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Bonjour aujourd'hui jeudi je vous invite à découvrir ma chronique COUP DE COEUR concernant : LA CHANSON DE JULIEN

« LA CHANSON DE JULIEN »

Catherine BOISSEL

PRESSES DE LA CITE

TERRES DE FRANCE

6 juin 2019

408 pages

 

Présentation

 

Eté 1927. Unie à Henri par une passion toujours intacte, Pauline mène une vie douce entre les siens et le haras des Tilleuls, un des plus réputés de l'Eure. Seule ombre : la crainte mêlée d'aversion de Fanfan envers son père en raison de son visage mutilé par la Grande Guerre. Ce bonheur presque tranquille vole en éclats pour Pauline lorsqu'elle intercepte une lettre de l'hôpital Sainte-Anne à Paris : un patient amnésique et paralysé à la suite d'un traumatisme de guerre affirme s'appeler Julien Vautier. Dès lors, d'anciens soupçons de Pauline renaissent : celui qui habite la ferme familiale, Julien, son frère chéri, serait-il un imposteur ?

 

Pour la première fois depuis son mariage, Pauline agit en cachette d'Henri. Bientôt la jeune femme est placée devant un cruel dilemme..

 

L'auteure

 

Catherine BOISSEL a grandi dans le Calvados. Elle a notamment publié « L'Enfant du crépuscule », « Le Prieuré des ténèbres » et, aux Presses de la Cité, « Les Portes du bonheur », dont « La Chanson de Julien » peut se lire comme une suite indépendante.

 

 

Mon avis

 

Je remercie Catherine BOISSEL et Marie-Jeanne des Editions PRESSES DE LA CITE de m'avoir donné l’opportunité de lire, en service de presse, « La Chanson de Julien » et ainsi de découvrir la très belle plume de l'auteure.

 

La très jolie couverture et le résumé fort alléchant m'ont de suite interpellée.

 

Dans le prologue, Catherine BOISSEL nous emporte en 1925, à l'hôpital Ste-Anne de Paris où un homme invalide et amnésique, rescapé de Verdun, semble se souvenir de la faune et de la flore de son enfance..

 

Ainsi l'histoire débute en 1927 dans l'Eure où nous faisons connaissance avec Pauline qui vit dans un haras avec son époux, Henri, ancien soldat rentré du Front défiguré et leur fils Fanfan. Ce dernier craint ce père au visage différent des autres, caché par un masque de cuir.

 

Nous découvrons au fil des mots de l'auteure, les sentiments très forts qui unissent ce couple jusqu'au jour où Pauline reçoit un courrier de l'Hôpital Ste-Anne qui la fait douter de la véritable identité de l'homme prétendant être son frère et qui, depuis son retour de la Guerre, gère la ferme familiale aux côtés de leur mère. Pauline se voit contrainte de cacher ses soupçons à son mari.

 

J'ai beaucoup aimé Pauline qui est une femme forte, courageuse, généreuse et dévouée : une très belle personne.

 

L'auteure décrit à merveille la campagne Normande et dresse une fine analyse des sentiments des protagonistes de son roman, les rendant authentiques et attachants. L'intrigue est passionnante et le suspense bien mené.

 

J'ai beaucoup aimé ce roman régional historique émouvant, extrêmement bien documenté sur les plans historique, régional et médical qui aborde outre l'amour, les séquelles tant physiques que morales des rescapés de la Première Guerre Mondiale et les relations père-fils.

 

J'ai lu cet ouvrage pratiquement d'une traite tant j'avais hâte d'en connaître le dénouement et je l'ai refermé à regret, les yeux humides..

 

Un joli COUP DE COEUR et un excellent moment de lecture.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui mercredi je vous propose ma chronique concernant : "LES DIEUX DECHUS" Les Cénacles du Don

« LES DIEUX DECHUS »

Les Cénacles du Don

Régis MOREAU

Auto-Edition

3 juillet 2019

219 pages

 

 

 

Présentation

 

Plus d'aventure, plus de liberté ! Depuis qu'elle a échappé à une terrible mort, Jessie ne souhaite que cela. Elle va apprendre, à ses dépens, que tous les désirs ne sont pas bons à réaliser. Ce que nos sociétés modernes ont oublié, elle va le redécouvrir brutalement : sorcière, augure, torche, porte-chance, thaumaturge ou encore combattant. Jessie va entrer dans : les cénacles du Don.


Après "Sous l'oeil de Judas" (coup de coeur du jury VSD 2013), "Au bord du Gouffre", "Syrscé", voici le nouveau thriller surnaturel de Régis Moreau.

 

Extraits

« -Comme vous, j’ai un don. Je soulage les gens des brûlures et, moi-même, je ne les crains pas. Le feu n’a pas prise sur moi. C’est un ami, avec qui je peux jouer en toute confiance.
-Vous… vous êtes comme la Khaleesi, dans Game of Throne.


Encore médusée par la démonstration, Jessie n’avait rien trouvé de mieux à bredouiller. L’expression circonspecte de Louis l’informa que sa référence était tombée à l’eau. 


-C’est une série télé à succès, tirée d’un livre. La reine Daeneris ne craint pas le feu. Bon, pas grave, oubliez ce que je viens de…


-C’est un de mes personnages préférés, la coupa Louis. C’est pas celle que j’aime le plus mais, elle est très chouette. Même si c’est du flan quand on la voit ressortir vivante d’un incendie, au bout de dix minutes. Même avec le don du feu, c’est impossible. Les fumées toxiques inhalées auraient dû détruire ses poumons. Ou alors, elle serait morte asphyxiée. Pour l’avoir vécu plusieurs fois, se trouver dans un brasier, c’est comme être sous l’eau. Au bout d’un certain temps, vous manquez d’air. Vous ne trouvez plus de quoi respirer... »

 

L'auteur

Régis Moreau, 36 ans, habite Nantes (Loire-Atlantique). Docteur en sociologie, c'est aussi un pratiquant passionné d'aïkido et d'aïkitaïso. 
 

 

Mon avis

 

Je remercie Régis MOREAU de m'avoir permis de lire, en service de presse, son roman « Les Dieux déchus ».

 

Bien que peu habituée à lire des thrillers, je me suis laissée emporter par cette histoire, intriguée par son côté surnaturel.. Il faut dire que la couverture mystérieuse donne envie d'en savoir un peu plus sur ces dieux et leurs dons.

Dès les premières lignes, l'auteur nous plonge dans le vif du sujet et nous présente Pierre, un homme bizarre qui semble posséder un don. Lorsqu'il touche certaines personnes rencontrées dans des lieux publics pour lesquelles il a eu une vision tragique, il leur donne une chance.. Jessie échappe ainsi à la mort mais sa curiosité va la conduire à vivre de nombreuses aventures toutes aussi incroyables que dangereuses..

J'ai beaucoup aimé ce thriller surnaturel captivant, très bien écrit et documenté, aux multiples rebondissements qui tiennent le lecteur en haleine et que j'ai lu pratiquement d'une traite tant il me passionnait. J'ai tremblé et espéré aux côtés de Jessie..

 

Je lirai assurément la suite de cette histoire.

