté ! Ainsi que les thrillers et autres romans à suspens.

JM : - Quels sont vos endroits préférés (pièce de votre habitation, région de France, pays) ?

Christian : j’écris dans une pièce de ma maison des Cévennes que j’ai dédiée à mon activité. Ce n’est pas mon bureau, mais un endroit à l’étage où, par les fenêtres, je peux m’évader dans la nature. J’ai le privilège d’habiter sur une colline en bordure de forêt et, parfois, j’entends les sangliers dévaster mon terrain ! Depuis deux ans j’ai aussi élu domicile en Haute-Savoie, dans un petit village où je passe mes vacances depuis plus de trente ans. J’y ai acquis un pied-à-terre et y poursuit mes écritures tout en contemplation avec les paysages alpins qui m’entourent.


JM : En dehors de l'écriture quelles sont vos passions ?

Christian : je n’ai pas d’autres passions que l’écriture. Une passion dévore votre temps. Je n’ai pas assez de temps pour en avoir plusieurs. En revanche j’ai d’autres activités plus ponctuelles. Disons que je me maintiens en forme physique. À mon âge, et étant donné la sédentarité engendrée par le fait d’écrire plusieurs heures par jour, il est nécessaire de se bouger.

JM : - À quelle époque auriez-vous aimé vivre ?

Christian : dans les deux décennies 1920 et 1930. Elles sont riches en grands événements sans être encore troublées par la guerre. Mais j’avoue que vu la période de paix que nous vivons depuis plus de 70ans, je suis très heureux de vivre à notre époque.

 

JM : - Quel est votre proverbe préféré ?

 

Christian : je n’en ai pas.

JM : - Êtes-vous thé ou café ? Vanille ou chocolat ? Mer ou montagne ?

Christian : café, je n’aime vraiment pas le thé sauf quand il est parfumé au citron ou à la menthe. Mais pour moi le petit café du milieu de la matinée et de l’après déjeuner est une vrai rituel. Je suis chocolat, surtout avec le café après le repas de midi. Et je suis assurément montagne. Je m’ennuie à la mer.

 

JM : - Si vous deviez organiser un dîner littéraire qui inviteriez-vous à votre table ?

 

Christian : mon éditrice avec qui j’entretiens de vraies relations d’amitié. Ainsi que des amis écrivains, ceux qui ne se prennent pas au sérieux (je ne citerai pas de noms pour ne vexer personne). Enfin tous les lecteurs qui en manifesteraient l’envie (mais cela ferait peut-être trop de monde, non ?)

 


JM : - Si vous étiez une couleur, un fruit, un animal : vous seriez ?

Christian : bleu, pêche, chat.

JM : - Avez-vous quelque chose à ajouter ?

Christian : je crois avoir été très bavard. Mais n’oubliez pas que je suis un auteur de saga !! Je terminerai donc en remerciant une fois de plus tous mes lecteurs pour leur fidélité et je profite de ces lignes pour m’excuser auprès d’eux si je ne réponds pas systématiquement à tous leurs messages de sympathie sur Internet. J’avoue que je ne suis pas pendu sur Face Book et autres réseaux sociaux. Quand j’ai terminé mes 4 à 5 heures d’écriture, je n’ai qu’une envie, me changer les idées. Mais qu’ils sachent que je les lis et que j’apprécie énormément leurs marques de gentillesse. Merci à tous.

 

 

 


JM : - Merci Christian LABORIE pour ce très agréable moment passé en votre compagnie, votre gentillesse et votre disponibilité.

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Christian qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

 

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FICHE LECTEUR COMPULSIF : BLANDINE CARRON

FICHE LECTEUR (JOUR 19)

 

« ES-TU UNE LECTRICE COMPULSIVE ? »

 

QUESTIONS pour Blandine CARRON

 

 

JM : -A quel âge as-tu commencé à lire ?

 

Blandine : 10-12 ans – la passion des livres de CRONIN comme le Chapelier et son château etc..

 

 

 

JM : - Es-tu une acheteuse compulsive de livres ?

 

Blandine : C'est une addiction chez moi et plus je vieillis, plus je me laisse tenter.

 

 

JM : - Où as-tu l'habitude d'acheter tes livres ?

 

Blandine : 1) Amazon, je suis handicapée et je reçois tous mes livres à mon domicile – 2) en direct auprès des auteurs – 3) France Loisirs (carte or) – 4) Momox en livres neufs comme les livres d'occasion de Pascale Villegas.

 

 

JM : - Quel format de lecture préfères-tu : numérique ou papier ?

 

Blandine :Je privilégie le broché mais avec du mal au début car les changements sont durs à accepter, je me suis mis au numérique. Dans le numérique je m'insurge quand je vois des promos d'auteurs à 0 € ou à 0,99 €. On doit respecter le travail des auteurs. Le numérique a beaucoup d'avantages = stockage – prix – grandeur des caractères et dictionnaire intégré.

 

 

JM : - Est-ce que tu achètes des livres neufs ou d'occasion et pourquoi ?

