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Bonsoir à tous voici l'interview que j'ai réalisée ce soir Lundi 9 juillet avec Eric COSTA dans mon groupe : lecteurs-auteurs : la passion des mots

INTERVIEW AUTEUR

Eric COSTA

Lundi 9 juillet 18 h

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

- J'ai lu récemment la saga « AZTEQUES » Harem (tome 1), La voie du papillon (tome 2), la Croisée des Mondes (tome 3) de notre ami Eric COSTA, qui a gentiment accepté de répondre à mes questions.

 

 

JM : - Bonsoir Eric

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prêt à « subir mon interrogatoire » ?

 

Eric : je vais très bien merci, les projets fleurissent, l'écriture me porte, je vis un grand bonheur créatif en ce moment !

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Eric : ingénieur de formation, j'ai toujours aimé écrire. Adolescent, j'écrivais des nouvelles de suspense avec mon meilleur ami.

 

Après être entré dans la vie active, je suis retourné vers cette passion, mais je voulais le faire de la bonne manière. J'ai donc suivi trois ans de cours de narratologie et beaucoup d'exercices pratiques avant d'oser publier mon premier livre sur Amazon. Il s'agissait d'un recueil de nouvelles étranges et fantastiques intitulées Réalités Invisibles. Depuis, j'ai publié les trois premiers romans de ma saga Aztèques.

 

 

JM : - Quels sont tes processus d'écriture de l'idée de base à la finalisation et en combien de temps écris-tu un roman ?

 

Eric : un roman me prend environ six mois.

Je commence par une idée, que je creuse, que j'explore et dont je vérifie au moins deux choses : elle doit me faire vibrer et elle doit s'avérer suffisamment originale pour pouvoir plaire au public.

 

Ensuite, je construis l'intrigue, d'abord seul, puis, lorsqu'elle est suffisamment développée, avec ma copine, Raquel Urena (qui a été co scénariste sur les deux derniers tomes d'Aztèques et qui m'est d'une aide précieuse). Ensuite, j'affine les personnages, les conflits, la thématique, c'est à dire le message que je veux délivrer à travers l'histoire. Ce processus me prend plusieurs semaines.

Vient ensuite le temps de l'écriture de la première version ou V1, qui prend environ un mois, un mois et demi.

 

Puis vient la réécriture, qui peut durer jusqu'à trois ou quatre mois. Je retrousse mes manches et réécris toutes mes scènes en profondeur, je les creuse, les questionne, je les pousse au maximum de leur potentiel, j'essaie de tout rendre intentionnel.


Une fois cela fini (et le cerveau en feu!), je fais lire ma Vdef à Raquel et mes lectrices test quand je sens que le livre est prêt. Vient ensuite la dernière réécriture et les dernières améliorations. Une fois le livre jugé prêt, je commence le marketing, environ un mois avant la sortie.

Ouf !

 

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes romans ?

 

Eric : la saga Aztèques est une fiction historique qui suit les aventures d'une jeune indienne arrachée à son village par des pillards, et plongée bien malgré elle dans un harem et une civilisation inconnue : celle des Aztèques. A travers ses yeux, nous découvrons un monde fourmillant de vie, d'intrigues, de manipulations, de luttes de pouvoir. Ameyal va devoir faire sa place et assouvir ses ambitions de fille de chef dans ce monde nouveau.

 

A travers mes romans, j'essaie de plonger les lecteurs dans une expérience qui fait appel aux sens, et qui les surprendra à chaque seconde. Nombreux sont les rebondissements et le suspense est intense. J'essaie de faire en sorte que rien ne soit prévisible. On m'a déjà dit à plusieurs reprises qu'il est difficile de lâcher le roman une fois commencé et c'est pour moi un immense compliment.

Enfin, je souhaite délivrer, à travers mes personnages, des envie d'acceptation, des directions de vie, des exemples de courage et de ténacité, qui, je l'espère, inspireront certaines et certains !

 

 

 

 

JM : - Que représente pour toi l'écriture et pourquoi es-tu devenu écrivain  ?

