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Bonjour aujourd'hui mardi voici ma chronique concernant : "ALIENOR, L'INSOUMISE"

« ALIENOR, L'INSOUMISE »

Isaure de Saint-Pierre

MONPOCHE

CENTREFRANCE

12 mars 2020

513 pages

 

Présentation

 

Que dire d'une riche héritière, aussi belle qu'intelligente, mariée à quinze ans au futur roi de France, qui ne craint pas de lui être infidèle avant de le forcer à divorcer pour convoler avec son pire ennemi, le fougueux Henri Plantagenêt ? Que dire d'une reine d'Angleterre qui se rebelle contre son second époux, pousse leurs fils à la révolte, s'enfuit déguisée en homme, et passe quinze ans en captivité, sans jamais renoncer au pouvoir ? Que dire d'une femme que rien ni personne ne peut décourager, et qui, à peine libre, reprend le combat ? À près de quatre-vingts ans, ne la voit-on pas sillonner les routes à cheval pour défendre les droits au trône de son fils Jean ou chercher au-delà des Pyrénées sa petite-fille Blanche afin de la marier à l'héritier du trône de France ? Il faut du souffle pour suivre Aliénor d'Aquitaine dans les tumultes d'un XIIe siècle ensanglanté par des guerres fratricides. Une femme de tête qui a conservé le pouvoir pendant presque sept décennies et à qui ne manqua peut-être qu'une chose pour être heureuse : rencontrer cet amour courtois que chantaient pour elle les troubadours.

 

L'auteure

 

Isaure de Saint Pierre est l'auteur de nombreux romans et
biographies historiques : La Magnifique, Raspoutine, le fol en Christ,
La Dernière Impératrice, La Dame de cœur, L'Impératrice aux chimères,
La Kahina, reine des Aurès, Aliénor l'insoumise ou Le roi des rêves, tous
publiés chez Albin Michel.


 

Mon avis

 

Je remercie MONPOCHE Editions et en particulier Leila et Virginie de m'avoir permis de lire en service de presse, « Aliénor, l'insoumise », roman de Isaure de Saint-Pierre et ainsi de découvrir la plume fluide et précise de cette auteure.

 

Isaure de SAINT-PIERRE nous offre la biographie romancée d'Aliénor qui fut Reine de France à 15 ans puis Reine d'Angleterre à 18 ans et nous conte le destin tumultueux et passionnant de cette grande Reine en nous transportant au Moyen-Age, époque ensanglantée de notre Histoire.

 

Aliénor était une princesse érudite dotée d'un caractère fort : elle deviendra une grande Reine, belle, libre, séductrice, intelligente, manipulatrice, scandaleuse mais surtout insoumise.. Elle jouera un rôle politique important en Occident et apportera son soutien à ses fils Richard Coeur de Lion et Jean Sans Terre.

 

L'auteure décrit avec moult précisions les fastes de la Cour d'Aquitaine, les guerres fratricides, les relations amoureuses et les sept décennies de pouvoir de la Reine.

 

J'ai beaucoup aimé ce roman historique romancé très bien écrit et documenté qui se lit facilement et qui séduira, j'en suis certaine, les passionnés d'Histoire se déroulant au XIIème siècle.

 

Je lirai assurément d'autres ouvrages de cette auteure.

 

Un très bon moment de lecture.

 

 

 

PAGE FB :https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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ANNONCE INTERVIEW AUTEURE ANNIE DEGROOTE VENDREDI 22 MAI 2020 18 H SUR MON GROUPE FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS💜

Bonjsoir les amis,💁‍♀️💁‍♂️

Ce soir lundi 18 mai 2020 j'ai réalisé ma 120 ème interview 💻 avec un auteur du groupe 💁‍♀️📖 qui a accepté de se soumettre à mes questions.

Je vous donne donc rendez-vous le vendredi 22 mai 2020 à 18 H 00 pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Annie Degroote 💁‍♀️📖. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Annie qui y répondra PLUS TARD selon ses disponibilités.

A VENDREDI.😍

 

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Bonjour aujourd'hui lundi je vous propose ma chronique concernant : "ALEXANDER" Passions Londonniennes Tome 1

« ALEXANDER »

Passions Londonniennes - Tome 1

Aurélie DEPRAZ

Auto-Edition

5 mars 2020

264 pages

 

 

Présentation

 

Londres, 1819

Le comte d’Ashford est perplexe. Ennuyé… et furieux. En mourant, le colonel Shaheedan l’a investi d’une mission… dont il se serait bien passé ! Bon sang, il a bien autre chose à faire que de jouer les dames marieuses !

 

En plus, il déteste les débutantes et avec elles, tout ce qui a trait, de près ou de loin, à l’idée même du mariage. Seigneur, pourquoi fallait-il donc que cela tombe sur lui ? Lui, jouisseur, séducteur, célibataire endurci, qui n’aime rien tant que cumuler les conquêtes et bambocher gaiement ?

 

D’autant que ni les femmes de sa famille, ni ses deux meilleurs amis, ni l’intéressée elle-même… ne semblent décidés à lui faciliter la tâche. Et que, s’il n’y prend garde, cette mission de confiance pourrait fort bien se retourner contre lui… venir saboter jusqu’aux fondements mêmes de son existence… et jusqu’à ses convictions les plus solides…

Alexander : quand sentiments, principes, idéaux et attirances entrent en conflit… au temps des unions de convenance.

 

Ce roman est le premier tome de la série Passions londoniennes ; il peut être lu indépendamment des autres tomes, chaque histoire se suffisant à elle-même (parution des trois tomes : 2020).


L'auteure

« Née à Paris en 1987, j’écris depuis presque aussi longtemps que je sais tenir un stylo : poèmes, correspondances, journaux intimes, carnets de voyage, ébauches de romans. C’est également dans l’enfance que j’acquiers ma passion pour l’Histoire (que je dois à deux professeurs extraordinaires), pour la photographie (que je tiens de mon père), pour la littérature (encore des profs extraordinaires) et pour les voyages, les contrées reculées, la géographie (fruit de six années d’expatriation entre mes 8 et 14 ans).
Je vis à Bordeaux avec mon compagnon et conjugue, entre deux scénarios, différentes activités professionnelles afférentes à l’œnotourisme, à l’enseignement privé de matières littéraires et à la préparation d’élèves au baccalauréat."