 

Blandine :Amazon : neufs. Occasion : Momox par Amazon et par des sites d'occasion. Il faut savoir qu'en occasion nous recevons des livres dans un état neuf, impeccable et bien sûr à prix modéré. J'achète peu en librairie en neuf je ne peux me déplacer et je ne trouverais pas le choix désiré.

 

 

JM : - A combien de livres s'élève ta PAL ?

 

Blandine :Effarant ! Je suis atterrée par toutes les sorties et quand je rencontre un auteur j'ai le plaisir de prendre sa collection. Et puis j'ai un ami : Laurent Fabre qui, avec ses chroniques magistrales me fait à chaque fois craquer, idem JP Dos Santos. J'adore les salons et là je n'ai pas de limites.

 

 

JM : Peux-tu nous dire les titres des trois prochains livres que tu as hâte de lire ?

 

Blandine :Jean-Paul Dubois et les deux livres Goncourt. Sylvain Tesson - l'Arbre des oublis de Corine Valade – Imbroglio de Nil Borny – Intrigue Virginia Woolf de Anne-Marie Bougret.

 

 

JM : - Quels sont tes genres de lectures ?

 

Blandine :Tout sauf l'eau de rose ! Mdr ! J'aime les thrillers, polar, policier. Idem les faits historiques et témoignages – Et puis les romans que je lis entre deux thrillers « costaux » pour mieux apprécier les lectures suivantes.

 

 

 

 

JM : - Est-ce que tu lis plusieurs romans en même temps ?

 

Blandine : NON

 

 

JM : - Combien lis-tu en moyenne d'ouvrages par mois ?

 

Blandine : 10 à 15

 

 

JM : - Est-ce qu'il t'arrive de lire le soir puis une grande partie de la nuit jusqu'à t'endormir au petit matin ?

 

 

Blandine : OUI – et je me suis calmée un peu parce qu'avant il fallait que je finisse un livre commencé d'une traite. Les livres de nouvelles ont fait l'apparition chez moi – c'est quelque chose que je me suis mise à aimer.

 

 

JM : - Qu'est-ce qui te décide à choisir un livre plutôt qu'un autre – la couverture ? le nom de l'auteur ? Le résumé ?

 

Blandine :La quatrième couverture – le sujet de l'écrit – un peu l'auteur quand je le suis et que ses sorties sont de qualité.

 

 

JM : - Est-ce qu'il t'arrive de prêter tes livres ?

 

Blandine :NON ! NON ! NON ! Je n'ai qu'une personne à qui je conseille dans ses lectures et qui a un grand respect des livres.

 

 

JM : - Si tu étais un livre, un personnage féminin, un personnage masculin : tu serais... ?

 

Blandine :

un livre : ma vie suspendue – Olivier Mayeux

un personnage F : Simone Veil (courage, tolérance, décisions)

un personnage M : Abbé Pierre (partage, soutien).

 

JM : - Penses-tu être une lectrice compulsive ?

 

Blandine : OUI, au grand cri de mon mari qui va devoir bâtir une seconde bibliothèque. MDR ! Mais il m'incite aussi par certains livres publicité dans la Voix du Nord 

 

 

Voici les réponses données par Blandine CARRON.

 

 

Les amis, Blandine est-elle, à votre avis, une lectrice compulsive ?

 

Vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Blandine sous ce post !

 

 

 

 

 

 

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FICHE LECTEUR COMPULSIF : OLIVIA JONES AUTEURE

FICHE LECTEUR (JOUR 32)

 

« ES-TU UNE LECTRICE COMPULSIVE ? »

 

QUESTIONS pour Olivia JONES

 

 

JM : -A quel âge as-tu commencé à lire ?

 

Olivia : à 9 ans, et je n’ai plus arrêté depuis, j’ai toujours un ou plusieurs livres en cours.

 

 

 

JM : - Es-tu une acheteuse compulsive de livres ?

 

Olivia : On peut dire ça, quand je rentre dans une librairie, les yeux me sortent de la tête, je pourrais en acheter des cartons entiers, mais c’est le porte-monnaie qui me retient. Je suis obligée de me montrer raisonnable et ça me rend folle !

 

 

JM : - Où as-tu l'habitude d'acheter tes livres ?

 

Olivia : en librairie mais aussi sur Amazon pour les livres numériques.

 

 

JM : - Quel format de lecture préfères-tu : numérique ou papier ?

 

Olivia : Rien ne peut remplacer le papier à mes yeux, et je prends soin de mes livres, ils ne sont jamais cornés, j’ai toujours un marque-pages.

 

 

JM : - Est-ce que tu achètes des livres neufs ou d'occasion et pourquoi ?

 

Olivia : Je préfère acheter des livres neufs, mais j’avoue qu’il m’est arrivé d’en prendre d’occasion, et j’emprunte aussi à la bibliothèque de ma ville.

 

 

 

 

 

JM : - A combien de livres s'élève ta PAL ?

 

Olivia : Une bonne cinquantaine.

 

 

JM : Peux-tu nous dire les titres des trois prochains livres que tu as hâte de lire ?