 

Eric : l'écriture est une passion qui me fait vibrer. Elle bout en moi et ne demande qu'à être délivrée. Parfois, lorsque je me sens « connecté », les mots glissent à travers moi, je suis premier spectateur de ce que j'imagine et mes doigts ont du mal à suivre le cours de mes pensées. Cela arrive lorsque l'histoire me choisit et c'est ce que je cherche à chaque fois.

 

Je rêve de pouvoir vivre de mon écriture un jour, et chaque lectrice ou lecteur marque un nouveau pas vers cet objectif. Dans la vie, rien ne sert de tricher, alors je donne tout, ni plus, ni moins, et les commentaires des lecteurs me le rendent au centuple !

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

Eric : Je travaille actuellement sur un gros, gros projet intitulé The Prison Experiment.

Ce livre raconte l'histoire d'une jeune médecin engagée pour une mission au coeur d'un des endroits les plus dangereux du monde : une prison expérimentale secrète. Il s'agit d'un thriller technologique dans un monde de violence et d'illusion dans lequel tout est possible, et Elena va devoir faire preuve de contrôle, d'inventivité, et affronter ses démons pour s'en sortir...

 

 

JM : - Comment fais-tu pour assurer la promotion de tes livres ?

 

 

Eric : Je fais tout moi-même sur facebook, twitter, instagram (rejoignez-moi !), et sur mon blog https://costaeric.com, où je vous propose de vous inscrire.

Vous recevrez une nouvelle cadeau, potentiellement des livres dédicacés et nous pourrons faire connaissance. Allez-y dès maintenant !

 

 

JM : - Que penses-tu de l'édition numérique ?

 

 

Eric : J'adore !

L'auto-édition, c'est la liberté. On peut publier, dépublier, amender son livre comme on le souhaite. On peut choisir le prix et la part auteur est plus grande que dans l'édition traditionnelle.

Amazon est une vitrine internationale qui permet de mettre ses livres à portée de main de millions de lecteurs. L'équipe française est top, Ainara Bastard à sa tête. J'ai la chance de les connaître pour avoir remporté le concours du Speed-Dating en 2017 au Salon Livres Paris avec Aztèques T1 : Harem, ils sont d'une grande gentillesse et d'une grande aide pour tous les auteurs.

Vraiment, je conseille l'auto édition à tous.

 

JM : - Que lis-tu et quels ouvrages t'ont particulièrement marqué ?

 

 

Eric : je lis beaucoup de guides d'écriture, de romans et de nouvelles. Les ouvrages qui m'ont le plus marqués ces dernières années sont Sa majesté des mouches, L'Attrape-coeurs de Salinger, Le Seigneur des Anneaux ou encore l'Affaire Charles Dexter Ward, de Lovecraft.

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement  et si non pourquoi ?

 

Eric : pas pour l'instant, mais je fais une dédicace tous les trois mois environ à Bordeaux centre, surtout n'hésitez pas si vous êtes dans le coin.

Inscrivez-vous sur ma Newsletter ou demandez-moi en ami sur FB, TWT ou instagram pour que nous puissions nous rencontrer !

 

 

 

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes autres passions ?

 

 

Eric : la lecture;-)

Le port, les voyages, la nature. Mon rêve serait de parcourir le monde en écrivant.

 

 

JM : - Quel est ton animal favori et ta couleur préférée ?

 

Eric : l'aigle (l'héroïne d'Aztèques se prénomme Ameyal, la fille de l'aigle), et le bleu (du ciel, de la liberté et du potentiel infini présent en chacun de nous, bien sûr !)

 

 

JM : - As-tu quelque chose d'autre à ajouter ?

 

Eric : Ecrire est une passion solitaire, je ne peux exister sans vous. Alors un grand merci du fond du cœur à toi Joëlle à Nathalie, Marie, Laurence, Blandine et tant d'autres, à ceux qui m'aident et me soutiennent. Pour les autres, n'hésitez pas à venir vers moi et faisons connaissance !

 

 

 

JM : - Merci, Eric COSTA pour ce partage fort intéressant, pour ta disponibilité et ta gentillesse.

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Eric qui se fera un plaisir de vous répondre en direct ou plus tard si vous n'êtes pas présents ce soir.