 


 

Mon avis


 

Je remercie Aurélie DEPRAZ de m'avoir donné l'opportunité de lire, en avant-première et en service de presse, son dernier roman « Alexander ». Etant fan inconditionnelle de cette auteure dont j'ai lu tous les ouvrages, j'ai retrouvé avec grand plaisir sa plume fluide, précise et majestueuse.


 

Aurélie DEPRAZ nous emporte au XIXème siècle en Angleterre et nous faisons connaissance avec Alexander, trentenaire, habitué des clubs libertins et des sorties dans les pubs entre amis.

Celui-ci se voit confier, au décès de son ami le Colonel Shaheedan, le rôle de tuteur de sa fille Jade, jolie jeune fille naïve, très instruite et fort intelligente mais de mœurs totalement opposées aux siennes.....


 

Comme à son habitude, l'auteure nous fait voyager dans le temps et décrit à merveille les traits tant physiques que psychologiques des protagonistes de son roman, les rendant authentiques et attachants.

Il en est de même pour les us et coutumes de la société londonnienne, les fastes des réceptions et les vêtements portés lors des bals à cette époque.


 

J'ai beaucoup aimé ce roman très bien écrit et documenté, ponctué d'une touche d'humour fort plaisante et avec lequel j'ai passé un très bon moment de lecture.


 

Je le recommande aux férus de romances historiques qui, comme moi, seront séduits par ce premier opus et attendront avec impatience le second tome...


 

Page FB :https://www.facebook.com/joellemarchal74/


 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

 

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Je partage l'interview que j'ai réalisée ce jour avec Gérald VAUSORT, Responsable Projet Editions 7e CIEL, sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW Gérald VAUSORT

Responsable projet Editions 7e Ciel

___________

 

Notre ami Gérald VAUSORT a gentiment accepté, récemment, de se soumettre à mes questions et je partage donc cet entretien sous ce post.

 

 

Bonjour Gérald,

 

JM : - Comment vas-tu ?

 

Gérald : Bien ! Très bien, même. Beaucoup d’événements importants depuis début 2019.

 

 

JM : - Certains amis du groupe te connaissent et tu as bien voulu m'accorder une interview en ta qualité d'auteur il y a déjà un certain temps mais peux-tu tout de même te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Gérald : Bon, vous l’aurez voulu. Je vous préviens c’est un court résumé, qui est un peu long…

Gérald Vausort – alias G.F. Spencer - Né en Belgique en 1964, mon enfance et mes études se déroulent normalement, avec des orientations plutôt scientifiques et sportives que j’approfondirai pour deux années à l’issue de mes études secondaires pour obtenir un diplôme de régent en biologie et éducation physique. De niveau Bac+2 à 19 ans, et un peu poussé par mes parents, j’ai poursuivi et terminé des études d’ingénieur en Biochimie en 1989.

 

Ensuite, un an de service militaire me pousse vers le nord (Anvers) où je m’installe pour dix ans pour y exercer le métier d’inspecteur maritime rattaché au transport chimique, et ensuite de technico-commercial dans la vente de câbles électriques.

L’environnement de ce grand port international qu’est Anvers m’a beaucoup apporté tant au niveau de la pratique des langues que de la vie. Je suis au cours de cette période 6 jours sur 7 en « vadrouille » de par mes activités musicales.

 

C’est en 2000 que tout bascule puisque je rencontre celle qui deviendra mon épouse (Olya) et que je déménage dans le Loiret, attiré par la beauté de la région mais aussi par une certaine envie de retour au calme.

Pour être le plus franc possible, je n’ai pu tenir plus d’une année… Chassez le naturel… Ce vieil adage se vérifia encore une fois, et je n’ai pu m’empêcher de reprendre mes activités musicales.

Ainsi est né Hobo, un groupe composé de 5 musiciens qui a eu ses heures de « gloire » entre 2001 et 2015. Entre temps, je me suis marié, et nous avons eu deux garçons, Sébastien et Sacha, aujourd’hui âgés de 17 et 15 ans.

Pour ce qui est de l’écriture, c’est simple, j’ai toujours écrit. Quand j’avais 12 ans, je remplissais des pages de carnets de poésies. Je n’ai jamais vraiment compris pourquoi. C’était comme une musique pour moi. Tant que ça sonnait, ça me plaisait.

Vers 14 ans, j’ai découvert la « vraie » musique. La période était franchement punk, mais j’étais plutôt attiré par les groupes psyché tels que Pink Floyd, Deep Purple, Led Zeppelin etc. Et c’est là que tout a commencé.

Je vous parle plus de musique que de lettres, je sais, mais l’écriture est vraiment venue de cette façon, quand je me suis mis, à 16 ans, à composer des chansons.

Pendant 34 ans, je n’ai plus écrit un mot en français. L’anglais était devenu ma langue d’écriture. J’avoue même ne pas avoir aimé ma propre langue pendant plusieurs années, la trouvant rébarbative musicalement. C’était une erreur, je ne l’ai compris que bien plus tard.

Et puis, il y a eu cette séparation du groupe, forcée par le départ de l’un de nos musiciens. Ce jour-là, je me suis senti perdu. Cette impression d’avoir fait « tout ça pour rien ». J’ai donc lancé un projet : une comédie musicale à partir de notre cd « Bamboo Town » dont j’avais écrit les paroles, toujours en anglais.

Malheureusement, sans sponsor, ce projet n’a pas pu voir le jour. Je me suis donc retrouvé avec un script inutilisable de 80 pages, que j’ai décidé de transformer en un roman : « Hobo Johnson » dont l’écriture fut achevée en juin 2016.

Le Monde selon Marie, tout en étant chronologiquement antérieur, découle de ce premier roman. Dans « Hobo Johnson », le héros est un orphelin qui a vécu en Californie durant la première moitié du XXe siècle. À la recherche de ses origines, il prend un train pour Mexico City. À peine a-t-il passé la frontière qu’il rencontre Jane, une jeune dame dont les parents, Marie Laveau et Louis Cypher sont des adeptes du culte vaudou. Je n’en dirai pas plus sur ce roman, car il est aujourd’hui devenu le tome 3 de la tétralogie. En effet, au terme de l’écriture d’Hobo Johnson, la nécessité de faire connaitre l’origine de mes personnages (Marie, Hobo, Swann, Louis Cypher…) s’est déclarée. J’ai reconstitué la vie de Marie à travers les siècles, mais en filigrane. Ce livre n’est pas l’histoire complète du personnage, mais une période importante au cours de laquelle elle joua un rôle décisif dans l’histoire américaine : l’abolition de l’esclavage en 1865.