 

Olivia : Le tome 6 de Millénium, qui sera le dernier d’après ce que j’ai compris, le Goncourt de cette année, Jean-Paul Dubois, le recueil de nouvelles Au cœur des montagnes, écrit par différents auteurs dont Isabelle Morot-Sir

 

 

JM : - Quels sont tes genres de lectures ?

 

Olivia : Les thrillers et les polars, tout Stephen King, les grandes épopées romanesques, genre Autant en emporte le vent, les romantiques un peu torturées, comme les sœurs Brontë, mais aussi des romans plus modernes, comme les Delphine de Vigan, Katherine Pancol etc… et il m’arrive aussi de lire des Feel good, un genre que j’ai découvert avec Nathalie Brunal.

 

 

JM : - Est-ce que tu lis plusieurs romans en même temps ?

 

Olivia : Je lis un livre papier, en ce moment, Les Assassins, de RJ Ellory, un auteur que j’apprécie particulièrement et un numérique, Bicéphale, de Catherine Mottier.

 

 

JM : - Combien lis-tu en moyenne d'ouvrages par mois ?

 

Olivia : Je dois lire environ 6 à 8 livres par mois.

 

 

JM : - Est-ce qu'il t'arrive de lire le soir puis une grande partie de la nuit jusqu'à t'endormir au petit matin ?

 

 

Olivia : Cela m’est arrivé avec des thrillers, le dernier en date était, Une fille modèle de Karin Slaugther

 

 

JM : - Qu'est-ce qui te décide à choisir un livre plutôt qu'un autre – la couverture ? le nom de l'auteur ? Le résumé ?

 

Olivia : Le résumé en tout premier lieu, la couverture, et la bio de l’auteur si je ne le connais pas.

 

 

JM : - Est-ce qu'il t'arrive de prêter tes livres ?

 

Olivia : Avec beaucoup de réticence, et uniquement à des personnes de toute confiance, mais j’ai du mal !

 

 

JM : - Si tu étais un livre, un personnage féminin, un personnage masculin : tu serais... ?

 

Olivia : Si j’étais un livre, je serais My Absolute darling, de Gabriel Tallent, un chef-d’œuvre, si j’étais un personnage féminin, je serais Jane Eyre, du roman Jane Eyre ha ha ha , de Charlotte Brontë, et pour le personnage masculin, je serais Jake Epping, le héros du roman de Stephen King, 22/11/63, un homme qui n’a pas peur de traverser les époques pour tenter de sauver John Fitzgerald Kennedy, livre que j’ai lu 3 fois et que je relirai encore et encore.

 

 

JM : - Penses-tu être une lectrice compulsive ?

 

Olivia : oh oui !

 

 

Voici les réponses données par Olivia JONES.

 

 

 

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FICHE LECTEUR COMPULSIF : SANDRINE DAGUENET

FICHE LECTEUR (JOUR 20)

 

« ES-TU UNE LECTRICE COMPULSIVE ? »

 

QUESTIONS pour Sandrine DAGUENET.

 

 

JM : -A quel âge as-tu commencé à lire ?

 

Sandrine : dès que ma maîtresse me l'a appris 😊

Donc vers 6 ans, j'étais déjà friande de lecture.

 

 

 

JM : - Es-tu une acheteuse compulsive de livres ?

 

Sandrine : je ne sais pas… Je ne pense pas mais j'en achète un quand je n'ai plus rien à lire ou dès qu'un(e) auteur (e) que j'aime en sort un nouveau !

Ahh… Ben si peut être alors 😂

 

M : - Où as-tu l'habitude d'acheter tes livres ?

 

Sandrine : un peu partout mais très peu sur le net… J'aime toucher (on parle de livres hein !) donc je préfère me rendre en boutique :fnac, cultura, espaces culturels…

 

JM : - Quel format de lecture préfères-tu : numérique ou papier ?

 

Sandrine : PAPIER !!!

Je suis maîtresse en maternelle, je suis comme mes élèves, j'ai besoin d'explorer l'objet, de le palper, de le sentir ❤️

Il n'y a que mon amie bretonne, je tairais son nom, elle est connue ici, pour qui j'ai fait l'effort de prendre un format Kindle, c'est dire si elle compte pour moi !

 

 

JM : - Est-ce que tu achètes des livres neufs ou d'occasion et pourquoi ?

 

Sandrine : parce que, non mais la curiosité est un vilain défaut !

(j'achète de tout, occasions dans les vide greniers, gratuits dans les boîtes à livres, plus chers à la fnac ou autres.. De tout !)

 

 

 

 

JM : - A combien de livres s'élève ta PAL ?

 

Sandrine : PAL… 🤔Poîte à lire ?

Je ne sais pas… 1 ? 😊Par contre, dans ma bibliothèque, j'en ai plein !

 

JM : Peux-tu nous dire les titres des trois prochains livres que tu as hâte de lire ?