Un très bon moment de lecture qui ravira les amateurs du genre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui mardi voici ma chronique concernant : "DESTINS INTERDITS"

« DESTINS INTERDITS »

Nathalie THOMAS-VERNEY

LE LYS BLEU

24 avril 2019

494 pages

 

Présentation

 

Julian a seize ans. Jeune délinquant et ancien toxicomane, il habite un vieux mobil-home vétuste avec sa mère et sa petite sœur. Très vite déscolarisé, il gagne cependant beaucoup d'argent en faisant des combats de boxe, la nuit dans les sous-sols des immeubles des cités. Julian n'a qu'une passion : le muy thai, ou boxe thaïlandaise, où il excelle, mais il n'a pas de rêves, pas de projets, pas d'avenir. 


Kentin a seize ans. Adolescent brillant, dont la beauté n'a d'égale que l'intelligence, il est le fils unique d'Alexandre Dumont de Givry, dix-neuvième comte de Givry, et habite le château de ses illustres ancêtres. Kentin a un rêve secret : devenir créateur de parfums, ce qui n'est pas du goût de son père. Julian et Kentin vivent à quelques centaines de mètres l'un de l'autre, mais ils ignorent totalement leurs existences. 


Une relation ambiguë qui commence par un viol, et un pardon qui mènera le jeune Julian aux portes de l'enfer. Deux existences qui n'auraient jamais dû se croiser ; deux mondes qui n'auraient jamais dû se rencontrer ; une passion qui n'aurait jamais dû voir le jour ; deux destins qui n'auraient jamais dû s'unir : deux destins interdits.

 

L'auteure

 

Née à Montereau-Fault-Yonne, Nathalie Thomas-Verney a toujours été amoureuse de sa région, entre vallée de la Seine et forêt de Fontainebleau. Son premier roman, " L'Exil ", sort en 2016. En novembre de la même année, elle remporte le concours d'écriture du château de La Motte Tilly avec sa nouvelle intitulée : " Le Dernier Chant du Rossignol ". Encouragée par les membres du jury, elle décide de se consacrer à l'écriture du roman.
" ; Le Dernier Chant du Rossignol" ; , sorti en avril 2018 qui sera primé au concours international des Arts Littéraires en 2019. Cette année, un second roman, plus contemporain, voit le jour : " Destins Interdits ". Une histoire qui se déroule dans sa région et qui s'inspire d'une citation de William Shakespeare : " il n'y a pas de mal qui ne passe pas au bien ". S'il est un fil conducteur dans chacun des romans de Nathalie Thomas-Verney, ce sont les châteaux : La Motte Tilly pour " Le Dernier Chant du Rossignol " (2018), Livry sur Seine pour " Destins Interdits " (2019) et le château du Pré, à Chartrettes, pour " L'or et le fer " (2020), des lieux pleins de souvenirs qui, comme une romancière, racontent des histoires.

 

Mon avis

Je remercie Nathalie THOMAS-VERNEY de m'avoir permis de lire, en service de presse, son dernier roman « Destins interdits » et pour la gentille dédicace qui m'a beaucoup touchée. J'ai découvert la plume légère et majestueuse de cette auteure lors de la lecture de son roman « Le Dernier chant du rossignol », qui fut pour moi un véritable COUP DE COEUR.

 

Nathalie THOMAS-VERNEY nous conte la rencontre entre Kentin, futur comte de Givry qui habite dans un château et Julian, garçon marginal qui lui vit dans un mobil-home, tous deux sont âgés de 16 ans.

 

Tout oppose ces deux jeunes gens issus de mondes différents, que seule une amitié sincère pourrait réunir. Mais sait-on vraiment qui se cache derrière les personnes qui prétendent être nos amis et auxquelles nous accordons toute notre confiance ?

 

L'histoire est intense, très émouvante et certains passages m'ont attristée, révoltée, dérangée surtout celui du viol..

 

L'écriture est belle, douce et addictive. Ainsi on ne peut s'empêcher de tourner rapidement les pages, sans même s'en rendre compte, pour connaître le dénouement, au demeurant fort surprenant, mais je vous laisserai le découvrir par vous-mêmes..

 

J'ai beaucoup aimé cet excellent ouvrage qui aborde avec brio des sujets difficiles comme le viol, l'homosexualité et d'autres thèmes : la musique, les combats de boxe (muy thaï), l'amitié, l'amour, la bourgeoisie, les différences de classes sociales et les métiers de la parfumerie.

 

Très bon moment de lecture.

 

 


 

 

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Rebonjour et voici ma seconde chronique du jour COUP DE COEUR concernant : "LES MARIES DE RIVIERE JAUNE"

« LES MARIES DE RIVIERE JAUNE »

Marie LAURENT

GLORIANA EDITIONS

10 juin 2019

450 pages

 

Présentation

 

Québec, 1820, À son premier bal chez le gouverneur, Selma Calvert est tombée éperdument amoureuse de Ragnar Norvandsen, l’héritier de riches marchands de bois.

Pour ce propre à rien séduisant et volage, elle rompt ses fiançailles et se met au ban de la société. Poussé par les siens qui veulent le voir casé, Ragnar l’épouse sans grande conviction.

Selma va non seulement devoir se faire une place au sein de la famille Norvandsen, mais aussi dompter sa redoutable belle-mère, Caroline.

 

L'auteure

 

Marie Laurent est auteure de nouvelles, de poèmes, de romans historiques

page Facebook:
https://www.facebook.com/pages/Marie-Laurent-Auteur/121703231237553 

 

 

 

Mon avis

 

Je remercie Marie LAURENT de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son roman « Les Mariés de Rivière Jaune » et ainsi de découvrir sa plume fluide, précise et majestueuse.

 

La très jolie couverture et le résumé fort alléchant ont de suite interpellée la férue de romances historiques que je suis.

 

Marie LAURENT nous emporte au Québec, pays que j'aime beaucoup, au 19ème siècle où nous faisons connaissance avec Selma et Ragnar. Nous découvrons, au fil des mots de l'auteure, la vie de Selma, son grand amour pour Ragnar, ses espoirs, ses déceptions...

  

L'histoire est très belle, émouvante et addictive. Il faut dire que l'auteure a une imagination débordante et le don de captiver ses lecteurs en décrivant avec moult détails les traits tant physiques que psychologiques des protagonistes de son roman.

Elle dresse également une fine analyse de leurs sentiments et leurs désirs, les rendant vrais et les fait évoluer dans des lieux et situations que nous imaginons aisément. Nous nous laissons porter et les images défilent ainsi sous nos yeux comme un film : un vrai régal pour le lecteur.

 

J'ai bien aimé Selma qui est très attachante et qui représente bien la femme, l'épouse telle qu'elle se devait d'être à cette époque et ses décisions nous révoltent quelque peu... Par contre j'ai détesté Caroline et son fils Ragnar mais je vous laisse en découvrir les raisons !

 

 J'ai ADORE cette magnifique romance historique fort bien écrite, extrêmement bien documentée et intéressante, ponctuée d'une jolie touche érotique, que j'ai dégustée tout doucement tout en ayant hâte d'en connaître le dénouement et refermé à regret. Un gros COUP DE COEUR pour moi.

 J'avoue être devenue fan de cette auteure dont je lirai assurément d'autres romans !

 

Excellent moment de lecture.