Vous l’aurez compris, c’est avant tout un roman historique, mêlé d’ésotérisme, de romance, d’humour et d’idées résolument utopiques de paix, d’amour et de beauté. Ce Monde auquel j’aspire, en somme. C’est donc aussi un « feel good », dans lequel les frissons, les sourires et les larmes se mélangent.

 

 

 

JM  : - Et si tu nous présentais également la maison d'édition que tu as créée ?

 

Gérald : Les Éditions 7e Ciel est un projet qui me trottait dans la tête depuis un certain temps. Quelque peu impressionné par les commentaires d’auteurs sur les réseaux sociaux à propos de la difficulté d’accès à l’édition classique, j’avais pensé à cette solution déjà en 2015 (oui, j’ai l’esprit d’entreprise et de plus, vouloir me sentir libre est un de mes fondamentaux). Devant l’imbroglio administratif que cela représentait, j’y avais renoncé, préférant me consacrer complètement à l’écriture. Puis vint cette chance, en avril 2018, qui me fut donnée par Alain Anceschi et Anne Seliverstoff des Éditions ROD, que je ne remercierai jamais assez. En découlèrent une année euphorique au cours de laquelle je me suis remis sur mon ouvrage (Le Monde selon Marie) afin de l’améliorer, avec l’aide d’Alain, et puis, la parution, le 15 décembre 2018, de ce premier opus. La suite, beaucoup la connaissent, la maladie d’Alain qui se déclara en janvier 2019, les petits soucis de la maison ROD etc. Dans l’attente de la récupération de mes droits, j’ai envisagé plusieurs axes de progression : retrouver une autre ME, m’autoéditer, reprendre ROD, ou créer une nouvelle ME. Je vous avoue avoir exploré ces quatre possibilités pendant 6 mois et c’est finalement une lecture associée à une rencontre qui m’ont décidé à créer du neuf. Quatre personnes sont donc partiellement responsables ;-) de l’existence de 7e Ciel : 1. L’auteur(e) Isabelle Malowé, avec son roman « Les rumeurs de la terre », qui réussit à me communiquer sa passion pour les romans historiques ethniques. 2. L’auteur de contes dogons Amassolou Guindo, qui, en recherche d’éditeur, fit naître en moi l’idée que la conjonction de ces deux lectures n’était peut-être pas que le fruit du hasard. 3. Moi-même, qui croit encore et toujours au père Noël, résolument, et ce jusqu’à la fin de mon adolescence, au siècle prochain ;-). Et finalement, mon épouse, Olya, qui prit le parti de m’accompagner dans cette aventure (mes enfants aussi, qui à 15 et 17 ans se sont mis à écrire…).

7e Ciel est donc née le 4 février 2020. En voici la très succincte ligne éditoriale :

 

Née de la volonté de créer une structure offrant aux lecteurs la possibilité de découvrir de nouveaux auteurs, 7e Ciel a pour objectif de faire naître, par la lecture, du rêve et de la bienveillance au sein des esprits. Ésotérisme, fantastique, mystique, fantasy, poésie, histoire, contes, fables, tous les genres sont acceptés, à condition qu'ils respectent ce précepte.

Fondée le 4 février 2020, cette très jeune maison, distribuée par Sodis Distribution, ne publiera qu'une quantité limitée d'ouvrages. Mettre en avant la qualité plutôt que le nombre étant notre ligne de conduite. 

 

 

 

JM : - Pourquoi avoir choisis d'appeler ta maison d'édition 7e Ciel ?

 

Gérald : Tout le monde a entendu cette expression populaire : « envoyé au 7e Ciel ». On se trouve au "septième ciel" lorsqu'on est au comble du bonheur. La formule s'utilise aussi pour décrire le plus haut point du plaisir sexuel. Mais d'où vient en réalité cette expression ?

Je vous mets en copie ci-dessous un article du Figaro, qui éclaire la question. (de Joanne Girardo)

Le ciel... D'où vient-il ? De quoi est-il fait et qu'y a-t-il «au bout» du ciel ? Depuis toujours, les humains sont fascinés par cette toile bleu marine constellée qui s'exhibe au-dessus de leur tête. Et depuis l'Antiquité, ils tentent de l'expliquer. C'est à cette période qu'est née cette locution exprimant la félicité. À l'époque, n'en déplaise au pauvre Galilée, on pensait que la Terre était à l'univers ce qu'une reine est à son royaume. En clair, on imaginait que tous les objets stellaires tournaient autour de notre planète. Ces objets, pensait-on, étaient englobés dans des sphères transparentes, car ils présentaient chacun des mouvements et trajectoires singuliers. Chaque sphère correspondait à un ciel distinct. Il y avait le ciel de la Lune, puis celui de Mercure, de Vénus, du Soleil, de Mars, de Jupiter et de Saturne !

Dieu, le maître de l'univers, trônait quant à lui dans une sphère surplombant toutes les autres et portant les étoiles, nommée le firmament. À cette époque, lorsqu'on était dans un état de bonheur total, on disait « être ravi au ciel» ou bien «être au troisième ciel». Car c'est dans ce dernier que se trouvait Vénus, la déesse de l'Amour.

Être ravi au ciel signifiait donc au sens propre être arraché du sol et emmené vers les cieux!
Chaque ciel représentait un degré de plaisir. Au fur et à mesure, le bonheur s'est élevé encore plus haut, pour se nicher dans le ciel de Saturne. L'expression «être au septième ciel» était née. De l'autre côté de l'Atlantique, les Québécois disent, quant à eux, «être aux oiseaux».

Finalement, qu'importe le lieu, s'élever au septième ciel ou au milieu des oiseaux est toujours un ravissement exquis. Vous êtes prévenu(e)s ;-) .

 

 

JM : - Quelles sont les missions d'un éditeur et comment se déroule une journée type aux Editions 7e Ciel ?