 

Sandrine : le dernier de Aurélie Valognes "minute papillon" que je viens de commencer

Le et les prochains de Barbara Laurame

Le et les prochains de Virginie Grimaldi

En fait, j'en lis un et ensuite, je vais fouiller en magasin pour en reprendre un autre ou dans les placards de mes mère et belle mère😂

 

 

JM : - Quels sont tes genres de lectures ?

 

Sandrine : j'aime beaucoup les livres qui me rendent triste ou qui me font réfléchir sur la nature humaine !

Les romans où des psychopathes s'en donnent à cœur joie et perdent à la fin, des romans qui parlent d'enfances martyrisées et… Des bd.,j'adore les bd humoristiques, la collection fluide glacial par exemple 😍

Sinon je lis beaucoup de littérature de jeunesse car… On ne m'a toujours pas autorisée à passer en école primaire alors… Martine, tchoupi 😂😂

 

: - Est-ce que tu lis plusieurs romans en même temps ?

 

Sandrine : Nan (je n'ai que 2 mains, je n'arrive pas à en lire plusieurs en même temps ah ah ah ah je suis drôle hein ?! Non… Bon OK…)

 

JM : - Combien lis-tu en moyenne d'ouvrages par mois ?

 

Sandrine : ça dépend… Quand je suis en période où mon sommeil m'empêche d'aller au bout d'un film et que je me retrouve à être regardée par la télé… LaLà… Je ne lis pas trop et un bouquin peut me durer longtemps ! Sinon, je peux parfois en dévorer quelques uns (c'est précis hein ! 😂)

 

: - Est-ce qu'il t'arrive de lire le soir puis une grande partie de la nuit jusqu'à t'endormir au petit matin ?

 

 

Sandrine : je suis fonctionnaire, j'aime mon lit donc… Non😊

 

JM : - Qu'est-ce qui te décide à choisir un livre plutôt qu'un autre – la couverture ? le nom de l'auteur ? Le résumé ?

 

Sandrine : parfois juste le nom de l'auteur quand c'est une personne que je suis de près !

Sinon, je jette mon œil gauche sur le titre, le droit sur la couverture et hop il finit retourné pour en connaître le sujet.

 

 

JM : - Est-ce qu'il t'arrive de prêter tes livres ?

 

Sandrine : oui tout le temps, j'aime faire voyager mes lectures de façon ensuite à discuter avec les gens à qui j'ai prêté, je suis un peu bavarde alors c'est un moyen comme un autre de converser 😊

Je mets dans les boîtes à livres, je prête, je donne sauf… Mes auteurs fétiches où là !!! Pas touche manouche !

 

JM : - Si tu étais un livre, un personnage féminin, un personnage masculin : tu serais... ?

 

Sandrine : folcoche dans vipère au poing pour voir ce que ça fait de martyriser un enfant, au quotidien, on me l'interdit 😂😂

Non…. Je rigole hein !

 

Non je dirai… Jane eyre Peut-être car c'est un de mes romans préférés ❤️

 

M : - Penses-tu être une lectrice compulsive ?

 

Sandrine : c'est à vous de me le dire… Jusque là je ne m'étais même pas posé la question 😅

 

Voici les réponses données par Sandrine DAGUENET.

 

 

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Bonjour aujourd'hui samedi voici ma chronique concernant : "ILS ONT RENCONTRE JOHN"

« ILS ONT RENCONTRE JOHN »

Ludovic METZER

Auto-Edition

9 septembre 2019

333 pages

 

Présentation

 

Je m'appelle Samantha, j'ai 16 ans.

 

A mon journal intime, j'ai avoué être victime de harcèlement scolaire et de violence. Je lui ai révélé mes intentions qui font suite à ce drame qui a détruit ma vie.

 

C'est ce jour-là qu'il est intervenu et qu'il m'a fait la promesse de me protéger.

 

« Il y a des rencontres qui sauvent une vie et

d'autres qu'il vaut mieux éviter ! »

L'auteur

 

Ludovic Metzker naît le 28 juin 1974 à Paris de parents issus de l’immigration Marocaine et Polonaise. Dès son plus jeune âge, il se passionne pour les récits imaginaires. A l’adolescence il découvre des auteurs aussi variés dans la manière d’écrire que dans les thèmes abordés, il écrira un premier essai ainsi qu’un recueil de nouvelles qui ne verront jamais le jour.

Hospitalisé en 2013 à l’âge de 39 ans pour une opération du dos, c’est avec une série télévisée anglaise de science-fiction que l’envie d’écrire lui revient et, avec le soutien d’un ami de longue date, il se met à imaginer un personnage capable de voyager dans le temps et se sert de l’histoire de l’humanité comme prétexte pour faire intervenir son héros.

En 2014, il écrit une histoire remettant en cause les erreurs de l’homme à travers le temps et imagine un monde dans lequel la Terre se révolterait et provoquerait la plus grande catastrophe. Dans la même année, il débutera l’écriture de deux autres livres qui verront le jour en 2016. Amoureux d’histoire et de mythologie, Ludovic Metzker est surtout un passionné de cinéma et voue un amour pour les voyages et la culture des autres pays. Source : www.ludovicmetzker.com

Mon avis

 

Je remercie mon amie Blandine CARON de m'avoir fait dédicacer et envoyer « Ils ont rencontré John » roman de Ludovic METZER. Un grand MERCI à Ludovic pour la gentille dédicace et le marque-page.