 

 

 

 

 

 

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Bonjour aujourd'hui vendredi voici un COUP DE COEUR : "L'appel des Launeddas"

« L'APPEL DES LAUNEDDAS »'

Muriel MARTINELLA

AMAZON

4 décembre 2017

257 pages

 

Mon avis

 

Je remercie Muriel MARTINELLA de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son roman « L'appel des launeddas ». J'avais découvert la plume fluide et sublime de cette auteure à la lecture de « Lucie F. », roman que j'ai beaucoup aimé.

 

Je me suis sentie de suite happée par cette intrigue extrêmement bien maîtrisée, captivante et étonnante.

 

Dès les premières lignes nous apprenons qu'un double suicide a eu lieu, par noyade, dans le lac d'Annecy. Eve, la fille d'une des victimes, quitte les Etats-Unis où elle vit, pour assister à l'enterrement de sa mère. Elle se pose beaucoup de questions : que s'est-il réellement passé entre ses parents Marie et Colin ? Qui est Iddo Cellini leur voisin, ce mystérieux magnétiseur ?

 

Au fil des mots de l'auteure nous découvrons en même temps qu'Eve et sa tante Juliette, le contenu du journal intime de Marie et les confidences que son époux Colin a laissées sur cassette audio...

 

Les personnages sont fort bien décrits tant sur le plan physique que psychologique, les paysages de Sardaigne dépeints avec moult détails permettant ainsi de les imaginer aisément.

 

J'ai ADORE ce thriller psychologique poignant, mêlant histoire d'amour, quête d'identité, manipulation, emprise psychologique que j'ai dévoré et refermé à regret, entendant encore la musique envoûtante des launeddas.....

 

La passionnée d'ésotérisme, de paranormal et de magnétisme n'a pu qu'être captivée et fascinée par ce très bon roman, aux multiples rebondissements qui tiennent vraiment le lecteur en haleine jusqu'au dénouement fort surprenant !

 

Un vrai COUP de COEUR pour moi à découvrir sans hésitation !

 

Excellent moment de lecture.

 

 

Présentation

 

Au lac d’Annecy, un double suicide par noyade. Des témoins affirment avoir vu un couple main dans la main, pénétrer ses eaux dormantes. Or, malgré des recherches organisées par la gendarmerie, assistée d’un sonar sophistiqué pour sonder les profondeurs de ce lac, seul le corps d’une femme est retrouvé... De retour des Etats-Unis pour assister aux obsèques de sa mère, Eve et sa tante Juliette qui l’a élevée vont remonter le passé en s’aidant de documents audio ou épistolaires laissés par le couple. Au cours d’une longue et rude nuit, Eve va pousser Juliette dans ses retranchements jusqu'à lui extirper la genèse des trois morts violentes auxquelles elles sont mêlées. Une vérité qui se paiera au prix fort…

 

 

L'auteure

 

 

Muriel Martinella a été journaliste free-lance en presse écrite pendant quinze ans, ancienne journaliste au Dauphiné Libéré.


Elle s'est établie en Ardèche Méridionale où elle exploite des gîtes dans une ancienne magnanerie tout en se consacrant à sa passion, l’écriture.

 
Après avoir été en 2005 lauréate du prix "l'été se livre" avec François Cavanna comme président du jury, sa nouvelle humoristique qui lui a valut le premier prix donne le prélude à un recueil de nouvelles satiriques "Hôpital, même pas mal", édité en 2007 aux éditions Après la lune.


Ses autres manuscrits, publiés en tant qu'auteur indépendant, tout en restant en recherche d'éditeurs, racontent le processus psychique qui conduit certaines êtres dans des situations "limite" où s'acoquinent psychologie et irrationnel, deux univers qui la fascinent.


"Le diable aussi était beau" (2016), entre farce et drame psychologique, ce roman contemporain raconte la descente aux enfers d'une quinqua qui lutte à sa façon contre les aléas de la vie.
 

 

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Bonjour aujourd'hui mardi voici ma chronique concernant : "AMITIES HORS DU COMMUN"

« AMITIES HORS DU COMMUN »

Marie F.