 

Gérald : Mon avis : l’éditeur a pour rôle essentiel de magnifier l’œuvre qu’il choisit d’éditer, non seulement en participant par ses corrections et conseils à son élaboration, mais aussi en mettant à la disposition des auteurs tous les moyens nécessaires à la mise en avant de leur travail. Je pense notamment aux supports publicitaires imprimés, mais aussi à un blog internet, une vidéo de présentation, des interviews radio ou de presse écrite, les salons, etc.

La plupart des autoédités se disent sans doute « tout ça, je le fais déjà, je n’ai dons pas besoin d’un éditeur ». C’est effectivement un choix qui peut se justifier. Et c’est sur ce point que je désire insister : 7e Ciel fera (et fait déjà) tout pour offrir à ses auteur(e)s le temps libre nécessaire à la pratique sereine de l’écriture. Et finalement, se doter de moyens de distribution efficaces, raison pour laquelle nous avons fait le choix de travailler en collaboration avec la SODIS, faisant partie du top 5 de la distribution en France et permettant également une distribution active au niveau international.

La journée type correspond à celle d’une entreprise « normale », avec ceci de particulier que les tâches nécessitant le plus de concentration (corrections, relectures etc.) sont groupées le matin.

 

 

JM : - Combien as-tu de collaborateurs et quelles sont les tâches qui leur sont confiées ?

 

Gérald : Trois personnes, pour l’instant (et ce jusqu’à fin 2021, période test que nous nous sommes imposée) : Une correctrice, amie, qui souhaite garder l’anonymat. Mon épouse, qui effectue toutes les tâches administratives, contrats, comptabilité, envois etc. et moi-même, qui gère la partie commerciale et les pré-corrections.

 

JM : - Comment as-tu fait pour constituer les membres de ton comité de lecture ?

 

Gérald : J’ai envoyé des demandes par mp sur Facebook. Six personnes constituent en ce moment le comité de lecture, chaque livre étant lu par tous les membres, les 6 publications par an des deux prochaines années permettant cela. (un rythme d’un livre tous les deux mois environ).

 

 

JM : - Dans le cas où des chroniqueurs, blogueurs seraient intéressés par les ouvrages de ta maison d'édition, comment doivent-ils procéder pour présenter leur candidature ?

 

Gérald : Soit par mp sur Facebook, ou par email (info@e7ciel.com), ou par message sur le site (https://www.e7ciel.com)

 

 

JM : - Sur quels critères retiens-tu les manuscrits à publier et combien de textes lis-tu par mois ?

 

Gérald : Depuis février, j’ai dû recevoir une vingtaine de manuscrits. Je n’accepte que les versions électroniques en pdf. Le format A4 me convient, l’A5 aussi. Je fais une première sélection à la suite de deux tests : 1. La correspondance entre le résumé et notre ligne éditoriale. 2. La lecture du premier chapitre et de quelques passages pris au hasard dans l’œuvre. Si le manuscrit passe cette sélection, je le lis dans son entièreté, ce qui constitue un troisième test. Je l’envoie ensuite en comité de lecture. J’ai donc besoin de 4 à 6 semaines pour me prononcer. Les réponses parviennent aux auteurs sous 2 mois maxi.

 

 

JM : - Comment choisis-tu tes auteurs et quelles relations entretiens-tu avec eux ?

 

Gérald : La question est cruciale et je vais expliquer pourquoi. J’ai appris au cours de ces dernières années que la relation, autant que la qualité de l’écriture, est un aspect important au sein de la vie d’une maison d’édition. Donc, oui, je vous avoue tester les auteurs sur leur manière d’être et leurs réactions aux demandes d’amélioration(s) de leur manuscrit. Je regarde aussi leur page et la manière avec laquelle ils abordent les réseaux sociaux et plus particulièrement les groupes. J’avoue être très pointilleux sur ces aspects. Il est donc possible que je ne désire pas éditer l’un ou l’une auteure si celle-ci a un caractère de cochon ;-)

 

JM : - Lis-tu et quel genre ?

 

Gérald : Mon activité induit naturellement un nombre important de manuscrits à lire ;-). Mes genres de prédilection sont ceux qui me procurent des émotions positives, tous genres confondus. Je lis très peu de thrillers ou de SF.

 

JM : - Quel a été ton dernier coup de cœur littéraire ?

 

 

Gérald : Sans hésitation, un roman qui est en ce moment en cours de production… mais ça, c’est encore un secret ;-)

 

 

JM : - Quel est ton plus beau souvenir de rencontres lors d'un salon du livre ?

 

Gérald : Quand vous lisez une œuvre telle que « Les Rumeurs de la Terre » et que par le plus grand des bonheurs vous faites partie de la même maison d’édition, rencontrer Isabelle Malowé fut sans nul doute mon plus grand plaisir littéraire, au SLP 2019. J’aimerais toutefois citer Bernard Werber, que j’ai eu le bonheur de rencontrer à Orléans, à la librairie Passion Culture, un jour où, avec le groupe Hobo, nous faisions une animation musicale sous la direction de France Bleu. J’aime raconter cette anecdote, car, tandis que nous présentions notre nouveau CD, Bernard Werber s’est renseigné auprès des organisateurs du nom de notre groupe, qu’il avait beaucoup aimé. Je n’ai malheureusement pas pu lui signer d’autographe, étant à ce moment-là en train de jouer . Je peux cependant vous assurer que j’ai lu tous ses livres depuis lors ;-)

 

 

 

JM : - Penses-tu que le livre papier a encore de l'avenir ou que l'édition numérique va bientôt le détrôner ?

 

Gérald : Je pense que le livre papier vivra tant que des idéalistes se mettront à créer des maisons d’édition. Par contre, que le volume des ventes baisse est plus que probable, même si une grande proportion de sorties se font en papier certifié, garantissant ainsi le maintien des surfaces boisées. Je m’attends aussi à l’arrivée sur le marché de « livres blancs » d’ici quelques années. Alternative aux tablettes, et constitué comme un livre, de plusieurs pages, chaque page montrera un contenu électronique tel que sur les liseuses, avec un toucher semblable au papier. Une sorte de livre au contenu variable, dans lequel on chargerait les fichiers epub. La boucle serait ainsi bouclée… j’en ai entendu parler, mais la technologie des écrans souples n’est pas encore suffisamment avancée pour permettre une fabrication en série de ce produit. Pour en revenir à la question posée, je pense que le livre deviendra au final un produit « de luxe » que les lecteurs s’achèterons si ce qu’ils ont lu électroniquement leur a vraiment plu. (Ce qui se passe encore un peu avec les CD’s ou les LP’s en ce moment). L’envie de détenir « l’objet » existera toujours.