 

Bien que peu habituée à lire des thrillers j'ai été attirée par le thème du harcèlement scolaire, sujet grave et d'actualité. Je suis donc sortie de ma zone de confort et je ne le regrette pas.

Nous sommes en décembre 2017 et Samantha, lycéenne âgée de 16 ans, tient un journal dans lequel elle relate toutes ses pensées et fait état de son mal-être. Elle vit avec ses parents en région Parisienne mais ceux-ci, trop occupés par leur vie professionnelle, ne l'écoutent pas. Ainsi, au fil des jours, son seul confident sera ce journal auquel elle confiera les humiliations et les violences dont elle sera victime au quotidien.

 

Jusqu'au jour où John, son nouveau voisin, aura une oreille attentive. Mais qui est John ? Tiendra-t-il ses promesses ?

 

 

Ludovic METZER décrit avec précision et justesse la violence et la petite nature que je suis a été bouleversée et horrifiée par ces scènes terrifiantes qui reflètent malheureusement la vérité.

Il dénonce l'agressivité et la violence que certains jeunes font subir en bande, gratuitement à d'autres qu'ils considèrent comme inférieurs et vulnérables..

 

Le suspense est bien mené, à un rythme percutant, et les nombreux rebondissements tiennent le lecteur en haleine jusqu'au dénouement qui est à couper le souffle... mais je vous laisse le découvrir par vous-mêmes..

 

L'auteur aborde, dans ce très bon thriller fantastique, des thèmes très difficiles tels que le viol, la drogue, le harcèlement physique et psychologique... Je pense que les parents d'adolescents devraient lire cet ouvrage pour comprendre ces faits de société et dialoguer avec leurs enfants, ceci permettrait assurément d'éviter de nombreux suicides.

 

Je recommande ce livre également aux amateurs du genre.

 

Un très bon moment de lecture.

 

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Bonjour aujourd'hui dimanche voici ma chronique concernant : "LA CITE DU LOTUS ROSE"

« LA CITE DU LOTUS ROSE »

Kate McALISTAIR

Editions L'ARCHIPEL

9 octobre 2019

592 pages

 

Présentation

Une saga envoûtante, dans la lignée des grands romans de Sarah Lark et Tamara McKinley
 

Après plusieurs années, Jan retrouve enfin la trace de Jezebel à Singapour. Fuyant ses ennemis, celle-ci s’est réfugiée avec sa petite fille dans une mission religieuse. Tout à leur nouveau bonheur, les jeunes gens décident d’unir leurs destins et annoncent un grand mariage. Jezebel goûte enfin à la sérénité.


Pourtant, le jour des noces, la jeune mariée est abordée par deux hommes mandatés par le baron von Rosenheim, le cruel trafiquant d’opium auquel elle fut un temps fiancée. Celui-ci veut récupérer le légendaire médaillon Sher-Cita que Jezebel a conservé, malgré les funestes souvenirs qui s’y rattachent. Pour ce faire, il est prêt à tout.


Espérant éloigner son épouse de cet homme machiavélique, Jan décide de l’emmener à New York. Après un tumultueux voyage à bord d’un cargo chinois, Jezebel découvre une ville éblouissante, à mille lieues de tout ce qu’elle a connu jusqu’ici. Ils s’installent à Long Island dans une superbe demeure au bord de l’océan, avec l’espoir de goûter une paix méritée.


Mais l’Inde ne cesse de se rappeler à eux. Revenus sur cette terre fascinante, le jeune couple est à nouveau guetté par le danger… L’intrépide Jan saura-t-il libérer Jezebel de son passé ?

 

L'auteure

 

Kate McAlistair, dont la famille a vécu en Asie, se passionne pour l'Inde. Après des études d'art et de cinéma, elle travaille comme graphiste puis se lance dans l'écriture. Les éditions de l'Archipel ont publié La Vallée du lotus rose (2018), premier volet de cette trilogie indienne, publié simultanément aux éditions Archipoche.

 

Mon avis

Je remercie les Editions L'ARCHIPEL et en particulier Mylène de m'avoir permis de lire, en service de presse, « La Cité du Lotus Rose », roman de Kate McALISTAIR. J'ai découvert la plume fluide et majestueuse de cette auteure lors de la lecture du premier tome de cette trilogie : « La Vallée du Lotus Rose », roman que j'ai beaucoup aimé et dont j'attendais la suite avec impatience.

 

J'ai retrouvé avec grand plaisir les protagonistes de ce roman mais surtout Jezebel qui, devenue maman, se révèle être une adulte très belle et féminine. Elle a mûri certes mais a gardé son caractère impulsif et imprévisible, étant toutefois plus forte du fait des épreuves qu'elle a traversées pendant sa jeunesse.