 

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui lundi je vous propose ma chronique concernant : "BALLADE IRLANDAISE" L'insurrection Tome 2

« BALLADE IRLANDAISE »

L'Insurrection TOME 2

Philippe THOMAS

Chemins Littéraires

2019

467 pages

 

Présentation

 

L'histoire de l'Irlande est à l'image de son ciel : un rayon de soleil s'insinuant entre des nuages noirs. Après le temps des belles espérances vient celui du malheur. Le cottage de sa famille brûle et la belle Kathleen disparaît. John Fielding, mêlé malgré lui à la révolte des paysans, est pris dans une fusillade lors de l'assaut de l'hôtel de ville de Galway.


Dans ces bouleversements étranges, les caractères se révèlent et ceux qu’on croyait faibles ou vains prennent, au fil des événements, une dimension inattendue.


Et puis, du fond de cette sinistre tour de Dungaire où gît un mourant, une étincelle jaillit, de celles qui peuvent allumer – qui sait ? – une brindille de bonheur.

 

L'auteur

 

"Né près de Besançon, vieille ville espagnole, le siècle ayant cinquante et un ans, Philippe THOMAS éprouve très tôt un goût littéraire contrarié comme bien d'autres par les obligations de la vie et les nécessités alimentaires, dévoreuses de vocations. Le prosaïque l'emportant pour un temps, il écarte les Lettres au profit du Droit, hante plusieurs administrations et fréquente les cercles du pouvoir local. L'existence ayant pourtant sa morale, comme la fable, il finit par retourner à l'écriture et à s'y consacrer à plein temps: les Lettres ont toujours le dernier mot. Il s'est fait une spécialité du roman historique dans la période comprise entre la Révolution française et le milieu du XIXème siècle. Il est l'auteur de dix volumes dont une trilogie sur les grandeurs et misères des corsaires bretons sous l'Empire. S'il n'est pas de la force d'un Hugo ou d'un Balzac dont il fréquente les bancs de la même école, il louche néanmoins du côté de leur copie et s'efforce d'imiter leur style. Il ne néglige pas pour autant les auteurs d'Outre-Manche et, le temps d'une histoire écrite à sa manière, a suivi les pas de Jane Austen."


 

Mon avis

 

Je remercie vivement Philippe THOMAS de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son roman « Ballade Irlandaise tome 2 » ainsi qu'une très gentille dédicace qui m'a beaucoup touchée. J'ai découvert la plume précise, fluide et majestueuse de cet auteur lors de la lecture du premier tome.

J'ai ainsi retrouvé avec grand plaisir les protagonistes du premier opus mais surtout John Fielding et Kathleen qui sont vraiment authentiques et très attachants.

 

Nous sommes donc à un moment de l'Histoire de l'Irlande où la famine est grande et John, notre héros au grand coeur, décide d’affréter un bateau afin de transporter des vivres d'Angleterre vers l'Irlande. Ceci ce fera sans compter les aléas climatiques et maritimes... La révolte ayant éclaté à Galway, beaucoup de sang va couler et nombreux « invincibles » seront tués ou faits prisonniers.

 

Comme dans le précédent ouvrage, l'auteur a le don de nous faire rêver et voyager dans le temps et nous fait découvrir un pan de l'Histoire de ce pays que je ne connaissais pas et qui m'a intéressée.

 

J'ai beaucoup aimé ce roman historique extrêmement bien écrit et documenté, adouci par une jolie histoire d'amour et ponctué d'une touche d'humour, que j'ai lu pratiquement d'une traite et quitté à regret.

 

Les passionnés d'Histoire, d'aventures et intéressés par l'Irlande doivent absolument découvrir les livres de Philippe THOMAS.

 

Très bon moment de lecture.

 

 

 

 

 

 

 

 

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Bonsoir je partage l'interview que j'ai réalisée ce soir avec Marjorie LEVASSEUR sur mon groupe FB : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEUR

Marjorie LEVASSEUR

Vendredi 9 août 2019 à 18 h

direct

 

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

  • J'ai lu récemment « Plus douce est la vengeance », « Quoi qu'il advienne » et « Quoi qu'il nous en coûte», romans de notre amie Marjorie LEVASSEUR qui a gentiment accepté de répondre, ce soir, à mes questions.

 

 

JM : - Bonsoir Marjorie

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Marjorie : Bonsoir Joëlle, bonsoir à tous ! En pleine forme (j’espère que ce sera le cas le soir du direct^^), merci !^^ Je suis prête !!!

 

JM : - Question habituelle mais incontournable : Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Marjorie : Bien sûr ! Je suis donc une auteure autoéditée depuis deux ans et demi maintenant. Je vis dans la Nièvre, en Bourgogne, avec mari et enfants. Après des études en droit, j’ai exercé plusieurs métiers différents (assistante juridique, aide-soignante, Auxiliaire de Vie Scolaire) avant de décider, en septembre dernier, de me consacrer uniquement à l’écriture.

Je suis une personne très réservée de nature, ne m’en veuillez donc pas, si vous me rencontrez en vrai un jour, si je parle peu. Ce n’est pas de la froideur ou de la prétention, juste de la timidité^^

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes romans ?

 

Marjorie : Avec plaisir, je suis aussi là pour ça^^ J’écris ce qu’on pourrait qualifier de tranches de vie… pas la mienne, je n’écris que des fictions, même s’il y a toujours un peu d’un auteur dans ses romans. Mes histoires arrivent à un instant T de la vie de mes personnages, une rencontre bouleverse toutes leurs certitudes et les aident à avancer, à évoluer, malgré leurs blessures passées.

Mes histoires sont bien souvent teintées de romance, sauf exception, comme mon petit dernier par exemple, « Plus douce est la vengeance ».

J’y aborde différents thèmes, parfois graves, comme les violences conjugales, les mariages forcés, l’homophobie… mais quoi qu’il en soit, j’essaie toujours d’introduire un message positif dans mes romans. Rien n’est jamais tout blanc ou tout noir.

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

Marjorie : Des projets d’écriture, j’en ai des tonnes dans la tête, ce n’est pas ça qui manque. Mon esprit est parfois en surchauffe d’ailleurs, alors je prends des petites notes et je développe le moment venu, celui où j’ai envie que le projet prenne vie. Mon prochain roman devrait se présenter sous la forme d’un petit road trip à travers la France, je n’en dis pas plus pour l’instant^^ Puis, ce sera normalement le tour d’une autre histoire que j’avais débutée juste après « Te revoir à Penn Avel », mais que j’avais mise entre parenthèses pour écrire ma duologie. Le moment n’était pas propice pour moi, pour aller jusqu’au bout de cette histoire. Depuis, elle a mûri dans ma tête et les choses sont plus claires.

Après, rien n’est gravé dans le marbre, des idées nouvelles émergeant sans cesse et pouvant venir se greffer à l’improviste C’est le cas de « Plus douce est la vengeance » dont l’idée m’est venue en septembre dernier lors d’un salon, ce n’était pas du tout prévu dans mon planning^^.

 

JM : - Comment procèdes-tu pour créer les protagonistes de tes ouvrages et connais-tu, lorsque tu commences à écrire, la fin de l'histoire ou est-ce que tu improvises au fil des mots ?