Auto-édité

25 mai 2018

147 pages

 

 

 

 

Présentation

 

Max voulait un chien, étant fils unique. Il n'avait personne pour s'amuser et rêvait d'un animal de compagnie. Les parents de Max, Antoine et Juliette se rendirent alors au chenil pour adopter un chien. Spike Spiky, le chien et Max devinrent alors inséparables, vivant ensemble de bons et de mauvais moments mais l'un et l'autre toujours soudés. 
Max, heureux, pensait déjà aux nombreuses balades et au temps qu’il pourrait passer avec lui. Il ne dormirait plus jamais seul dans sa chambre.

 
Max allait en classe avec Valentine, qu’il avait rencontrée quelques jours plus tôt lorsqu'il se promenait avec son chien.

De son côté, Antoine, le père de Max, revoyait une amie du lycée, Noémie. Juliette vit alors les liens qui les unissaient encore malgré des années de séparation. Antoine raviva l'amitié qui l'avait d'abord uni à Noémie. Lors d'une soirée, Noémie va rencontrer Florent. 


Quelle sera la suite des événements ? Que nous reste-t-il encore à découvrir ?


 

L'auteure

 

« Je m'appelle Marie F et j'écris depuis plusieurs années. Il y a quelques temps, j'ai auto-publié un recueil de poésie. Je travaille également sur des contes, des romances et d'autres genres. Grâce à des plateformes telles que scribay ou Wattpad, j'ai pu assouvir cette passion pour l'écriture et la partager avec d'adorables lecteurs. »
 

 

Mon avis

 

Je remercie Marie F. de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son roman « Amitiés hors du commun ».

 

 

L'auteure nous conte la vie de tous les jours d'une famille composée d'Antoine, le père, Juliette, la mère et Max, leur fils. Ils vivent en Auvergne et adoptent un petit chien « Spike Spiky ».

 

Nous partageons les mésaventures et les joies de cette famille ainsi que celles d'un autre couple d'amis : Noémie et  Florent.

 

J'ai bien aimé ce court roman sympathique, tendre et léger sur l'amitié, l'amour des humains et des animaux que j'ai lu d'une traite et avec lequel j'ai passé un bon moment de lecture.

 

 

 

 

 

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Bonsoir à tous voici l'interview que j'ai réalisée ce soir sur mon groupe FB ; lecteurs-auteurs : la passion des mots avec Marie MEYER

INTERVIEW AUTEUR

Marie MEYER

lundi 2 juillet à 18 h

direct

 

JM : - Bonsoir à tous,

 

  • J'ai lu récemment «Au bout de mes rêves » de notre amie Marie MEYER, qui a gentiment accepté de répondre ce soir à mes questions.

 

 

 

JM : - Bonsoir Marie

 

  • Comment vas-tu ? Es-tu prête à « subir mon interrogatoire » ?

 

Marie : Bonsoir Joelle, bonsoir à tous. ;) Je suis prête, ça va bien ! Allons-y !

 

 

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

 

Marie : J'ai 40 ans, je suis mariée et j'ai deux enfants. J'habite à la campagne, au fin fond de la Champagne-Ardenne. Pardon, dans la Région Grand-Est ! ;)

 

 

 

JM : - Depuis combien de temps écris-tu ?

 

 

Marie : J'ai commencé à écrire des bribes par-ci, par-là il y a plusieurs années, rien de bien sérieux. Mais je m'y suis réellement mise avec un projet construit, il y a deux ans maintenant.

 

 

 

 

 

JM : - Que représente pour toi l'écriture ?

 

Marie : Pour moi c'est un moyen de se vider la tête, d'évacuer ce qui m'encombre, de me changer les idées en plongeant dans un monde que je crée moi-même.

 

 

 

JM : - Comment écris-tu tes romans (carnets, cahiers ou directement sur l'ordinateur?)

 

 

Marie : Je commence systématiquement par des notes prises sur un cahier, mais elles sont dans un fouillis pas possible ! Il m'arrive même assez souvent de griffonner sur n'importe quelle feuille volante qui peut me tomber sous la main quand une idée subite pointe le bout de son nez ! Après, quand j'entame l'écriture approfondie sur PC, je reprends mes idées de bases et je les étaye. Parfois, je change complètement de direction et elles deviennent caduques.