 

Nous sommes début des années 20 et notre héroïne retrouve Jan Lukas, ce séduisant Américain qui fait toujours autant battre son cœur et qu'elle accepte finalement d'épouser. Ils forment un couple très glamour et heureux avec la petite Mary-Leela, la fille que Jezebel a eue avec Charu, le défunt fils du Maharaja de Mahavir. Cependant, le baron Rosenheim n'a pas dit son dernier mot et commence alors une chasse à l'homme et au trésor pour découvrir le secret de la Cité du Lotus Rose...

 

L'auteure nous entraîne dans un tourbillon d'aventures et de rebondissements, pour un magnifique voyage, exotique et dépaysant à souhait, de Singapour à New-York puis en Inde.

 

Kate McALISTAIR a vraiment un talent fou et décrit à merveille les sentiments et les traits tant physiques que psychologiques des personnages de son roman, les rendant authentiques, attachants pour certains, détestables pour d'autres. Elle dépeint avec précision les vêtements portés, la beauté des paysages nous permettant ainsi de les imaginer aisément et nous fait découvrir différents cultes pratiqués en Inde, rendant son récit riche et fort intéressant.


On se surprend donc à tourner les nombreuses pages de ce magnifique roman sans même s'en apercevoir tant l'histoire est belle, passionnante et addictive.

 

J'ai ADORE ce second opus, mêlant action, aventures, passion, érotisme et qui fut pour moi, comme le premier d'ailleurs, un COUP de COEUR.

J'attends donc avec impatience la sortie du dernier tome de cette trilogie... Merci Kate McALISTAIR pour ce très bon moment d'évasion et de détente.


 


 

 

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Bonjour aujourd'hui mercredi je vous propose ma chronique concernant : "CASSANDRA ET SES SOEURS"

« CASSANDRA ET SES SOEURS »

Anna JACOBS

Editions L'ARCHIPEL

9 janvier 2019

368 pages

 

Présentation

 

Réunies dans l’outback australien, les quatre sœurs Blake se réjouissent d’être à nouveau ensemble.

 

Pour Cassandra, qui a retrouvé Reece, l’homme qu’elle aime, la colonie de Swan River apparaît comme un refuge inespéré. Surtout depuis qu’elle attend un enfant, fruit d’un viol, mais que Reece décide d’accepter comme le sien.

 

Lorsqu’un émissaire arrive d’Angleterre pour annoncer qu’un héritage considérable attend les sœurs, Pandora, la plus jeune, y voit la chance de retrouver son Lancashire natal.

 

Mais le chemin du retour pourrait être plus rude que prévu. Pour rejoindre le bateau à Outham, elle devra en effet traverser des contrées hostiles, avant de franchir sur les mers une moitié du globe. Épreuves qui ne seraient rien, sans l’apparition d’un ennemi inattendu... et déterminé.

 

Un amour aussi neuf que soudain éveillera-t-il en elle le courage d’affronter son destin ?

 

L'auteure

 

Nationalité : Royaume-Uni - Né(e) à : Lancashire , 1941

Anna Jacobs, de son vrai nom Sherry-Anne Jacobs, est romancière.



Elle est très prolifique et a écrit une quarantaine de romans. Elle écrit également sous son patronyme et sous le pseudonyme de Shannah Jay.
"Le destin de Cassandra" (Farewell to Lancashire, 2009) est le premier tome d'une trilogie (The Swan River Saga) et son premier roman publié en France.

Elle vit en Australie depuis plus de trente ans.

son site : http://www.annajacobs.com/
page Facebook : https://www.facebook.com/Anna.Jacobs.Books/

 

 

Mon avis

 

Je remercie les Editions L'ARCHIPEL et en particulier Mylène de m'avoir donné l'opportunité de lire en service de presse « Cassandra et ses sœurs », second opus de la trilogie d'Anna JACOBS.

 

J'ai acheté et lu pendant mes congés d'été le tome 1 « Le Destin de Cassandra » que j'ai beaucoup aimé et j'avais hâte de retrouver les sœurs Blake et la plume fluide et addictive de Anna JACOBS.

 

Dans le premier tome, nous avions découvert les quatre sœurs et partagé les difficiles épreuves subies par Cassandra. Dans cette suite Pandora joue un plus grand rôle dans le récit. Nous sommes en 1963 en Australie où les sœurs Blake vivent en exil et Pandora n'est pas heureuse sur ces terres lointaines : elle a le mal du pays.

 

L'auteure nous emmène pour un voyage entre l'Angleterre et l'Australie. Elle décrit à merveille les sentiments et les traits tant physiques que psychologiques des protagonistes de son roman, les rendant vrais, attachants pour certains, détestables pour d'autres... Ainsi j'ai bien aimé les sœurs Blake, Zachary et Reece mais pas du tout apprécié Harry ! Vous en découvrirez bien la raison par vous-mêmes !

 

Anna JACOBS dépeint également, pour notre plus grand plaisir, les paysages de l'outback Australien et les multiples rebondissements tiennent vraiment le lecteur en haleine jusqu'au dénouement. Beaucoup d'émotions sont palpables au fil des mots de l'auteure.