 

Marjorie : En fait, toutes mes histoires commencent par les personnages… Je m’explique. Ce sont eux que je crée en premier, avec leur passé, leurs blessures… leur histoire à eux, tout simplement. Dans ma tête ils se rencontrent et le roman prend forme, petit à petit. L’idée d’un personnage peut survenir à n’importe quel moment, inspiré par un rêve, un moment du quotidien, un film, un livre…

Oui, je connais la fin de l’histoire, mais il arrive qu’elle dévie au fil de l’écriture, comme pour « Ces oiseaux qu’on met en cage » qui devait être une pure romance au départ et qui a changé de cap pour devenir une histoire plus grave… avec un dénouement que je n’avais pas prévu au départ.

Dans la majorité des cas, je fais un plan détaillé, chapitre par chapitre, avec les événements essentiels, sauf pour « Te revoir à Penn Avel » où j’ai évolué sans filet, le déroulement de l’histoire était seulement dans ma tête, pas écrit noir sur blanc.

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement  ?

 

Marjorie : Non, pas pour l’instant, mais j’en ai fait quatre de février à juin. J’ai quelques salons de prévus, notamment celui de Pusignan avec la Voie de Calliopé. Pour les autres, tout reste encore à confirmer.

 

JM : - Tu fais partie de « la Voie de Calliopé » : peux-tu nous parler un peu de cette association qui œuvre beaucoup pour les auteurs ?

 

Marjorie : Effectivement, j’ai rejoint les rangs de la Voie de Calliopé en octobre 2017, après un premier contact avec Emma Freya, sa créatrice. Les membres évoluent régulièrement, mais la ligne directrice est immuable : soutenir les auteurs dans leurs projets littéraires, de la case écriture (en proposant des directions d’ouvrage) jusqu’à la signature d’un contrat d’édition pour certains, en passant par la promotion. Il y a un bel esprit de solidarité, de partage, mais aussi beaucoup de professionnalisme et de rigueur, qui sont nécessaires pour un travail accompli main dans la main. Des chroniqueuses au top (dont toi chère Joëlle), des partenaires toujours plus nombreux et Emma, une main de fer dans un gant de velours, toujours à l’écoute.

 

JM : - Quand écris-tu (la nuit, le jour) pendant combien d'heures ?

En combien de temps écris-tu un roman ?

 

Marjorie : Je suis une très mauvaise élève, je n’ai pas de règles dans l’écriture, j’écris lorsque j’en ai envie, mais pas la nuit. La nuit, je dors^^ Ne serait-ce que parce que je me lève à 7h le matin pour emmener mon fils à l’école^^ J’ai besoin de mes heures de sommeil, sinon je ne suis bonne à rien LOL

Je peux écrire le matin, comme l’après-midi. Je me force à fixer une date butoir pour la fin d’un roman, mais les imprévus de la vie changent parfois la donne^^

Je peux écrire quatre heures dans la journée comme une heure, cela dépend de ce que j’ai à faire à côté et de l’envie. Et en ce qui concerne le temps que je mets à écrire un roman, je dirais que ça dépend. J’ai écrit mon premier roman, « Une parenthèse dans ta vie », en cinq mois, « Il n’y a pas d’ombre sans lumière », en un mois et demi… Pour certains romans, il m’arrive de ne pas écrire pendant plusieurs semaines, comme pour « Ces oiseaux qu’on met en cage », mais c’était un peu exceptionnel parce que j’avais un bras immobilisé^^

 

JM : - A qui confies-tu tes manuscrits en première lecture (membre de ta famille, bêta-lecteur) ?

 

Marjorie : Je les confie à mon ami René, groupe de chapitres par groupe de chapitres, avant même la fin du roman. Il effectue une pré-correction et me dit ce qu’il pense de l’histoire. Le premier à lire l’intégralité du roman à part lui, c’est mon mari, Guillaume, qui s’occupe aussi de la création de la couverture. Cela lui donne ainsi l’ambiance générale et des idées pour l’illustration. Ensuite, vient le tour de ma team de bêtalectrices : Nadège, Laurène et Catherine, avant de passer entre les mains de Jean-Michel (alias Grandissimots) pour la correction finale.

Pour « Plus douce est la vengeance » j’ai eu l’aide supplémentaire d’Angie Le Gac, aussi auteure à Calliopé, sans laquelle j’aurais commis une grosse boulette^^, et Ninon Amey, également auteure, qui m’a grandement aidée. Je leurs fais plein de bisous !

 

JM : - Que ressens-tu lorsque tu écris le mot FIN ?

 

Marjorie : Des émotions contradictoires… Un certain soulagement d’être allée jusqu’au bout de mon histoire et une certaine tristesse, un vide… un peu comme une dépression post-partum LOL

Je sais que certains auteurs n’aiment pas ce terme, mais mes romans sont aussi mes bébés, mes enfants. J’y ai mis un peu de moi, leur ai accordé beaucoup de mon temps, mes personnages ont grandi…

 

JM : - Quels sont les bons et les mauvais côtés du métier d'auteure ?

 

Marjorie : Je serais tentée de dire qu’il n’y a que du bon, après tout je fais ce que j’aime, j’ai un métier passion. Mais le revers de la médaille est sans doute justement que beaucoup ne considèrent pas cette activité comme un vrai métier. Quand on annonce à quelqu’un qui nous demande ce que l’on fait dans la vie, qu’on est auteur, les réactions sont parfois… blessantes. Et que dire lorsqu’on ajoute que l’on s’édite soi-même !^^

Être autoédité, c’est aussi très chronophage : mise en page, promotion… Je n’ai pas du tout la fibre commerciale et c’est très difficile pour moi de « vendre » mes histoires. Heureusement avec le temps, j’ai des lectrices et lecteurs fidèles, toujours présents, qui aiment me lire, mais ça complique beaucoup les choses pour élargir mon lectorat. Je ne suis pas une adepte des vidéos, je ne me sentirais pas à l’aise je suis de nature réservée et pudique, et je n’aime pas particulièrement voir ma tête^^

Cela m’a demandé beaucoup lorsque j’ai commencé à faire des salons, mais aujourd’hui, je suis heureuse de l’avoir fait. On y fait tellement de belles rencontres !

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Marjorie : La lecture, ça va de soi ! Je dévore, littéralement ! Pour moi l’écriture ne va pas sans la lecture. Il y a d'autres choses que j'aime faie mais on ne peut parler de passions.

 

JM : - Quelle est ta musique préférée ? Ecris-tu en musique ?

 

Marjorie : J’ai des goûts musicaux plutôt éclectiques, cela va d’Ed Sheeran à Véronique Sanson, en passant par Queen et Sia, mais pour écrire, je préfère une musique douce. Il m’arrive aussi d’avoir besoin de silence pour l’écriture, tout dépend du passage de l’histoire dans lequel je suis plongée.

 

JM : - Quel est ton film ou ta série culte?

 

Marjorie : J’ai regardé « Dirty Dancing » des dizaines de fois, je crois que c’est celui que j’ai visionné le plus. Mais paradoxalement, ce n’est pas celui qui me touche le plus… en même temps, je pleure facilement devant un film, ou même un livre. Je suis comme ça, on ne se refait pas^^

Ma série préférée depuis quelques temps, c’est « Outlander », mais j’adore aussi « Game of thrones », bah oui… éclectique jusqu’au bout^^.

 

JM : - Quel livre a marqué ton enfance ?