 

 

JM : - Peux-tu nous parler de tes romans ? (« Au bout de mes rêves », « Don't love (me) »

 

 

Marie : Au bout de mes Rêves est un Roman qui vise un large public, car les personnages sont assez mûrs comparés aux romances qui sortent habituellement (39 et 35 ans). Il a beau être catégorisé Feel-Good, il reste néanmoins une romance sous fond dramatique. Il comporte également des scènes susceptibles de heurter la sensibilité de certains s'attendant à un Feel-Good classique. Cependant, j'ai voulu recréer une histoire réelle, et ce dans tous les domaines, scènes intimes incluses. Le thème abordé est un sujet de société actuel, trop souvent laissé dans l'ombre...

 

Avec Don't Love (Me) je suis partie dans un univers rythmé, jeune, décalé par moments, avec (comme j'aime le faire) pour fil conducteur un sujet qui touche beaucoup de personnes. On peut facilement croire que l'on retombe dans le cliché bar/groupe de rock, mais ça va beaucoup plus loin que ça .

 

Je peux juste ajouter que comme je suis une grande romantique, ça se ressent dans mes écrits, et si vous vous attendez à énormément de rebondissements, à des situations rocambolesques et des « je t'aime, je te quitte » à profusion, vous n'en trouverez pas chez moi.

 

 

 

 

 

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et souhaites-tu nous en parler ?

 

Marie : J'ai 7 projets qui sont plus ou moins avancés.

 

Le plus travaillé est le Spin Off de « Don’t Love (Me) ». Il s’agit d’une histoire totalement différente de la première. On se retrouve plongé dans un univers complètement opposé et j’y aborde encore et toujours des thèmes d’actualité. On retrouvera bien-sûr les personnages de la saison 1 car c'est avant tout une suite.

J’en ai un autre qui est plus une comédie romantique dans un univers bien français (la montagne, ça vous gagne), avec des personnages attachants et surprenants.

 

J’ai également un autre projet qui nous fait revenir à nouveau en France, mais qui nous fera nous évader vers l’Inde… ;)

 

Les autres n'ont que quelques chapitres d'écrits, voire parfois seulement le prologue.

 

 

JM : - Comment fais-tu pour assurer la promotion de tes livres ? Penses-tu que les blogs, les réseaux sociaux aident les auteurs à promouvoir leurs écrits ?

 

 

Marie : C'est la partie (avec celles des multiples relectures et corrections) la plus épuisante de la chose. Je suis quelqu'un qui adore parler, converser, du coup j'adore participer sur différents groupes quand le sujet ou l'envie m'en prend. Ce, déjà avant d'être publiée.

 

Donc je fais beaucoup de montages avec mes livres, extraits, photos de personnages qui pour moi représentent les miens, et je les partage sur différents groupes de lecture. Je publie aussi sur ma page ainsi que sur mon profil. Sans oublier Instagram.

 

Sans les réseaux sociaux, les blogs et les chroniques, il serait difficile de se faire une place, il faut être réaliste. La vague « romance » a pris une telle ampleur que seuls, on ne peut pas vraiment se faire de publicité. Alors merci Joelle, merci aussi à celles et ceux qui prennent beaucoup de leur temps pour nous aider et nous faire connaître. :)

 

 

 

 

JM : - A quel moment de la journée ou de la nuit écris-tu et pendant combien d'heures ?

 

Marie : Je n'ai aucun horaire précis. J'ai juste besoin de solitude et de calme.

 

 

 

 

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement  et si non pourquoi ?

 

 

Marie : Pour le moment rien n'est prévu. Et franchement, je dois avouer que je ne sais pas si je suis prête pour ça. J'aime bien mon cocon donc on va attendre un peu !

 

 

JM : - En dehors de l'écriture quelles sont tes passions ?

 

Marie : La lecture, mais c'est assez logique je crois.

A part ça, j'adore le dessin et la peinture, que j’ai commencé au lycée, mais aussi la photographie, le chant et la musique en général (mon grand regret est de ne pas savoir jouer d’un instrument).

 

 

JM : - Si tu devais partir sur une île déserte quel livre emporterais-tu ?