 

J'ai ADORE cette magnifique saga historique romancée, emplie d'amour et d'amitié qui se déroule à la période de la guerre de Sécession aux Etats-Unis, entraînant ainsi des répercussions économiques sur l'Angleterre.

 

L'auteure rend hommage aux femmes fortes qui, durant ces périodes douloureuses de l'Histoire, ont combattu pour survivre, pour leurs droits et faire face aux préjugés, à une époque où la condition féminine n'était pas  enviable ni une priorité pour la gent masculine.

 

Je lirai assurément avec grand plaisir le troisième tome de cette saga très intéressante et dépaysante.

 

Un excellent moment de lecture.

 

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Bonjour aujourd'hui vendredi je vous invite à découvrir ma chronique concernant : "QUAND ON NE PEUT OUBLIER"

« QUAND ON NE PEUT OUBLIER »

Tamara McKINLEY

alias Ellie DEAN

Editions de l'ARCHIPEL

13 novembre 2019

377 pages

 

Présentation

 

L'AMOUR LES UNIT, UN OCEAN LES SEPARE...

 

Décembre 1941. Le père de Sarah Fuller, 19 ans, dirige une plantation d'hévéas en Malaisie, où sa famille mène une vie de riches colons. Mais le conflit qui secoue l'Europe gagne cette partie du monde.

 

Quand les Japonais commencent à bombarder Singapour, Sarah est contrainte de quitter sa famille et son fiancé, Philip, pour aller trouver refuge en Angleterre. La longue traversée vers le vieux continent s'annonce périlleuse. Or, ni elle ni sa sœur Jane -qui requiert une attention constante- ne savent si leur grand-tante, censée les accueillir, est toujours de ce monde...

 

Arrivées à Cliffehaven, sur la côte sud-est de l'Angleterre, les deux sœurs s'installent à la pension du Bord de Mer, tenue par la chaleureuse famille Reilly.


Bien décidée à participer à l'effort de guerre, Sarah se voit offrir un surprenant travail... qui ne lui permet toutefois pas d'occulter les mauvaises nouvelles en provenance de Singapour, et la crainte de ne jamais plus revoir Philip...

 

 

 

L'auteure

 

Née à Launceston (Tasmanie) Tamara McKINLEY vit sur la côte sud-est de l'Angleterre, où se déroule l’action de ce cinquième volume de la « saga du Bord de Mer ». Tous ses romans ont paru aux Editions de l'Archipel, dont « La Dernière Valse de Mathilda », son best-seller traduit dans plus de vingt pays.

 

« Depuis 10 ans, cette saga captive les Britanniques.

Et on les comprend ! (Babelio).

 

 

 

 

Mon avis

 

Je remercie les Editions de l'ARCHIPEL et en particulier Mylène de m'avoir adressé ce service de presse. Etant une fan inconditionnelle de Tamara McKinley, grande fut ma joie lorsque j'ai découvert, dans ma boîte aux lettres, le cinquième opus de la saga du bord de mer : « Quand on ne peut oublier ».

J'avais bien évidemment déjà lu les quatre premiers tomes et j'ai ainsi retrouvé avec grand plaisir certains protagonistes tels que les pensionnaires de la maison du bord de mer et la famille Reilly.

 

Comme à son habitude, l'auteure nous fait voyager mais dans un genre différent de celui de ses précédents romans qui se déroulent dans l'Outback Australien où grands espaces et chaleur torride sont présents. En effet, cette saga se passe en Angleterre sur des terres ô combien opposées mais dans un contexte tout aussi captivant.

 

Tamara McKinley nous transporte donc en 1941 en Malaisie où nous découvrons la famille Füller. La Seconde Guerre Mondiale est déclarée en Europe et alors que les Japonais bombardent Singapour, M. Füller décide de mettre sa famille à l'abri en envoyant son épouse qui est enceinte et ses deux filles Sarah et Jane en Angleterre chez une de leurs grands-tantes qu'elle n'ont jamais vues.


Sarah notre héroïne, jeune fille courageuse et déterminée est contrainte de quitter Philipp son fiancé. Quand Sarah et Philipp se reverront-ils ?

 

Nous suivons le long et tumultueux voyage entrepris par les jeunes femmes pour se rendre à Cliffehaven, leur arrivée à la pension du bord de mer et leur lutte quotidienne pour survivre et s'adapter à une vie totalement différente de celle qu'elles ont connue en Malaisie.

 

Les personnages sont authentiques, attachants et hauts en couleur : Ron le grand-père braconne pour trouver de la nourriture en cette période de rationnement, Jim son fils et Jenny forment un très beau couple, très humain et fort sympathique, Cornellia leur pensionnaire a vieilli mais se rend malgré tout toujours très utile et effectue certaines tâches dans la pension de famille. Tout ce petit monde tente d'occulter la noirceur de la guerre en profitant des petits plaisirs de la vie et œuvre au quotidien, pour le bien être des autres.

 

L'auteure décrit à merveille les caractères des protagonistes de son roman mais également les lieux et les situations dans lesquels ils se trouvent. On imagine donc aisément Jenny prenant le thé avec Cornellia dans la cuisine de la pension, bien au chaud, tout en donnant à manger à Daisy le bébé, pendant que les sirènes et les bombardiers viennent perturber ces moments de quiétude...