 

 

JM : - En dehors de la littérature quelles sont tes passions ?

 

Gérald : Houlà… vaste programme… je resterai concis : Ma famille, la musique (guitare et chant), l’aquariophilie (eh oui !), la cuisine, la peinture (les regarder et les acheter, pas dessiner, bientôt, peut-être, dans une autre vie…), la photographie, les concerts…

 

 

JM : - Quelle est ton proverbe préféré ?

 

Gérald : Le succès est d'obtenir ce que l'on veut, le bonheur est d’apprécier ce que l'on a obtenu. (Dale Carnegie)

 

 

 

JM : - Si tu étais une fleur, un fruit, une couleur, un animal : tu serais ?

 

Gérald : l’orchidée, la cerise, le turquoise, le goéland

 

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Gérald : Oui, bien sûr, j’invite les auteur(e)s à nous présenter leur(s) manuscrit(s). Nous entrerons le 1er juillet en période de sélection des œuvres pour 2021. Nous allons bientôt créer une page dédiée sur le site e7ciel.com Six manuscrits seront choisis d’ici septembre.

Joëlle, mille MERCIS pour cette opportunité, je te souhaite une très bonne santé et tout le bonheur pour la suite, ainsi qu’à ce groupe très sympathique que je visite régulièrement depuis bientôt deux ans, environ.

 

 

JM : - Gérald, je te remercie vivement d'avoir bien voulu m'accorder cette interview.

 

Le site de 7e Ciel : https://www.e7ciel.com

Mon site d’auteur : https://www.gfspencer.fr

Facebook 7e Ciel : https://www.facebook.com/e7ciel/

Facebook G.F. Spencer : https://www.facebook.com/gfgspencer/

Facebook Gérald Vausort : https://www.facebook.com/gerald.vausort

 

 

 

 

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ANNONCE INTERVIEW RESPONSABLE PROJET EDITIONS 7E CIEL - GERALD VAUSORT DIMANCHE17 MAI (dans la journée) SUR MON GROUPE FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

 

 

Bonjour les amis,

 

 

Je vous donne rendez-vous demain dimanche 17 mai 2020 (dans la journée) pour suivre l'interview que j'ai réalisée, récemment, avec Gérald VAUSORT, Responsable Projet Editions 7e CIEL.

 

Cet échange ne sera pas suivi de questions/réponses comme pour les interviews auteurs, mais vous permettra de connaître Gérald et le monde de l'édition.

 

A dimanche.

 

 

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ANNONCE INTERVIEW AUTEURE ISABELLE BERGI LUNDI 18 MAI 2020 18 H SUR MON GROUPE FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

💜MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS💜

Bonsoir les amis,💁‍♂️💁‍♀️

Ce soir vendredi 15 mai 2020 j'ai réalisé ma 119 ème interview 💻 avec un auteur 💁‍♂️📖r du groupe qui a accepté de se soumettre à mes questions.

Je vous donne donc rendez-vous le lundi 18 mai 2020 à 18 H 00 pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Isabelle Bergi 💁‍♀️📖. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Isabelle qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

A LUNDI.😍

 

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Bonjour aujourd'hui jeudi voici ma chronique concernant : "LE CHOIX DE MARGUERITE"

« LE CHOIX DE MARGUERITE »

Rose MORVAN

SOMETHING STILL

19 mars 2020

228 pages

 

Présentation

 

 

1815, dans la France de la Restauration, Marguerite, une jeune orpheline, coule des jours tranquilles auprès de sa tante Félicie, près de Montmorency. Son existence modeste est soudain bouleversée par un héritage inattendu qu'elle ne touchera qu'à une condition... héberger un inconnu. Cette cohabitation forcée lui fera découvrir les origines de sa naissance et l'obligera à faire des choix. Seront-ils les bons ?

 

L'auteure

 

Rose Morvan écrit depuis son adolescence, mais elle a franchi le cap de l’édition en 2014, seulement. Dans ses tiroirs, dorment encore des histoires rédigées dans des cahiers, et depuis elle ne peut plus s’arrêter.

Très attachée à sa Bretagne, – dont une partie coule dans ses veines –, à ses tempêtes, à son histoires et à ses légendes, elle situe l’intrigue de certains de ses romans dans cette région. Elle trace surtout des portraits de femmes qui se battent pour s’imposer, vivre leurs envies, et leurs amours, être heureuses tout simplement.

Qu’il s’agisse de contemporain, de l’historique, ou bien de l’érotique et du conte, Rose Morvan, amoureuse de la langue et de la littérature françaises, travaille les mots, leurs sonorités pour qu’ils enchantent les lecteurs.

Ce qui définit le mieux Rose Morvan ? Scribo ergo sum, j’écris donc je suis.


 

 

Mon avis

 

Je remercie Rose MORVAN de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son dernier roman « Le Choix de Marguerite ». Etant une fan inconditionnelle de cette auteure dont j'ai lu un grand nombre d'ouvrages, j'ai été de suite attirée par la très jolie couverture et le résumé fort alléchant.

 

Rose MORVAN a vraiment le don de captiver le lecteur et l'on se sent de suite happé par ses si jolis mots.

 

L'auteure nous transporte au début du XIXème siècle Ainsi nous faisons connaissance avec Marguerite, jeune orpheline, innocente et fort attachante qui menait une vie paisible avec sa tante Félicie jusqu'au jour où sa vie fut bouleversée par l'annonce d'un héritage au demeurant fort surprenant... Mais quel sera le choix de Marguerite ?

 

 

Rose MORVAN décrit avec moult détails les traits tant physiques que psychologiques et les sentiments des protagonistes de son roman, les vêtements de l'époque, mais également une période de notre Histoire que j'ai découverte avec grand plaisir.

 

J'ai beaucoup aimé ce roman historique romancé, très bien écrit et documenté que j'ai dévoré pratiquement d'une traite tant j'avais hâte d'en connaître le dénouement.

 

Un excellent moment de lecture.

 

 

Page FB :https://www.facebook.com/joellemarchal74/

 

Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

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ANNONCE INTERVIEW AUTEUR ERICK BOUIX VENDREDI 15 MAI 2020 18 H SUR MON GROUPE FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS💜

Bonjour les amis,💁‍♀️💁‍♂️

Hier lundi 11 mai 2020 j'ai réalisé ma 118 ème interview 💻avec un auteur du groupe 💁‍♀️📖 qui a accepté de se soumettre à mes questions.