 

 

Marie : D'abord, je ne partirais pas sur une île déserte, je suis trop censée pour ça, et la chaleur et moi ne sommes pas très bonnes amies. Mais si je dois vraiment y aller, eh bien, j'emporterais Palomino de Danielle Steel. C'est une histoire dont je ne me lasserais jamais je crois.

 

 

JM : -Quel est ton animal préféré ? Ta couleur ?

 

 

Marie: Je suis un grande fan des chiens. Ma couleur c'est le noir, mais pour ceux qui pensent que ça n'en est pas une, je dirai le violet.

 

 

JM : - As-tu quelque chose d'autre à ajouter ?

 

Marie : J'ai besoin de vacances ? Oui, j'ai besoin de vacances ! 

 

JM : - Merci Marie pour cet agréable moment passé en ta compagnie.

 

Les amis, vous pouvez, si vous le souhaitez, poser d'autres questions à Marie qui se fera un plaisir de vous répondre en direct ou plus tard si vous n'êtes pas présents ce soir.

 

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Bonjour à tous aujourd'hui lundi je vous propose mon avis concernant : "QUAND LE TEMPS S'ARRETERA"

« QUAND LE TEMPS S'ARRETERA »

Carole DUPLESSY-ROUSEE

Editions de BOREE

14 juin 2018

400 pages

 

Présentation

 

Madison a renoncé à son lucratif métier de commissaire-priseur pour se consacrer à la recherche d’œuvres perdues ou volées. Elie, un ami galeriste, lui propose un voyage à Buenos Aires afin d'aller expertiser une toile prochainement mise en vente et qui pourrait être un Rembrandt. En voyant la photo, Madison reconnaît aussitôt le tableau. Quelques années plus tôt, une personne l'avait sollicitée pour l'aider à retrouver ce bien de famille volé par les nazis durant la guerre. 


Madison débutait alors dans le métier et n'avait pas osé relever ce défi. Mais, cette fois, malmenée par un mari jaloux et exigeant, elle n'hésite pas à s'envoler pour l'Argentine où elle est accueillie par Sacha, la sœur d'Elie. Celle-ci lui révèle être un agent du Mossad et l'informe que l'actuel détenteur du tableau est le fils d'un médecin nazi ayant fui l'Allemagne vaincue. Richissime propriétaire terrien dans la pampa argentine, il est soupçonné d'alimenter des réseaux néo-nazis et les services secrets israéliens le traquent. 


Madison servira d'appât. La jeune femme se jette à corps perdu dans ce combat qui n'est pas le sien mais dans lequel elle aura enfin le sentiment d'exister... Une épopée romanesque au souffle puissant, dont le lecteur ne sortira pas indemne.

 

L'auteure

Géographe de formation, Carole DUPLESSY-ROUSEE est professeur de lycée à Rouen. Membre de la Société des auteurs de Normandie et membre du jury du Prix des romancières, elle a publié une dizaine d'ouvrages chez Pygmalion.

 

Mon avis

 

Je remercie les Editions DE BOREE et en particulier Virginie de m'avoir permis de lire, en service de presse, «Quand le temps s'arrêtera », roman de Carole DUPLESSY-ROUSEE et ainsi de découvrir l'écriture fluide et légère de cette auteure.

 

Dès les premières lignes, Carole DUPLESSY-ROUSEE nous présente Madison, jeune femme fragile, constamment rabaissée et victime de violences psychologiques par Pierre, son mari, un être jaloux et fort égoïste..

 

Je me suis sentie de suite happée par cette histoire, au rythme infernal, sans aucun temps mort, mêlant suspense, amour, histoire et espionnage, qui emporte le lecteur en Argentine où l'héroïne devra prendre beaucoup de risques pour parvenir à restituer un tableau spolié par les nazis en 1944.

 

L'auteure raconte, par l'intermédiaire des récits de personnes de confession juive, la vie des familles qui, pendant la seconde Guerre Mondiale, ont tout perdu, les horreurs de ce conflit, la barbarie des nazis, les atrocités des camps de concentration.....

 

J'ai bien aimé ce roman d'aventure et d'amour très émouvant et intéressant qui se lit facilement et avec lequel j'ai passé un bon moment de lecture.

 

 

 

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