 

 

J'ai ADORE ce roman qui comme les précédents, véhicule beaucoup d'émotions, faisant passer le lecteur du rire aux larmes. J'attends avec impatience la suite de cette très belle saga historique romancée que je recommande vivement aux amateurs du genre.

 

Un excellent moment de lecture.

 

 

 

Page FB : https://www.facebook.com/joellemarchal74/

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Bonjour aujourd'hui samedi voici ma chronique concernant : "EN VERITE, ALICE"

« EN VERITE, ALICE »

Tiffany TAVERNIER

SABINE WESPISER

4 janvier 2024

280 pages

 



Présentation

Comme souvent dans les romans excellents, tout est dit dès la première scène : Alice vit sous emprise. Reste à savoir si, et comment, cette jeune femme repliée sur elle-même depuis qu'elle a été arrachée à une enfance radieuse au Guatemala parviendra à sortir de la bulle de déni dans laquelle elle s'est enfermée. Mené tambour battant, ponctué de trouées de lumière, ce livre nous conduit sur des chemins absolument inattendus : sommée par le monstre avec qui elle vit de trouver du travail, Alice, par le plus grand des hasards, se retrouve assistante au Promotorat des causes des saints. Documentant cet endroit où l'on instruit les candidatures à la canonisation, et à la faveur d'extraordinaires rebondissements, la puissante romancière va autoriser son héroïne à se frayer un chemin vers sa propre vérité. Un formidable portrait de femme et une incroyable traversée des ténèbres.


 

L'auteure

Tiffany Tavernier est romancière, scénariste et assistante réalisatrice.

Elle est la fille de la scénariste Colo Tavernier (1942-2020) et du réalisateur Bertrand Tavernier (1941) et la sœur du réalisateur et comédien Nils Tavernier (1965). Sa mère la prénomme Tiffany à cause du film de Blake Edwards interprété par Audrey Hepburn, "Breakfast at Tiffany's" (1961).

Enfant, elle apparaît dans les films de son père "L'Horloger de Saint-Paul" (1974) et "Des enfants gâtés" (1977).

À l'âge de 17 ans, elle part faire de l'humanitaire en Inde. Son premier roman, "Dans la nuit aussi le ciel" (1999), qui retrace son expérience dans les mouroirs de Calcutta, obtient le prix Gabrielle-d'Estrées 1999.

Longtemps assistante à la mise en scène, elle est scénariste pour des longs métrages et des documentaires destinés à la télévision et au cinéma. Parallèlement, elle poursuit une œuvre littéraire variée.

Elle a écrit avec son mari Dominique Sampiero (1954), dont elle est aujourd'hui séparée, les scénarios de deux longs métrages réalisés par Bertrand Tavernier, "Ça commence aujourd'hui" (1999) et "Holy Lola" (2004) - dont elle a coécrit l'adaptation en roman en 2005.

En 2015, elle signe "Comme un miroir", où elle nous fait partager des bribes de son enfance. Publié en 2016, son livre "Isabelle Eberhardt : Une vie dans l’islam" est le fruit d’une rencontre heureuse entre l’auteure et le destin d’une femme fascinante.

Elle revient en 2018 avec "Roissy", le portrait d’une femme sans cesse en mouvement, sélectionné pour le Prix Femina 2018.

Tiffany Tavernier vit aujourd'hui à Paris.


 


 



Mon avis


 

Je remercie VERSION FEMINA de m'avoir permis de faire partie du jury « Coup de cœur des lectrices » février 2024 et de m'avoir envoyé , dans ce cadre, « La Vérité, Alice», roman de Tiffany TAVERNIER.

Le titre de ce livre à connotation biblique m'a de suite interpellée.

L'auteure, en alternant un monologue avec la voix d'Alice, jeune femme de 29 ans et des chapitres sur la vie des saints, nous présente l'histoire de cette femme, qui est totalement sous l'emprise de son compagnon.

En effet, Alice est amoureuse, aveuglée, perdue, complètement dans le déni. Elle est la victime mais dans sa tête c'est cet homme, pervers, égoïste, colérique, violent qui la harcèle moralement et physiquement, la brutalise, qui est à plaindre. Elle est persuadée qu'il l'aime et que tout est de sa faute à elle...


 

Alice parviendra-t-elle à ouvrir les yeux et à se sortir de cette relation toxique ?


Ce livre plutôt sombre, original dans la forme, fort bien écrit, qui aborde divers thèmes tels que les violences psychologiques et physiques faites aux femmes, les relations amoureuses, les traumatismes de l'enfance, la foi.... se lit facilement. Toutefois j'émets un avis mitigé car je n'ai pas été captivée par l'histoire qui devrait plaire aux amateurs du genre.

 

JE NE RECOMMANDE PAS CE ROMAN.

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

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Bonjour aujourd'hui samedi voici ma chronique concernant : "EN VERITE, ALICE"

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