 

Marjorie : Enfant, je ne lisais pas beaucoup. Pour être franche, je n’aimais pas ça^^ J’ai commencé à être une grosse lectrice dans la vingtaine, et je lisais beaucoup de romans policiers/thrillers à l’époque. Mais le livre qui m’a indubitablement fait changer ma vision de la lecture est « L’alchimiste » de Paulo Coelho, sans doute parce qu’il m’a fait voir la vie d’un autre œil…

 

JM : Et maintenant, lis-tu et quel genre ?

 

Marjorie : Comme je l’ai dit, oui, je lis énormément, et de tout, avec une préférence pour la littérature générale et la romance. Je ne lis pas de romans historiques (sauf romances) et pas de science fiction (j’ai lu du Stephen King, mais moi je ne le mettrai pas dans la SF^^). Tout ce qui est gore ne m’attire pas non plus et la vie des « people »… j’évite^^.

 

JM : - Quel mot te définit le mieux ?

 

Marjorie : Éponge émotionnelle (oui je sais, ça fait deux mots^^)

 

JM : - Quelle est ta citation préférée ?

 

Marjorie : « On ne voit bien qu’avec le cœur, l’essentiel est invisible pour les yeux »…

 

JM : - Si tu étais : une fleur, une couleur, un animal : tu serais...

 

Marjorie : La marguerite, le rouge… le phénix (pour le côté symbolique).

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Marjorie : Rien, si ce n’est merci pour ce moment et ton soutien aux auteurs, chère Joëlle ! Et merci à tous et toutes de m'avoir lue jusqu'au bout vous êtes encore là, vous avez tenu le coup ?

 

JM : - Merci Marjorie pour cet agréable moment passé en ta compagnie.

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Marjorie qui se fera un plaisir de vous répondre en direct ou plus tard si vous n'êtes pas présents ce soir.

 

 

Lien page FB https://www.facebook.com/marjou.Lev/

 

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ANNONCE INTERVIEW AUTEUR MARJORIE LEVASSEUR VENDREDI 9 AOUT 2019 18 H SUR MON GROUPE FB : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS

✍️MESSAGE IMPORTANT A L'ATTENTION DES MEMBRES DU GROUPE : LECTEURS-AUTEURS : LA PASSION DES MOTS✍️

Bonsoir les amis🙋‍♀️🧑

Ce soir lundi 5 août j'ai réalisé ma 59ème interview 🎤💻 avec un auteur du groupe 👩qui a accepté de se soumettre à mes questions.

Je vous donne donc rendez-vous le vendredi 9 août à 18 H pour suivre l'entretien que j'aurai en direct avec Marjorie Levasseur🙋‍♀️📖. A l'issue, vous pourrez poser vos questions à Marjorie Levasseur qui y répondra en direct ou plus tard si vous n'êtes pas connectés ce soir là.

A vendredi.😍

 

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Bonsoir je partage l'interview que j'ai réalisée ce soir avec Lhattie HANIEL sur mon groupe fb : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEUR

Lhattie HANIEL

Lundi 5 août 2019 à 18 h

direct

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

  • J'ai lu récemment « Lord Bettany » et « Le Mystérieux secret de Jane Austen », romans de notre amie Lhattie HANIEL qui a gentiment accepté de répondre, ce soir, à mes questions.

 

JM : - Bonsoir Lhattie

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

 

Lhattie :

Bonsoir, Joëlle, et bonsoir, tout le monde ! Je vais bien, merci. Prête ? Même pas peur… ;))

 

JM : - Question habituelle, mais incontournable : Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Lhattie :

 

Je suis romancière même si cela n’a pas toujours été le cas. Je suis dans l’année de mes 50 ans et je ne me suis jamais sentie aussi épanouie que dans le métier d’écrivain. Je profite de chaque instant que la vie offre et je suis une femme très optimiste. Rien ne m’arrête ! J’ai une fille de 27 ans et un beau-fils de 18 ans et je les adore tous les deux. Il y a environ 3 semaines, mon tendre et moi avons décidé de reprendre un petit chien après la perte de notre Fripon, il y a 2 ans. C’est ainsi que je suis redevenue maman de la petite Scarlett de 2 mois et demi. Elle nous rend dingues, car c’est une joueuse ! Tel mon défunt petit Fripon, Scarlett finira bien par faire partie d’une de mes prochaines romances !

 

JM : - Que représente pour toi l'écriture ?

 

Lhattie :

 

J’écris par souhait, comme je peins par envie. L’écriture pour moi est un métier artistique que j’exerce avec passion sans contrainte et au quotidien, 365 jours par an. Je reste maître de ce qui m’attire et je prends énormément de plaisir à écrire une nouvelle histoire ou bien même à relire d'anciennes publications, car ma première lectrice, c’est moi. Même si l’écriture se fait souvent seule, je n’ai jamais été autant en contact avec du monde et dans ce mot, j’englobe mon lectorat qui vient à ma rencontre lors de dédicaces ou bien sur les Réseaux sociaux. Et je rajouterai même les blogueuses dont certaines sont devenues au fil des ans, de grandes amies ! Je suis une personne très abordable et je prends réellement du plaisir lors de ces échanges. Je trouve même cela magique !

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes romans ?

 

Lhattie :

 

Rhooolala ! Tu es certaine, Joëlle, car je suis une véritable pipelette lorsque l’on me pose cette question ;))

 

J’ai à ce jour, écrit 13 titres sous 15 publications (2 titres sont publiés en 2 volumes).

 

Ma dernière publication historique « Lord Bettany », que tu as fortement appréciée d’ailleurs, est un crossover de ma toute première publication « Lady Rose & Miss Darcy, deux cœurs à prendre… ». Vous l’aurez toutes compris avec ce dernier titre, que les écrits de Jane Austen ne me sont pas indifférents. J’ai pris un énorme plaisir à écrire « Lord Bettany » même si pour ces deux romances, je n’ai travaillé que dans l’univers étendud’Orgueil & Préjugés. Je crée mes propres personnages même s’il y a toujours un Darcy ou un descendant de celui-ci non loin… Dans cette dernière romance historique, j’ai aimé aborder l’aveuglement sous plusieurs formes : tant par le handicap que par la douleur d’un veuvage alors que l'histoire de « Lady Rose & Miss Darcy, deux cœurs à prendre… » m’a fait aborder la vision du mariage chez les jeunes femmes aristocrates. Évidemment, l’amour est le fil conducteur de toutes mes romances, mais avant d’y parvenir, mes héroïnes et même mes héros vont devoir parfois payer cher cet amour.