Je vous donne donc rendez-vous le vendredi 15 mai 2020 à 18 H 00 pour suivre l'entretien que j'ai eu récemment avec Erick Bouix 💁‍♂️📖. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Erick qui y répondra en direct ou plus tard selon ses disponibilités.

A VENDREDI.😍

 

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Bonsoir je partage l'interview réalisée ce soir avec Nicole MALLASSAGNE sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEURE

Nicole MALLASSAGNE

 

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

  • Notre amie Nicole MALLASSAGNE a récemment accepté de se soumettre à mes questions.

 

Je partage donc avec vous cette interview à l'issue de laquelle vous pourrez, si vous le souhaitez, poser vos questions à Nicole qui y répondra PLUS TARD en fonction de ses disponibilités.

 

 

 

JM : - Bonsoir Nicole

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prête à « passer sur le gril » ?

 

Nicole : Oui, quand le grill est amical, on ne peut s’y brûler !

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Nicole : L’envie d’écrire m’avait poussée dans des études littéraires à Montpellier. Prof de Lettres pendant 37 ans, je ne pus que voir grandir ce désir. Quelques tentatives d’écriture m’apprirent vite, que ce désir était incompatible avec les charges de ma vie professionnelle, de ma vie familiale. Il fallait que je consacre du temps à mes deux enfants qui pâtissaient déjà des piles de copies à corriger qui leur volaient souvent mon attention.

 

JM : - Que représente pour toi l'écriture ?

 

Nicole : Un moment privilégié qui m’extrait de la réalité pour me faire vivre toutes les vies que je n’aurai jamais. Pour me permettre d’exprimer toutes les sensations, les sentiments, vécus, habillés de circonstances différentes, donc transposés, mais bien réels. Ajoutons à cela : Quand la fiction permet de dire, l’indicible !

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes ouvrages ?

 

Nicole : « Disparitions » est mon cinquième roman. Toutes mes fictions commencent par un personnage en difficulté. Leurs parcours les amèneront par des rencontres, par l’amitié, par l’amour, à découvrir le bonheur qui est en eux.

Et dans mes romans qui se déroulent en Cévennes : Des Cévennes et des hommes, Retour en Cévennes, Derrière les nuages, ils découvriront un pays rude comme les hommes qui les habitent, hommes qui savent aider ceux qui sont prêt à aider.

Un roman Destinée de femmes, parle de ces femmes modernes qui ont gagné en liberté mais aussi en devoirs, leur combat pour le bonheur.

Oui, ce sont les relations humaines qui sont mon fond de commerce !

Personnages en quête de bonheur, d’identité, comme l’auteur… Ouvrages qui peuvent aussi amener à une réflexion sur l’écriture.

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

Nicole : Un recueil de Nouvelles : Formes de vie, va paraître en 2020, et je suis en train d’écrire mon 7ème ouvrage, ce sera un roman... Mais chut, il se construit !

 

 

 

JM : - Comment écris tu (carnets, cahiers, directement sur l'ordinateur) ?

 

Nicole : J’écris directement sur l’ordinateur. Je prends des notes sur des carnets pour ne pas oublier tel film, tel livre, tel évènement, telle idée… Carnet que je regarde peu ensuite quand j’écris, mais qui m’ont permis de fixer sur papier, ce qui se grave alors automatiquement en moi. Là aussi l’écriture, tel un acide grave la matière…

 

 

 

JM : - Comment procèdes-tu pour créer les protagonistes de tes ouvrages et connais-tu, lorsque tu commences à écrire, la fin de l'histoire ou est-ce que tu improvises au fil des mots ?

 

Nicole : Je pars d’une situation difficile pour un personnage. Situation, personnage qui s’impose à moi, pourquoi, je ne sais … Mais ensuite ce personnage prend vie, il me mène, m’introduit dans sa vie, me fait rencontrer des gens, des situations des régions que je découvre… d’où les nombreuses recherches que je suis amenée à faire !

Je ne sais donc où je vais, mais je chemine. Comme dit Marguerite Duras, dans Écrire : « si on savait ce qu’on va écrire, on n’écrirait jamais. »

 

 

 

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement  ?

 

 

Nicole : Je viens de créer, un lieu sur Nîmes qui accueille les auteurs de la région. Je présente leur ouvrage. À cette occasion, il y a une dédicace de l’auteur pour son ou ses ouvrages.

Lorsque le thème correspond à l’un de mes ouvrages, il est intéressant de faire une étude comparée, je présente alors aussi mes ouvrages à la dédicace.

Un lieu convivial, « La Fontaine littéraire », au restaurant aux Tables de la Fontaine, au jardin de la fontaine à Nîmes, de 11h à 12h30. un samedi par mois ou tous les 2 mois ( voir les rendez-vous sur mon site)

 

 

 

 

JM : - A qui confies-tu tes manuscrits (membre de ta famille, amie, bêta-lecteur) ?

 

Nicole : Deux amies qui acceptent de remplir ce rôle de Bêta-lecteur.

 

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier tes ouvrages ?

 

Nicole : Sur les conseils de Jean d’Ormesson, qui avait apprécié l’extrait de mon premier roman que j’avais eu l’audace de lui envoyer ; il m’avait conseillé de trouver d’abord un éditeur régional. Ce que j’ai fait, encouragée par son avis positif sur mon extrait. Merci à ce grand homme.

Comme beaucoup d’auteurs, en tâtonnant d’éditeur en éditeur. J’essaie de trouver l’éditeur où on se sent en confiance. Il ne faut pas hésiter à prendre les conseils de la SGDL, son service juridique étudie vos contrats, sage précaution, avant de signer. Et la recherche d’un éditeur avec une bonne diffusion/distribution, n’est pas simple.

 

 

 

 

JM : - Que penses-tu de l'édition numérique ?

 

Nicole : Elle est incontournable, pratique en voyage, je l’utilise moi-même dans ce cas. Mais je ne la vois qu’en complément de l’édition papier.

 

 

JM : - Que ressens-tu lorsque tu écris le mot FIN ?

 

Nicole : Que rien n’est fini ! Mes personnages continuent à m’habiter, et vont sans doute me donner d’autres idées pour un nouvel ouvrage. Même s’ils ne sont plus en scène.

 

 

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Nicole :Le jardinage, les voyages, les films, la fréquentation des musées. Et…la lecture.

 

 

JM : - Lis-tu ? Si oui quel genre ?

 

Nicole : Je relis les classiques qui ont rempli ma vie de prof. Je lis les auteurs qui veulent participer à ma Fontaine littéraire, les prix littéraires, et les romans que signalent les émissions littéraires, les coups de coeur des amies. Mais j’exclue les policiers et la science fiction pour l’instant, ils m’attirent moins, c’est aussi une façon de faire un choix dans l’immensité des lectures qui s’offrent à moi.

 

 

JM : - Quel conseil donnerais-tu aux lecteurs qui souhaitent devenir écrivains ?

 

Nicole : Simplement dire si vous avez envie d’écrire écrivez. Si écrire vous comble, écrivez. Que vous soyez édité ensuite est un autre problème, cela peut-être un désir mais pas pour tout le monde.

Faire des recherches sur le monde de l’édition est indispensable si on veut trouver un éditeur, car on ne peut entrer dans ce monde sans ouvrir les yeux sur les écueils.

 

JM : - Quelle est ta musique préférée et écris-tu en musique ?

 

Nicole : J’écris dans le silence de mes pensées, pour que l’écriture émette sa musique toujours singulière, selon les personnages qui prennent vie. Une écriture qui ne diffuse pas sa musique, est pauvre.

 

JM : - Quel est ton plus grand rêve ?

 

Nicole : Vivre longtemps en bonne santé près des miens pour écrire tout ce que je n’ai pu encore écrire. Et si mon écriture pouvait aider ceux qui rencontrent des difficultés en voyant mes personnages qui, par leurs désirs, par leurs rencontres arrivent toujours à s’en sortir.

 

 

JM : - Peux-tu nous donner ton principal défaut ? Une de tes qualités ?

 

Nicole : Je suis persévérante, tenace, c’est peut-être une qualité. Mais je suis impatiente, sans doute que ce défaut va avec …

 

 

JM : - Si tu étais : un fruit, une fleur, un animal : tu serais ?

 

Nicole : Une cerise, c’est simple et souvent double ! Une pensée, il faut la chercher pour la voir. Un petit oiseau, un pierrot, libre.

 

 

JM : Si tu devais partir sur une île déserte quel objet indispensable à tes yeux emporterais-tu ?

 

Nicole : Plusieurs objets, dans un petit sac pour les protéger : Un livre : Le petit Prince, des feuilles blanches et un crayon.

 

 

 

JM : - Quelle est ta citation préférée ?

 

Nicole : « On ne voit bien qu’avec le coeur » Le Petit Prince, de Saint Exupéry.

 

 

JM : - As-tu autre chose à ajouter ?

 

Nicole : Merci.

Et si vous êtes curieux de savoir ce que j’écris, vous pouvez lire des extraits de mes romans, des nouvelles intégrales sur mon site : nicolemallassagne.fr

 

 

 

JM : - Merci Nicole pour cet agréable moment passé en ta compagnie , ta disponibilité et ta gentillesse.

 

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Nicole qui se fera un plaisir de vous répondre sous ce post.

 

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Bonjour aujourd'hui lundi voici ma chronique concernant "Maldonne au Festival de Cannes"

« MALDONNE AU FESTIVAL DE CANNES »

Alice QUINN

Editions ALLIAGE

28 février 2020

348 pages

 

 

Présentation

 

Rosie Maldonne au Festival de Cannes, un page-turner ébouriffant.
Alice Quinn nous offre le luxe de plonger son héroïne explosive au cœur du monde glamour du cinéma, entre soirées de gala et suite au Majestic, un cocktail détonnant de corruption, harcèlement, petits fours et champagne. Un feu d’artifice jubilatoire.

C’est le Festival de Cannes.

Rosie est de nouveau dans la dèche à la recherche d’un vrai boulot, tout en soupirant après l’âme sœur qu’elle recherche sur des sites de rencontre.

Grâce aux Gilet Jaunes, tous les samedis, elle est assurée de pouvoir offrir des croissants à ses enfants.
C’est sur ces entrefaites qu’elle rencontre un
 footballeur devenu acteur qui l’engage comme Body Guard pour une soirée de gala.

Elle s’enflamme pour la mission et se fantasme en Superwoman. La voilà sur le célèbre tapis rouge du Festival.
Mais pourquoi ce type a-t-il besoin d’un garde du corps ? Que lui veut la productrice du film, qui ne la lâche plus d’une semelle ? Et qui sont vraiment les sponsors de ce film en compétition pour la Palme d’Or ?


Quel est ce sort qui s’acharne contre elle l’empêchant encore et toujours de percevoir son salaire pourtant bien mérité ?


Qui est ce mystérieux amoureux virtuel qui semble si bien la connaître ?


Dans ce dernier opus de la saga « Au pays de Rosie Maldonne », Rosie va devoir régler les problèmes existentiels de sa vie amoureuse, familiale et professionnelle.


Parviendra-t-elle enfin à donner enfin un sens à sa vie ?

« 
Passionnant, l'auteur ne laisse rien au hasard, son personnage principal est très convaincant et très vivant, haut en couleur. Style très enlevé. On ne laisse pas le livre une seconde quand on l'a commencé. Très très bien, vraiment passionnant. J'ai eu du mal à m'en défaire pour aller me coucher. » Monique Monge.