Dans « Un Accord Incongru ! », je torture autant mon héroïne que mes lectrices. Également dans « Saint Mary’s Bay » avec les convenances et autres mariages arrangés qui avaient toujours cours à la Belle Epoque. D’ailleurs, si vous avez aimé la série « Downton Abbey » que je conseille toujours vivement, vous pourriez apprécier « Saint Mary’s Bay » et son crossover « Victoria Hall » qui sont deux romances historiques avec autant d’aristocrates que de domestiques. J’y aborde la différence, les mondains, les petites gens, la misère et l’esclavage lorsqu’une personne dite de couleur pénétrait dans la « Société ». La peur de l’autre, les coups bas, le mensonge et les secrets que mes personnages tendent à conserver avec difficultés (le moindre écart était souvent vite éventé) sont ce qui m’a animée dans ces écritures. Qui plus est, dans « Victoria hall », l’abandon dans l’aristocratie est d’autant plus difficile à accepter pour les deux jeunes sœurs Wheeler. Leur vie ne va pas être un long chemin tranquille avec la Grande Guerre qui se dessine tout près. Malgré toutes ces horreurs de la vie, l’amour finit toujours par trouver son chemin. À tout le moins, dans mes romances ;))

Dans mon titre historique « Pour que chaque jour compte, il était une fois… », j’ai voulu écrire la vie de Rose DeWitt Bukater avant et après le naufrage du TITANIC. Cependant, n’ayant pu obtenir les droits d’auteur, j’ai dû me résigner à réécrire cette romance. Aussi, le personnage secondaire qu’était Rose est devenu Grâce Taylor et celui de Jack Dawson, Liam Johansworth. Quelques similitudes ont persisté, mais j’ai adoré l’écrire et la réécrire. D’autant que mes romances ont bien toutes leurs propres héros issus de mon esprit fertile, tel que le définit ma famille !

Et puis il y a « Violet Templeton, une lady chapardeuse ». Alors si je devais définir cette romance, il s’agit là d’un jeu du chat et de la souris. Violet Templeton, jeune femme de 27 ans, qui a un TOC (le chapardage) et qui a tout fait pour ne pas se marier dès son premier bal va croiser et recroiser le chemin de Lord Edward, un jeune homme de 30 ans, qui ne souhaite pas prendre épouse, car il est tombé amoureux dix ans plus tôt d’une jeune fille, Mademoiselle de Laroche, qu’il n’a jamais revue après lui avoir donné un baiser. C’est une histoire très drôle malgré la douleur qui reste latente en fond d’histoire. Et puis il y a une méchante, vraiment très méchante, et des personnages secondaires tout aussi importants que mes héros.

Vous l’aurez donc compris, j’aime l’époque Victorienne, la Régence, la Belle Epoque, toute la bienséance que cela englobe avec sa cruauté envers les femmes des hautes sphères ou de la petite société.

Le genre historique me fait rêver et je reste une grande lectrice de celui-ci. Mais j’aime aussi les feel-good, les chick-lit et les comédies romantiques et lorsque j’ai écrit ma première romance contemporaine « 20 Secondes de courage », je ne m’attendais pas à un tel résultat. Les choix dans nos vies peuvent tout faire basculer et parfois, il nous suffit de 20 secondes de courage pour affronter son destin. Et c’est ce qu’il va se passer dans l’histoire de Polina Leonidov et de Vadim Volochenko. Tous deux se sont fortement aimés dans une cour de récréation, mais le destin va cruellement les séparer. Et puis il y a aussi le merveilleux Alexandre de Lacy. Oups ! Difficile de raconter sans se spoiler !

Quant à ma chick-lit « La fille qui rêve d’avoir la jambe pin-up ! » je me suis éclatée à l’écrire, tant avec Meredith, mon personnage principal qu’avec mes autres personnages, surtout Rose, sa maman qui aurait fortement tendance à me ressembler ;)) Aborder cette écriture par le biais d’un 4 voix, était un challenge qui me semble réussi au vu des retours des lectrices qui l’ont décrite comme la Bridget Jones Française. Je dirai même que c’est un enchantement pour la romancière que je suis.

Et puis il y a ma nouvelle, « Berthe, 27 ans, 1m57, 50 kilos, rêve de rencontrer le Prince Charmant (au rayon patates-aubergines) ». Que dire de Berthe si ce n’est que tout est dit dans le titre ? C’est une nouvelle très très drôle. Lorsque je la relis, je me dis que c’est impossible qu’elle soit de moi. Cette histoire a le don de vous faire rire aux éclats. Elle vous met du baume au cœur et puis, nous sommes toutes une Berthe, à un moment donné dans nos vies !

Oups ! J’allais oublier ma petite parution « Une amie qui vous veut du bien » parue juste avant « Lord Bettany ». C’est une écriture Bien-être/Feel-good, mais pas seulement. Ce sont aussi des anecdotes pleines de bienveillance qui donnent à réfléchir.

Voilà, Joëlle ! Je t’avais prévenue que j’étais bavarde ;))

 

Voici tous mes titres :

Les Historiques :

Lady Rose & Miss Darcy, deux cœurs à prendre… (2014) Existe en version Poche (2018)

Pour que chaque jour compte, il était une fois… (2014)

Un Accord Incongru ! (2014)

Violet Templeton, une lady chapardeuse (2015)

Saint Mary’s Bay – volume 1 (2016)

Saint Mary’s Bay – volume 2 (2016)

Le Mystérieux Secret de Jane Austen – Biographie romancée (2017)

Victoria Hall – volume 1 (2018)

Victoria Hall – volume 2 (2018)

Le Livre Perdu – Novella gratuite (2018)

Lord Bettany (2019)

 

Les Comédies romantiques – Feel-good – Chick-lit :

20 Secondes de Courage (2017)

La fille qui rêve d’avoir la jambe pin-up ! (2018) Existe en version Poche (2018)

Berthe, 27 ans, 1m57, 50 kilos rêve de rencontrer le Prince Charmant (au rayon patates-aubergines) – Nouvelle (2018) Existe en version Poche (2018)

Une amie qui vous veut du bien — Bien-être (2019)

 

Ah oui ! Avec le titre « Un Accord Incongru ! », j’ai été lauréate lors du Salon Livre Paris 2016 par le jury Amazon Kindle Publishing.

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

Lhattie :

 

Oui et avec plaisir !

Actuellement, je suis dans l’écriture d’une nouvelle comédie romantique avec laquelle j’ai le souhait de participer au concours des Plumes francophones qui a lieu sur Amazon KDP. Cette nouvelle histoire se déroulera à Dubaï. Mais en parallèle, j’écris une chick-lit historique (oui, vous avez bien lu !) ainsi qu’un polar (là aussi, vous avez bien lu !)

Je viens également de participer au concours de BoD/FEMME ACTUELLE/PRISMA avec une novella qui s’intitule « D’un simple signe, je t’aime ». J’y aborde avec brièveté (15.000 signes imposés) la différence et le handicap face à la surdité. Même si je ne suis pas concernée par la difficulté de la langue des signes, ce sujet me tient à cœur, car cette langue devrait faire partie de l’éducation au même titre que les autres langues.

Et puis j’ai d’autres titres dans le fond de mon tiroir, mais je vous en reparlerai dans une autre interview ;))

 

 

JM : - Comment procèdes-tu pour créer les protagonistes de tes ouvrages et connais-tu, lorsque tu commences à écrire, la fin de l'histoire ou est-ce que tu improvises au fil des mots ?

 

Lhattie :

 

Mes personnages se présentent à moi sans que je m’y attende. Très rapidement leurs caractères se dessinent et je ne sais jamais à l’avance ce qu’ils vont être, où vont-ils m’embarquer, dans quel endroit ils vont me faire atterrir. Toute l’histoire est déjà dans ma tête, mais je ne le sais pas encore. Je l’écris tout du long dans l’ordre, même si vers le 7eou 8e chapitre, la chute me vient et je la modifie rarement une fois qu’elle est écrite. Je ne fais ni plan ni fiche. Tout est classé dans ma tête. Généralement, le fil principal de l’histoire arrive dans mon sommeil, parfois même le jour en voyant simplement un objet qui m’inspire. « Le mystérieux secret de Jane Austen » s’est imposé à moi à un feu rouge. J’ai dû dicter tout le fil conducteur dans les notes de mon téléphone. Je me sépare que rarement de celui-ci et je l’ai toujours sous la main. Il contient tous les débuts de mes écrits ! L'histoire de « Violet Templeton, une lady chapardeuse » a d’ailleurs été pratiquement écrite sur mon téléphone. C’est pour dire si celui-ci m’est précieux !