 

L'auteure

« Puisque vous visitez ma page auteur, profitez-en pour cliquer sur "SUIVRE", vous serez informés de mes nouvelles parutions.
Et pour aller plus loin encore, venez me visiter sur mon blog: https://alice-quinn.com/
L’écriture est le cadeau que j’ai décidé un jour de m’offrir en comprenant que la vie serait courte et que le bonheur ne tiendrait qu’à moi. Cette prise de conscience m’oblige à m’octroyer chaque jour un rendez-vous pour rêver, m’évader, rire, pleurer, sourire, m’attendrir, avec mes personnages rencontrés au gré des pages. Elle me permet de garder le moral, la pêche et le courage d’avancer en toute circonstance. Je crois que c’est contagieux et que les lecteurs-trices ressentent les mêmes symptômes en me lisant.
J’ai eu la chance de connaître le succès avec la série de comédies policières: "Au pays de Rosie Maldonne". Le bonheur d'écrire d'autres épisodes aux aventures de Rosie Maldonne a fait partie des retombées merveilleuses de ce succès, car j’ignorais au départ que l’aventure durerait plus d’un tome ! Cette série est à mi-chemin entre les « Tontons-flingueurs » Bridget Jones qui vivrait en caravane, et la comédie italienne des années 70.
J’ai poursuivi ma route en courant derrière Rosie qui m’entraîne. Après Rosie #2 : "Rosie se fait la belle", et Rosie #3: "L’ombre du zèbre", il y a eu l'opus #4: "Nom de code: Mémé Ruth".
J’ai alors ralenti la cadence car le tome 5 verra le point final des frasques de Rosie, et je retarde l’instant fatidique.
Ce qui ne m'a pas empêchée en janvier 2018, de changer de registre pour vous entraîner dans une intrigue policière historique. Je me suis alors plongée avec délice dans Cannes à la Belle-Époque pour en extraire un polar historique à l'atmosphère pleine de suspense et de contrastes, "La lettre froissée".
Les personnages: une courtisane, une lady déclassée et un écrivain, Guy de Maupassant, se sont imposés à moi et ont imprimé leur présence dans ma ville au point que je me promène à présent à leurs côtés en permanence.
Tous les trois enquêtent sur le meurtre d'une femme de chambre d'un palace de la Croisette en 1884. Un univers entre Wilkie Collins et Maupassant.
Le tournant du siècle, une société à la fois glamour et remplie de diversité propice au conflit, où le Gotha croise les plus humbles dans un foisonnement de richesse humaine, ont façonné la trame de l'intrigue. En librairie édité par City Éditions.
"Le portrait brisé", tome 2, voit Maupassant, Lola et Miss Fletcher se battre pour sauver une orpheline de la guillotine, sur fond de scandale immobilier à Cannes en 1888.
Avec "Le garçon qui rêvait de voler en Cadillac" je me fais un plein de tendresse, puisqu’il s’agit d’une comédie policière sensible. En la lisant, vous vous promènerez dans un Paris attachant. Le personnage de Rosie ne fait pas partie de cette balade en Cadillac, mais sa couleur est présente. Jazz musette, Paris-Manouche, suspense, tendresse et humour sont de nouveau au rendez-vous. Également en librairie, édité par City éditions.
J’ai malheureusement commis également un roman trop noir, « Fanny N. », que je déconseille aux plus sensibles d’entre vous, tout du moins à ceux qui se sentent fragiles en ce moment. C’est un roman qui déprime, une plongée abyssale dans la folie humaine. J’y ai laissé quelques plumes en l’écrivant, et je préfère vous mettre en garde.
Entre le tome 2 et le tome 3 de la trilogie historique, j’ai eu envie d’écrire une histoire d’amour. C’est le récit plein d’espoir d’un parcours de femme, d’un voyage, d’un pont entre deux îles, le roman de la seconde chance : « Brille, tant que tu vis ».
Vous l’aurez compris, dans ma joie d’écrire il y a aussi l’ivresse d’arpenter de nouveaux espaces, de découvrir. C’est pourquoi telle une chercheuse d’or, je prospecte des genres variés, découvrant des mines de personnages nouveaux, toujours attachants, mais si différents les uns des autres ! C’est grâce à ces incursions que je me sens vivante.
J’ai quelques points communs avec Rosie Maldonne, l'héroïne de « Un palace en enfer »...
Comme elle, je vis dans le midi, je suis désorganisée, j’ai des gosses, des chats, et j’ai même vécu dans une caravane, (ok ça fait quelques temps, mais je n’ai rien oublié !)
Ma devise serait du genre : « Pas de panique, quand on touche le fond on finit par remonter. »
Je remercie mes lecteurs pour le succès numérique rencontré par Rosie, qui m’a permis de vivre des événements grisants pour un auteur: traductions en anglais, en espagnol, versions audio, éditions traditionnelles et des rencontres merveilleuses avec des lecteurs, des échanges par email, sur les réseaux sociaux...
Publiée parfois chez AmazonCrossing en version anglaise, je propose certains de mes titres à mes lecteurs anglophones : "Rosie Maldonne cosy fun Mystery" sous les titres : "Queen of the trailer Park", "Queen of the Hideout" et "Queen of the Masquerade" mais aussi la trilogie, avec « The crumpled Letter », et aussi en espagnol: "Un palacio en el infierno".
Pour tous ceux qui ont des difficultés visuelles de lecture, mais aussi ceux qui aiment qu'on leur raconte des histoires quand ils sont en voiture, ou en train... vous pouvez également trouver la version audio de "Un palace en enfer" chez Audible.fr, et de mes titres en anglais également chez Audible.com.
Tous mes liens:
mon blog : https://alice-quinn.com/
facebook : https://www.facebook.com/Alice.Quinn.page.auteur.France/
Twitter : https://twitter.com/@AliceQuinn2013/
https://www.instagram.com/alice.quinn.romans/
Pinterest : https://www.pinterest.fr/alicequinnFrance/
Chaîne Youtube (entretiens avec des auteurs) :
https://www.youtube.com/channel/UC7f0KlovRf7TSCGT74YlW9A »

 

 

Mon avis

 

Je remercie Alice QUINN de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son roman « Maldonne au Festival de Cannes ». J'ai découvert la plume fluide et précise de cette auteure lors de la lecture de « La Lettre froissée » et « Le Portrait brisé », romans que j'ai beaucoup aimés.

 

Bien que n'ayant pas lu les précédents opus de cette série je n'ai pas eu de difficulté à entrer dans l'univers de Rosie.

 

Alice QUINN donne la parole à son héroïne que je découvre et qui est une personne attachante, généreuse ayant un grand cœur. Rosie est également pétillante, dégourdie et n'a pas froid aux yeux ! Nous la suivons au Festival de Cannes et ses aventures nous donnent le sourire, ce qui fait un bien fou.

 

J'ai beaucoup aimé ce roman policier empli d'humour, mené tambour battant par l'auteure, permettant ainsi au lecteur de ne pas s'ennuyer une seule seconde et d'oublier les soucis du quotidien.

 

A lire sans hésitation pour passer un très bon moment de lecture.

 

 

 

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Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com

 

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