 

JM : - Si ma mémoire est bonne, tous tes romans sont des « romances ». Pourquoi ce choix ?

 

Lhattie :

 

Tout simplement parce que je suis une éternelle romantique. Pourtant, l’écriture de mon polar qui contiendra obligatoirement des scènes difficiles me tend à changer de voie. Mais pas trop tout de même, hein ! Il y aura bien évidemment une romance au milieu de tous ces morts !

 

 

JM : - J'ai cru comprendre que, comme moi, tu es une grande fan de Jane Austen. Peux-tu nous dire quelques mots sur ta passion pour cette auteure ?

 

Lhattie :

 

Même si je vous en ai bien parlé au tout début de cette interview, je ne vous ai pas parlé de ma première fois lorsque j’ai lu du Jane Austen. J’étais très jeune ^^)) Je me suis dit : j’adore cette romancière ! J’avoue que j’ai un faible pour « Raison et Sentiments », mais mon préféré reste « Lady Susan », car je suis très friande des échanges épistolaires. D’ailleurs, presque toutes mes romances historiques en contiennent. Au fil des ans, mes lectures ont évolué, mais Jane Austen est restée un incontournable pour moi. Je crois que c’est pour cela que je voulais écrire sur elle. Il existe nombre de biographies sur elle, et lorsqu’il m’a pris cette folle envie d’en écrire une, je voulais que celle-ci soit différente de toutes celles qui existent. J’ai pris ma plume d’oie et je l’ai débutée sur le papier à la première personne du singulier. Au bout de dix lignes, j’avais l’impression que c’était Jane Austen qui me dictait sa vie. L’envie de romancer cette écriture s’est imposée à moi sans que je m’en rende vraiment compte. Lui offrir son roman avec Thomas Lefroy fut alors une évidence. Cependant, je ne pouvais le faire sans écrire une partie fictive. Cette biographie romancée qui se découpe en 3 parties a donc un petit côté magique. Cette écriture prolongeait le lien que j’avais tissé avec ses écrits bien que je n’ai aucune prétention de comparaison avec les miens. Le livre broché est très beau et je suis très fière d’avoir dessiné de toute pièce la couverture. Mais je ne me suis pas arrêtée ici. Prochainement, « Le mystérieux secret de Jane Austen » va paraître en format « Collection » (livre carré) et sera illustré par mes soins. Si vous avez aimé la couverture de la version brochée, je peux vous assurer que la nouvelle couverture est encore plus belle et toujours créée par mes soins !

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement ?

 

Lhattie :

 

J’ai une séance de dédicace qui doit se confirmer sur Narbonne pour le mois de juillet. On pourra me retrouver le 21 septembre 2019 au Salon du livre d’Auchan Boissénart (77) ainsi que les 12 et 13 octobre 2019 au Salon du livre Plumes en fête à Echarcon (91) et certainement aussi à celui de Chamarande (mais je n’ai pas encore la confirmation).

Et puis j’ai la joie d’être invitée par BoD au Festival du Livre Romantique à Dunkerque les 30 novembre et 1er décembre 2019.


Il y aura certainement d’autres séances de dédicaces entretemps, mais je n’ai pas les dates précises. Néanmoins, je les communiquerai sur la page dès que possible ;))

 

JM : - Quand écris-tu (la nuit, le jour) pendant combien d'heures ?

En combien de temps écris-tu un roman ?

 

Lhattie :

Tout le temps ! Le jour, la nuit lorsque mes personnages m’empêchent de dormir. 365 jours par an. J’y prends tant de plaisir que je ne peux m’arrêter. Mais c’est une passion pour laquelle je sais faire des pauses pour profiter de ma famille.

 

JM : - À qui confies-tu tes manuscrits (membre de ta famille, bêta-lecteur) ?

 

Lhattie :

 

Je les confis à mes bêta-lectrices qui font partie de mon entourage, mais pas seulement. De fidèles lectrices le sont devenues ainsi que des personnes que je n’ai jamais rencontrées de visu telles qu’une professeure des écoles à la retraite et qui ne me passe rien et corrige tout ce qu’il y a corriger. Ce qui est formidable pour apporter de la qualité à mes écrits.

 

JM : - Comment as-tu procédé pour faire publier tes ouvrages ?

Lhattie :

 

Je suis romancière indépendante par choix et non par dépit. Je m’autopublie sur Amazon KDP ainsi que sur KOBO. J’ai eu la chance de recevoir une belle proposition de BoD France pour mon titre papier « Lord Bettany », ce qui me permet de le proposer dans toutes les librairies francophones du monde entier, mais également dans tous les points de vente où l’on peut commander des livres… J’ai également la joie de faire partie des pépites de BOOKELIS. De fait, j’ai plusieurs titres parus en format Poche sur cette plateforme et je suis distribuée par HACHETTE LIVRE. Deux de mes titres en version numérique sur Amazon KDP « Violet Templeton, une lady chapardeuse » et « Le mystérieux secret de Jane Austen » se trouvent également sur de nombreux sites tels que la Fnac, Decitre, Chapitre.com, iTunes, etc.

 

JM : - Que ressens-tu lorsque tu écris le mot FIN ?

 

Lhattie:

 

Je ressens le plaisir prochain de présenter à mes lectrices cette nouvelle histoire. Mais c’est aussi le début d’une longue attente, car c’est le moment de relire de nombreuses fois et de corriger l’écriture.

 

JM : - Quels sont les bons et les mauvais côtés du métier d'auteure ?

 

Lhattie :

 

Je n’en ai pas encore eu. Je ne prends que du plaisir dans ce métier même si certains points sont moins intéressants que d’autres. Il est clair que je préfère créer une couverture plutôt que de corriger mon texte. Cependant, ces deux points ont autant de poids, l'un que l'autre, dans le résultat final. ;))

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Lhattie :

 

Ma plus grande passion reste mon tendre mari et ma fille. Cependant, j’aime peindre, faire de la photo, confectionner des choses pour moi-même ou bien pour les offrir. J’essaie d’avoir du plaisir dans tout ce que je fais.

 

JM : - Quelle est ta musique préférée ? Ecris-tu en musique ?

 

Lhattie :

 

La musique classique a ma préférence. Mais j’aime aussi des groupes comme Apocalyptica. J’écris plutôt dans le silence, mais s’il y a du bruit autour de moi, j’arrive assez à me concentrer pour m’enfermer dans une bulle et continuer à écrire. Rien ne me dérange vraiment. Ce qui me permet de n’avoir pas à m’isoler le week-end et de continuer à profiter de mes proches tout en poursuivant mon travail.

 

JM : - Quel film as-tu vu plusieurs fois ?

 

Lhattie :

 

TITANIC, Love Actually, Coup de foudre à Notting Hill, Haute Couture, les quatre filles du Dr March, Autant en emporte le vent et, bien évidemment, Orgueil & Préjugés dans toutes ses versions. Il y en a tellement en fait, que cela serait trop long de tous les nommer ici. ;))

 

JM : - Quel livre a marqué ton enfance ?

 

Lhattie :

 

Les quatre filles du Docteur March de Louisa May Alcott. Je me suis aussitôt identifiée à Joséphine March et puis j’ai adoré le personnage de Théodore Laurence dit Laurie.

 

JM : - Peux-tu nous donner une de tes qualités ? Un défaut ?

 

Lhattie :

 

Je suis reconnue pour être généreuse. Mon défaut est peut-être que je le suis trop !

 

 

JM : - Si tu étais : une fleur, une couleur, un animal : tu serais...

 

Lhattie :

 

Une pivoine ou un coquelicot. J’adore ces deux fleurs.

Le jaune, car c’est la couleur de la lumière.

Un écureuil, car mon tendre me dit toujours que j’en ai le regard. Ce que je prends pour un compliment ;))

 

 

JM : - As-tu quelque chose à ajouter ?

 

Lhattie :

 

Je voudrais te remercier pour cette interview, pour le temps que tu as pris à me questionner et tout autant à me lire. Une belle rencontre virtuelle pour moi qui, je l’espère, deviendra un jour réelle.

 

 

JM : - Merci Lhattie pour cet agréable moment passé en ta compagnie.

 

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Lhattie qui se fera un plaisir de vous répondre en direct ou plus tard si vous n'êtes pas présents ce soir.

 

 

http://www.facebook.com/pages/Lhattie-Haniel/303011469822737

 

MA PAGE AUTEUR AMAZON
https://amzn.to/2K4CvkJ

 

 

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Bonjour aujourd'hui lundi je vous invite à découvrir ma chronique concernant : "L'AMOUR NOUS SAUVERA" tome 1

« L'AMOUR NOUS SAUVERA »

tome 1

Alyson LASCAUX

Auto-Edition

5 juillet 2019

55 pages

 

 

 

Présentation

 

2019, dans l'Etat du Tennessee…


Alicja est une lycéenne sérieuse qui, en plus de ses études, gère le ranch familial avec ses parents. Elle n'a qu'un seul rêve: partir pour étudier. Sa famille s'oppose à son choix. Quand son grand-père embauche un nouvel employé, Alicja ne se doute pas de ce qu'elle va vivre. Adam est un garçon sans histoire. Ses parents ont été injustement envoyé en prison. Il vit seul dans le ranch familial. Alicja et Adam vont vivre une aventure hors du commun. Vivre leur amour ne va pas être si facile que cela. Et si des secrets liaient leurs deux familles? Ces secrets les empêcheraient-ils de s'aimer? Les criminels sont-ils tous en prison?

 

 

L'auteure

 

Alyson LASCAUX, jeune écrivain, est âgée de 17 ans.

 

 

Mon avis

 

Je remercie Alyson LASCAUX de m'avoir envoyé, en service de presse, son roman «L'Amour nous sauvera » tome 1.

 

Alyson nous conte la vie d'Alicja, une jeune fille triste qui rêve de pouvoir poursuivre ses études, alors que ses proches s'y opposent, la faisant travailler très dur au ranch familial.

 

Elle rencontre Adam, jeune garçon attirant et mystérieux qui est employé au ranch depuis peu.

 

Une histoire d'amour est-elle possible entre ces deux jeunes gens ?

 

 

L'histoire est belle, simple, bien écrite, un peu courte à mon avis, mais la plume de l'auteure, qui est une toute jeune fille, est très prometteuse et séduira, j'en suis certaine, les jeunes lecteurs.

 

J'ai bien aimé cette jolie romance rafraîchissante à laquelle Alyson a mêlé du suspense et qui tient le lecteur en haleine.


Je lirai assurément avec plaisir la suite de cette agréable et tendre histoire.

 

 

 

 

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui dimanche voici ma chronique concernant : "TOUT ME RAMENE A TOI"

« TOUT ME RAMENE A TOI »

Ninon AMEY

Auto-Edition

17 juin 2019

374 pages

 

Présentation

 

Et si le premier amour était aussi le dernier ?
Lorsque sa collègue lui propose un week-end détente entre filles, Elsa est loin de se douter qu’elle va s’épancher auprès de sa nouvelle amie et lui faire des confidences poignantes concernant son passé douloureux.


Au même moment, à l’autre bout de la France, Lucas, qui prévoit un week-end tranquille entre amis, n’imagine pas un seul instant qu’il va se livrer sur les raisons qui l’empêchent de construire une relation stable.


Entre révélations inattendues, conseils avisés, évocation du passé et nostalgie, ce week-end particulier pourra-t-il débloquer la situation complexe dans laquelle ces deux-là se trouvent ?


Et si, après des années de séparation et plusieurs retrouvailles tumultueuses, Elsa et Lucas se croisaient une dernière fois ? Saisiraient-ils l’ultime chance que leur offre la vie de tirer un trait définitif sur le passé ?

 

L'auteure

 

La trentaine, un mari, des enfants, plusieurs vies en une....
Ecrire l'a aidée à trouver son équilibre, elle ne pourrait plus s'en passer...
Après avoir obtenu le troisième prix du concours de romans sur les faits divers organisé par Librinova en 2017 avec L'empreinte du passé, paru en novembre de la même année, Ninon Amey se lance dans l'auto-édition avec des romances contemporaines émouvantes et aborde, d'une plume douce et sensible, des thèmes qui lui tiennent à cœur comme le deuil, la résilience, ou encore les secrets de famille. L'amitié, la famille et l'amour ont toujours une place centrale dans ses histoires, qui savent captiver le lecteur dès les premières pages. 
Pour la suivre : www.ninonamey.com
Page auteur Facebook : https://www.facebook.com/ninonameyauteur/
et compte Instagram : @ninonamey 

 

Mon avis

 

Je remercie Ninon AMEY de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son dernier roman « Tout me ramène à toi ». J'ai découvert la plume simple, fluide et sensible de cette auteure lors de la lecture de « Les Lettres à Juliette » et « La Liberté de nous aimer », romans que j'ai beaucoup aimés.

 

Dès les premières lignes nous faisons connaissance avec Elsa, jeune femme divorcée, maman de deux fillettes qui, lors d'un week-end imprévu avec Natasha, une collègue de travail, va lui faire des confidences sur sa vie personnelle.

 

Puis nous découvrons Lucas, jeune homme sympathique, rongé par la culpabilité et au fil des mots de Ninon AMEY et de retours en arrière, nous suivons le cours de sa vie, la relation que nos deux amoureux ont vécue quinze ans auparavant. La vie a séparé Elsa et Lucas mais parviendront-ils à se retrouver ?

 

 

Ninon AMEY a vraiment le don de conter des histoires d'amour contemporaines bouleversantes qui véhiculent beaucoup d'émotions et tiennent le lecteur en haleine jusqu'aux dernières lignes.



L'auteure aborde avec finesse des sujets sensibles et divers tels que : la culpabilité, la reconstruction suite à un drame, la place du premier amour dans la vie, le divorce, le deuil..

 

J'ai beaucoup aimé cette romance très bien écrite et j'ai passé un très bon moment de lecture avec les protagonistes de ce livre qui sont authentiques et attachants.



A découvrir sans hésitation !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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